FABRIQUE DE TABACS, m Mourait# EXTÉRIEUR. France. ANNONCES. 81 KOOPEN SCHOONE B00MEN, ADJUDICATIONS. ST0KEBIE, BMWSMUUUbXaUI 3 VENDITIE VIGNETTES a tendue. EENE SCHOONE EN WEL GEKALANTE ment général de la ville de Naples, et de la nouvelle que les troupes royales envoyées en Sicile avaient fuit cause commune avec les insurgés. Deux artistes parisiens se livrent en ce moment une polémique qui rappelle la grande querelle de MM. Bietry et Cutlibert Ces deux artistes pratiquent l'embauchement avec des succès inégaux. L'un, appelé M. Gannalest connu de tout le monde; l'autre nommé M. Roguesaspire se faire connaître. Las de voir M. Gannal usurper le privilège de la con servation des corps par le moyen de procédés chimiques qu'il prétendait avoir inventés, M. Rogues éleva fourneau contre fourneau, cornue contre cornue et fit connaître au public qu'il embaumait bien mieux que son concurrent, tout en offrant un rabais considérable aux con sommateurs. Après s'être injuriés mutuellement de la belle manière, MM. Gannal et Rogues ont sollicité la nomination d'une commission médicale pour prononcer contre eux. Chacun s'est présenté, au jour du jugement, avec des pièces l'appui de ses prétentions, M. Gannal a mis ses morts sous les yeux des juges; M Rogues a exhibé les siens son tour, il paraît que les morts de M. Gannal ont fait une assez triste figure et qu'ils ont été complètement battus par ceux de M. Rogues. On attend avec impatience que la vérité se fasse jour par l'organe de la commis sion médicale, car dans l'état actuel de la ques tion, on en est réduit ne pas savoir par qui se faire embaumer. Le général Espartéro a demandé ses pas seports pour se rendre Logrono. Le gouver nement s'est empressé de les lui donner. Le généralce qu'il paraît voit avec dégoût l'indiscipline et la division qui régnent parmi ses amis politiques. On dit qu'il désire vivement mener dans la province de Logrono, une vie tout fait retirée. Le général a été très-peiné de n'avoir pas reçu d'invitation aux fêtes qui ont été données au palais. Il ne s'attendait pas celte exclusion. Paris, 50 Janvier. La dernière soirée de M. Guizot a été très- nombreuse; au nombre des nouveaux person nages qui apparaissaient dans les salons du nouveau président du conseil, on remarquait M. le comte de Montalembert, pair de France. Jamais, que nous sachions, le palais Bourbon n'avait entendu un langage pareil celui qui s'y tient depuis quelques jours. En veut-on un échantillon: M. Hébert, garde-des-sceaux M. Emile de Girardin n'aurait pas demandé mieux que de me séduire, me corrompre ou m'intimider. Il m'a même invité passer la soirée chez lui. M. de Girardin En vérité, M. le garde-des- sceaux s'estime lui-même moins que je l'estime, s'il croit que par une misérable invitation, dont j'aurais besoin de rechercher la date, j'aie jamais cru pouvoir ébranler sa conscience de magistrat, mais de même qu'il y a le tartufe de religion, le tartufe politique, il y a aussi le tartufe de justice, et je qua lifie ainsi ceux dont la conduite dément le carac tère; je qualifie ainsi ceux qui cachent, sous une feinte raideur, une fausse impartialité. Les mêmes hommes n'ont pas pris de précaution oratoires, pour échanger des aménités telles que celles-ci. - M. Hébert Ce n'est pas vrai. Vous êtes un calomniateur. M. de Girardin Je ne dirai pas, comme M. le garde-des-sceaux, ce n'est pas vrai; je dirai, M. le garde-des-sceaux n'était pas rigoureusement exact. Je ne suis pas un calomniateur ;je n'ai rien dit qui ne fût vrai, je n ai pus été assez loin. Puis la majorité, composée des satisfaits, des conservateurs endurcis, suivant l'expression de l'un d'entre eux, a imaginé un mot très-parlementaire en vérité, pour fermer la bouche l'opposition. Assez, assez: vous nous ennuyez. Elle en viendra dire davantage, si 011 la laisse laire. Étrangler, étouffer la discussion, voilà tout ce qu'elle tente, et elle en a bien donné la preuve dans sa séance de vendredi en refusant d'accéder la demande de M. de Lamartine, qui priait la chambre de remettre au lendemain la discussion du para graphe concernant l'Italie, sur lequel il devait par ler, comme seul orateur inscrit, quelques pièces dont il devait l'aire usage ne lui étant pas encore parvenues. Non, non.' s'est écrié le centre, et M. Guizot lui-même a eu beau appuyer la demande de M. de Lamartine, la ténacité des conservateurs endurcis ne s'est point attendrie. Les non, non! sont demeu rés inflexibles, et il a fallu clore la séance de la manière suivante L'un des secrétaires a procédé l'appel nominal aucun député n'a voté, et M. le président a dû dire dans l'intérêt de la dignité de la chambre, je l'eve la séance. van TEN GROOThTEN DEELE EIKEN, TE POPERINGHE. Op Maendag, i4n February 184s, te beginnen ten 1 ure namiddag precies, zal'er gehouden wor- den openbare Venditie van 88 koopen zeer SCHOONE EN ZWAEKE EIKKN, 1EPEN, ABEË- LEN, POPELIEREN EN WULGEN-tlOO.VIEN dienslig tôt allerhande slach van werken en om brandhout, zich bevindende als volgt, te weten i° Op het behuisd gars gebruikt door Louis Lazoorete Poperinglie, in den llamhoek, by de herberg het Abeel-hof, aen deSt Six-straet, plaets der vergadering en alvvaer de venditie zal beginnen: 3 koopen Eiken 36 idem Iepen, Popelieren en Wulgen. 2° Opdegarzerie van het hofstedeken gebruikt by Thomas Saelenle Poperinglie, digte by aen het voorgaeude en van de herberg den Koekuyt 4 koopen Eiken ÎO idem Abeelen. En 3° In eene partie bosch gelegen tôt het zelve Poperinglie, in den Eekhoek, laugst de Proven- calchiede, lussclien de lierbergen het llooghe en de Gaepaerde 25 koopen Eiken 3 idem Abeelen en Popelieren. Deze Venditie zal geschieden met langen tyd van belalinge voor het principael, mits stellende goede bekende borgen, geliuisvest in het vredegeregts- kanton van Poperinglie, en gereed te voldoen den 10° penning eu voorbesprek ailes betaelbaer te Poperinghe in liandeu van den Notakis CH.FLUOR, met den ontvangst belast. Le Notaire UOJIJIEA^ Warnêton, pro cédera, savoir Lundi, 7 Février 1848, 4 heures de relevée, l'Hôtel des Messageriesoccupé par Cnmer/ynck, en la ville de Warnêton, a ('ADJUDICATION D'UNE MAISON étage, avec 2 ares 5o centiares de fond et jardin, Warnêton, rue du Rivage. Dernièrement occupée par le docteur Boedt. Mis n prix 2,800 francs. Et le Mardi, 8 du même mois, 4 heures de relevée, au cabaret l'Ours, occupé par Plamon, Messines, l'ADJUDICATlON D'UNE MAISON avec remises, cave, pompe et autres commodités, avec 3 ares 80 centiares de fond et jardin, située eu la ville de Messines, sur la Grand'Place. Occupée par Désiré De flaene et sœur. Seulement mis prix 900 francs. Qu'on se le dise. ET Pour sortir d'indivision, on expose en Vente publique i° La Vignette de tabac fumer, Moravie, n® 12, avec le cachet de feu le sieur Cnape/ynek et la griffe C, Du four. Mise prix seulement 100 francs. 2® La Vignette de tabac en poudre, n" 3, l'usage du S' Cnapelynck, aîné. Mise prix seulement 50 francs. 3® La Vignette de tabac en poudre, ti" 12, procédé de Rohillard et C". Mise prix seulement 50 francs. Ces Vignettes, déposées au vœu de la loi, seront vendues avec tous les droits et privilèges attachés leur propriété manufacturière,pour par l'acquéreur en jouir immédiatement. •4° - Une MAISON AVEC FABRIQUE A TABACS, étables et autres bâtiments et 5 ares 3o centiares de fonds, situés Poperinqhe, sur le Petit Marché. Mis prix seulement 15,000 francs. L'ADJUDICATION DÉFINITIVE aura lieu le Vendredi, 4 Février 1848, 2 heures de relevée, l'auberge nommée Dunkerque, Poperinghe, par- devant Mr le juge de paix et par le ministère du Notaire BERTEiV, au dit lieu, dépositaire des titres et conditions. BEKENDMAKING. OM AENSTONDS IN GEBREIK TE TREDEN, ZEER VOORDEEL1G GESTAEN EN GELEGEN BINNEN DE STAD MEENEN, Langst de Sint-Jans-bekeen laetst gebruikt geweest door Joefvrouw vidua J.-B. Stock, met al het noodig alm, in zeer goeden slaet. Voor de voorwaerden der verpachting le beko- men, zich te begeven ter studie van den Notaris VAN ACKERE, te Meenen. SCnOONE MET ZWAEKE PLANTSOENEN TE KOOPEN, binnen de gemeenten van BOESINGE EN LANGEMARCK. BOESINGE, OOST OVER DEN VAERT. Alvooren de TAILLIE oud 6 jaren, met de aldaer medegaende Plaiilsoenen en 1 Keerselaer, geteekend in de schors, benevens de navolgende met de letlers F. F., siaeiuie op 2 h. 17 a. 11 c. (4-2-77) bosch land, genaemd het Groot Klaverbosch, gelegen van noordeu by de Boesinge-brugge, palende oost het Sas-of Molen-straetje, zuid het zaeiland eertyds ge bruikt by wyleu de weduwe Joannes Verbeke, west de Sas-weide, en noord den Papen-meersch, gese- pareerd in 4 partie». in koop. ie Partiegroot 5 1 a. 45 c. (i-o-5o), wezende den noordkaut, met 32 Plantsoenen, abou— terende noord den Papen-meersch, oost het gezeide Sas-slraetjezuid het zaeiland van wylen vidua Verbeke, en west de volgende partie, scheidende op eeo dyksken. 2° koop. 2' Partie, west daeraen, groot gelyke 5 1 a. 45 c. (i-o-5o), met 44 Plantsoenen, aboute- rende oost den voorgaenden koop, zuid het geuoemd zaeiland van de weduwe Verbeke, west de Iwee vol gende partie», en noord deu Papen-meersch, schei dende alsvooren. 3n koop. 3e Partie, west aen de voorgaende, groot 56 a. 88 c. (1-0-87), met 71 Plaiilsoenen, palende zuid en west het tneergezeide zaeiland, oost deu voorgaenden koop, en noord den volgetiden, insgelyks separerer.de op een dyksken. 4" koop. 4® Partiegroot 5g a. 33 c. (1-0-90), met 53 Plantsoenen, palende oost en zuid den voor gaenden koop, west de gemelde Sas-weide, en noord dilo Papen-meersch, scheidende als voorzeid. Item de TAILLIE oud gelyke 6 jaren, groeyende op 762.28 c. (1-2-19) boschgrond, strekkende zuid eu nooid, aboulerende van oosten het zaeiland en van westen het hofstedeken van Joannes Bousse- maere. en van noordeu de Pilckem-straet, gesepa- reerd in twee partie». 5n koop. 1' Partie, zynde den noordkanf, groot 5i a. 45 c. (i-o-5o), met 77 Plantsoenen, palende van oosteu het voornoeinde zaeiland, en van uoorden de Pilckem-straet. 6° koop. 2" Partie, den zuidkant, groot 24 a. 98 c. (0-1-69), met 4o Plantsoenen, aboulerende west het voornoemde hofstedeken, en noord deu bovenstaenden koop.

HISTORISCHE KRANTEN

Le Progrès (1841-1914) | 1848 | | pagina 3