OVERSLUJ
ANNONCES.
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GEMEENTE WYTSCHAETE.
GEMEENTE WEST-NIEUWKERKE.
COMMUNE DE WYTSCHAETE,
1° Une pièce de Terres labourables, d'après
le cadastre de 86 ares 90 centiares, y connue, section
C,n° 272,occupée avec42 ares 92 centiares de terres,
sous le n° 4 ci-après, par Pierre-Jean Joye, jusqu'au
i"r Octobre 1848, ensemble au fermage annuel do
90 francs, outre les contributions.
20 Une parcelle dePRÉ, de 27ores 5o centiares,
connue au cadastre, section C, n1" 278, occupée avec
les terres sous le n° 5 ci-après, par André-L,ouis
Becguaerl, jusqu'au 1" Octobre 185o, ensemble an
fermage annuel de 135 francs, outre les contributions.
7® Une M vison et son fonds, connus au cadastre
section A, n°s 4 14 et 415
BAS-WARNÊTON,
MALADIES DES YEUX.
:athédra!emembre du synode el professeur
m séminaire. Cel ecclésiastique enseignait la
héologie dogmatique depuis plus de vingt ans.
En se livrant des conjectures sur les causes
celte disgrâce, on se souvient que M. Len-
ers était du nombre des chanoines qui se sont
dressés Rome pour défendre les droits du
hapilre calhédral contre les prétentions du
rélat, el qui ont obtenu gain de cause auprès
u pape; on se dit aussi que M. Lenders est un
artisan de l'inamovibilité des desservans, et
on ajoute que, dans la querelle qui divise l'u
niversité catholique et le Journal historique
le professeur de théologie dogmatique s'est
prononcé ponr la doctrine soutenue par ce
dernier recueil.
Les élèves du séminaire de Liège vontnous
écrit-on, offrir M. Lenders, dont la démission
paraît êlre datée de Waremmeune pendule
de grand prix comme témoignage d attache
ment, de gratitude et de regrets. (Jde Liège.
Le Moniteur universel publie le tableau com
paratif des principales marchandises importées
en France pendant le mois de juin, el pendant
le premier semestre des années 1845, 1846
1847- Nous remarquons une énorme décrois
sance en ce qui concerne les fils et les toiles.
Ainsi pendant le mois de juin, l'importation
des fils n'a été que de 1,123 quintaux tandis
qu'en 1846 elle avait été de 2.626 quintaux, et
en 1845 de 3,952 quintaux. La diminution
pour les six premiers mois est tout aussi énorme.
Pendant le premier semestre fie 1845, l'impor
tation des fils avait été de 40.312 quintaux, en
1846 elle est descendue 25.064 quintaux et
en 1847 elle n'a plus été que de 10,466 quin
taux. On voit que celte progression décroissante
est vraiment effrayante! Plus de 30,000 quin
taux de moins celle année qu'en 1845!
Il en est de même pour les toiles: pendant
le mois de juin de cette année il n'en a été im
porté que 1,365 quintaux contre 1,692 en
1846 el 2.207 en 1845. Pour le semestre les
résultats sont les mêmes: En 1345, I importa
tion a éléde 17,631 quintaux, elle estdescendue
en 1846 14.583 quintaux, el est tombée en
1847 10,482 quintaux.
Un fait qui se produit aujourd'hui pour la
première fois depuis bien des années, c'est que
pendant le mois de Uiin l'importation des fils a
été au-dessous deyCelle de toiles.
NOUVELLES DIVERSES.
On lit dans Progressif cauchois Plu
sieurs journaux annoncent que M. Despans-
Cubières, ne se sentant pas assez fort pour
supporter en France les conséquences de 1 arrêt
qui vient de le frapper, doit aller cacher son
chagrin au Missouri, au milieu des établisse
ments agricoles d'un de ses parents. Rien n'est
moins exact. D'abord M. Cubières n'a aucun
membre de sa famille en Amérique, et ensuite
nous croyons tenir de bonne source, qu'il
compte en attendant des temps meilleurs, vivre
dans la retraite que lui offre sa terre d'A n t i vil le,
quelques kilomètres de Fécamp, où, depuis
mercredi déjà, il est venu se réfugier.
Nous devons dire que, si Ion peut juger
par l'extérieur de ce qni se passe dans l ame d'un
homme, l'ex-minislre du 1er mars n'est point
abattu, comme on l'a prétendu. Suivant son
habitude, il est arrivé son château pied la
valise sous les bras; il n'agissait point, en effet,
d'autre sorte quand il était le collègue de M.
Thiers, alors qu'il siégeait au Luxembourg ou
commandait au camp.
On ne saurait dire que ses traits ne déno
tent point un chagrin profond; mais le chagrin
qu'il ne peut cacher est celui d'un vaincu, non
d'un flétri. Puisse cet homme, qui on n'a pu
enlever ses cicatrices, le seul litre d honneur qui
lui reste aujourd'hui, atteindre la réhabilitation
qui paraît désormais devenir le but unique et
constant de ses efforts
Hier deux courriers de Madrid sout ar
rivés l'ambassade d'Espagne immédiatement
aprèsle général Narvaez s'est rendu la Mal
maison où il a eu une longue entrevue avec
Marie-Christine el M le duc de Monlpensier
M. le duc de Monlpensier a ramené Neuilly,
dans sa voilure, l'ambassadeur d Espagne où
M. Guizot s'était rendu cle son côté.
L'on disait, ce soir, que 1 on était très-préoc
cupé Neuilly des nouvelles de Madrid. La
défense faitau Moiconsorl par Isabelle d habiter
Madrid pendant son absence, était le sujet de
mille commentaires, et la suite de l'entrevue
la Malmaison, un courrier de cabinet est parti
pour l'Espagne, porteur de dépêches pour la
Reine Isabelle.
Les journaux anglais les mieux informés
prétendent que rien ne pourra sauver les grands
propriétaires de l'Irlande, et que tous les bien-fonds
doivent être et seront nécessairement sacrifiés la
nécessité de nourrir le peuple dont la masse ne vit
aujourd'hui que d'aumônes et de secours étrangers.
La prospérité des riches a été immense depuis 5o
ans en Angleterre; la misère des pauvres est devenue
encore plus immense de nos jours et l'abondance
nationale emmagasinée par les priviligiés est comme
un grenier attaqué par des multitudes de rats af
famés. L'Angleterre est la fois le pays le plus riche
el le plus pauvre de l'Europe mais les autres pays
civilisés marchent grands pas pour le rejoindre
vers cet abîme terrible.
La situation semble s'aggraver en Espagne.
La désunion entre les royaux époux çst toujours la
même. Le parti Monlemoliniste relève positivement
la tête et prépare un coup de main serieux. La si
tuation financière est de plus en plus déplorable.
Le Morning-Post publie une lettre assez cu
rieuse sur les affaires d'Espagne et notamment sur
lu question du palais. L'auteur de celte lettre fait
jouer l'envoyé anglais M. Buhver un rôle peu
flatteur dans cet imbroglio et il attribue surtout la
mésintelligence et la séparation entre la reine Isa
belle et le roi don Francisco, au changement opéré
dans le personnel de la maison royale, peu de temps
après l'avénement du cabinet Pacheco.
Le roi, qui l'on avait soumis, pour la forme, les
nouveaux arrangements intérieurs se serait recrié
surtout sur la proposition de remplacer la marquise
Santa-Cruz, comme camarera mayor, par la femme
du banquier Buchenlal. Mieux vaut encore, aurait
dit cette occasion S. M une créature de la Reine
Christine qu'une créature de M. Salamanca Mm"
buchenlal a une réputation détestable, et je ne con
sentirai jamais la substitution demandée.
Les ministres ne tinrent aucun compte de cette
opposition et le Roi outré de leur procédé après
avoir vainement sollicité de la Reine la révocation
de l'ordre qui prescrivait d'éloigner la marquise de
Santa-Cruz quitta le palais en déclarant qu'il ne
reverrait sa royale épouse tant que le nouveau per
sonnel de sa maison et le ministère ne seraient pas
changés.
Si celle version serait exacte la lutte aurait été
en réalité, moins entre le Roi et la Reirie qu'entre le
Roi et M. Salamanca, prolecteur de Mra° Buchenlal.
Le cercueil contenant les restes mortels de
M. O'Connell est arrivé hier soir Londres par un
convoi du chemin de fer du Sud-Ouest. Deux des
fils de l'illustre orateur irlandais et le révérend
docteur Miley, qui lui a prodigué jusqu'à sa dernière
heure les consolations de la religion, accompagnaient
ces précieusesdépouilles, qui sont repartiesce malin
pour Liverpool d'où elles seront transportées
Dublin.
stl'die van den notaris YAN EECKE
te ypre.
Op 7n Augustus 1847, ,en 2 uren namiddag, in de
afspantiingde longue Allée, teYpre, van onroerende
Goederen, te weten
GEMEENTE ZILLEBEKE.
Vier heclaren 99 aren 10 centiaren Zaeilan»
en Mf.ersch gebruikt door de kinderen van sieur
Antoine Du Quesnoy verdeelt in 4 koopen.
Ingesteld 11,600 francs.
GEMEENTE HOLLEBEKE.
Vyf heclaren 20 aren 10 centiaren Bosch in
3 partien met boomen en tai 1 lie daerop staende
houdende aen de eigendommen van de hospicen
teYpre, M. Evrard en andere, en de kleiue straet
van den Verbranden molen naer Hollebeke.
Ingesteld 4,800 francs boven den boomprys.
Een Hofstedekf.n by liet kasteel groot 2 hec
laren 5 1 aren 22 centiaren gebruikt door sieur*
Charles-Louis Dehetn en Jean-Hapliste De P'riendt,
Ingesteld 6,550 francs.
Twee partien Zaeil a n d by liet Ulokje, groot
83 aren 80 centiaren, gebruikt door Joannes-Bap
tiste Corneille.
Ingesteld 2,560 francs.
Twee partien Zaeiland, by de hofslede sieuf
Pieler Coppin, te Meesseti, groot 2 heclaren 1 are
10 centiaren gebruikt door den '/.elven Coppin.
Ingesteld 5,800 francs.
Twee partien Zaeiland by liet Zvvynebakje
groot 1 hectare 72 aren 28 centiaren gebruikt
door Pieier-Franciscus Finaut.
Ingesteld 5,450 francs.
De voorwaerden dezer Verkooping eigendoms-
ty telen en plans, berusten telks nazien len kantooren
van de Nolarissen VA.V EECKE le Ypre y
en COIIYN te Langemarck.
Elk zegge liet voorl.
Par le ministère du Notaire RENTE,
Ypres, il sera procédé le Jeudi, 12 Août 1847, 3
heures de relevée, Wytschaete, au cabaret le grand
Bloc, au long du chemin de Messines Commines,
occupé par le sieur Louis Becguaerl, l'ADJUDI-
CATION DÉFINITIVE des Biens suivants
oosthoek.
Mise o prix 1,800 francs.
Mise prix 1,000 francs.
Ces deux numéros sont par accumulation
mis ci prix 2.800 francs.
3° Une Pâture, reprise au cadastre, section D,
ri® 4°8, de 48 ares, occupée par Fidèle Leterme, sans
droit de bail, raison de 65 francs l'an.
Mise prix 1,700 francs.
4" Une parcelle de Terres labourables, figu
rant au cadastre section D, n® 6o5, de 61 ares, occu
pée jusqu'à concurrence de 4 2 ares 92 centiares avec
les terres sous le n® par ledit Joye et le restant par
le sieur François De Coninck,à 18 francs par an, sans
droit de bail.
Mise prix 2,315 francs.
5®Deux parcelles de Terres larourables,
d'après le cadastre de 1 hectare 5o ares 40 centiares,
occupées avec le pré sous le n® 2, par le sieur André-
Louis Becquaert.
Mises prix 6,260 francs.
BAS-WARNÊTON,
près du chemin dit waterstraet.
G* Une Pâture, reprise au cadastre section A,
n0® 4'2 et 4i3 bis, de 96 ares 20 centiares, occupée
par les sieurs André-Louis et Louis Becquaert.
Mise prix 5,020 francs.
Mise prix 200 francs.
La masse des deux derniers lots est mise
prix 5,500 francs.
près du cherin de combines a warnéton.
8°Une Maison àquatre demeures et 31 ares 3G
centiares, fonds bâti el jardin, sous la section R, n®'
33o, 33i, 332, 333, 35-t, 335, 336 en 337.
Mise prix 850 francs.
Pour plus amples renseignements s'adressep
audit Notaire RENTY.
Ht, MEf»l Vm UESBEMME,
CaiIkURGII4W-OCUl.I jTE.
On peut le consulter tous les samedis Yprfs Hbtel de fa 7V/#
d'or, rue de Lille; les autres jours, Court rai, Place de la station du
chemin de fer 11° 2. Les pauvres sur la simple exhibition (Put!
oerlificat signé par on des membres au bureau de bienfaisance de h*
commune qu'ils habitent, sunr traités gratis.