PLUS DE CHEVEUX GRIS!
ASPASINE
EN CRÈME ET EN FOUDRE.
DEPOT A YPRES,
ANNONCES.
BEAUTE ET CONSERVATION DE LA PEAU.
Compagnie nationale
DES PROPRIÉTAIRES RÉUNIS,
D'INCENDIE.
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naire se complétera par des troupes prises Gibral- efficaces fussent prises pour repousser l'injuste
tar et Malte. agi cssion de la Russie, lord Clareti'duii a fait celle
fJournal de* Débat* des nouvelles de Vienne, déclaration importante: qu'entraînée dans la guerre,
continuant le rejet par le Tzar, des dernières pro
positions du cabinet de Vienne apportées Saint-
Pétersbonrg par le comte Oi lolf. Ces nouvelles font
pressentir l'adhésion de l'Autriche la politique de
la France et de l'Angleterre.
malgré son désir de maintenir la paix, l'Anglt
entendait ne déposer les iirmes,qu'apies avoir iésoln
pour toujours, la question européenne que la Russie
a soulevée.
Des lettres de Saint-Pétersbourg publiées par le
La contredanse commencée, les compères montaient
sur des chaises afin de jouir de la danse de sain! f.»lns»ol.
•i Quel eiilrceli.it,quel nerf, quel moelleux s écriaient-
ils en descendant on chercherait en v ain un pareil
entrechat dans les quatre parties du monde.
Malgré tous ces efforts el lou e celte liabiU té, les géné
rations modernes n'ont pas voulu mordre un nouveau
Trénitz l'enlrefilai, nous avons le regret de l'annoncer,
est resté dans les curiosités historiques comme la poudre
Les journaux allemands, la Gazette de Cologne Journal allemand de Francfortrontiennent di» cl la révérence ait plié,
entre autres, parlent de la prochaine entrée d'une détail» sur l'opinion de» Russe» relativement a la On a danse la gavoltecl l'at/j/tase dans quelques salons;
escadre anglo-française dans la Baltique. guerre: mais ces tentatives ont été accueillies par l'indifférence
La prise de Khiva parles Russes, est démentie 11 n'est pas vrai, disent ces lettres, que l'entliou- générale
par les journaux même qui l'avaient annoncée. siasme guerrier anime toutes les classes de la po-| On a marché la contredanse comme par le passé el on
On a reçu en Angleterre des nouvelles des quakers pulalion les classes aisées, surtout dans les villes a dansé la redowa, la mazurka, voire même la polka et la
aui ont entrepris le voyage de S'-Pétersbourg, pour dont l'intérêt matériel se trouve mis eu jeu, voient sclmliecli.
M U Je 6 r J Quant a la valse, c est toujours la valse a deux temps
essayer de ramener le Tzar des dispositions paci- avec déplaisir les coinpl calions du moment. L est a (je qi)a|.ank._ell^
"lient u a cjm.uâniu UI1S (,(jj se permettent encore la valse trois
-, La ta m il le temps.
reçus, le 6 février, par le comte de JNesselrode, qui impériale, a 1 exception d un seul de ses membres, L'habit noir a fait cet hiver assez bonne contenance,
leur a fait l'accueil le plus cordial. Après avoir est contre la guerre, el l'on dit que l'impératrice quoiqu'un trouve maintenant dans les magasins de la
écouté très-attentivement la lecture de l'adresse qui elle-même en e»t tiès-alfligée. Au coutraii e, le gi and J'Selle-Jardinièredes babils la Irançaise des prix mo-
devait être remise l'empereur, le chancelier leur duc Constantin,qui, par la fermeté de sou caractère, itéré».
l'emporie sur son père, sans en avoir la prudence Personne n'ignore que la romance est tombée depuis
et la perspicacité, est l'appui el l'espoir du vieux quelque temps dans un ctal de marasme dont quelques
parti russe. personnes ont entrepris de la tirer. La romance cslcon-
Unlira plus bas une dépêche télégraphique an- lemporaine de l'intrigue, du domino et de l'entrechat.
.1, lreiiilz et Garai ont vécu dans le même temps. On ne
uonçaiil qu'un mouvement lnsui i eclloiinei pro- 1
1 *r poiiV.nl ressuseiier 1 entrechat el laisser la romance dans
uuiiciameiitoj a éclaté h baragosse. l'ombre
Le ioi de Sardaigne s est tendu de 1 urin Geues, j (j'esl |e piano qui a tué la romance; aussi quelques
pour assister a 1 ou verture de 1 exposition des pro- maîtresses dt maison n'ont pas hésité revenir la
duiis de l'industrie. La population de cette ville lui guitare. Nous avons entendu la belle marquise de R...
a lait un accueil enthousiaste.
fiques. D'après une lettre de l'un deux, M. Siurge, le vieux parti russe qui pousse aidemi
communiquée au Birmingham Mercury, ils oui été guerre, et l'empereur subit sou influence.
a décimé que les sentimeiitsqu'elleexprimail étaient
les siens el ceux de son maître. En se retirant, les
amis de la paix ont laissé entre les mains du comte,
une traduction française de l'adresse, afin que l'Em
pereur put en prendre connaissance. Quelques jours
après, ils ont été reçus par le Tzar, qui les a très-
bien accueillis; mais malgré cet accueil, dit M.
Siurge, nous n'osons espérer que notre appel aura
pour effet d'arrêter les préparatifs de guerre qui se
font de tous côtés en Russie.
M. Siurge ajoute que malgré tous leurs efforts
pour rester ignorés Saint-Pétersbourg, leur pré
sence y a excité une curiosité extraordinaire, et que
dans les rues, des groupes considérables les suivent
partout.
Les trois amis de la paix devaient repartir le »5
pour Birmingham; mais a la demande de l'Empe
reur, ils ont retardé leur départ de quelques jours.
Le gouvernement sarde vient de promulguer la
loi qui abolit les droits de toute sorte établis sur
l'entrée et la sortie des céréales et substances ali
mentaires, et les droits de consommation qui exis-
chanlcr Fleuve du Tage eu s'accotupagnanl clic même de
la guitare.
Le solo de harpe a également reparu cet hiver avec
accoinp.igncm ni de turban et d'oiseau de paradis.
Dan» plusieurs maisons, on a fait venir Ptncliard pour
chauler 0 pescatur d'elt unda, Pidelin. Quoique ces essais
aient été accueillis avee une certaine réserve par la masse
des invites, il serait peut-être téméraire de se prononcer
"VARIETES.
Sur le Carnaval.
Paris, 24 février.
Le carnaval tire sa fin, nous touchons au mercredi
des cendres, !c cornet piston va faire son dernier couac;
la veille d'entrer eu carême, il est lion de jeter uri coup
,t-i r i i i isur une première audition. Attendons 1 année prochaine,
dœil rétrospectif sur la physionomie du carnaval de cet i
biver Sur la foi de M. Sainte-Beuve, qui est en train pour le
Quelques personnes s'étaient proposé, on le sait, de ~'Mt ,lu ,éhabUmT1la déjeuners de
faire revivre l'intrigue au bal de l'Opéra. Ces tentatives, 1808 cl an"ecs 11 «'«•pi"? dans quelques
nous avons le regret de le dire, sont restées infructueuses! !,,a,S°"S 'CS s^,el's 1""' dejeuners. est surtout dans
Les hommes ont persisté ne point endosser le domino 1-5 l"alS0,,S ",U 1 on nî*oU dt"s «enS dc kUrcS 1UC cel usaSc
latent sur quelques-uns de ces articles. La même les femmes ont préféré, ce travestissement favorable j ,,re,!r'
loi interdit aux communes d'établir l'avenir au- ;aux confidences voix basse, le costume de pierrot nu .1» SL'ns lclll'es se réunissent a tour de rôle les uns
cun droit de consommation.
débardeur, mieux approprié aux développements de la fl,tz lus aulres lmur ^jeûner et se lire mutuellement
La conférence du Zollverein a tenu le .8 sa der-1 chorégraphie et de la pantomime moderne leurs compositions. C est le docteur Venu, qui a ouvert la
w conieimce au ai.iiveiein a leriu, le io, sa aei- t> r i marche. C'est dans ces réumonsquasc lisent les Causeries
mère seance. Le protocole hnal y a été signe, el il On a danse, crie, gesticule cette aiiuee au bal de 1 Opéra,
va être soumis la ratification des gouvernements. comme les années précédentes; l'intrigue est restée la
La prochaine conférence douanière se tiendra pro- Porlc'
bablement Darmstadt. Ce''ui n a ',as cmPécI|é les courriers hebdomadaires des
i, grands journau* de narrer", pour le plus grand aimis-c-
Avaut hierpour celebrer 1 anniversaire du 24 ment des lecteurs dc la province, une foule d'aventures,
février, les ouvriers de Pari» ne se sont pas rendu» arrivées au bal de l'Opéra, M. G...., X...., M'i"i
leurs ateliers et toute la journée une loule iunom- G..., et un grand nombre d'autres signes de l'alphabet. i
brable s'est pressée sur les boulevards, du côté de la D'autres personnes avaient entrepris d'amener dans les
colonne de Juillet. Des arrestations numbieuses y habitudes dansantes de la génération aciuclle, une révé
lais jusqu'au départ du courrier, lulion pour le moins aussi radicale que celle qu'on ten-
s que
du Lundi de M. Sainte-Beuve et les principaux chapitres
des Mémoires d'un Bourgeois de Paris.
Charivaritaxile dei.<mid.
Uixhide. Marché aux grains du 27 Février 1834.
ont été opérées; mais jusqu'au dép
il ne s'était passé rien de grave.
Les journaux de Londres nous arrivent pleins de
détails sur l'embarquement des troupes anglaises.
tait parallèlement au bal dc l'Opéra
11 s'agissait de restaurer l'entrechat.
Le rétablissement de la culotte courte semblait impli
quer le retour aux danses qui brillèrent du plus vif éclat
a T J I I i C I L XJVJII 11- ILIUUI cl U A tldliatb UUI Ul 111 Cl v Ht UU DlUa >11 ce cil
A Londres, au moment du départ a Soulhampton d<ng le commencement du siècle. Une association s'était
et h Livei pool, au moment de l embarquement, donc f01.11)ée, dont tous les membres ■'engageaient h ne
1 enthousiasme était au comble. [plus marcher la contredanse, comme cela se pratique de-
Les chambres anglaises ne cessent pas de s'oc- puis vingt ans, mais la danser dans toutes ses parties
cuper de la question d'Orient. Jeudi soir, c'était lord avec I en-avanl-deux, leflic-flac, le jeté-battu, le glissé tl
J0I111 Russell qui était interpellé sur les moyens de 1 entrechat.
mettre le commerce maritime l'abri des attaques
des corsaires, et qui répondait que le gouvernemeii
s'occupait sérieusement de cette question.
Le lendemain, la chambre des Pairs, lord Beau- daient dans les groupes
mont ayant présenté sa motion, tendante faire Saint Cabassol va
exprimer par la chambre le désir que des mesures danser le fameux saint Cabassol
L'É&U llifaiMlii^KltE, la seule véritable,
teint la minuteen toutes nuances et
pour toujours, les ehcvcnx et la barbe.
gne de ralliement qui leur permettait dc se reconnaître L'ÉPILAYOïiRI BSKI!HUM, enlève en un
dans tous les bals. L'un d'eux commençait d'abo rd par instaut et saus retour les poils et le (lnvet
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