ST0KERIE,
HUIZM EN ERVM
ANNONCES.
EXTÉRIEUR. m™ F,.
EENE SCHOONE EN WEL GEKALANTE
l'administration de cette commune, en émet
tant le vœu toutefois que l'administration et la
surveillance de celle route soient confiées une
commission mixte.
Le septième objet l'ordre du jour est l'ap
probation d'une délibération de l'administration
des Hospices qui accepte la donation faite par
la demoiselle Ursule Parture, créant une fon
dation de veuves du S'-Espril. Le Conseil,
après avoir ouï lecture des pièces, autorise l'ad
ministration des Hospices remplir la volonté
de la testatrice.
Le dernier article l'ordre du jour public
est l'envoi fait au Conseil d'un projet de loi,
tendant faciliter l'exécution de la loi du 16
Septembre 1607, tombée en désuétude par la
difficulté qu'on rencontrait dans sonapplication,
afin d'émettre un avis sur son opportunité et
sur lequilé du principe qui lui sert de base.
Le Conseil, après avoir délibéré, émet une opi
nion favorable celte proposition du gouver
nement, par neuf voix contre quatre, et décide
qu'il est équitable que le principe énoncé par
l'article 30 de la loi du 16 Septembre 1807,
soit appliqué en matière de travaux publics.
L'ordre du jour public étant épuisé, le Con
seil se constitue en comité secret et la séance
continue.
cijfi-a-»
Les électeurs communaux de la ville de
Warnêton ont été convoqués pour compléter
le Conseil communal. Une place de conseiller
était vacante par le décès du bourgmestre;
c'est son frère, M. Volbrecht, qui a été élu.
Des élections ont eu lieu en la commune de
St-Jean près d Ypres. Les élus sont MM. Van
Wonterghem; Markey, Hypolite; et De Bruyne,
Léon.
«SKSX&-
M. le lieutenant Devaux du 10" régiment,
en garnison dans notre ville, est désigné, par
une disposition ministlIe, en date du 22 cl,
pour servir en sa qualité au régiment d'élite.
Voici quelques fragments d'une lettre adres
sée Y Indépendancequi lèveraient lesderniers
doutes sur toute l'affaire de Renaix s'il
pouvait en subsister encore dans l'esprit de qui
que ce soit.
Lors de l'organisation des écoles supérieu-
res, la ville de Renaix fut au nombre de
celles qui demandèrent que le gouvernement
les dotât d'une école primaire et supé-
rieure, etc.
Oui, sans doute. Mais en faveur de qui la
création de celle école fut-elle demandée
En faveur de M. Willequet seul, et l'exclu-
sion de tout autre.
Il y avait (continue la note) dans cette ville
deux établissements, etc.
Oui, deux établissements, dont l'un, celui
de la commune, datait de 30 ans, et l'autre,
celui du clergé, ne datait que de quelques mois
Le premier comptait 130 160 élèves, et
avait pour directeur un homme vieilli dans
l'instruction, estimé de tous, père d'une nom
breuse famille; le deuxième avait de 13 20
élèves, et avait pour directeur un jeune homme
de 23 ans, inconnu tout le monde. Quand je
dis inconnu tout le monde, je me trompe car
les habitants d Alh doivent se rappeler certain
courtier électoral qui ils infligèrent une si
rude correction lors de l'élection de M. De-
champs. Mais cet homme est le neveu de M. le
doyen d'Ellezelles et le frère d'un autre prêtre,
et avait donné pour enseigne son établisse
ment pensionnat Saint-Louis de Gonzar/ue.
Après cela M. Nolhomb conclut que les
litres des deux concurrents étaient égaux et
que dans la crainte que l'institution privée de
M. Van Blaeren ne fil une trop nuisible con
currence l'école du gouvernement, il fallait
préférer ce dernier l'ancien instituteur, qui,
par compensation, fut placé la tète de l'école
industrielle d'Andennes.
Les titres ne pouvaient être égaux, entre
un instituteur de 60 ans et un jeune débutant
.la compensation qu'on offrait M. Willequet
en le déplaçant son âge, en l'éloignant de 40
lieues de sa ville natale, centre de toutes ses
affections, en l'arrachant ses élèves, ses amis
et ses enfants, n'en était pas une car ce qu'il
avait le plus cœur, ce vieillard, c'était de
rester au milieu des siens.
On lit dans Y Indépendance
Le ministère actuel est en bulle une oppo
sition sans exemple, sans précédents, qui laisse
bien derrière elle la mémorable opposition de
1840-1841. Ce n'est pas une lutte grande, no
ble, loyale, telle qu'on en voit dans d'autres
pays entre deux partis qui se disputent le pou
voir afin de réaliser les idées qu'ils croient les
meilleures et de pratiquer la politique qu'ils
croient la mieux faite pour assurer le bonheur
du pays. C est une guerre sourde, mais inces
sante, tracassière entreprise par des hommes
qui ont la modération sur les lèvres et la haine
dans le cœur: qui se déclarent gouvernemen
taux et cherchent rendre le gouvernement
impossible par les efforts qu'ils font pour entra
ver sa marche qui se proclament loyaux et
dénaturent les faits, les actes et jusqu'aux in
tentions.
dans ces réunions diplomatiques. Néanmoi
les quatre puissances délibérantes ont dcci 1
que chacune des décisions qui pourraient cire
prises dans les conférences sera aussitôt com
muniquée officiellement au gouvernement an
glais qui conservera eu outre jusquau dernier
moment la faculté de venir se rejoindre aux
délibérations déjà ouvertes.
A l'occasion de la mort de S. A. Mm9
l'archiduchesse Marie-Louise, duchesse de l'ar
me, le Roi prend aujourd'hui le deuil pour
vingt-et-un jours. Le deuil sera suspendu le 28
décembre, le 1er, 5 et 7 janvier et continuera
jusqu'au 17 janvier inclusivement,
Ou assure qu'une difficulté sérieuse s est
élevée entre la France et l'Espagne au sujet de
la possession des îles Lapharines situées dans la
mer Méditerranée une faible dislance d Oran.
L'Espagne a, dit-on, proposé de soumettre la
question l'arbitrage d une tierce puissance.
z
étude de Mre CASTELEIN, notaire,
A MENIN.
NOUVELLES DIVERSES.
On aurait de la peine se faire une idée de
l'importance que les journaux anglais attachent
en ce moment la question de la défense du
territoire britannique. On dirait presque les
lire que les Français menacent déjà l'Angleterre
d'une invasion. Telles sont les réclamations qui
s'élèvent de toutes parts, que 1 j ministère se
prépare y faire droit et organiser la milice
dans tous les comtés. D'après le système des
landwehrs de Prusse, on se prépare en outre
augmenter l'artillerie de 3 ou 6,000 hommes et
l'armée régulière de 12 ou 13,000 hommes.
Le projet du gouvernement anglais est de re
partir ces nouvelles troupes dans les villes cen
trales, d'où convergent les grandes lignes de
chemin de fer qui aboutissent sur le littoral,
parce qu'il compte pouvoir envoyer des secours
en quelques heures sur les points menacés.
Grâce aux télégraphes électriques et aux rail—
ways. Mais ce plan ne paraît pas avoir été
approuvé de lord Wellington, qui a fait obser
ver qu'en cas de rupture avec une puissance
étrangère, l'ennemi trouverait toujours des
traités disposés couper les fils télégraphiques,
et intercepter la communication des chemins
de fer, de manière retarder l'arrivée des
troupes cantonnées l'intérieur.
AFFAIRE CÉCILE CORBETTES. NOUS aVOHS
parlé de la visite que M. de la Baume, con
seiller, présidant en ce moment la cour d'assises
de la Haute-Garonne, avait faite, accompagné
de son greffier et d'un huissier, la maison des
frères, pendant la suspension de l'audience de
la cour d'assises.
Différents bruits ont couru sur les causes de
celte visite faite l'improvisle. Il s'agissait, di
sait-on, de révélations faites par un frère au lit
de la mort, révélations que M. le président de
vait recevoir. D'un autre côté, on rappelait que
M. Desnoyer, juge d'instruction Paris, ayant
reçu cette semaine une nouvelle commission
rogaloire pour entendre de nouveau le frère
Philippe, supérieur-général des frères des éco
les chrétiennes, et cette audition n'ayant pu
avoir lieu, par suite du départ de Paris du frère
Philippe, il y avait eu nécessité de vérifier cer
tains faits, et d'entendre plusieurs frères avant
l'arrivée du frère supérieur-général.
Quoi qu'il en soit, il paraît presque certain
que le jugement du frère Léotade va subir un
nouveau retard.
Paris, 26 Décembre.
Il paraît que les conférences diplomatiques
relatives la Suisse viennent avoir lieu en effet
Paris. Mais elles ne commenceront qu'après
l'arrivée des plénipotentiaires extraordinaires de
l'Autriche et de la Prusse, M.\l. Colloredo et
Radovvilz. L'Angleterre ne sera pas représentée
Le Mardi, 4 Janvier 1848, 9 heures du matin,
VHôtel du Faucon, tenu par M. Maricau-Gerard,
Menin, il sera procédé la MISE A PRIX des beaux
Biens patrimoniaux ci-après désignés
Une belle et spacieuse MAISON, composée
de plusieurs places et deux beaux salons au rez-de-
chaussée, de 16 chambres coucher aux étages,
avec écuries, remises, orangerie et 54 ares 42
centiares de fonds Lâli, ccur, jardins potager et
fleurs plantés d'une grande quantité d'arbres frui
tiers, située Menin, rue d'Ypres, et divisée eu
3 lots, occupée par le propriétaire Monsieur Emile
Rouzé.
i" Encore une belle et grande MAISON, ayant
plusieurs places et deux salons, sept chambres
coucher, remises, belles caves et greniers, avec «g
ares 27 centiares de fonds bâti, cour et jardin avec
un joli pavillon, tenant la rivière la Lys; située en
face de la précédente, occupée par M. Êdouard
Plaideau au loyer actuel de 700 francs par an,
outre les impositions; et une jolie Maison tenant
la grande, formant les 4' et 5° lots.
3° Et trois belles et bonnes FERMES, situées
Menin, Belleghera et Winkel S' Eloi, d'un rapport
de 600 francs, i,3oo francs et t,53o francs, divisées
en 11 lots qu'on réunira au gré des amateurs le jour
de l'Adjudication définitive.
1/2 P. °/o POUR PRIME DE MISE A PRIX.
BSEENDDIAKING.
05i aenstonds in gebruik te treden,
ZEER VOORDEELIC GESTAEN EN GELEGEN
BINNEtf DE STAD MEENEN,
Langst de Sint-Jans-beke en laetst gebruikt
geweest door Joefvrouw vidua J.-B. Stock, met
al het noodig alm, in zeer goeden staet.
Voor de voorwaerden der verpaehting te beko-
men, zich le begeven ter studie van den Notari»
VAN ACKERE, te Meenen.
TE KOOPEN
BINNEN YPRE.
STAD YPRE. Hondstraet.
i* Een HUIS en Erve, aen de westzyde van
de Hondstraet, n° 36 gebruikt doorde weduwe van
sieur Jotephut-Bénédictin Desmits.
a® Een HUIS en Erve, 00k aen de westkant
van de Hondstraet, n° 48 i gebruikt door Martinu*
Leleu.
5" Een HUIS en Erve, aen den ooslkant van
de Hondstraet, n* 5i gebruikt door verscheide in
wooners.
4° Een HUIS en Erve, 00k aen den ooslkaut
van de Hondstraet, 11° 77; gebruikt door den deur-
waerder Anyillis.
Golden Violonstraetje.
5" Een HUIS en Erve, aen de noordzyde van