H PS c i 'i i EXTÉRIEUR. France. ê3 i i O U 1 i 4 -i i K 4 BOOM-VEMMTI EN. 1° TE DICKEBUSCI1. VERKOOPING ZEER ZWARE HARTE IEPEN, EIKEN EN ANDERE I i l i S u 1 i Affreux accident. On écrit au Courrier de la Gironde ANNONCES. 1 s "vAN 38 koopen BOON1ENT AEN DE KERK VAN LOO. 79 KOOPEU 9 S. 5 'V marmots foisonnent. Cependant, malgré le zèle et la bonne volonté courlis,iriesqnes, plus «1 un ménage aristocratique se laisse distancer par la royauté dans ce steeple chaxe d'un nouveau genre, dans celte course la progéniture. Tous les maris ne sont pas des Cobourg. toutes les femmes ne sont pas des reines. El puis cela peut aller fort loin car l'avenir est gros d événements de ce genre. On prétend que dans sa dernière promenade au château d'Eu, la reine Victoria aurait dit au roi Louis-Philippe, dans un moment d épanchement maternel Je veux avoir autant d'enfants que vous aurez de petits enfants. Le prince Albert^ qui était présent, salua. Nul mieux que lui. en Europe, ne sait ce que valent les mots: e veux! piononcés par une épouse. A mesure que s'accomplira celte volonté royale, la reine Victoria méritera de plus en plus le glorieux surnom de reine Gigogne, qui lui est acquis désormais et que l'histoire lui conservera. [Renie de Paris.) Je viens d être témoin d'un événement épou- vanlabte. Je descendais la côte rapide de Mor- tagne pour aller au bateau vapeur qui s arrête ici. dans le trajet de Saintes Bordeaux, pour y prendre les voyageurs qui viennent l'attendre de différents points. .1 avais quitté I hôtel pied, bien heureusement pour moi. Eu haut de la côte, je fus rejoint par la voilure Boul, Roussel et compagnie, qui conduisait plusieurs voya geurs au bateau. Quelques pas après m avoir dépassé, la diligence s'arrêta, et le conducteur eu descendit. Je le vis mettre le sabot. Le sabot peine placé le conducteur dit au postillon Tu peux partir. Les chevaux don nèrent un coup de collier si violent que la chaîne du sabot se rompit. Le conducteur vou lut remonter dans la voiture, mais ede partit comme un tourbillon. Les chevaux lavaient sur les jarrets, et pour l'éviter ils prirent une course désordonnée. Le chemin est tracé en zig zag. Ce point noir où tout se confondait, s éloignait avec tant de rapidité, que je n'osais le suivre des yeux. Dans les tournants je distinguai parfois le malheu reux postillon faisant des efforts inouïs pour diriger son attelage. Enfin le côté gauche de la voilure, qui bondissait avec les chevaux vint frapper l angle d'une maisou située sur le bord du chemin le mur de la maison tomba sur le véhicule et le brisa. Les chevaux, celle fois, ne peuvent l'arracher de sa place. J'arrivai un des premiers sur le lieu de I événement. 11 n'y avait personne de mort mais des membres cassés, des tètes ensanglantées! Le voyageur qui m'a vait salué uu moment auparavant avait une jambe cassée en deux endroits, le crâne ouvert. Le postillon était peu près dans le même état. N api es, 4 Décembre. L'empereur doit quitter Palerme ce soir pour arriver ici demain midi, moins que le Siroceo f u rie u x q u i règne dep u is q ue I q ues j o u rs ne retarde son départ. Il n'y a pas de program me arrêté pour les fêles, tout sera arrangé d a- près les désirs du moment de l'Empereur. S. Al. I. passera ici 3 ou i jours, et partira ensuite pour Rome, où elle a, dit-on, l'intention de faire de grands achats et de donner des com mandes considérables aux artistes. Paris, 16 Décembre. Il y avait hier soir une grande fête l'am bassade de Belgique, chez M. le prince de Li gne, l'occasion du 55e anniversaire de la nais sance du Roi Léopold. Les députés commencent arriver Pa ris et l'on en compte en ce moment 120 130 qui se sont fait inscrire la questure. 11 y a tous les jours plus de 23 30 députés réunis daus la salle des conférences. On s'occupait beaucoup, avant-hier soir, dans le foyer du théâtre Français, d'une pro position d enquête qui doit être faitedit-on la chambre des députés par M B. .sur l'em ploi des fonds secrets, et Ion ajoutait que cette menace occasionnait de sérieuse» irnsorniiies au ministère. On aurait obtenu des indications po sitives sur les noms et qualités des principaux bénéficiaires, et l'on serait en mesure de prou ver que la police proprement dite, n'entre que pour fr. 330,000 dans la répartition du million accordé pour les fonds secrets. La P resse a publié avant-hier une lettre d'Afrique donnant les plus tristes détails sur les dissensions qui divisent notre armée et compro mettent le sorlde notre colonie. Le maréchal Bu- geaud et le général Lamoricière sont en pleine rivalité, et déjà deux partis militaires se sont for més en Algérie, qui ont chacun leur chef et leur dénomination. L un s'appelle le parti dOran et l'autre le parti d'Alger. Il résulte de cette incroyable situation que le maréchal Bugeaud. ou le parti d Alger, réduit l'inaction le général Lamoricière; que notre gou- vcriieur général, au lieu d agir avec vigueur et de continuer les opérations du comtnandemeul de la province d Oi an, se promène philosophiquement surlessommetsdes Mat mata. Bien plus, comme le parti d'Alger est pour la colonisation militaire, et que le parti d'Oran est pour la colonisation civile le parti d Alger, asi bien mauœuvié qu il a mé nagé aux tribus comme un long corridor par le quel elles ont pu en toute sécurité émigrer dans le Maroc. Par ce moyen, le territoire est désert, et l'ancien terrain des tribus est un emplacement tout prêtau profit des colons militaires. Cest ainsi que l'Afrique redevient, comme sous le Bas-Empire une proie que se disputent etqu exploitent pour leurambiliou leschefsqu'on lui envoie. Ce n'est pas, au reste, le maréchal Bugeaud qui est le plus coupable dans ces triées événements. Le véritable coupable, cest le mi nistère. C esl a lui qu est délégué le devoir de maintenir l'unité dans l'autorité, la discipline dans le commandement II a constamment plié devant les volontés du maréchal Bugeaud celui- ci en profite pour s'en faire une sorte d'indépen dance, pour se créer dans l'armée des partisans personnels: c'est dans l'ordre des passions hu maines. Mais quelle est la dignité et la force d'un gou vernement qui se montre impuissant réprimer de pareils abus qui ferme les yeux sur leurs dan gers et qui permet des excentricités procon sulaires de compromettre et la tranquillité de la colonie et le succès des opérations. A ICJ Le Directeurde la Boulangerie militaire il T lL3i prévient le public qu'on peut se procurer son établissement du Charbon de bois, raison d'un franc vingt centimes l'hectolitre, y compris le portage. cd Z=i co p-h CO co C3 X13 "CO =0 <35 co M PC 55 s Q pi O ■J pc: <c: C m s s O m Ih3 z Qsfl g <53 p-~| S co CO *-* PC U M g o a ÉS te- su CD a co P*3 ©J i V -S\ N V n Den 2f>° December iHi.s, iell tlre precies, ter hofstede gebruikt door Constantivus'Tillieop Dic- kebuscli, langsl bel Keernruelk-straelje, tan 46 KOOPEN BOON1EIV Resiaende in Abeelen, Iepen, Eiken, Popelieren en VVilgen. en 2° te LANGEAI ARCK,'(poelcappelle). Den 2yp derzelfde maend, op de uer van den mid- dag, ter hofstede gebruikt door Piuter Samynop Langeinarck, weinig noord van Poelcappelle,» Waeronder zwaere Eiken, Iepen en Popelieren. Dezen Venditien zullen geschieden doordeambts- verricliting van den Notaris BOEDT. der residenlie van Yper, met tyd van betaling mits slel- Iende borge en comptant betalende de bespreken. OPENBARE vm eemi vus»®®™©] te doen Daer word aen het publiek kenbaer gemaekt dat op Donderdag, i5nJanuary iH4fî, des voormiddags ten q uren, in het Sladnuis te Loo, door liel ambt van Notaris, zal wezen overgegaen lot de openbare Aenbesteding, by afbod, van Met sel-, Timmer-, Arduinsleen-, Yzer-, Pleister-, Lood-, Schalie-, VIoer-, Schilder— en andere Werken, tôt vergroo— ting der herk van Loo en rerslyven van den voet van deszelfs Toren, waer van hel beslek en begroo- ling beluopt lot. fr. ftO.,343-35 c. De voorwaerden der Aenbesieding, beslek en plan zyn berustende. ter inzage der gegadigden, by de leden van den Kerkraed daeraf zyn ook inlichlin- geu te bekomeu by sieur. J.-B. Desouter, Bouw- meesler le Veurne, die met den loezigl en hetgelei- den der werken zal belast zyn. Dat men het aen anderen zegge. VAN TE VLAMERTIiNGHE. Den Maendag 29" December 18-Ï5, om 11 uren précis s'rriorgens, op de landen der hofsle- den gebruikt door Philippus Lehahieu en Carolus Dumon op gemelde Vlamertingbeachter de herberg Conslanlinopel en by de herberg dea Pouper. .ces- 3 o c o R /s /O jr w J— 5L n 4 a 0 0 v (3 s- C S J§> C* k s s g - s .S 3 <3 -t: m 3 1 .3 "S t M ZÏ «-» *-f U /pp /O <2 s «s 8 <n (t o o o H d 53 u yo w 3 O i o 53» o M <2 V* u g -S r 2 «i W 5 5 I v ta ZZ 3 o 3 g- 8 O a - c 2 y g- s s C- c j- 5 3 b 'a 2 H Si 3 ta O ça .i: i* m O-o H i- C 3 5r U -G M 11,

HISTORISCHE KRANTEN

Le Progrès (1841-1914) | 1845 | | pagina 3