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rpegple tout
Bentur. rite influence;
ni mêlées la vie des
qu'elles ne peuvent
rees sans que chaque famille
[atteinte,
aeilieux et insensible» qui vous
Poïis entende? un Roi dire Mon
^demander le sens de ce mot, aussi
aux Belges, qui vous l'apprendront
iLeil de leur Reine.
.descendant lé canal
Friedriclrstadt.
danîs une chaloir,*,^,'jafrlait'le pfwillMrr dé parlemen
taire, pour aller demander au comniàfidant fauter isaiion
de descendre l'Éidrr. -Be. fondant sur jëur.neutralité; ils
s'approchaient.dé la côte sans rieu 'soupçAnnor et en.
observan| les. formalités d'usage, lorsque les-postes da
nois de la côte dirigèrent leur feu contre 1a'chaloupe, le
cuisinier d.n bâtiment de Boer fut bleSsé la poitrine. I!
ne leur resta.donc qii'â s'éloigner au plus vite. Plus lard,
Vin parlementaire danois Vint apporter ces navires
lamille, l'autorisation de continuer leur navigation jusqu'à Ton-
la
Tiglp.s
irnière, uiie fille de 5 ans nommée
savel, s'ainusait, Zonnebeke, àenlre-
jt feu dans une prairie située près de sa
jue toul-à-coup le feu prit ses vête-
les prompts secours qui lui furent
fut des brûlures si fortes, qu'elle
îmba au bUtr» de x4 hedres de souffrances.
EITËR1EVR.
s :us, 16 Octobre. On a répandu
itre Iq général Changar-
jiic. Ççs bruits.sont
(s 3e rii-iiiorabIc'coin-
et"3ii président n'ont
cuis ministérielles ont encore
l'Iiier et dans ta matinée d'aujuur-
px membres du cabinet, fatigués, dit-on, de voir
[neinent s'engager dins une voira (te moins en
Je, auraient offert leur démission et auraient
5uf^r"aire accepter. On s'attend avant peu
le cabinet se modifier dans un sens peut-être
re plus Elyséen,
Il est question de la nomination de M. le général
d'Hautpoul au gouvernement général de l'Algérie.
Ce serait, dit-on, St. le général Regnault de Saint-Jean
"'Ângcly, qui prendrait le portefeuille de la guerre.
GLETERRE. Lo.vdbë», 14 Octobre- Les
C-cs de forges d'Angleterre viennent de tenir leur
assemblée trimestrielle. Le sujet principal de leur con
férence a été les bas prix auxquels se vendent leurs
produits, et l'obligation dans laquelle ils se trouvent de
réduire les salaires de leurs ouvriers, ou bien de res
treindre le travail. N'écoutant que l'intérêt de leurs
ouvriers, ils ont décidé qu'ils restreindraient pour le
moment leur fabrication, dans le but d'amener une
hausse dans les prix par suite d'une demande moins
considérable.
Les travaux de construction du bâtiment de l'exposi
tion de 1851 se poursuivent activement; 480 ouvriers
sont employés sur le terrain. Le lord-maire d'York se
vendra le 25 de ce mois dans la ville dont il est le pre
mier magistrat; un banquet a été donné le mois dernier
par 1c lord-maire de Londres, ses collègues des pro
vinces, l'occasion de la prochaine exposition indus
trielle. Le prince Albert et tous les ministres assistaient
ce banquet.
prusse. bgrliv, 12 Octobre. Après que, le
fi du mois dernier, eurent été échangés les ratifications
du traité de paix du 2 juillet avec le Danemarck, de la
part de cet état et du gouvernement prussien, avec 16
autres gouvernements de l'Allemagne, a eu lieu le 6 et
le 10 de ce mois, l'échange des mêmes ratifications entre
le Danemarck et les gouvernements de S. A. le duc de
Brunswick et de S. A. le grand-duc d'Oldenbourg.
autriche. a nouvelle qu'il n'est presque pas
fait d'offres pour l'empruntLombardo-Vénitien produit
Vienne une impression décourageante. Le Lloyd blâme
le gouvernement de n'avoir pas eu recours un emprunt
forcé. Il termine son article par dire que l'emprunt forcé
doit avoir lieu sans perte de temps dans les provinces
italiennes.
On écrit de Bude, la Feuille constitutionnelleque
cinq régiments hongrois ont reçu l'ordre de se tenir
prêts marcher vers la Hesse-ÉIectorale.
L'électeur de Hcsse tombe victime des conseils du
prince de Schwarzenberg. Après s'être laissé pousser
dans une impasse d'où il ne pouvait sortir, il a été forcé
d'abdiquer. Cet exemple va montrer, aux petits princes
ce qu'ils peuvent gagner jouer les ratons de l'absolu
tisme.
schleswlg-holsteftn. revdkbovm, 11
Octobre. Plusieurs bâtiments hollandais et fimtons,
fcté l'ancre avant-hier devant
ues de l'équipage sont entrés
nuis
Fait* divers.
ïfÉcfn»du Cantal donne la relation suivante, la
dote du 5'oe-Kfbié:
Le jeune Vidal, de Menet, était avec son chien
près d'un bois voisin du village, lorsqu'il vit touti
coup cet animal sortir du bois en portant sa gueule
une tête humaine, que l'enfant reconnut pour être
celled'nné femme et sur laquellelescheveux étaient
attachés par un lien et noués au moyen d'un peigne.
Le jeune Vidal, saisi d'effroi cet aspect, se retira en
emmenant son troupeau et laissa lechien ayant tou
jours sa gueule son horrible trouvaille.
La gendarmerie de Rioin-ès-Montagnes, avertie
par la rumeur publique, se transporta au domicile
deyl'enfaut dont elle recueillit la déclaration, et
accompagnée du jeune Vidal, de sa mère et d'autres
personnes qui il avait fait le même récit, elle se
rendit sur le théâtre de la sinistre découverte. Mais,
maigre les actives recherches auxquelles ellese livra,
il lui fut impossible de rien découvrir dans les
environs.
A leur retour les^wiflarmes rencontrèrent le sieur
François Dumas, depaeuraut Menet, lequel leur
déclara que, se trouvant le 24 a°ût dernier au châ
teau de Clidel'leavecle domestique de M. Longumar,
il avait vu se présenter eux un individu étranger
au pays et prarajssanl être un moissonneur limousin
qui leur demapda le chemin de Menet après leur
avoir dit qu'il s'était perdu en venant de Rioni et
qu'il avait traversé le bois de Besse;c'est précisément
dans ce bois que le chien de Vidal aurait trouvé la
tête de femme. Dumas ajouta qu'il avait ainsi que
son compagnon remarqué l'air égaré de cet hom
me, qui portail deux faucjlles et un linge plié. Tou
tes ces circonstances ont été recueilles comme autant
d'indices propre» jeter quelque lumière sur le lu
gubre mystère du bois de Besse.
On lit dans la Flandre maritime, du 12 Nous
avons aujourd'hui un grand malheur enregistrer;
le koff-goëlette Hélènedu port d'Ostende, parti le
5 de ce mois de Liverpool pour notre ville, s'est
perdu'corps et biens, le 8, Southport. Un seul
homme de l'équipage a été sauvé.
Ce navire était commandé par le capitaine J.
Zellieu son frère se trouvait bord comme second
et son beau-fils comme matelot tous trois ont péri.
Cette catastrophe plonge dans la plus profonde
affliction une honorable famille d'Ostende.
L'Hélène avait quarante-six ans d'existence.
L'Union, capitaine Denduyts, a également perdu
uu homme de son équipage.
Il ne faut pas désespérer de l'avenir dramatique
de la France. Lorsque M. Bocage a quitté la direc
tion du Théâtre de l'Odéon, il a laissé onze ceni
cinquante demandes de lecture pour des ouvrages
inédits. Le nouveau directeur en a inscrit déjà une
soixantaine. C'est donc un total de 1,2 10 ouvrages
en perspective pour un théâtre, et il y en a 22
Paris
On assure que lé contrat de mariage de l'empe
reur d'Autriche avec la princesse Sidonie de Saxe,
fille du prince Jean, vient d'être signé Vienne.
Une ËXTEltMINATÎON de MOINEAUX. L'Algérie
a son tueur de lions; le département de l'Ortie aura
désormais son lueur de moineaux, dans la personne
de M. Ftailleur de profession et chasseur ses
moments de loisir. La petite ville de Couterne s'est
émue tout entière de l'exploit extraordinaire qu'il a
accompli,dans la matinée du 26 septembre," en abat
tant de deux coups de feu cent quatre-vingt-un
moineaux! Le cercle dont il est membre s'est in
stantanément rassemblé, et 24 voix contre six ont
décidé qu'un banquet serait offert l'habile et heu
reux chasseur. Les 181 viclimes devaient naturel
lement en être le mets fondamental; mais, dou-
M. Fa été proclamé le président des chasseurs,
et ses amis ont poussé l'enthousiasme jusqu'à le
porter en triomphe dans tous quartiers de la ville,
leur! l'aubergiste..., qui le* avait assaisonnées, les
montrait fièrement aux convives déjà attablés, quand
il fait un faux pas, roule du haut de l'escalier, et le
sol est couvert îles débris de la çhasse miraculeuse»
Malgré cet-accident, Le repas a été plein de gaité.
O11 écrit de Liège
Dans la nuit de samedi dimanche, il est survenu
une très-forte gêlée quia occasionné beaucoup de
dégâts dans les jardin» aux environs de la ville. De
ta glace assez consistante a. été remarquée sur plu
sieurs points. Les horticulteurs surtout ont souf
fert de cette gêlée précoce. Plusieurs ont eu un grand
nombre de plautesgravenient attaquées. Les dahlias,
les héliotropes, les fuchsias, etc. qui n'étaient pas
encore rentrés dans les serres ont été, chez quelques-
uns, entièrement perdus.
Voici, d'après l'Écho de Uesonne, un trait de
présence d'esprit de la part d'une servante d'auber
ge, qui tne rapelle l'esclave du conte d'Ali-Baba et
des quarante voleurs. C'était dans un cabinet isolé
dont le maître se trouvait absent il ne restait que
la maîtresse et la servante. A la veillée deux hom
mes se présentent et demandent passer la nuit.
La mine, l'attitude, les propos de ces deux hommes,
firent bientôt comprendre ces pauvres femmes
qu'elles courraient de véritables dangers ainsi seule»
avec deux scélérats.
La soirée s'avançait, ils buvaient encore. Ils de
mandent une dernière bouteille: la servante leur
dit qu'il faut percer une barrique et prie l'un deux
de l'aider dans cette opération; l'autre reste avec la
maîtresse. On lève la trappe et on descend. Le trou
fait la barrique, la servante cherche et s'écrie
qu'elle a oublié ia canelte. Elle prie l'homme de
tenir son doigt l'ouverture pendant qu'elle mon
tera pour la chercher. En arrivant dans la cuisine
elle dit: «Que je suis étourdie! j'ai laissé votre
camarade sans lumière. Portez lui promplement
la vôtre; je prends la canette et vous suis. Le se
cond voleur obéit machinalement,
11 n'était pas au bas de l'escalier, que la servante
s'approche; mais au lieu de prendre le chemin de la
cave, elle ferme la trappe, qu'elle verrouille soli
dement. Elle monte ensuite la garde, menaçant
d'inonder d'eau bouillante le premier qui fera un
mouvement pour la soulever. La maîtresse fut
chercher du secours, et les deux prisonniers, livrés
la gendarmerie, ont été reconnus pour Je dau-
gereuX forçats échappés du bagne de Rochefort.
On trouve dans le Courrier de* Etats-Unii
du 1" octobre quelques détails sur le premier con
cert de M"6 Jenny Line] Boston,
Le concert était organisé, quoique sur une
échelle moindre, peu près comme New-York
seulement on a pu remarquer dans l'auditoire une
sensible diffe'rence. Les dames, qui ne formaient
NeW-York qu'une minorité assez faible, figuraient
Boston pour près de la moitié.
L'heureux Ossian P. Dodge le propriétaire du
billet qu'il a payé 628 dollars, a eu le plaisir de cau
ser une assez vive sensation son eutiéedans la salle
Éta*-c«vil d'Ypres,du 13 Octobre au 19 inclus.
Naissances Sexe masculin 9 idem féminin 4
total, 13. Un mort-né du séxe masculin.
Mariages i Poupart, Anloine-Jeau, âgé de 31 «ns,
docteur en médecine, et iîc/Ui/, Clémcnce-Adelaïde, âgée
de 35 ans, particulière.
Décès Bentin, Albertine-Sophie, âgée de 53 ans, cou
turière, célibataire, rue du Lombard.-^Verbelce, Euphé-
mie-Françoise, âgée de 51 ans, journalière, épouse de
Pierre-Joseph Durnez, rue de Mcnin. Lalou, Charles-
Louis, âgé de 25 ans, décédé Beverloo, le 15 Juillet
1850.
Enfants au-dessous de 7 ans Sexe masculin, 3 idem
féminin, 3; total, 6.
Marché d Ypres, du 19 Octobre 1850.
Les prix du froment sont restés peu près les mérae9
qu'au marche précédent il y a eu 20 centimes de baisse.
1,966 hectolitres se sont vendus de fr. 13-60 19-60 en
moyenne fr. 16-60 l'hectolitre.
Aucun changement n'est survenu dans les prix du
seigle. 55 hectolitres ont été vendus defr. 10-60 11-40 j
prix moyen fr. 10-90 l'hectolitre.
Les prix de l'avoine sont descendus de 37 centimes
l'hectolitre. Les prix ont varié de 6 fr. 7-62; en moy
enne fr. 6-81 l'hectolitre. 24 hectolitres ont été exposés
en vente.
Il y a ett hausse de 60 centimes l'hectolitre sur les
prix des fèves. 61 hectolitres se sont vendus raison de
fr, 12-40 l'hectolitre en moyenne. 61 hectolitres ont été
exposés en vente.
Les prix des pommes de terre n'ont pas changé. 3,500
kilogrammes ont été vendus raison de 8 fr. les 100
kilogrammes.
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