ANNONCES.
EXTÉRIEUR. France.
70 KOOPEN
BOORI11I
DU GRAND-DUCHÉ DE BADE,
3
M*WJBJLIEMiE VJEHKOOM'MjVG
Bestaende in EekenIepen Esschen
WilgenAbeelen en Keerzeboom
dienstig voor schip-, molen-, wagen-,
en Jilompmakers, timmerliedenenge~
neralelyk voor aile stach van werken
brandhout
^!G*ÊmmmmmmmimimÊiÊam——KÊÊÊmÊKÊmmÊÊÊmmmmKamB**mm*mamaÊmmmÊmm
dont, l'un d'eux est, comme on sait, d'un ca
ractère plus énergique que l'autre, et son frère
qui est attaché lui par un lien indissoluble,
se voit forcé de le suivre. Hs sont âgés mainte
nant de 37 38 ans.
Le ministère a convoqué le parlement
pour le 18 novembre, c'est-à-dire environ trois
mois plus tôt que d'habitude. Le motifapparent
de celte convocation anticipée est la nécessité
dans laquelle se trouverait le ministère de de
mander un bill d indemnité pour la suspen
sion de l'acte de 1844 le motif réel est assu
rément la condition générale du pays, et en
particulier l'état de plus en plus alarmant de
l'Irlande.
Dans les circonstances présentes, la réunion
hâtive du parlement britannique, au 18 de ce
mois, est un événement d'un intérêt tout euro
péen. Quelques-unes des questions qui seront
soumises aux chambres anglaises, les questions
financières, ont un retentissement nécessaire
dans toutes les parties du monde liées lAn-
gleterre par la solidarité des affaires commer
ciales. Partout où peut s'étendre le contre-coup
de la crise anglaise, on attend avec anxiété que
le parlement porte remède au mal et relève la
confiance ébranlée. Un autre intérêt attire l'at
tention de l'Europe sur la scène qui va se rou
vrir Westminster: La chambre descommunes
convoquée est une chambre nouvelle. La force
ou la faiblesse du ministère actuel l'intérieur
et en dehors dépendra des dispositions incon
nues encore de cette chambre récemment élue.
Le ministère de lord John Russell et de lord
Palmerston y trouvera-l-il les éléments d'une
majorité stable et puissante Quelles seront,
dans cette assemblée les forces relatives des
partis? Quelle direction la composition et l'atti
tude du parlement imprimeront-elles la poli
tique du gouvernement anglais Telles sont les
questions que pose la convocation du par
lement.
On lit dans la Gazette des Tribunaux
Le nom de l'infortunée duchesse de Praslin,
retentissait aujourd hui l'audience des référés;
il s'agissait de faire nommer un administrateur
judiciaire de la succession de la duchesse et de
celle du duc.
M. le président Debelleyme, après avoir en
tendu M" Castaignet, avoué de M. le maréchal
Sébastianituteur des mineurs de Praslin, et
M0 Glandaz, avoué de \1. le marquis de Pom-
perado, chambellan du roi de Sardaigne, et de
Rlm8 de Pomperado, fille aînée du duc et de la
11 sera procédé par le ministère du Notaire
RENTY, Ypres, savoir
Le Samedi, 20 Novembre 184y, 3 heures de re
levée, la Maison-de-Ville, Ypres, la MISE-A-
PMX
i° D'une Maison et son fonds, Y'pres, rue de
Bnilleul, n° 28, occupés par le sieur Charles Duc,
151 francs par an, échéant annuellement le premier
Janvier, sans droit de bail écrit.
2° D'une Maison et son fonds, audit Ypres, au
nord de l'Esplanade, 11° 1, occupés par le sieur Clé
ment Dutoit, 1 32 francs par an, éi béant annuelle
ment le 7 Mars, sans droit de bail écrit.-
Le Lundi, 22 Novembre 1817, 3 heures de re
levée, YVylschaele. au cabaret occupé par la veuve
Treve, hameau Ooslàverne, la MISE-A-PRIX
D'une Pâture, Wylschaete, Oostaverne, de la
contenance d'après litre 8G ares, 87 centiares, et
d'après le cadastre, s°° B, n8 967, 90 ares, 20 cen
tiares, occupée par la veuve dAlexandre-Joseph
De Hem.
Et d'une Pièce de terres labourables, d'après
litre de 29 ares, 25 centiareset selon le cadastre,
s'n B, n°4i8, 28 ares, 80 centiares, aussi Wyt-
schaele, occupée par ladite veuve De Hem.
Et le Lundi, 29 Novembre 1847, l'heure du
midi, Zillebeke, la ferme occupée par le sieur
Philippe Gillis, non loin du pavé Comminesla
Vente de 67 marchés d'ARBRESconsistant en
Ormes, Chênes et Peupliers.
Pour tous renseignements s'adresser audit No
TAIRE IIEITY.
duchesse de Praslin a nommé M. le maréchal
Sébastian!administrateur judiciaire des deux
successions.
C'était aujourd'hui midi 1/4, que de
vait avoir lieu au ministère des finances, l'ad
judication du nouvel emprunt de 230 millions
de francs. Longtemps avant l'heure indiquée
une foule considérable de spéculateurs s'était
portée dans la salle des adjudications. Nous y
avons remarqué un grand nombre de banquiers,
de receveurs-généraux et d'agents de change.
M. de Rothschild est entré avecses deux fils par
une porte privilégiée et il s'est tenu debout
la gauche du ministre jusqu'à la fin de l'adju
dication.
A midi 1/4, M. Dumon s'est présenté et a in
vité le secrétaire-général du ministère des fi
nances lire le texte de la loi qui autorise la
négociation de l'emprunt et le cahier de* char
ges imposées aux futurs adjudicataires. Puis, il
a déposé devant lui une lettre cachetée conte
nant le minimum au-dessous duquel il ne pour
rait pas adjuger l'emprunt. Lorsque I on a su
qu'un seul paquet cacheté avait été déposé,
quelques murmures se sont fait entendre parmi
le public. Le ministre a annoncé qu'il allait at
tendre jusqu'à midi 1/2 pour le cas où une
autre compagnie adjudicataire se présenterait.
Aucune nouvelle soumission ne s'élanl présen
téele ministre a fait l'ouverture du paquet
scellé qui contenait la soumission de MM. de
Rothschild, frères, lesquels s'engagent fournir
les 2 50 millions, montant de l'emprunt, au cours
de 73 fr 23 c. Le paquet contenait eu outre un
certificat de dépôt des directeurs de la caisse
des dépôts et consignations portant que MM. de
Rothschild avaient déposé 10 millions en 100
bons royaux, pour sertir de garantie [adju
dication de ce jour.
M. Dumon a déclaré que cette soumission
n'était pas au-dessous du minimum fixé par lui.
En conséquencel'emprunt a été adjugé
MM. de Rothschild, frères.
A peine cette déclaration a-t-elle été faite,
que la foule des spéculateurs s'est précipitée
hors de la salle pour se rendre en toute hâte
la bourse, où le prix d'adjudication était déjà
connu 1 heure moins 1/4.
Paris, 9 Novembre.
Les journaux français ne contiennent aucun
détail sur le suicide de M. le comte Bresson,
van
Entra sclioone eu zware
TE WYTSCHAETE.
WOENSDAG, 8,B December, 1847, om to uren
s'morgens, op de garzingen gebruikt door de \ve-
duwe sieur Josephus Beun, gelegen te YVytschaete,
op de p'.aets, langs de straten leidende naer Holle-
beke, Kemtnel eu Poperinghe, eu op outrent de 3oo
meters van deri steenweg van Meessen naer Yper,
zal nien publiek verkoopen de Boouien hierboven
vernield.
De vergadering in de lierberg St-Hubrecht, be-
woond by dito weduwe Beun, by de kerk te Wyl
schaete.
Deze Verkooping zal geschieden met langen tyd
van betaling, mits stelleude solidaire medekoo-
pers ter voldoening van sieur Euoitard-Eugbne
VICTOOK - GO»T.«CHALCH te
Meessen, belast met den onlvangst.
aucunes nouvelles directes de Naples n'étant
parvenues hier Paris. La correspondance des
journaux de Marseille confirme simplement ce
malheureux événement de la manière suivante
L'ambassadeur de France, M. Bresson, s'est
coupé la gorge ce malin. Il est mort. On ignore
la cause de ce suicide.
On lit dans une correspondance parisienne:
Les causes de la folie de M. Mortier sont,
dit-on, en partie politiques, en partie particu
lières et personnelles. On parle de dissensions
de famille. D'autres prétendent que les derniè
res concessions de Charles-Albertannonçant
le changement de politique en Sardaigne ont
seules produit cet effet sur l'esprit imbu des
principes absolutistes qu'on supposait toujours
M. Mortier. Les nouvelles de ce matin ne
donnent aucune espérance d'amélioration.
Les journaux ministériels triomphent de
puis hier, de ce qui vient de se passer au ban
quet de Lille, et nous concevons parfaitement
leur allégresse. La scission a éclaté d'une ma
nière plus complète que jamais entre le parti
radical et le parti dynastique, et nous ne crai
gnons qu'il ne soit bien difficile maintenant
d opérer un rapprochement. Les radicaux s'é
taient abstenus jusqu'àprésent de se présenter
aux banquets réformistes, et en se rendant
celui de Lille, ils ont voulu faire consacrer les
principes les plus démocratiques, en rejetant
du programme des toast, toute formule qui de
vait consacrer la réforme fondée sur les institu-
tious de 1830, II en est résulté un conflit dé
plorable, M. Odillon-Barrot et les hommes
dynastiques qui devaient assister au banquet,
-ont dû se retirer et laisser le champ libre
leurs adversaires.
Un conflit de celte nature devait nécessaire
ment se produire du jour où les deux fractions
du parti libéral se trouveraient en présence. Il
est certain que le pouvoir va d'abord profiter
de celle scission éclatante, mais nous croyons
qu'il vaut mieux pour la gauche dynastique
marcher hardiment dans la voie des réformes
progressives et constitutionnelles, que de se lais
ser accuser de vouloir le renversement de ce qui
existe depuis 17 ans. C'est toujours en accusant
la gauche de chercher bouleverser l'ordredes
choses établi, que les cabinets qui se sont suc
cédé sont parveuus arrêter tout progrès. C'est
donc un fait de la plus haute importance que
de proclamer la face du pays, que la gauche,
en demandant des réformes11e prétend pas
préparer les voies une révolution.
■■m-.i.iiï iT
Emprunt profitable
Sanctionné par la rl)ambre ï>rs Députes,
Pour construire ses Chemins de Fer,
capital 50,000,000 francs 5 1/2 p. c. d'intérêt.
garanties! responsabilité de l'État des opérations de tirage;
capital garanti par la loi du 21 Février 1845; surveillance des tirages
parles autorités grand-ducales, etc. etc. DIVISION! 400,000 obli
gations dont chacune tirée obtiendra forcément un gain rem.—
boursement 1 Le capital et les intérêts jusqu'à la ûu des
tirages se montant ensemble 64 millions 846,969 francs, sont
répartis en 400,000 gains, dout le moindre est de 99
francs, savoir: 14 gains chacun de 110,000 francs, 54 de
85,000, 12 de 75,000, 23 de 32,000, 2 de 25,000, 55 de 21,500,
40 de 11,000, 2 de 10,500,58 de8,500,3G6 de 4,200,1944 de 2,100,
1770 de 530 etc.
Le prochain tirage de remboursement se
fera le 30 Novembre 1847.
Il y a deux manières d'y participer, soit pour un tirage, ou pour
quatre tirages, qui seront effectués durant une année:
If payables en billets de
I banque, ou en effets r
tirage! i sur Parie, Br selles, j pour "t tirages I
1 action coûte 5 fr. BE'JtTïfS 2 1 «»i°° «"te 2') fr.
6 actions coûtent 25 commerce.-Bénéfice 0 aotiouscouteiit 100
14 u lï 50 I de cinq pour ceut enkl4 200 r»
-/% aa I actions aux convman- 1-.-.
û0 100 .eoinp^,.:*. du J 11 40J
V monta ut.
s'adresser pour les actions a la maison de banque
soussignée, laquelle expédiera aussi prumptement ses action
naires le bulletin des numéros gagnants. Écrire sans affranchir
PS. Monsieur l'éditeur de celte ga- - 1\T 4 PHM v NI 15!
zette aura la complaisance de présen- J, IN A.\_s H AI i\ is il Cl 1115^
ter les prospectus «t les renseigne-
sr^'t rffcX'c^,r,r Banjuien Uayence s\Rhin.