l v atelier .tllgé par L.\ COMML Geene van de heeren Yandekmeerscii aen de welke eene candidatuer, zoo ge- zegd opgedragen is geweest, naer het zeggen van den Propagateur, wenschen noch willen die aenveerden. Al de stemmen aen een dezer heeren gegeven, moeten aengezien worden als verlooren. Een nieirw vlaemsch factura is aen de kiezers uitgestrooid geweest. Het is gedrukt by Lambin-, VERWAERRE (foei en het is niet noodig te zeggen in welken zin het geschreven is. Lastertael, leugens, vervalsching van cyfers, aile middels zyn ingespannen orn eenen raedsheer tebeknibbelen, gelyk of hy aileen in deGemeenteraedware. Het is eene vraek dat eeuige Yialouisten tegen M. Merghelynck willen nemen. Zy willen zyne hernaming beletten uit zuiveren nyd, want indien t geen zy zeggen, de waerheid ware, het is hem aileen niet dat zy op hunne lyst zouden moe ten achterlaten, maer ook die welke nevens hem in den Gemeente-raed zitten. De vraekzucht alleen doet, tegen dezen achtbaren heer, met zulk eene hevige slechte trouw schryven en intrigueren, maer wy stellen ons betrouwen, Kiezers, dat gy na de praetjes en lasterschriften vaneenige boosaerdige menschen nietzult luisteren, en wy verhopendat gy zult stemmen eenpariglyk voorde kandidaten aen het hoofdvan dit supplément geplaetst. qui se nomme, nous assure-t-on Mut.urr,. sarrrbier- croyant dépeupler le premier et prendre sa place Ce calent n'a j>a» réussi. Kst-ce I.i faute du (Conseil communal actuel, si le parti clérical a fait fausse roule. L'autorité Batlue sur lous les poids, la Commune communale s'est bornée maintenir et amé- d'Ypres remplit ses colonnes par une longue liorei ce <pii existait. Quoiqu'on fasse, quoi qu'on «lise, elle continuera le faire et elle fera sou devoir. tartine sur l'organisation d'un atelier-modèle nous remettons un autre jour de réfuter les mille absurdités qu'ose avancer la feuille eléri- cale. Tout ce que nous voulons constater au jourd'hui. c'est que \e soi disant organe du Un article dans ta Commune d'Ypres, jour nal rédigé et palrnné par tout ce que notre commerce ne connaît pas le premier mot de la A':'e compte de plus taré, de plus méprisable, question. Est-ce qu'à l'asschendaele, Moor- s (>n prend quelques personnes dont elle in- slede, Bottiers. Becelaere, etc., etc.. l'organi-!dique les initiales des noms. 1 J f:i J' Comme il s'agissait d'essayer de faire du mal, il ne pouvait émaner que de la plume de ce singe asthmatique et bilieux qui veut mordre tout le monde, mais qui se plaint amèrement, quand La vérité est que l'érection d'un pareil éta- on*occtipedesa MISÉRABLE INDIY 1UUALII sation de chaque atelier a coûté 60,000 francs F.st-ce que ces institutions ont fait la moindre concurrence aux boutiques de la ville ou des communes blissernent devait couler 3.000 francs environ, que son entretien annuel devait couler un mil lier de francs environ que le Gouvernement était disposé intervenir jusqu'à concurrence des trois quar ts de cette somme et que dès lors la dépense était minime et imperceptible pour la ville. Ce petit être qui s'occupe des brillantes af faires d'aulrui, ferait bien de soigner mieux les siennes, car elles ne doivent pas être si brillan tes. puisqu'il est débiteur d'une somme de DOUZE MILLE FRANCS une notabilité de la ville. Avant de fouiller dans les affaires des autres pour les blâmer et essayer de les brouil- Cet établissement d'ailleurs n'aurait travaillé 'er, nous semble qu il y aurait opportunité rendre les siennes si brillantes, qu'au moins il n'y ait aucun passif. o 2g Octobre 1851. Monsieur l'éditeur du Progrès, Puisque vous voulez bien accorder une place mes cor respondances fidèle mon rôle de narrateur, je viens reproduire, sinon textuellement du moins en substance, ce que, dans une conversation laquelle je viens d'as sister, dans l'une de nos sociétés les plus distinguées, disait un des hommes les plus considérés de celte ville C'est un triste spectacle que les convulsions du dé nions sommes autorisés déclarer que ni sespoir. Mais il n'en est pas plus révoltant que de voir des malheureux, qui, ne pouvant se faire l'idée de leur néant, opposent, avec une énergie digne d'une meilleure cause, tout ce qui dépasse l'imagination en fait d'insigne mauvaise foi, d'astuce et de fourberie. Dcpuiscombicndeteuipsl'organcdu clergé, flanqué de son ignoble doublure, la Commune, n'a-t-il pas fait une que comme tous les autres établissements de nicme genre, c'est-à-dire pour les fabricants, et il est hors de doute qu'ici, comme dans les autres localités, Tles boutiquiers auraient tenté la fa brication et que par suite de nouvelles indus tries se seraient introduites en ville. Voilà une réponse catégorique aux assertions mensongères de la Commune et cette réponse, nous le répétons, est fondée sur les faits qui se sont passés dans les autres localités de la pro vince. Al. Gèn.tKB V.ivnE::nEr.Ksru, l'ancien Cociseil- ler, ni AI. itésiKÉ Viadermeersiu, Secrétaire- receveur du bureau de bienfaisance, ni Al. Lotis Tasdebmekhsch, Notaire, n'acceptent aucune candidature et par conséquent les voix qui seraient données l'un ou l'antre de ces Messieurs, doivent être considérées guerre ouverte et acharnée contre lous nos conseillers comme des suffrages perdus. Une proclamation a paru hier soir, sorlant de I officine cléricale et s étendant longuement et avec une mauvaise foi insigne, des diverses phases qu'a subies l'instruction moyenne Ypres. Toutes ces attaques, tout ce blâme doi vent retomber sur le parti duquel ils émanent, i On se plaint amèiement qu'il il y a deux col lèges, mais qui les a créés? On se painl de ce que certaines personnes en subsidient un leurs frais. A qui la faille Elles sont libres de le faite ou de ne pas le faire. En 1JI32 la ma jorité du Conseil communal était dévouée au parti clérical que ne façonnaient-ils le collège leur guise Mais non. le clergé voulait en avoir un lui tout seul. On en a créé un second communaux indistinctement Et ncvoilà-t-il pas qu'au jourd'hui il passe l'éponge sur tout ce qu'il a écrit précé demment, et accorde tout-à-coup ces mêmes conseillers, sanf deux, un brevet eu règle de capacité et de dignité administratives. Voilà ce qu'on nomme rester conséquent, j'espère. Touten proposant la réélection de la presque intégralité des conseillers communaux, méritant, toutes sortes de titres, de se voir renouveler leurs mandats, on allègue pour molif d'exclusion, quant l'un d'entr'eux, une pré tendue servitude, duns laquelle, la honte de notre cité, les autres ont lâchement versé vis-à-vis de ce même membre. Ceci est de la politesse et de quoi flatter les Messieurs dont on propose les noms aux suffrages des électeurs. Veut-on savoir en quoi consiste cette honteuse servi tude qui fait jeter tant de cris d'indignation La plupart de nos honorables conseillers outre les soins que réclament leur présrnce l'hôtel-de-villcont encore vaquer des fonctions ou occupations particulières. Rien donc dq plus naturel qu'ils se reposentdu soin de l'instruction et de la mise exécution des affaires concertées en commun, ceux ou celui d'entr'eux qui, par sa position personnelle et exceptionnelle, est le plus même de consacrer uni quement et spécialement son temps la chose publique. De 'sorte que, en intervertissant méchamment (es rôles, on en est venu faire d'une activité infatigable et d'un dévouement toute épreuve, quoi Un odieux asser vissement. C est, ma foi, très-habile. On annonce ensuite, sur tous les tons de la lamentation et de I indignation simulées, qoe cet homme, despote et tyran de ses collègues, est pour ses subordonnésetpour le public un être grossier insolent, extravagant, etc., etc... De ces épilhètes si nombreuses et si bien choisies, de tant de rage et de tant de fureur, voici le fin mot. C'est ce membre, eommeje viens de le dire, en qui incombe fréquemment une part active dans les travaux du Conseil, or, il lui anrive souvent d'avoir le bonheur de faire aboutir les affaires, dont il est chargé, avec un tact et une énergie peu ordinaires c'est dire assez que devant la sagacité et la fermeté de son caractère, Tartuffe et Escobar sont venus plus d'une fois échouer. De làtous ces trépignements de colère; de là, encore le eompte qu'ils trouveront dans une élimination. Convenons qu'il n'y a en cela rien que de très-naturel. Mais, voici le sublime du genre. En toute société, il y a, il y a eu et il y aura toujours lutte entre l'intérêt gé néral et certains intérêts individuels. Dans toute bonne administration, l'homme véritablement la hauteur de son mandat aura pour règle invariable et fixe de faire triompher celui-là aux dépens de ceux-ci. Il arrive donc muintefuis que le magistrat intègre est forcé, moins de faillir son devoir, de mettre le holà quiconqre outre passe les limites du droit universel et commun, de tirer du l'arsenal des lois les dispositions qui sauvegardent l'in térêt de tous, ou de créer, leur défaut, les mesures qui concourent au même but. Mais il n'est que trop vrai cela ne se voit-il pas lous les jours que ceux qui on a dû tenir le langage des lois n'en croient pas moins leurs intérêts froissés et lézés. Or, exploiter les méconten tements illégitimes de ceux-ci, faire un appel l'égoïsiue le plus avilissant, aux plus basses passions; mettre sur le dosd'unseul homme toutes les mesures d'utilité publique prises en commun; coaliser, ameuter contre cet homme les mécontents de toutes sortes, sauf ne rien changer après le jour de la victoire aux mesures dont ils exploitent momentanément l'impopularité, mais dont ils reconnais sent intérieurement l'utilité et la néeessilé, n'est-ce pas là, le rôle lâche et odieux que jouent,en ee moment, nos adversaires El ces gens s'intitulent les défenseurs de In morale et de la religion. Pauvre morale pauvre religion! En face de tant d'oubli de soi-même, en fare d'une effronterie aussi scandaleuse, aussi éhontée, la vue de ces contorsions frénétiques qui dépassent la limite de l'odieux pour toucher celui du ridicule, on c.-t tenté de répéter ces vers du poète Quand l'absurde est outré, c'est trop faire d'honneur De vouloir raisonner; plaisanter est meilleur? Agréez, Monsieur l'éditeur, mes salutations cordiales. X. Y. Z. La proclamation anonyme s'éten'l longue ment sur les deux cent mille francs pavés pour le collège. Mais en dix-sept année» on payera deux cent et dix mille pour la reslauralio d une pariie de la collégiale de S' Martin et l'on n'eu souffle mot. Mais on parle avec dédain d<; la construction d égoûts et de I assainissement des quartiers habités par ies indigents. Effective ment ce parti est insatiable, il ne veut même plus pratiquer les préceptes de (évangile, qui ordonnent de partager avec l indigence. On lit dans la Patrie Le bruit a couru la Bourse que MM. Fould et Ba- ror.be s'occupaient de concert avec M. ilaillault, faire réussir une combinaison dont ils feraient partie. Nous ferons simplement observer que M. Baroehe est depuis avant-hier sa campagne dé Meulan, et que M. Fould est parti hier matin pour Fontainebleau. 111111—

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Le Progrès (1841-1914) | 1851 | | pagina 6