TRESOR DES DEMOISELLES. ANNONCES. Faits divers. AVIS AUX ABONNÉES. Compagnie nationale n-y véritables intérêts du Jus «1 ap lani lires. Je nu voir.cl os manque jjégli- teux iL* h s Jlil l\j pi V, V> 1 I 1.1 V/ll p U H I ni i pojooi u '/uu V«» V une mystification l'endroit de l'agent, et idani, si le fait-n'était pas vraisemblable, il était Il taliire luré, et ap- mettait sur lAA'CE. Paris 2 Septembre *•- Le président li parti ce mat,n de l'Elysée neuf heures et demie V'rse rendre Évraix. MM. les ministres de l'intérieur, Sa marine, des affaires étrangères l'accompagnaient, pi que plusieurs aides-de-eamp et M. Moci|uard, chef «cabinet. Le président a dû s'arrêter une petite dis— nce de Paris la maison de campagne de M. le tni- Estre de l'intérieur, sise sur la route d'Evreux, pour '"jeûner, delà il se rendra immédiatement dans cette ville. Dans un conseil tenu avant le départ du président, la question des modifications ministérielles a été écartée quant présent. E8PAGHE.— Madrid, 26 Aotif. -- L'ambassade de France expédiera aujourd'hui pour Paris le traité d'extra dition entre la France et l'Espagne ratifié par le cabinet espagnol. Le ehevalier de Saint Robert sera porteur des dépêches. On lit dans Ie Journal de Fécamp, du 3i août: Hier, dans la matinée, un .individu la taille carrée, et dont le visage'assez rébarbatif était, orné ou plutôt pourvu d'une barbe aussi touffue qu'inculte, se livrait auprès du poste d'Ingouville des appréciations peu flatteuses pour la personne de M. C'arlierte.piéfèt 46 police. Advint un agent ■de police, qui i'erigagpa'i'aller exposer plufédoin et surkiut moins bruya minent, ses griefs contre M1 •Cui lier; uiaTs-coinnie le citoyeyi en question voulut j^'sistér, force fut.«de 4e conduire au violon, où il entra d'un air graveréfléchi, comme un homme qui a fréquenté cès.jieincv., Votre nom? lui démanda l'agent quand cet mdmdù lut introduit (fans sa cbllule. •-Femme Lofent, répond ce dernier. Comment? répond l'agent, qui devait penser en oyant le costume et la barbe du prisonnier, qu'il sait mal entendu. - i i-inyie Lelort, dit de nouveau ce dernier, en accentuant chaque syllabe. Femme, dit l'agent, voilà un singulier nom de Jtê'iie." s Pas d'erreur, fit'le prévenu d'une voix de sten- rjr: Lefort ést mon nom de famille et femme est mon sexe. Cette prétention pouvait passera bon droit ur en d4 rfaiteinenl vrai. La prisonnière, car nous devons lui rendre son était bien M™" Lefort, qui naguères exploitait, ces, les agréments masculins que la L.une bizarrerie singulière, a dispensés Sur sou visage, époque, M»' Lefort portait une toque et de velours, mais hélas! fragilité des Ephémaines en général et des toques de velours Ki^jjarticulier, les révolutions qui ne respectent riéri, ne lui ont laissé que sa barbe et son goût^ pour le rogooie. La maisôtr-de banque Bowles-Ogden et Cc de Salis- bury a étédéclarée en faillite en 1810 pour plusieurs millions de francs. A cette époque sou actif faisait espérer aux créanciers un dividende de iS 3o p. c. Mais en Angleterre^ procédure marche lentement; la liquidation de celte faillite n'a été close que ces jours derniers, et donne ledividende tniscroscopique d'un demi-millième pour cent. Ainsi les créanciers ont attendu 4o ans, ceux du moins qui la vie n'a pas fait défaut, pour apprendre un beau inalin que, déducl ion faite des Irais judici aires, on leur paierait 5o centimes sur chaque billet de mille francs! Qu'on vienne nous dire après cela que tout est pour le mieux en Angleterre. Le* pauvrehomme*! En i6'>5, d'après les mémoires de l'assemblée chi clergé tenue Paris, mémoires cités par Moréri, la richesse du clergé de France s'évaluait ainsi Les archevêques et évêques ont plus de 4",oon cures et paroisses. Il se trouve i ,336 abbayes, 12,400 prieurés, 25o conimanderies de Malte, iSo,ooocha pelles, ayant toutes des chapelains, quoi il faut ajouter lès abbayes de religieuses, dont le nombre est de 1,057. Outre cela, il y a 700 couvents de l'ordre de Saint-François, et le nombre de jacobins, carmes, augustins, célesti 11s, minimes et autres reli gieux, monte h 1 4,07 7. Tous ces gens d'église pos sèdent ensemble 9,000 châteaux et maisons, avec moyenne, haute et liasse justice, 255,'>00 métairies et 17,000 arpents de vigne, baillés i ferme, sans I comprendre ^>,000 arpenls où ils prennent le tiers et le qifarf. Le revenu.de tous ces biens ecclésiasti ques rnOnle 9 j millions d'écus ou 276 millionstfe livres, outre Its réserves des baux, qAii vont 12 millions d'écus ou 3b millions de livres. En 17R9, les revenus des'archevêques et des évê ques teulement montaient piès de 6 millions de livres. On lit dans la Liberté, de Lille Un marchand de bric-à-brac de notre ville, vient de faire une trouvaille qui va amener l'eau la bouche de tous ses confrères: M. Minez fils rue Basse, avait acheté fa venie mortuaire faite il y a quelque temps, rue de Tli ion ville, du mobilier de M. De mil u I de, un petit objet assez singulier, pou vant être rangé parmi les colifiches de salon, et 1 e- préseiftant une espècededragon ailé, ditSalamandro de la grandeur de 3o centimètres. Ce morceau de sculpture en métal, couvert d'une épaisse couche d'ordure, né révélait au premier aspect qu'une valeur ordinaire, aussi l'acquéreur l'obtint—il pour 9b fr. Cependant lorsqu'on le net toya, on découvrit bientôt dans cette pièce un vrai chef-d'œuvre, autant précieux pour le prix de la matière que pour le fini de l'exécution. État-civil b'ïpres, du 1" Septembre au 7 inclus. Naissances Sexe masculin, 4; sexe féminin 4. Total, 8. Un mort-né du sexe masculin. Mariages Planckaert, Bdouard-Désiré, âgé de 34 ans, cultivateur, et Balalie, Rosalie-Nalalie, âgé de 50 ans, cultivatrice. Van Hee, Antoine-Louis, âgé si.: 30ans, tisserand, et Dedier, Thérèse-Joséphine, âgée de 34 ans, dentellière. Van Elverdingle, Léon-CIcmeat, âgé de 40 ans, journalier, et Beele, Rosalie-Natalie, âgée de 28 ans, domestique. DehaeneFrançois-Louis, âgé de 31 ans, journalier, et Breyne, Amélie-Sophie, âgée de 28 ans, journalière. Décès Ilauspye, Jean-Joseph, âgé de 78 ans, jour nalier, veuf de Catherine-Constance SpOtbeen, Brielert- lcz-Ypres. Berten, Jean-Baptiste, âgé de 89 ans, rentier, veuf de Ludwine Staesen, et d'Uabclle-Claire Vanden Abecle, rue des Chiens.Vanderghote,Thérèse- Julic-Rcine, âgée de 58 ans, propriétaire, épouse de Léon Molle, rue de Tourhout. Fnfants au-dessous de 7 ans: Sexe masculin, 2; idem féminin, 2. Total, 4. Marché d'Epiies, du 7 Septembre 1850. Les prix du froment sont restés les mêmes qu'au précédent. 358 hectolitres se sont vendus de 18 fr. 20-40, prix moyen fr. 19-20 l'hectolitre. Il y a eu une hausse de 60 centimes sur les prix du seigle. 35 hectolitres se sont écoulés aux prix de fr. 10-80 11-60, en moyenne fr. 11-20. Les prix de l'avoine sont descendus de 46 centimes h l'hectolitre. 24 hectolitres »o sont écoulés aux prix de fr. 6-37 7-75, en moyenne fr. 7-06 l'hectolitre. Une légère hausse de 20 centimes l'hectolitre s'est produite surjes prix des fèves qui se sont vendues fr. 11-80 centimes l'hectolitre en moyenne. 48 hectolitres se sont présentés en vente. Les prix des pommes de terre sont montés de 2 fr. par 100 kilogrammes 1,900 kilogrammes ont été vendus raison de 7-50 les 100 kilogrammes. En vente chez l'éditeur F. Desterbecq. Porte de Cologne, rue des Croisades, Bruxelles, ET CHEZ LAM61N; FILS, IMPRIMEUR-LIBR.MARCHÉ AU BEURRE, A Y PRES; LA 7e LIVRAISON (l85û) DU Kantoor van den AIotaris CIIRIS- TlAF.i\, te Passchendaele. OVERSLAGEN. Op Woensdag, elfslen Septcmber 1850, ten twee uren namiddag, ten dorpe van Passchendaele ter herberg bewoond by sieur Pollefeyt, OVERSLAG van A. Eene I10FSTEDE groot in erve, h. 7-10-84, gclegcn by Passchendaele, in en acn het dorp, by affiche verdeeld in 18 koopen, gcbruikt toi den 1° October 1853, door Jean Verhelle. Staël separaet 14,950 fr. En in masse 15,100 fr. En B. Eene schoone en goede IIOF- STEDE,groot in erve n. 11-76-28, gclegcn op Westroosebeke en Langemarck,alsmede eene partieMEEKSCH, op Staden, verdeeld in 20 korfpen, gebruikt, door sieur Jean Bogaert, met regt van pacht lot 1" Octobcr 1859. Staet nog maer in massa 25,300 fr. De konditien berusten by dito Notaris CURJST1AEN, "»»o Malgré sa supériorité reconuue sur toutes les autres publications, tant par la beauté des gravure8* dessins, l'exaolitude des patrons, etc., etc. le TRÉSOR DES DEMOISELLES, encouragé par le nombre toujours croissant d'abonuées, a créé de nouveaux droits la bienveillance du public; o'est ainsi que depuis Janvier 1849, la Ie édition est augmentée d'une foule de planches nouvelles. La no menclature ci-dessous indiquée, fait connaître le contenu du journal, ainsi que du supplément. Première édition fr. 13-50 par an. Cette édition contient 1° 12 livraisons de 32 pages de texte. 2° 12 superbes gravures de ondes du Folletde Paris; 3,J 12 idem de lingeries coloriées; 4° 6 idem tapisseries coloriées, des premières maisons de Paris; 5° 12 morceaux de musique inédits, romances illustrées et morceaux pour piano de 4 pages au moins 6°12graudesfeuillesdouuaut une foule de palrous en grandeur naturelle, pour robes, chapeaux, bonnets, pélérines, costumes pour enfants, etc. Seconde édition fr. 8-50 par an. Cette édition est entièrement conforme la première sauf les tapisseries coloriées, la musique et les dessins supplémentaires. DESSINS SUPPLÉMENTAIRES POUR LA 1® EDITION: 1° Dessins divers pour albums, 2° Idem pour le filet brodé en reprises; 3° Costumes pour enfants; 4° Un grand nombre de dessins d'après les principales gravures démodés de Paris, avec explication, représentant au moins 30 gravures. Les dessins désignés aux art. 3 et 4 seront joints la 2e édition.) 5° Reproduction du Journal pour rire publié Paris, par Aubert; ce journal coûte 18 fr C'est un journal qui ne blesse personne et qui amuser tout le monde; il rit de la politique ,des mœurs, des systèmes, des utopies, des folies et des ridicules. C'est un délassement, une diversion aux choses tristes ou enuuyeuses, une distraction, un passe-temps» Tout ce qui précède sera donné GliA TIS dans la Ie édition. NB. Afin de satisfaire au désir d'un grand nombre d'abonnées, il est joint 2 gravures de dessins différentes chaque n®, moyennant fr. 2-50 d'augmentation par an. Il paraît également 8 patrons découpés par année, pour manteaux, rnantelets, pardessus, etc., 4 d'hiver «t 4 d'été. Prix pour l'année, fr. 4-50, et 5 fr. renda franco par la poste. DES PROPRIÉTAIRES RÉUNIS, ÉTABLIE A BRUXELLES, pour assurances contre les risques D'INCENDIE. La Compagnie assure contre l'incendie et le feu du ciel et contre les dommages occa sionnés par la foudre, quand même celie-c; ne ferait pas briser ou renverser, et ce aux primes les plus modérées, toutes propriétés mobilières et immobilières, récoltes, bes tiaux, etc. Les dommages sont payés immédiatement après le règlement de la perte. Les en gagements de la compagnie sont garantis par un capital de 5,000,000 de francs. Agent principal Ypres Mr LERNOELD, rchitcctc, rue au Beurre. By den Notarin LâMBlIV. feT|»re, is er geld in Icenlug le bekoinen, mit» gok» bkikt.

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Le Progrès (1841-1914) | 1850 | | pagina 3