MALADIES DES YEUX.
BRASSERIE
ANNONCES.
EXTÉRIEUR. France.
3
EX.TRAI T S conformément
l'article S «le la loi «In fi? Avril
fi§35, d'ajournements en ex
propriation pour cause «l'utilité
pul)Ii«iue.
AVIS.
LA veuve P.-J. DURAMUW,
H. HENRI VAN LERBERGHE. Chirurgiea-Oculiste.
ET SES DÉPENDANCES,
AVIS.
AVIS.
dans ce voyage involontaire. On ajoute que la
mission mystérieuse du colonel Wylde qui a
donné lieu tant de conjectures, n'avait d'autre
objet que l'offre de cet asile la famille royale
de Portugal.
Dimanche au soir, six heures dix minu
tes, un ouragan est passé sur Paris, où il a
causé de nombreux ravages; des personnes ont
été renversées sur les ponts et les places, des
arbres arrachés et brisés sur les promenades,
les toitures des grands édifices découvertes et
des cheminées renversées.
De fâcheux désordres ont éclaté dans
plusieurs communes du département d'Indre et
Loire, l'occasion de la cherté du prix des
grains. Le 22, la ville de Tours a été le théâtre
des violences les plus déplorables. La garde
nationale a été assaillie poursuivie coups de
pierres. Cependant l'ordre a été rétabli. Des
arrestations ont été faites.
On prétenddit la Gazette fédérale de
Zurichque Lucerne n'est pas éloigné de pro
poser une transaction, dans l'affaire des jésuites;
que M. Meyer secrétaire du gouvernement,
s'est rendu Rome pour obtenir le rappel des
jésuites et que M. le comte Rossi a reçu mis
sion de le seconder.
Nous lisons aussi dans la Revue de Genève
du 21
1 es jésuites s'apprêtent quitter Fribourg.
Déjà des révérends pères de leur établis
sement sont arrivés mercredi en Savoie, Ils
sont en marche pour acquérir les vastes bâli-
mente du couvent de la Coptamine.
Le marché se conclut, l'instant où nous
écrivons et les jésuites pourront s'y installer
tout de suite avec leurs élèves en quittant
Fribourg.
Le Mornintj-Chronicle se prononce au
jourd'hui avec énergie contre la mesure que vien
nent de prendre les puissances au sujet de Cra-
Par exploits de l'huissieur Leupe, immatriculé
près le tribunal de première instance d'Ypres, en
date du vingt six Novembre 1800 quarante six,
dûment enregistrés la requête de la Société
anonyme des Chemins de fer de la Flandre Occi
dentale dont les bureaux sont établis près de la
station Bruges, poursuites et diligences de Mon
sieur Guillaume Cliautrell, son directeur, domicilié
Bruges,-et pour autant que de besoin la requête
de l'État belge, poursuites et diligences de Monsieur
le Ministre des travaux publics, dont les bureaux
sont établis Place Royale, Bruxelles, pour lesquels
est constitué l'avoué soussigné, ont été assignés pour
comparaître l'audience du quatre Décembre 1800
quarante six, les nommés sieurs Joseph Demey, se
crétaire communal et proprié taire domicilié Hoogh-
lede, 2° ledit Joseph Demey ensemble avec Jacques
Soenen, cultivateur et propriétaire Gils; et 5°
Pierre Hostens, cultivateur et propriétaire Beveren,
pour les réquérants être envoyés en possession des
parcelles suivantes savoir: l'égard du premier,
trois parcelles de terre, une parcelle de jardin et
une parcelle de verger, toutes situées dans la com
mune de Gits, arrondissement d'Ypres, et cotées au
cadastre dudit Gits, sous les N0* 532, 52i, 511, 5 3 i
5ïq et 525 de la section A. L'emprise sera sur les
N"' 532 et 5i i de 58 ares 3o centiares, sur le N° 521
de cinq ares, sur le N° 531 de i4 ares 5 centiares, et
sur les N°s 52g et 525 de 19 ares 80 centiares
l'égard des seconds d'une parcelle de terre et une
parcelle de bois, situées audit Gits, et y cotées au
cadastre sous les Nos 5og et 510 de la section A.
L'emprise sera sur le N° 5og de 5 ares 80 centiares,
et sur le N° 5ro de 8 ares 3o centiares. Et l'égard
du troisième, de cinq parcelles de terre et deux
parcelles de presituées dans la commune de
Beveren, et cotées au cadastre dudit Beveren sous
les N" 58, 72, 73, 74» 80, 81 et 708 de la section A.
L'emprise sera sur le N° 58 de 10 ares 40 centiares,
sur le NJ 81 de 36 ares 80 centiares, sur le N" 708
covie. II soutient que la suppression de l'indépen
dance de la petite république polonaise est une
violation directe, flagrante des traités de Vienne,
contre laquelle il proteste au nom de la nation
anglaise. Les puissances n'avaient pas, dit-il,
le droit d'agir comme elles l'ont fait sans con
sulter les co-signalaires des traités de 1815, la
république de Cracovie eut elle forfait toutes
les conditions posées son existence politique,
eut-elle mis le feu aux quatre coins de l'Europe.»
On écrit de Bruck sur la Mer (en Slyrie),
le 16 la Gazette d Augsbourg
n Aujourd'hui, neuf heures du matin, a
été célébré par une cérémonie dénuée de toute
pompe, dans l'église des Minoreltes, le mariage
du duc de Bordeaux avec la princesse de
Modène. Les nouveaux mariés partirent immé
diatement avec l'accomplissement de l'acte de
mariage. L'église reçut un don de 400 fl. et on
distribuera 1000 fl. aux pauvres de l'endroit.
On lit dans le Courrier d'Indre et Loire:
L'effervescence de samedi a continué se mani
fester dimanche dans la soirée. Il y a encore des
attroupements aux abords de la mairie, dans la
rue royale et les rues avoisinantes. Des pierres
ont été lancées sur les patrouilles, et sur deux
gardes nationaux isolés, M. Duhaume, capitaine
de la compagnie d'artillerie, qui en comman
dait une a été assez gravement blessé la tête
de plusieurs coups de pierres. Ces actes coupa
bles ont donné lieu de cruelles représailles
plusieurs perturbateurs ont été frappés coups
de baïonnettes. Un d'eux a été transporté
l'hospice.
Ces scènes déplorables ont commandé les
plus rigoureuses mesures; des renforts de trou
pes sont arrivés sur les lieux les armes ont été
chargées et les sommations faites. Les pertur
bateurs ont évacué la rue Royale et se sont
répandus dans d'autres petites rues où ils ont
de 8 ares 92 centiares, sur les N°s 72, 74 et 73 réunis
de 23 ares 64 centiares, et sur le N" 80 de 75 ares 6
centiares; lesquelles parcelles doivent être incorpo
rées au Chemin de fer deThouroutà Courtrai, et
l'indemnité fixée par jugement, attendu que toutes
les formalités voulues par la loi ont été remplies
pour parvenir la dite expropriation.
Le présent extrait fait Ypres, le 27 Novembre
1846.
(Signé) YAN DAELE.
LOUEUSE DE VOITURES,
DEMEURANT PETITE PLACE, N° 6, A YPRES,
Porte la connaissance du public, qu'à dater du
3o Novembre 1846, un Service hebdomadaire
de Messageries sera établi entre Ypres et Courtrai,
et un autre entre Ypres et Furnes.
Le départ pour Courtrai s'effectuera du lieu de son
domicile, tous les Lundis, 5 172 heures du matin.
Le retour de Courtrai pour Ypres se fera de
YHôlel du Lion d'orGrand'Place, Courtrai, 3
heures de relevée.
Le départ pour Furnes aura lieu tous les Mercre
dis 5 172 heures du malin, et le retour de Furnes
2 heures de relevée, de l'Hôtel de la Noble Rose,
Grand'Place, Furnes.
Ce double service s'effectuera au moyen d'une
voilure solide 4 roues, attelée de 2 chevaux.
L'entrepreneuse se recommande la bienveillance
du public.
Ou peut le consulter tous les samedis Ypres,
Hôtel de la Tête d'orrue de Lille les autres jours,
Courtrai, Place de la station du chemin de fer, n" 2,
Les pauvres, sur la simple exhibition d'un cer
tificat signé par un des membres du bureau de bien
faisance delà communequ'ils habitent, sont traités
Gratis.
été poursuivis par des patrouilles de la ligne et
de la garde nationale. Plusieurs arrestations
ont eu lieu. Après avoir brisé plus de cent
reverbères, ils se sont retirés sur les neuf heu
res, et la tranquillité a régné ensuite tout le
reste de la nuit.
Aujourd'hui le calme est rétabli.
M. Lauly, adjoint, blessé samedi la Halle
par une pierre qui l'avait frappé au front, est
venu hier la Mairie prendre part aux travaux
de l'administration.
Les nouvelles qui nous sont parvenues des
communes, où des troubles s'étaient manifes
tées, nous annoncent que tout est rentré dans
l'ordre.
M. le procureur du roi qui s'était transporté
sur les lieux depuis plusieurs joursdoit être
de retour aujourd'hui Tours.
Paris, 24 novembre.
Ce que je vous ai écrit hier l'occasion de la
visite que M. le comte Molé a faite au Roi, a
pris aujourd'hui beaucoup de consistance, et
on prétend que l'ancien président du 15 avril
est déjà le maître de la situation. Je n'y crois
cependant pas, quoique ce ne soit pas impos
sible, si, comme on l'assure, le Roi désire re
constituer l'entente cordiale et l'alliance anglaise
sur de nouvelles bases et avec de nouveaux
éléments.
On annonce que M. le comte Flahault, am
bassadeur Vienne, est rappelé. Ou lui réserve
l'ambassade de Londres, dont le titulaire actuel
va se retirer dans la vie privée. M. de Saint-
Aulaire, qui est en ce moment Paris, doit re
tourner prochainement Londres pour pré
senter S. M. la Reine d'Angleterre, les lelLres
qui mettent fin sa mission et sa carrière
diplomatique.
ÉTUDE DU NOTAIRE Y A.N EECKE, A TPRES.
Samedi, 5 Décembre i846, 3 heures de relevée,
l'estaminet SLaurentoccupé par le Sr Pauwelyn,
rue des Chiens, Ypres, MISE-A-I'RIX, d'une
Cabaret et 21 ares 86 centiares de Terrain, parmi
fonds bâti et jardin potager, situés dans la commune
de Voormezeele occupés par les enfants de feu
Joseph-Benoît Wullepit, jusqu'au ir Mai 1847.
IL Y AURA GAIN DE MISE-A-PRIX.
Pour tous renseignements, s'adresser au bureau
dudit Notaire VAJIT EECKE.
Le public est informé que le Mardi, ir Décembre
i846, 3 heures de relevée, il sera procédé en la
Maison-de-ville Messines, l'ADJUDICATION
DU DROIT DE PÉAGE établi sur la roule vicinale
conduisant de cet endroit au hameau de S' Éloi,
pour le terme d'une année, prendre cours au ir
Janvier 1847.
Ypres, le 21 Novembre 1846.
Le Président de la Commission administrative
de la route
J. DE NECKERE.
Le Lundi, 7 Décembre 1846, dix heures du
matin, il sera procédé,dans une des salles de Y Hôtel-
de ville Ypres, l'ADJUDICATION, pour le terme
d'une année, prendre cours au ir Janvier 18^7,
DU DROIT DE PÉAGE établi sur la route vicinale
d'Ypres Reninghelst, et sur celle conduisant de
cette même ville Pilckem.
Ypres, le 23 Novembre 184G.
Le Président de la Commission administrative
des routes vicinales susmentionnées,
J. DE NECKERE.