a PROCÉDÉ CHIMIQUE, STADS-IIGENDOIffl. CHARLES YAMME, LES CROQ&IGNOLES. EXPOSITION VERPACHTING A VENDRE. ma (lENEVÉR-BEZIElV BILLARD ET SES ACCESSOIRES BUREAU DES POSTES D'YPRES. PRIX par lit rendufr. 6-00 BERIGT. YERANDERING VAN WOONST. ROPERSLAGER EN STOVENMAKER. te Ypre, 30 centimes la livraison. Postes aux lettres De la nouvelle loi, prêtre crucifié, Je dois louer Kogier car l'esprit du poète, Des vœux des nations, quand il est l'interprète, Doit, élevant la voix, grandir comme son cœur Oui, le poète est ué courtisan du malheur... bloquent défenseur de nos droits politiques, Ils ont cru te punir de tes vertus civiques Et pourtaut, sur tes pas, tu vois deux nations T'apporter le tribut de leurs ovations; Rapides, s*agitant ainsi qu'un flot qui roule Pour miepx te contempler t'arraâher la foule Oui, de tes ennemis, calme, affronte le choo Que l'Océan vaincu, se brise contre un roc. Comme toi, je voudrais, pour vivre dans l'histoire, Au prix de tant de maux, acquérir tant de gloire. L'éclat de tes travaux, que rien ne peut ternir Fait rayonner ton front d'un splendide avenir Ainsi donc, toi gloire, intelligent ministre, Plus tu feras de bien, plus on t'abaissera IJn jour, pourtant, des sots, la voix s'affaissera Ton étoile longtemps ne sera plus sinistre!... Mais si, selon mes vœux, tu reviens au pouvoir, A mes pieds, l'instant, brisant mou encensoir, Sans espoir de faveur, d'un obstiué silence Ma lyre accueillera ta nouvelle puissance. Gloire encore Rogicr, dont l'ouvrage immortel A mérité du Khin le baiser fraternel X. Secouant ses roseaux Il nous manque une reine; A notre grand congrès, je ne vois pas la Seine Est-ce haine ou mépris, dit tristement le Rhin? Ou bien, a-t-elle peur de nous serrer la main Ou, dédaignant l'éclat qui scintille nos têtes, Penserait-elle encore ses vieilles oonquêtes? Que ne vieut-elle enfin, nos flots réunis, Mêler les doux trésors de ses flots rajeunis? Tandis que l'Kscaut libre, et la riante Meuse Ont, avec moi, seellé cette union heureuse, Pourquoi ne pas souder, trop lente en son essor, Son diadème illustre nos couronnes d'or? Puisse-t-elle bientôt, grande parmi les reines, it De son peuple vaillant dompter les longues haines Cologne, Osteude, Anvers, aux flots audacieux, Volent vers Paris, vifs comme l'éclair des cieux Déjà leurs remorqueurs, courant de ville en ville, m Embrasent Quiéverain, Valencienne et Lille, Et Paris, se berçant sur sou unique rail, Semble un sultan vieilli, s'cndormant au sérail I XI. A ce reproche amer, le fleuve de Lutèce Calme et digne la fois, comme jadis Lucrèce, Répond Injuste Rhin, quoi! de nos députés^ I.es longs retardements nous seraient imputés! Ne comprenez-vous pas,-qu'ai» fond de leurs provinces, Avides proconsuls, ils commandent en princes? Et dût notre union, nous donner un trésor, Contre des rails de fer changeraient-ils leur or? N'ont-ils pas des forêts, des fourneaux, des vignobles? Des peuples saus douane leurs yeux sout ignobles!. Auxvœux des nations, s'ils opposent un frein, m C'est qu'ils ont peur, surtout, de votre Zollverein n NofrërgTïdd eMpciVur,"WVl-ih pas fait naguère Au dieu de la vapeur, une funeste guerre Moderne Jupiter, et dédaignant Pluton. Son pied impérial pulvérisa Fulton h Ah! que de pleurs amers dut verser son génie m Quand, polype d'un roc, si loin de sa patrie Il songeait, qu'accueillant un modeste inventeur, Peut-être serait-il.encore notre empereur Mais sa mort fut plus grande aussi qu'une victoire Laissons dormir en paix ses erreurs et sa gloire! XII. Tu comprends donc aussi, quel long éclat de rire Poussa ma rive, alors que Pygmée en délire, n Thiers osa menacer ma vieille liberté V Comme mon peuple, alors, noblement irrité, v S élevaut sur mes flots, ainsi qu'un spectre antique, Au visage de Thiersd'une voix poétique, - Jeta ce grand défi, buriné sur l'airain Non, non tu n'auras pas le Rhin n [1 y 'Paris n'a pas voulu, conquérant en paroles, »"Ess. yer d'accomplir tes menaces frivoles, Et la France, sourit, et te prit eu borrenr, Car, son peuple le sait la paix, c'est le bonheur! XIIL Eh bien donc, accourez, nobles hommes de France! Soyons amis suivons les lents progrès «lu tems; Ah si j eu crois mes vœux et mes pressentiments Bientôt les rails, partout, remplaceront la lance, Bientôt, et pour jamais, Gaulois, Belge et Germain, <v Vos peuples formeront une sainte alliancei En s$ dojinanl la main (2) r '«l»Ode duj>eète Bécker. y«5 de Bîrabgiir.'. 1 1 DE actrice dp ^Exposition de en cette ville pendant 'tenir les intéressés ar elle, aura l;eu breveté par sa majesté le roi des français. MM. J'ai l'honneur de vous prévenir que je viens d'éta blir en celte ville un appareil dont je me sers pour mettre neuf le* plume* les plus vieille* et le* plu* avariée*. Elles font le même usage que les neuves. Ce moyen détruit tous les insectes nuisibles la plume, ainsi que la poussière et les mauvaises odeurs qui proviennent de différentes maladies et qui sou vent en occasionnent de graves dont 011 ignore la cause. Je rends la plume blanche et nerveuse devenue jaune par de mauvaises transpirations, et je lui pro cure par-là une conservation pour un grand nombre d'années. Je me charge d'épanouir les ramifications de la plume, de manière rendre cinq lits sur quatre,plus souples, plus bouffis, plus duvetés que si la plume «lait neuve. Les litteries qui seront données le matin seront rendues le soir. Je me charge aussi, sur trois lits, d'extraire un édredon superbe, sansendommagerces lits et pour assurer la tranquillité des personues qui voudront bien m'honorer de leur confiance, j'irai travailler chez elles lorsqu'elles le désirerout. J'ai l'honneur de cou* saluer RENVERSÉ. a par édredon5-00 m par traversin2-00 par oreiller1-25 N, 5. Ma demeure et mes ateliers sont établis chez la veuve. Leenkuecht, au Cimetière de Saiut-Jacques, Ypres. van Zalurdag, iSn November 1843, om louren 's mor- gens precies te heginnen, in de gewoone Zitting— kamer van de h'eéren Rùrg'mêêsfer eu ScTîepeneii hiniieu deze stad Ypre,.zal er voortsgegaen worden lot de OPENBAERE VERPAG'IING, voor negen naereenvolgende jaeren, te weten: i" Van de iocalen 4, i5, 17, 22, 24, î5, 26, 27, 3132, 33 en 3 j onder de Halle. 20 Van de kelders N" 48, 5i en 55 onder het groot Vleesciihuis. .5° Van de acht emplacemenlen onder het Nieùw-werk. 4° Van 4 aren 55 çenliaren Grond van de her- berg het Kleen Hemelryk, le Vlamerlinghe. 5" Van 65 aren Wirmoézïer-hof hotidende .aen Iiel sluis van den Dickebusch-vy ver.Gebruikt door Jacobus Lemàhieu. 6° Van 29 aren 84centiaren bebomvden Grond, gçlegen te Boesinghe by het sas. Gebruikt door de weduwe Eeckhout. 7° Van a hetfaren «4 aren 3 çenliaren Bosch uilmakendé een4deel dèr hoorden van <1% beke van Dickebusch-vy ver. Gebruikt door/Ve/er Thpvelin. Ml om aenrang te nenien met den i5tcn Junuary 1844. 8° Van i4 aren 70 centiaren Dryfgras, zynde een deel der hoorden van de Dickebusch-vy verbeek, gelegen op Vlamerlinghe. Gardeyn, lot 3oslen Seplember 1843. - 9° Van 5 aren 2 1 çenliaren beboinvden Grond, gelegen by de Boesing-firugge. Gebruikt door de weduwe Joseph Ferhaeyhe, tôt 3osUn Seplember i843. En io* Van eene partie Zaeilandgroot 78 aren 20 çenliaren, gelegen ôp S'-Jacobs nevens Ypre. Gebruikt door Pieter-Francis Cijlet, lot 3osl,!a Sep- tember 1843. t Mlles ingevolge de voomcaerden tydens de Verpag- ling vooren te lezen. ESTE JTALIAEINCHE ["'"'en an1s-zaed, jbërste kwaliteit, ij^oekomen by Mr EDOUARD DE LESCÉUZE, fer^opman, Verbraiid-NiéuwIand-strael, 410 14, te Brugge. t. S'adresser au bureau de cette feuille sous la lettre Z^ -M' SCT Maekt het publiek bekend dat hy van de Oude- Kleerdermarkt alwaer hy voorgaendelyk gehuisvest was, is gaen woonen in de Boesing-straet, n° 12, le Ypre, alwaer hy zyn bedryf van Koperslager en Sto- venmaker zal hly ven uitoefenen. Nota. Zyn wer^huis is in den kelder vooren aen zyn huis, Boesing-straet n° 12. aaswa'aa saas 7 fr. par an pour la ville. 8 fr. pour la province (franc de port.) 75 c. chaque numéro. ON S'ABONNE AU BUREAU DE CETTE FEUILLE. EN VENTE CBZ LAMBIN, FILS, RUE DU TEMPLE, A YPRES. LES QUARANTE-ET-UNE PREMIÈRES LIVRAISONS DE 30 c. !S4'5 jflftn itMif'iitfitr ARTISTIQUEJ^PITTORESQIIÎ. A* L'ouvrage sera complet en 80 livraisons. Tout ce qui dé passerait ce nombre, sera donçé gratis aux 2,000 prkiiers SOUSCRIPTED RS Il parait au moins chaque semaine, une livraison simple contenant une forme de texfe ëCplijsicurs vignettesfleurons et culs-rde-lampes imprimés dans le texte. CHANGEMENT D'HEURES DE DEPART. Par suite de la suppression du service ée Message ries d'Ypres a Bruges dont le départ é*ail fixé 7 heures du matin, les dépêches seront expédiées par la voilure "Van Ge>jd etjComp partant midi. La levée de la boîte se fera 11 heures 3o minutes du matin. DÉPARTS ET ARRIVÉES DES COURRIERS PENDANT LA PÉRIODE D'HIVER. DÉPARTS. 6 heures du malin, pour Anvers, Bruxelles^ CourbaiGand Mefiiu^r°iirnai et la Frauce. 8 heures du ma- tiii^, pour Poperinghe Warnêton. Il 1/2 heures du matiu pour Bruges. —2 1/2 heui^^le relevée pour Dixmude, Furnes, Diink.e.rqu^Criais et'Boulogue-snr-tifer- 5 1/4 bénies île relevée ;toul^fa- correspondance pour Uiiitérieur et l'étranger, 4 heures de relevée pour Poperinghe. ARRIVÉES^'— 8 heures du matin, la correspondance de l'inté rieur et dê rélcairgèn»—10 heures du malin, Dixmude^ Fumes et Poperinghe. 1 1/2 de relevée, Bruges, 3 1/2 heures de*relevée, YVarnêloùètfPoperinghe. 8 heures du soir, Anvers,Bi uges,Brux elles, Courtrai, •G;anti,.Mons, MeiJin, Touruay, Osteude, et la ct>rres- iïpondance fanÇaise .G - Sertdce rural. -* Départ 8 1/2 heures du matin. Rentrée: 6 heures. du,sôir.'. -, N B. Les lettres affranchir et charger, pour ne point éprouver de retard, doivent'être transmises au bureau un qua.it d'heure au moins avant la clôture des"dépêches; 1 affranchissement est obliga toire polir l'Angleterre, l'Autriche^ l'Espagiiv, le PortugalPltalie, la Turquie et les pays dôutre-mer. Les lettres sujettesà l'affranchissement ohligatoi 'pourlesquelles on ne remplit point celte formalité, ue sont point e£>v 'édiées. 11 est défendu de renfermer des èsspèces ou des bijoux dans les lettres; celles présumées en contcuir, trouvées la boite, sont mises au rébut. Les dépêches administratives, Contresignées par les fonc tionnaires publics, doivent être remises la main au guichet, celles trouvées la boîte sont sujettes la taxe. tui.f Ts. C'est dans fdl, qqel(pl*i délits Le bureau est ouvert de 8 heures du matin jusqu'à midi, et de 2 6 heures du soir. n pl i me* LAMBIN Fils, éditeurrue du Temple, t ->

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Le Progrès (1841-1914) | 1843 | | pagina 4