FERMES, COLLES liquides. Chronique politique. 1 j>i H i r i deux bonnes UNE MAISON VIY DE CIIAMPAGYE, t™™. LIQUEUR TRASFOREST, DE BORDEAUXT™' POUDRE GÉLATINEUSE COMPOSÉE, incession du chemin de fer deLierreà Conlich, la Compagnie du chemin de fer de la Campiue. La discussion a dû continuer vendredi. M. le ministre de l'intérieur avait fait trans- lettre dernièrement MM. les médecins vété- nair^s, une instruction concernant la vaccine, is signes auxquels on peut reconnaître le cotv- ox pi^mitif et la [nécessité dejmàîhtenir et de ropager de plus erj plus la vaccine contre lés îndances de quelques, novateurs. J.'qljlilé de cette instruction est confirmée par ne lettre du 1*7 mars, écrite par M. Dupont, aédecïn vélêrirlaire dù"goiiverrieirierit à~I'our- lai. Ce praticien[fait[conn.aitr^ officiellement au [ouvernement, qu'il a découvert le cowpox irimilif, la vaccine spontanée" ditns les établis l'un cultivateur de Tournai, et qu'un certain îombre de vaccinations, faites par M. le doc- eur Zoude, ont confirmé la réalité de cetlql. lécouverte pleine d'intérêt. i^—i— Du S Avril au A inclus. Mardi, Paris, lès deux évèiieiriens dé la journée rat étfcU revipf jasséa par l'prnpprç.qr, fUph^oij- le-Mars, el la persistance de la baisse des fonds' du- ilics*ïfa l&flil.SH®» ^91fIM10qmi-8 Dans la séance de la Chambre des lords,^du t' mil,.lord Malme»bury a deipajidé quand lôjf'dUfi*- rendotr sertiit de retour étiquaud brt pdtirraii comt mencer la distpsdo^yebtive^x affaires de Kafs. Lord Landscfovynè a^réjSoftaùc que de fitm^elres' sommunications touchant lasignatiMre-du- traité de paix étaient inutiles, et que lord Clarendon devait rester quelques joUrs'encore Paris-, pour-prendre part aux délibérations qui pourraient avoir lieu en suite du traité. 1 l- t?fi rHL j il Je- L'absence du noble lord sera de courte durée et, son retour-aussi prompt que.possible. La djscqssion sur les affaires de HarA aura Jieu.aussitôt. Le Time* disait mardi ne pouvoir préciser en quoi consistait la clause insérée dans les projt^coles du Congrès, titre de fiche de consolation' pour la merciaux du Piémont sur le Danube. Le comte Cavour, dit le correspondant, a revendiqué" pour son gouvernement, le droit dé participer aux avantages résultant de l'oùverturto des bouches du <i Danube et de laTib're navigation de ce fléévé; Il a demandé, dit-on, que les navires sardes entrqpt ou sortant, remontant ou-descendant la ri.vièce, ne fussent soumis-à aucune espèce de charges pu de tracasseries inutiles. j L'exigence n'était pas grande. M. de Cavour ne demandait que ce qui sera certainement açcoçdé aux navires de toutes les nations. Toutefois, te corres pondant du Ttmèa prêtent que cette derûaride a ét ré té 3-r combattue par les plénipotentiaires de l'Autriche, mais qu'elle a été accueillie néanmoins, appuyée qu'elle était par la France et l'Angleterre. Nous somme» fort tentés de croireque le Time» et son correspondant n'en savent pas plus aujourd'hui, qu'il y a deux jours. ,,Xoqs les journaux de Parisapplaudissent lapaix, sauf le Siècle, qui se montre rpédîocrelîiSnt éiit hou- siaste. I| va sans dire que les feuilles semi-officielles ont monté leur stjle sur le ton le plus dithyram bique. Elles n'ont pas assez d'éloges pour Louis Napoléon. Mais l'empereur de Russie en a sa part. M,. Granier de Cassagnac dit, dans \6,£onttitutionnel, que jamais résolution ne fut plus intelligente et plus piolilique que celle de ce souverain, d'accepter la neutralisation de la mer Noire et une cession de ter ritoire en Bessarabie. L'éfripereur de Russie y aurait plus de mérlfe, s'il avaitjfait ces concessions avant la prise de Sébastopol ou après une victoire de ses troupes. Sous le coup d'ifnè série de défaites succqJV çives, le mérite est moins grand j il est impossible (Ç.i i ilbuTellcs diverses. idgr l'évêqùe dé Pamiers a donné sa démission. iphe, est au- jourdliuf certaine/té gouvernement, cfit-onj assure jaq pr/jal.ttqq pep»mn,^mven;ffi!;q., Il ôn diV dans.»'lé Moniteur tié*.intéril» matériel* j 1 (Jtïflanfc lj.çy§»jpt)J^iyn^eSiayjunellea chimiques,, si- abondamment répandues,dans'tpiisTés ménages, ^Hfirfft^e'éinbfqhaiAïlé obnsidératrtiltepkoiplsdre, Si geréhxaussi depuis un certain temps a-t-on vu se renouveler fréquemment des accidents graves, et J'oni conçoit dès lors qqqibien il est imprudent de laisser con^taipmen.t Iqrj-disposition de tout le .monde.un instrument qui peu j devenir si dangereux d^us des mains coupables, lorsqu'il y a 'mo^en' de' remplacer fé pbô'sjjihcifte stà'dté'sarfs'ifctîUii sbé l'êcirt'ofpie animale. Il existé ubiéi'ffia'tîèfe spéciale; qui'-VèhflàbittUB par fâ ftictibh', corrlnié fé phosphore ordinaire, et- 'qtii 'est'Àahs detiofr'-malfaisante'Dôfr l'organisme Sardaigne" Soi» correspondant d^garis prétend sa- c'est le phosphore rouge amorphe, employé.depuis, voir que celte clause est'éèlafiVe aux intérêts com-^ quelque temps en Allemagne pour la composition - des allumettes, qui perdeut <jès lors toute qualité nuisible; <1 SBOfJtll, On conçoit qufe'iPébé^à une.grahdéamélio-ratiûn J aussi ♦ei-rart-bii avec dne Véritable satisfaction de-» Venir générale pour tobs fés'pays la mesure qui est- an noncée devoir être prise en France, et qui con siste empêcher-toute usine confectionnant .des allumetjfs JcbipajqueSi/dé se ser.vir.d'autre phos phore que ceiui0ar»prphe. V l Lé typographie tQurnaisienne vieht de faire une perte bien cruelle eii la personne d'un de ses mem- bresdés plus distingués, M. Alexandre Casterman. État-civil d Ïpnrs, du 30 Mars au 3 Avïâ inclusJ' Naissances. Sexe masculin 3, idem fémioin_4, total 9. Mariages. De Dey, Jean-Joseph, 30 ans, charpentier, et Vande Zande, Marie-Rosalie, 34 ans, repasseuse. Décès. Poot, Barbe-Thérèse, 58 ans, journalière, veuve de Pierre Staelen, rue des Bouchers. De Bulle Philippe, 76 ans, rentier, époux de Marie Reynaert, rue de tille.' Yethacl;, Angcliu..-78U.is, épouse (lé Pliilippe Cnoekaci t, rued'Écosse. Camille, 52 ans, marchandé de dpntelles, célil) dé Lille. Legon, Charles, 60 ans, cordonnier, iux de Marie Déneet, rue des Tuiles. Veriielsfr/jft lie, 74 ans, journalière, veuve de Jacques Ver de |.ilie. Enfants au-dessous de 7-Ans masculin 1féinini total 6. - t» ïieves. Màrchàaux grains et autres denrées, A k., s, du 2 Atril 1856. NATURE SES GRAINS et denrées. Froment btano. 1285 Seigle .54 Escourgeon j 491 Avoitie i i - 84 Fèves...12(i; 7ÎÎTÏT5 i;il QUANTITES EXPOSÉES EN VENTE. QUANTITES VENDUES 54 402 84 prix moyen. 18 14 9 r 69 .5 fè, 74 05 20- 35 li ilé MESURE. par hect. Idem. idem, idem, idegi. v .1 I i UilJ oo Si VTS S •assiva ri-Y/o t.nrTitft'iiliimt A .;?aSSHB,08 O O O (W W s-« bénu nnili 1 1 1 -H J es g H S -a. i ts i- g Ci- 1 i» ÎJooo«oo tHr» tio «i 'T Fi§R.i,- OOOCi o1»»»'®; s», S j M-. hg.lr.r 3" t g •lu-. goio O JO ,0 o dlO Yôgo s 9!l9l oo (M O tdfll ;(N 2 00O >âii .53 5:Mi§f7('llâ>ni 2 lîiqtnt Of-.r.o'jd ZISIATYIA b ci e S o osr, Q oo ;o •<8 »C8 -O -<8 -e9 «C8 ^9-46 "oooooo OO 9 7 - O O O «ir/J d d d O 53 il tl U CJ «313 ra -a.T3 ro 5 S' M g 2 =s. .-2 g 2 •- -o :o' w' ét K W o*o'!o s? a.03 -. SS.g- T, C/3 si'-êot îf,do n si m - a- S 0 r [n ÇjM «5^.0 JS 5. t i u t S M C5 *0 CJ M 0 2 c ti j u r h fa «j h o» S ca .vw DE EN LA VILLE D'YPRES. FERME A LOO. 1» Une FERME avec ses Bâ- jtiments, Fonds, Verger et Terres (labourables, situés en la com mune de Loo, peu au nord du nouveau pavé de Loo vers Dixmude, contenant d'après le titre 8 hectares 18 ares 36 cen tiares et d'après le cadastre 8 hectares 60 ares 90 centiares occupés parjle sieur Charles-Louis D'Heere,jusqu'aulr Octobre 1862, moyennant le fermage annuel de 580 francs, outre les contributions. Cette Ferme sera exposée d'abord en 10 lots et ensuite en masse. FERME A WOUMEN ET MERCKEM. 2" Une FERME avec ses Bâ timents, Fonds, Jardin, Verger, Pâturage, Terré4Tsbourabk-s et Prairie, situés dans les communes de Wou- men et Merckcin, peu del'est du pavé d'Ypres vers Dixmude, contenant d'après le titre 13 hectares 05 ares 76 centiares et d'après le cadastre 12 hectares 62 arcs 80 centiares; 4* "-Occupé» tpat Pierre-Jacques Tangheei Catherine Tanghe, frète et sœur, avec droit de bail jusqu'au lr Octobre 1863, au fermage annuel de 750 francs outre Tes contributions. Cette Ferme sera exposée d'abord en 5 lots et ensuite en masse. - La MISE A PRIX aura Heu le Samedi>12 Avril 1856, etl'ADJUDICAT10N,le Samedi, 26 du même mois, chaqpe fois 2 heures de relevée, l'estaminet I'Éléphant, YP res, rue de Dixmude, DES PnmES DE MISE a PRIX SERONT ACCORDÉES. Les Notaires RENTY et LAMBIN, Ypres, sont chargés de celte Venté. rrr— Ces Colles (brune et blanche) s'em- ploient froid. On peu» s'en servir pour coffcr le papicr. lé cartou, le bols, la porcelaine, le mar bre, le verre, les potiches, les jouets, etc. Prix du flacon fr. (F50. Il suffit d'en appliquer très-péu'sur l'objet que l'on veut coller ou raccom- moder. Dépôt IfYpres, chez LAMBIN, Fu-s, rue au Beurre, 83. <l> I HS A'Vé, -, DE "'U)8 Z' Wol Avantageusement connue dans toute la Belgique, désire trouver des représentants la commission pour placer Sès produits dans des deux Flandres. Adresser les demandes, renseignements référanccs, franco sou$ les initiales C. V. D., I'Ofpice de purlicité, 59, Montagne de la Cour, BRUXELLES. Scnl DcpOt Ypres, che» LAMBIN, S'ils, imp., rue an Benrre, 83. SPÉCIALITÉ P0DR LA BONIFICATION DES VJ^S,. Dite Sève du Médoc ou Bouquet des vins. /Connue depuis 2b ans, elle conserve, parfume, bonifie et vieillit le vin, lui donne qualité et valeur supérieures par le Bouquet délicat qu'elle lui conyiLupiflue. Prix 2 francs le flacon il suffit pour améliorer 250 litres de vlm Remises sur les ventes en gros. Spécialité pour la clarification complète, absolue, instantanée des vins rouges et blancsvinaigres, eaux-de-vie et liqueurs. Cette Poudre gélatineuse, n'ayant ni goût ni saveur désagréables, est bien préfé rable tous les ingrédients employés au collage des vins, vinaigres, eaux-de-vie et liqueurs, même aux tablettes de gélatine qui demandent un temps fort long pour se dissoudre. La boîte ne se vend que 60 centimes; elle suffît pour clarifier une et quelquefois deux barriques de ces liquides, en 24 heures. Réussite assuréeéconomie de temps et d'argent. Une instruction accompagne chaque article. Se méfier des nombreuses et dangereuses imitations. (Affranchir.)

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Le Progrès (1841-1914) | 1856 | | pagina 3