ÉTABLISSEMENT PUBLIC.
plantsoe™,
B 0 0 31 E N
IL A ÉTÉ TROUVÉ
maladies des yeux.
extérieur. FRANCE.
annonces.
teToopen
3
DEMANDE
UYT ER H AND TE KOOPEN:
EIKEN. OLMEN. BEUKEN, CANADA EN LARYCKX
Te Elverdinghe
Woensdag, 6° January 1847, te beginnen ten 11
uren 's rnorgenster hofstede gebruikt door de
weduwe Conslantinus Breynelangsde calsyde van
Elverdinghe naer Brieleri, by de herberg de Krikke
otn van daer voorts te continueren en te eindigen
op de hofstede het Vroedenhofgebruikt door
Joannes Van Eecke,te Elverdinghe,zal'er gehouden
worden Vendilie van 98 koopen BOOMENals
Iepen, Eiken, Abeelen, Esschen, Appelboomen en
JÂeirselaren, gebruikbaer tôt aile slach van zware
werken voor de yzeren wegen meubelmakers,
timmer- en wagenwerkers,als 00k voor brandhout,
staende aïs voigt
6° In de voorweide 7 Iepen, 3 Esschen, 4
Abeelen en 3 Appelboomen, verdeeld in 10 koopen.
7° Op de Brielen-weide 6 Eiken, 16 Iepen en
6 Esschen, verdeeld in 16 koopen.
M. HENRI VAN LERBERGHE, Chirurgien- Oculiste.
l'élection de M. Corlina chef du parti et qui
avait échoué Madrid. M. Antonio Gonzalez,
ancien président siéger dans le Congrès.
Al. Salamanca a été élu dans un collège de la
province d'Alicante.
L'industrie colonnière est dans un véri
table état de crise. La plupart des manufactu
riers de Manchester et des villes voisines ont
réduit la durée du travail, et par conséquent les
salaires de leurs ouvriers.
Paris, le 19 décembre.
Le journal la France vient de donner le
texte de la note adressée par M. Guizot au Gou
vernement autrichien, au sujet de l'incorporation
de Cracovie. Nous ne savons pas encore jusqu'à
quel point cette publication est exacte, mais il
y a lieu de croire que la pièce publiée par la
France est apocryphe, car ou ne s'explique pas
comment ce journal, hostile au Gouvernement
et la dynastie, a pu seul en avoir communi
cation.
Les journaux de la frontière confirment
la nouvelle de la grossesse de la Reine d'Es
pagne déjà annoncée par une feuille de
Madrid.
On lit ce soir dans le Moniteur Parisien
Le journal la France publie ce matin une
note sous ce titre: Note-circulaire de M.
Guizot sur l'affaire de Cracovie.
Nous sommes autorisés déclarer que cette
note est tout fait inexacte et incomplète.
Aujourd'hui a midi,aucune des 1 fî malles
qui arrivent chaque matin Paris des différentes
extrémités de la France n'était entrée l'hôtel
des postes, ce qui vous expliquera le retard
qu éprouve la réception des nouvelles étran
gères. El par suite, les bruits que l'on fait cou
rir la Bourse sans que l'on soit dans la possi
bilité d'en vérifier l'exactitude avant le départ
de la poste.
L'importante nouvelle du Portugal, de la
déroule de Das-Antas, qui a été abandonné par
les troupes de ligne qui étaient dans les rangs
de son armée, se trouve confirmée par une dé
pèche télégraphique, reçue par le gouvernement
français; on ajoutequ'à la suite de cette défec
tion, les corps francs ont abandonné le chef de
l'insurrection et que plusieurs villes telles
qu'Of orto, Coimbre et Evora, avaient fait leur
soumission. Ce dénouement que j'ai prévu
depuis un mois, n'est plus favorable qu'on au
rait dû désirer et une transaction honorable
pour les deux puissants partis aurait mieux
consolidé l'état des choses dans un pays où le
parti absolutiste est nombrenx et qui avec le
drapeau de Don Miguel donnera fort faire au
gouvernement de la Reine Dona Maria, privé
comme il le sera, de l'appui du parti populaire
el libéral.
ue l'éprouve pas, et il semble ijue de ses lèvres s'échappe uu souf-
fie plein d'amour, qui dit l'âme soupire, u
Suivre le comte Balbo dans le développement de son remarquable
travail, serait dépasser les limites de cette modeste fcuillejc'est une
tâche que les revues sérieuses de notre pays auraient dû s'imposer et
peut-être nous sera-t-il permis de combler un jour oette lacune. En
attendant bornons-nous dire que le premier volume est oonsacré
au Dante dans sa patrie et tous les événements qui s'y sont accom
plis jusqu'au moment de son exil, que le deuxième embrasse la vie
du Dante dans son exil, jusqu'à sa mort, avec la relation des événe
ments survenus en Italie cette époque.
Le comte Balbo a écrit sans passion et sans préjugé. Il aime le
Dante, il le venge des outrages et des fausses interprétations dont sa
mémoire où ses écrits ont été l'objet. Au milieu du vaste tableau
historique du xme siècle, il a peint avec la palette de Rubens et le
pinceau de Michel-Ange, le plus grand génie de l'Italie moderne et le
plus grand poète des langues vulgaires. Son beau livre fort peu con
nu dans notre pays, où la langue italienne est peu répandue, nous a
été transmis par les soins d'une savante et noble comtesse dont la
Flandre revendique l'origine, sinon la naissance j Madame la com
tesse de Lalaing, née comtesse de Maldeghem a traduit l'œuvre du
comte Balbo avec une fidélité, une concision et une élégauoe remar
quables. Au premier abord, cet ouvrage paraît au-dessus des forces
d'une dame de nos jours, et nous avouons qu'il a fallu la noble tra-
ductrice un courage et une persévérance qui ne serait point le
moindre titre notre admiration, si le mérite de la traduction
d'un
pour un
ON DEMANDE pour l'établissement des Orphe
lins en celle ville, un jeune homme possédant les
connaissances nécessaires pour enseigner la lecture,
l'écriture, les éléments du calcul, le système légal
des poids et mesures, les éléments de la langue
française et de la langue flamande, la doctrine chré
tienne, etc.
Pour les conditions, s'adresser au Secrétariat de
l'administration des Hospices civils d'Ypres, rue de
Lille n° 38, avant le premier Janvier 1847.
GEMEENTE WERVICK,
bt de herberg DEN OUDEN ILOND.
i° Vier hectaren i3 aren (2 bunders i46î roe-
den) Taillie- Plantsoen en Sperrebosch, genaemd
Crombosch met eene wooning daerop geslicht,
paelende oost aen Eugenius Samain en M. Godt-
schalck-Van Elslande, zuid de erfgenamen Deleu,
west het hospilael van Comen, do erfgenamen M.
fYJgersseman en M. Vanden Berghe en noord de
straet van Wervick naer Becelaere.
De wooning is gebruikt met 4 aren 42 centiaren
5o roeden grond uit dezen arlikel en den arlikel
drie,door Knockaert 'tsamen len pryze van 66
francs by jaere, zonder pacht.
2" Éen hectare 42 aren 60 centiaren 16*0
roeden uitgeroderi Bosch vvanof de helfl bezaeid
is met sperren paelende oost M. Busschaert-De
Jaeghere, zuid gemelde straet, west M. Jean Vuyl-
steke, en noord de limiten van Gheluwe.
3" Twee en dertig aren 70 centiaren 370
roeden Zaeiland paelende oost dito Samain zuid
gemelde straet, west dito Busschaert-De Jaeghere
en noord aen de limiten vàn Gheluwe.
Voor aile inlichtingen, zich te adresseren by den
Notaris FOKKÈSTj le Wervick.
By M' POUPART-VIENNENotaris,
ter residenlie van Zonnebeke, is er geld in lee-
ning te bekoinen mits goed bezet.
in de kweekeryen van MICHIEL SURMONT,
Burgmeester tôt Lichtervelde,
als ook eene masse van
3, 4 EN 3 JAERSCIIE
Eiken Slckken of Telg,jonge Larxjckx en teille
Berken.
Zich aentebieden by den eîgenaer.
n'emportait tous les suffrages. Qu'on se figure en effet deux gros vo
lumes de près 500 pages, chargées de notes, de citations, de texte
pris dans la vieille langue de l'Italie et l'on te fera une idée des
difficultés d'exéeution.
Nous voudrions, en renvoyant le lecteur la belle prose de
Madame la comtesse de Lalaing, faire joindre son suffrage au nôtre,
mais malheureusement le livre ne se vend pas. Elle en a fait une
rareté bibliographique très-ambitionnéedes bibliophiles, des savants
et de tous ceux qui aiment la langue créée par le Dante et anoblie
par le Tasse. Nous oserions même affirmer qu'il n'en existe point
deux exemplaires en la ville d'Yprcl, enjuger par l'empressement
que des érudils, des hommes de goût et des bibliophiles de notre
ville ont mis feuilleter le seul exemplaire que nous ayons vu dans
les mains d'un officier de notre garnison.
11 est regretter que le livre soit hors du domaine où les biblio
thèques privées et publiques s'enrichissent. Madame la comtesse
de Lalaing eût vu augmenter le nombre de ses admirateurs, et
joindre sa double couronne de comtesse une couronne de laurier
que ses amis et ses élus tressent dans le silence de l'élude et le res
pect qu'inspirent ses nobles travaux.
Dn membre de l'académie de Bruxelles aussi connu par des fines
et malicieuses critiques, que par des travaux sériçux, parlait ainsi
du travail qui nous occupe a Voici présentement un livre qui ne se
vend pas et que les acheteurs se disputeraient, s'il était mis en
u vente, o'est le second volume de la vie du Dante. Avant de le
terminer Madame la comtesse de Lalaing est allée dans les lieux
KOOPDACr
yan schoone
i° Op de hofplaets, gebruik der weduwe Breyne:
21 Iepen, 11 Appelboomen, 7 Keirzelaren en 2
Notelaren verdeeld in i5 koopen.
20 Op de lange weide 20 Iepen, 5 Eiken,
Abeelen en 3 Esschen, 00k verdeeld in 25 koopen. 1
3" Op den YVevelands-bosch 4 Abeelen en 5
Eik.
4° Op de verre Drie-gemeten, gebruik der hof
stede liet Vroedenhof 7 Iepen, verdeeld in 7
koopen.
5° Langst de dreve derzelve hofstede: 4 Eiken,
9 Iepen en 1 Abeel, verdeeld in 10 koopen.
Deze Vendilie zal gebeuren met langen tyd van
betaling, behoudens bekende solvable borgen te
slellen en de bespreken comptant le voldoen.
Très-bons PIANOS, de 6 1/2 et 6 octaves, ven
dre chez Taffin, rue de Lille, n° jS, Ypres.
Dimanche dernier la Fêle donnée par les sous-
officiers du 10e, une ÉPINGLE EN OR, GARNIE
D'UN BRILLANT.
La personne qui l'a perdue peut la réclamer au
propriétaire de l'estaminet St. Laurentrue des
Chiens, Ypres.
On peut le consulter tous les samedis Ypres,
Hôtel de la Tête d'orrue de Lille les autres jours,
Courtrai, Place de la station du chemin de fer, n"a,
Les pauvres, sur la simple exhibition d'un cer
tificat signé par un des membres du bureau de bien
faisance de la commune qu'ils habitent, sont traités
Gratis.
a mêmes où l'auteur de la Divine comédie a écrit. Un sc^our d'un
a an n'a pas peu contribué l'initier au mystère de la langue éner-
gique et audacieuse, créée en quelque sorte par Alighieri, et lui
faire mieux comprendre le géuie de ce merveilleux écrivain.
M. le comte Balbo doit des remerciements sa spirituelle
traductrice, et tous ceux qui aiment le Dante applaudiront un
délassement si fécond en résultais.
Il ajoutait que le Dante de la comtesse de Lalaing prendrait place
dans la monographie de M1' Colon de Batines ainsi que dans la
bibliothèque de S. A. R. le duc Jean de Saxe, amateur passionné
du Dante qu'il a traduit en allemand; uous disons, nous qui avons lu
le livre en son entier, que la vie du Dante est le complément indis
pensable de toutes les histoires d'Italie et que daos les bibliothèques
de France et de Belgique elle se placera oôté de Sismonde de_
Sismondi et Genguené et des autres écrivains que le comte Balbo rec
tifie, tant les faits sont exactement rapportéset tant ses appprécia-
tions sont justes el neuves.
L'amour de l'Italie de ses grands noms et de sa belle langue
parait héréditaire dans la famille de madame la comtesse de Lalaing.
Au xvie siècle, Philippe de Maldeghem, l'un de sesVieux traduisit
dans les ennuis de l'exil, les œuvres de Pétrarque en vers français.
Notre bibliothèque en possède un exemplaire; si nous avions l'espoir
de voir tomber ces lignes sous les yeux de la petite fille de Philippe
de Maldeghem, nous émettrions respectueusement un désir que nous
n'osons formuler, Noblcssse oblige, madame la oomtesse.