J GRAINS. I BERIGT. Compagnie nationale MARCHÉ HEBDOMADAIRE 4 EfSRSflBESffR Il y a quelques Jours, des champignons vénéneux ayant été servis un repas de noces, Berlin, tous les convives ont clé très-malades. La mère de la mariée a suecomlié, et la jeune femme s est trouvée elle-même dans le' plus grand danger. Le fait suivant mérite d'attirer toute l'attention des médecins. M"* S... F.... demoiselle de comptoir, place Saint-Georges, s'élant rendue, il y a quelques jours, dans le faubourg Saint-Germain, accompagnée de sa soeur, se trouva prise d'une indisposition subite. Elle reçut, dans un magasin, les premiers soins que réclamait son état et y lui saignée au bras droit pai un médecin que le hasard amena en cet endioit et que l'on n'y connaissait pas. Le lendemain M"* F... éprouvait une douleur assez vive dans le bras sur lequel avait été pratiquée la saignée; mais elle l'attribua un peu de fatigue résultant du trop d'exercice donné ce membre. Mais deux ou trois jours après, une enflure considérable se développait et envahissait tout le bras avec accompagnement de douleurs de plus en plus intolérables. Le docteur F..., appelé, reconnut dans le mal dont était atteint la demoiselle F... une phlébite qu'avait dû occasionner la piqûre de la lancette, cet instru ment ayant sans doute servi antérieurement a saigner un individu atteint d'une maladie conta gieuse. Le cas était des plus graves, surtout cause du retard qu'on avait mis conjurer le mal. Le docteur P... s'adjoignit quatre de ses collègues; l'amputation du bras fut aussitôt résolue; mais il était déjà trop tard, le mal avait dépassé l'épaule et envahi la poitrine. La pauvre malade n'a pas tardé rendre le dernier soupir au milieu des plus atroces souffrances. Un cas exactement semblable a eu lieu, il n'y a pas longtemps, b Marseille. Une demoiselle G... y a succombé dans les plus vives douleurs, par suite de la même cause. Une cérémonie intéressante vient d avoir lieu Manchester. C'est l'ouverture du collège d'Oweus, ainsi nommé de son fondateur. M. John Owens était fil» d'un chapelier de Manchester, et il entra de bonne heure dans le commerce. 11 y fil une brillante lor- nitte, et mourut l'âge, de cinquante-six ans, sans avoir été marié, et seul survivant de ses frères et soeurs. Il disposa par son testament d une somme de a,5oo,ooo fr. pour rétablissement Manchester d'un collège public, destiné préparer aux universités; en mettant p«>"i unique condition que ce collège recevrait tous les en la ni s, sans distinction d opinions religieuses, la différence de la plupart des établis sements d'instruction en Angleterre. Courtrai. M. le baron de Mont blanc, Ingel- munster, cette Providence des pauvres de celle corn m une, a donné une petite iêlede fa mille >00 château. La sociélédesCltœofsde notre t ille yavuil été invitée. Nos artistes amateurs sont partis iJ'ici 1 heure de l'après-dînée, eu deux voilures, qu'on avait mises a leur disposition. A deux heures, la société faisait, aux acclamations et auxcriseiithoosiastes de la fou le,son eutréea Ingelinuuster et se renditau château. Elle y trouva réunie une nombreuse compagnie. Les membres de la société des archers <1 Irigoluiuiister étaient eu train de se disputer, au tir l'oiât-au avec l'arc main, cinq prix eu argent offerts par .VIde Mont blanc. Les prix consistaient en six couverts et une douzaine de cuillers a calé eu argent. Pendant le tir, M. le baron de Moutblauc et sa femme versaient le bordeaux, le bourgogne, le Champagne aux nom breux tireurs. La société de Courtrai fut accueillie par les hôtes du château avec une urbanité exquise. Quelques beaux j morceaux furent exécutés dans la perfection, et vers le soir la société s'est dirigée vers Courtrai. Leq ce mois, Mayence, dans un local où se tenait une séance de I'Union catholique allemande, le gaze d'une lampe s'est élevé a une hauteur liès- grunde. Aussitôt des cris au feu se sont fait eitleu- ■m été ét„„n v S'X Pei'Son,ies< six «'«"'es, ont etoufli es et sont mortes sur la place. Et c'était une fausse alerte a «mu Un candidat. - Vous voulez un candidat qui ne sot. legutmts.e bonapartiste. „i orléaniste, ni républicain soc.al.ste ou constitutionnel (car vous voulez ta revision.) - Et vous êtes en France, tout près du terme fatale, l heure où tous les partis leven. la tête... - Alors vous n'avez qu'une chose fane. Puisque vous ne pouvez pas trouver de can didat en fiance, prenez en un en Chine l'empereur du Céleste Empire est justement ên tuile, dtt-on; I occasion est belle M. M., sculpteur distingue, domicilié impasse Da-mv souffrait de la gène laquelle sont en proie la plupart des artistes et qui eliez lui avait été aggravée par une longue maladie. Son propriétaire, auquel il devait plu sieurs termes, lui signifia congé. Hier, la vue de l'huis sier qui apportait dans son atelier le fatal commande ment, l'artiste fut saisi d'un accès de rage. S'emparant d'une hache, il brisa ses plâtres, ses ébauches et plu sieurs statues et bustes en marbre qu'il terminait. Sa jeune femme étant venue, tout éplorée, se jeter dans ses bras pour l'empêcher de consommer sa ruine, il tourna sa fureur contre elle et voulut la frapper. Heureusement plusieurs personnes, attirées par le bruit, lui saisirent le bras et parvinrent le désarmer. A ce moment, la colère du sculpteur tomba et, contemplant ce qu'il venait de faire, il demeura comme anéanti. Malgré les supplica tions do ht femme, des soldats et un agent de police que l'huissier était allé chercher, le mirent en étal d'arres tation. On annonce pour le printemps prochain l'envoi d'un steamer hélice dans le canal Wellington, la recherche de l'Ere.lms et de la Terror qui étaient sous le comman dement de sir John Franklin, l'état avance de la saison ne permet pas de. l'envoyer avant cette époque. On ajoute tju'il est très-probable que ce sera le capitaine Penny qui commandera cette expédition. 1 s ftludie vu 11 den \ot\hix LITCÏEX, te ItcniughelMt. Maendag, 27" Oclober 1851, ten twee uren namiddng fix in de herberg de Kroone, ter plaefs van Rcninghelst A. EeneBEHDtSDE HOFSTEDE groot 1 f hectaren 82 are» 85 centiare», gelegen te Rcninghelst, by het gehuchtc de Clytte, gebruikt door Sieur Kurolus Leuritlan- Loonis. Ingesteld 28,500 francs boven 2,551 fr. voor boomprys. En B. Van het Vosscbosch, groot 70 aren 60 centiaren met de Taillie, Plant- soenen, dobbcl en enkel Zaden daerop staende, gelegen te Reninglielst, by den Scherpenberg. Ingesteld 1,100 francs boven 640 francs voor boomprys. Krachlens octrooi, ten overstaen van M. DE GHELCKE, Vredcregter, te Poperiit- ghe, door het ambt van gezegden Notaris LUCIEN. lnlichlingen te bekomen by den Notaris V AN DEN" BOOGAERDE, te Poperinghe. By M' POlPtllT-VICSAE, Notaris, ter rcsidentie van Zonnebeke, is cr geld in leening te bekomen mils goed bezet. VERÀNDERING VAN WÛONST. ledit bureau, et dont on pourra prendre connaissance tous les jours, depuis «J heures du matin jusqu'à midiet de 2 4 heures de relevée. Den ondergeleekenden maekt bekend aen Les soumissions seront reçues jusquau het ptthlick dat hy het huis waer hy woont, jour et heure fixés ci-dessus. 1 de Tempel-slract, zal verlaten jegens den Ypres, le 6 Octobre 1851. 20" dezer,en dal hy zich zal huisvesten in de nj,- VIV Ryssel-straet, n° 89, ten huize hewoond door Joseph Yergracht, slagter. j COMMUNE DE NEUVE-EGLISE. Hy blyfl, hy vootTduring, zyn kraem behouden op het Vlccsch-huis. Yperen, den 11" Oetober 1851 A. AVALLAEKT-91K ItOUCK. i2JU2. JLQJL2J3. lus U3& b 5 5 ff DES PHOPKIÉTAIHES RÉUNIS, ÉTABLIE A BRUXELLES, pour assurances contre les risques D'INCENDIE. PLACE D1 YPRES. ADJUDICATION de la fourniture ou aux La Compagnie assure contre I incendie et le feu du ciel et contre les dommages occa sionnés par la foudre quand même celle-ci ne ferait pas briser ou renverser, et ce aux primes les plus modérées, toutes propriétés mobilières et immobilières, récoltes,- bes tiaux; etc. L'administration communale de Neuve- Les dommages sont payés immédiatement Église informe le publie, que, pour encou- après le règlement de la perte. Les en rager les cultivateurs a exposer sur place le gagements de la compagnie sont garantis fil II! itil Y lii- TPH P jour du marché, (le Vendredi de chaque par un capital de 5,000.000 de lianes. LnAllliUA IIL 1 là llll là, semnjue, dix heures du matin), les Grains Agent principal Ypres M'LERNOLLD, NÉCESSAIRE AU SERVICE. et autres marchandises qu'ils ont vendre, DE LA BOULANGERIE MILITAIRE ils n'auront aucun droit de place payer pendant l'année 1852. et que deux primes seront allouées savoir - une de 75 francs celui qui y fera le plus Le L* Colonel commandant la .place d'achats, du Vendredi, 10 Oetùhre 1851 an d'Yprcs, adjugera publiquement le 21 P" Avril 1852,et uue pareille prime àc.elui Octobre courant, midi précis, en son 1ui c" exP°seract vcudri' U: l)lus «'?u(1 II 1.r Ir iw.ikiln ni I o 1111> m n architecte, rue au Beurre. EN VENTE AU BUREAU DE CETTE FEUILLE TUEOIIÈMES ET PROBLÈMES DE 9 bureau, Grande. Place, et softs la réserve de l'approbation de M. le Ministre de la guerre la FOURNITURE DU CHARBON DE TERBE nécessaire pour le chauffage des fours de la Boulangerie militaire de cette place, pendant l'année 1852. Cette adjudication aura lieu sur soumis sions cachetées conformes aux stipulations du cahier des charges qui est déposé dans nombre d'hectolitres pendant la ruème époque. Les quantités achetées et exposées seront constatées chaque marche par le Bourg mestre ou son délégué. Neuve-Église, le 6 Octobre 1851. le bourgmestre, B.-JI. Y Lit .MLI.KSCU. Par ordonnance le secrétaire, timokn. et de e TRIGONOMÉTRIE, par f.-a. bktwi1» Docteur en sciences mathématiques ot physiques. prc.aisinr de mathématiques supérieures l'AiMnés de Bruges. Un volume in-8° d'environ 400 pages, avec planches; prix s b Lambin, ïil», éditeur, Marché au BeurreIa ïprcN. I CHEMINS DE FER DE LA FLANDRE OCCIDENTALE. Départs des couvais. --15 Oct. 1851. departs. de bruges a courtrai. I APRES-MIDI. CORRESPONDANCES. correspondance avec le chemin de fer du nord. correspondances. De Bruges. .|5h.50 «Thonrout. .5h. 55 Licbtervelde 6 h. 00 "Roclers 6b.20 'Isegliem 6 h. 55 »Irigclmunst. 6 h. 45 Arr.Courtrai 7 h. 20 APRES-MIDI. 5h. 5h. 5b. 8 h. 50 f h. 00 9h.l0 1h.20 9 h.20 1 h.50 9b.40 2b.00 6h 9h.55 2h. 15 6b 10h05 2lt. 20 bb 10b.45 5h.00 7h f 0 De Courtrai. 5h. 50 «lngelmunst. 6h. 40 »lseghem J 6 h 00 uRoulers 6h. 20 Liehterveldejëh. 50 «Thourout. G h 10 Arr. Bruges.17h 8 h. 20 8 h. 55 8 h. 45 1b. 1 h. f h 45 00 05 20 9h.l0jlh. 40 9h.o5!2h. 50! Dh.40'2h. 45,f0h.20|2h. 6 h. 15 6 h50 6h. 55 7 h. 00 7h.20 7 h. 50 8h.l.5 THOUROUT A DIXMUDE. 2 li. 50 ui. après-midi. ROUI.CBS A UJXMCDB. 10 h. fin uialin. 2 li. 45 m, après*midi. ROULKHS A YPRES. 10 ii. du uialin. 6 li. 20 ru. du soir. 1NGELMLSSTER A THIELT. 10 li. 15 m. du matin. 0 U. 55 ni. du soir. DIXMUDE A TliOOROOT. 7 h. du malin. DIXMUDE A RODLMS, 6 h 50 m. du matin. 3 l». 50 m. aj»ies-midi. YPRES A ROULERS. 6 h. 50 ni. du malin. 4 I». après-midi. THIELT A 1KGELMIWSTER. 7 h Hti matin. 4 h. 45m. après-midi. Correspondances avec le chemin de fer du Nord. DÉPARTS DE PARIS. A 8 1k du iu. lui, pour arriver R Oaleude a 9 11. la m. du soir. a 8 h. du soir, pour an 11 I). 25 ai. du matin. DÉPARTS D'OSTEADE- - A 8 h. 1» m. du matin, pour arriver a P-ris a 10 55 ai, du soir. - A 4 h. 15 in. du soir, pour arriver Paris a 5 b. 30 m. du uiXtin Les dép. de Bru*, et de Court. 5 e' du maliu, u'on.t lieu que le Lundi et le

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Le Progrès (1841-1914) | 1851 | | pagina 4