HOFSTEDEN ANNONCES. ZAEILAND ïn MEERSCII, Marché d'Ypbes, du 4 décembre 1847. NOUVELLES DIVERSES. OPENBARE VERKOOPING ALSMEDE VAN OBLIGATIEN, Doop het ministerie van Meester EGGERMONT, Notaris 1er residentie van Gent. OBLIGATIEN. 5 opération n'ont pas trouvé le moindre indice de poison., seulement on a trouvé dans la vessie deux pierres assez volumineuses. Bien que l'approvisionnement fût médiocre, il y a eu néanmoins baisse sur le pria du froment. 404 hectolitres de froment out été apportés au marché et les transactions, malgré la baisse, paraissaient animée*. Les pria ont varié de fr. 1810 A fr. 21-60, moyenne, fr. 20. baisse 40 centimes. Le seigle s'est vendu également avec une baisse de 40 centime* sur le prix moyen. Les prix ont flotté de 13 14 fr., moyenne fr. 13-50 62 hectolitres ont été vendus. L'avoine a augmenté de prix. 30 heotolitres ont été exposés en vante et ont été rapidement enlevés A des prix qui out varié de 8 fr. A fr. 9-50. moyenne fr. 8-75 Les fèves out eu une légère faveur de 10 e. 34 hectolitres ont trouvé preneurs un prix moyen de 15 francs. Les pommes de terre se vendent sans variatiou A 8 fr. les 100 kilogr. 3,500 kilogrammes ont été apportés an marché. Par suite des difficultés pécuniaires dans les quelles se trouve M. Thomas Wood, il a donné sa démission des fonctions d'alderman (échevin) de la cité de Londres. Lord Eglinlon a adressé au Globe une let tre par laquelle il dément le fait de sa mise en faillite et de l'abandon cîe tous ses biens ses créanciers Le noble lord déclare ces faits entiè rement controuvés. On lit dans le Times: Nous sommes heureux d'apprendre que le gouvernement français a acquiescé sans hésita tion au contre-projet présenté au nom du cabi net britannique, comme base de la médiation des grandes puissances dans les affaires de la Suisse et que l'espoir que nous avons exprimé il y a quelques jours de voir la France et l'An gleterre, agir de concert pour rétablir la paix dans celle partie intéressante de l'Europe s'est déjà réalisé. Un protocole ou convention diplomatique a été signé vendredi dernier, Londres, par le duc de Broglie et lord Palmerston de l'aveu et avec le concours des ministres des puissances du nord Londres et Paris; et sir Stratford Caaning a déjà quitté l'Angleterre pour se ren dre Berne, en passant par Paris, l'effet de presser les autorités fédérales de la Suisse de suspendre leurs mesures violentes, d'arrêter l'effusion du sang et de soumettre les condi tions recommandées parles principaux cabinets de l'Europe aux délibérations des deux parties belligérantes.... Nous disions il y a quelques jours que la question suisse est la pierre de touche de l'en tente intime qui a paru régner pendant quelque temps entre les cabinets de France et l'Autriche et que la conduite de M. Guizot dans cette affaire aurait une signification plus qu'ordinaire. C'est donc avec une grande satisfaction que nous remarquons que le cabinet français, quant présent du moins n'a pas adopté les mêmes vues que M. de Melternich et qu'il s'est rangé l'avis de l'Angleterre en repoussant l'idée d'une intervention armée; cette circonstaffceest d'autant plus remarquable que le cabinet fran çais avait déjà obtenu l'adhésion des trois puissances du Nord aux propositions qu'il a abandonnées depuis. Ce changement a été trop rapide et trop dé cidé pour n'être pas remarqué; mais c'est un changement dans la bonne direction et nous ne devons pas nous enquérir des motifs qui peu vent l'avoir amené. M. Guizot n'a pas besoin qu'on lui rappelle que quelle qu'ait été l'issue des affaires dans lesquelles la France a agi iso lémentles plus grands services que le gou vernement français ait rendus la cause de la liberté et de la paix ont été accomplis de con cert avec l'Angleterre et que dans l'état actuel de la Suisse et de l'Italie une coopération sin cère de la France et de l'Angleterre est proba blement le seul moyen sûr de préserver la paix de l'Europe. D'autre part le langage des journaux minis tériels français et la conduite récente de M. Bois-le-Comte Berne n'avait, pas préparé le monde tant de modération et nous devons laisser l'avenir décider la nature véritable des dispositions qui régnent, dit-on, en ce mo ment dans la politique de la cour des Tuileries. -M. Ebelmen, directeur de la manufacture de Sèvres, est parvenu, par une méthode de son invention reproduire quelques pierres pré cieuses, entre autres le rubis spinelle, la topaze orientale, avec tous les caractères que ces mi néraux présentent dans la nature. Les pierres obtenues par M. Ebelmen ne sont pas assez volumineuses pour être employées dans la joail lerie; mais cet habile chimiste ne désespère pas, dit-on, d'obtenir, par la suite, ce résultat. Nous rappellerons, toutefois, qu'il y a seize ou dix-huit ans, les joaillers parisiens s'émurent de la découverte d'un procédé par lequel le simple charbon était métamorphosé en diamant. Le fond de la nouvelle était vrai on faisait des diamants; mais d'une dimension microscopi que,et qui coûtaient fabriquer plus cherqu'on ne pouvait le vendre. On mande de Gralz que le 20 de ce mois cette ville a été le théâtre de déplorables excès. Le clergé avait refusé de donner, lors de son ensevelissement, la dernière bénédiction un fonctionnaire jouissant de la meilleure réputa tion, et qui était mort l'hôpital sans avoir reçu l'absolution. Irritée d'un pareil procédé, la population de Gratz se rendit en masse l'hôpital où se trouvait la dépouille mortelle, pour rendre au défunt les derniers honneurs. L'aumônier du 4e régiment d'artillerie de cam pagne se décida, sur les instances de la foule, accomplir celte cérémonie religieuse. Le cor tège, suivi de plus de 10.000 personnes, se mit alors en marche et accompagna le défunt sa dernière demeure. Après l'ensevelissement, la foule rentra en ville, se rendit devant le palais de l'archevêque Zangerle et en brisa les fenêtres en criant: A bas les jésuites Le soir, la tran quillité était rétablie, grâce l'énergie déployée par les autorités civiles et militaires. By M" POUP ART-VIENNENot.ri,, ter residentie van Zonnebeke, is er geld in lee- ning te bekomen mits goed bezet. On se préoipita pour lui porter secours, tuais tout secours était inutile. Le duo resta quelques minutes debout et pensif près du cadavre. Voilà dono ce que je serai bientôt, murmura-t-il, une masse inerte et miserableî Fuis, sur un mot du capitaine qui lui rappela qu'il fallait rentrer au plus tôt Schœnbrunn, il remonta cheval, mais péniblement, et, suivi de son escorte, disparut sur la route au galop. Lorsqu'il congédia ses trois compagnons près de Pensing Vous avez promis le plus profond secret sur tout ce que vous venez de voir et d'entendre, leur dit-il, je compte sur votre silence, Me&ieurs, comme sur mon silence même. Les tro officiers s'inolinerent avec une gravité respectueuse qui valait tous Jt»serments du mouds. I du»; comme il était sorti, par la brèche dn parc. Il personne u'cUit entré pendant sou absence, qu'on troublât son sommed sous aucun prétexte. Iiva» et y demeura. immubiK-) atEaisaé sur lui- bue. Xoi."éspi- àttitude trahissait une graude fatigue. L'cspece Éxit^t^ii y,*-£ttyqtii avait duraul quelques heures rauirné tnira- iC'Ccs s'éUil dissipée et d éfait retombé dans sa tàS e. L'orage qui l'avait trempé, les fatigues d'une longue course cheval, les émotions d'un duel étrange, toute cette nuit enfiH d'agitation et d'insomnie devait sans doute hâter ses jours. Que lui importaient après tout quelques journées de plus ou de moins dans son exislenoe marquée déjà du sceau fatal de la brièveté} son humble et secrète mission était remplie, il n'en demandait pas davantage. Bientôt tirant de son sein la miniature que Gardeyille lui avait donnée le malin même, il la considéra avec une expression de ten dresse infinie puis, la portant mélancoliquement ses levres, il y mit un baiser et une larme. O Réalrix! dit-il, vous voilà sauvée! et vous allez être heu reuse Le leuderaain, le bruit de la rencontre nocturne dans la forêt de Ludlcsdorf se répandit Vienne avec la rapidité de 1 éclair. Divers commentaires coururent ce sujet, tous fort éloignés comme d'or dinaire de (a vérité L'opinion la plus commune désignait Guillaume de Gardeville comme le héros de cette aventure singulière. Mais ou ne comprenait pas bien pourquoi lui et ses compagnons s'étaient masqués. On crut toutefois en avoir deviné le motif, quaud on .sut qti il avait juré Mm- Si il 1er de ne jamais se battre avec le baron de Wiuter* Ou pensa qu'il avait pris t.iul de précautions pour que VAN DRIE MET GESTAEN EN GELEGEN TE HOOGLEDE WEST-ROOSEBEKE EN INGELMUNSTER, HOOGLEDE. i° tôt en met 20° koop. Eene HOFSTEDE, aen de Beverenstraet, met Schuer, Stalling en ver- dere Gebouwen, boomgaerd en Locliting, Zaeiland en Meersch, bekend op het plan cadaslrael, sectie C, n" 56, 57, 59, 60, 69, 70, 71,78, 79,82, 84,85, 86, 9% 119, 125 i3a, i3g, i4o, 144, i46, 65o, 65i, 602, 661 en 674, groot 25 hectaren 21 aren 5o centiaren, palende namelyk aen de goederen van de heeren Louis Defoere, Calewaert, den baron Della- faille-D'Huysse, Spruyle, van den Bossche, Ghes- quière, Allemeerscb, Hallewyn, Deern, Joseph Demey, de Francq, Jan Comptdaer, de weduwe van Ysaeke en joelvrouw Van de Vyver. In pachte by Pieter-Jacobus Billet. WEST-ROOSEBEKE. 11° tôt en met 34° koop. Eene HOFSTEDE, wyk de Vyf-Wegen, met Gebouwen van Huizing, Schuer, Stalling en andere, boomgaerd, Lochling, Zaeiland en Meersch, bekend ophet plan kadastrael, sectie A, n°* 86, 99 102, 116, 117, 119, 12 1 128, i45, 14B, i5o, i5i, 181 en 32i, groot 9 hectarengS aren 96 centiaren, palende aen de goederen van de heeren de Volder, den graef de Jonghe, Jan Soubrie, Lemair, Pieter Deforce, Rembray, Charles Roose, de weduwe Ruegiers, Bogaert, Trybout, Maes, joef- vrouwen Delmotte en Peeters. In pachte by Marie-Anne Heughebaertweduwe van Francis Bardyn. INGELMUNSTER. 35" tôt en met 42" koop. Eene HOFSTEDE met de Gebouwen van Huizing,Schuer enStalling, boom gaerd, Locliting, Zaeiland en bosch, gelegen tegen het gescheed van Hulste, bekend op het plan kadas trael, sectie C, n"« 243, 252,3o8,3n, 317 320, 3a3, 325, 328, 376, groot 4 hectaren 6z aren 38 centiaren, palende aen de goederen van de heeren Hazebrouck, Buyze-Bruneel, Leclusse-Severin,Con- stantin-Libert Antoine Vergotede erven van mevrouw Opsomer, de weduwe en kinderen Domi- nicus Van flee en de kinderen Soenens, joefvrouw Rosalie Ponseele. In pachte by Jan van Parys. 43" koop. Een deel GROND, bebouwd met Hu is, wanof de catheilen behooren aen de pachters sectie C, n" 319, en 220 van het cadasler, groot 2 hectaren 76 centiaren, palende noord en oost de straet, zuid het gescheed van Ingelmunster en Hulst. In pachte by de weduwe en kinderen Verlooze. 44° koop. Eene OBLIGATIE, ter hoofdsom van 14,ooo francs, interessende in geval van tyde- lyke betaling aen 4 p- 's jaers, bezet op eene hofslède te Lendelede. 45" koop. Eene OBLIGATIE, ter hoofdsom van 12,000 francs, interessende in geval van tydelyke Béatrix De soupçonnât pas qu'il avait eDfreint son serment. Un vif intérêt s'attacha son nom, car M. de Winter était généralement délesté, cause de ses manières hautaines et des victimes de ses duels. En apprenant la singulière mort du baron, Gardeville en douta d'abord, obtint des renseignements positifs et resta stupéfait de ce qu'il apprit. On prétendit qu'il jouait l'étonnement A merveille. Soudain il se rappela les dernières paroles qa'avait prononcées le prince eu le quittaut la veille. Espérez le duc Franz de Reich- sladt veille sur elle et sur vous FIus de doute, c'est luiI En un temps de galop, Guillaume arrive A Sohœnbrnnu et, non saus quel que difficulté, est introduit auprès du duc. Le duc était couohé, en proie une forte 6èvre. Son médecin Malfatti et l'archiduchesse Sophie se trouvaient dans la chambre, Guillaume, sans les a percevoir, s'élance vers le lit, ému, tremblant, en larmes. Ah Monseigneur s'écri»-t-il en saisissant les mains du ma lade et en les étreignaut avec force. Ali! quavez-vous fait là Silence répondit le prince A voix basse. Je l'ai délivrée, et je Tous sauve du parjure. {ta suite au frot'aia n".

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Le Progrès (1841-1914) | 1847 | | pagina 2