w i Chronique politique.
dfôfltëflllfS'
m
S
Son Altesse Royale a répondu en buvant la
prospérité de la Société des Courses et de la com
mune. m! y' r"
Parmi les invités on a remarqué plusieurs no- aimé. Si dans mou règiie de vingt-cinq ans, j'ai
tabilités M. leharon de Vrière, gouverneur de la
province ^le prince Max. de Crùy, le Comte Yves de
liavay, le comte de Marnix, lu marquis de Croix, M.
Piers de Ravenschool, M. de Buisseret, M. Coppé,
M. Deby, directeur du haras de l'Etat MM- les re
présentants Tack, Tbieopont et Boulez, et d'autres
notabilités de la province, tous membres honoraires
ée la Société des Courses.
Mmr De Ruyck a lait les honneurs de »af niai son
avec cette amabilité qui la distingué.' 11
d Vers 8 heures, Mgr le comte de Flandre s'est
rendu i la station, où l'attendait un train spécial:
la rué qui y mène était éiîCothbTée de mondes Cha
cun voulait endure revoir cfe 'jJrînciTbien-aîmé qiië
l'on a salué des plus vives
moment de sou départ. Le prioce est arrivé k
Bruxelles dix heures et demie.
Les rues étaient bien décorées et les maisons
ornées avec goùf.,Les habitants.avaient,tçi«;alisé île
zèle pour recevoir dignement le prince» Le soir il y
a,eu upe brillanle.illumtnatioqVK, ,j i91c
Ainsi «'est terminé^ cette fête dont on gaiderà
toujours le plus doux souvenir. Tout s'est p$$£é;dans
le plus grand ordre, et sans le moindre accident.
Grâces A l'esprit de M. le bom gmestre, son zèle
infatigable, réunis aux efforts de M. le piésideutdés
courses et au dévouement des membres de cette sq-
ciélé, Waereghenj n'est plus un village, mais une
vériuhfe ville. Stt
Voici le résultat de la courte des chevaux
i* Prix des souscripteurs de la coiqmpne, fr.
1,5o Course su trot pour çhevaux de labour. Les
cinq chévaux inscrits pnt couru çe prix,a élé rem
porte par M. Pierre Lauwers, de Thielt.
a* Prix donné^ar U.Soçjété, fr. 3oo Course au
galop pour chevauxNfidigènes purement de labour.
Les 5 chevaux inscrits ont couru; ce prix a été
rèniporté par M. Dubocage, de Waereghem.
pour
ont'
Croix
de mon cher couiinttle Prusse est une des plus
précieuses pour indicielle vient immédiatement
après celles que j'ai reçue»de mon peuple bien-
o été en Ces derniers temps peut être plu» ltem;eux
que d'autres souverains, je ne puis attribuer ce
bonheur mes qualité.', gouvernementales, je le
dois A Dieu etji l'amour comme au caractère du
m peuple belge, qui a répondu liies sentiments.
Encore une foil, laissez-moi exprimer tout d'a-
bord, Sa Majesté, par s otts,général, mes intimes
et profonds remerciements, que j'espère pouvoir
réitérer personnelFenient lié ni le courtrtit de çtSlle
It artnéé! -i s2 fj :-i 3
Le correspondant bei liuoi* cooclut de ces
derniers mois,; qpe le Roi ira prendre part,en
Prusse ovec «?veu, le duc de Saxe-Gotha,
e prince Dien-aime que i
acclamations jusquW^ux «raades elia-sses de novembre.
lHEtïâHi Fè flfesi{ttjéh"i1e Gand?i">lidad I
jarde civiqUe el
H| le .séjour dtt Roi
dans notre ville. Nous n'avons pas Vle'dtHails
àssez -précis shr'ee cfùl "k:est 'paisëla station
fôrtfMde l'àrri'réè'1 de" ''M.mais voici dës éen-
Sfefgrttertiènts pb^îtifii flui1 Tincîdert I quLâ 'ëti -litu
l'hfifte! du gohVerbertiChrl il'<
9VLàf'gaWé civi^tie'là|vait fèçvv l'èhtFfe à'en-
vidyëF:Hri fcàlailloft p'otlrmëltrë Té d/bïte
de l'Kôiët: P'àjir^ë "éfés afitétSMenle} la droite
était éhtendWe teS^mrtâiA de l liôiél. Arrivé sur
les lieux avant l'heure qui loïtifailété déiijjtiée,'
le hâtaillqtl'tl!oUva sa pliiez (itjcupée par cm dé
taèhetnertt dé (a ligne, dont lé chef ne^voulut
pas '&iï f^flrer, pfëléndaivt irtiH'r reçU d^s'OrUées
fôrrtlelé 'te- khjétT tterédrffrflàlî(J u ciP Alb la garde
CiVique, vùulabl'ëvftér tout conflit, lau motnénl
déTarôr*éë(éhl Ror,HfU pheëV non bataillon pltisi
foih dâtrirta ftîe. - !<j
p 3'Frix de la commune, fr. aoo Course au trot
ir chevaux de toute condition, Six chevaux
couru':'ce prix a'été remportée pfr le marquis de
>îx, de Paris.
4" Prix donoé/paurl5. A. R. le comte de Flandre,
fiCkoo trf «ne médaille' en or. Six c!ievaux-,péè
«liUaWy. s .on inoi/3*j7«il> «a. nwir^i.-mxvf I
7,;l" Du 4 Septembre au 6 iricins.
Le bruit a couru encoVe ùne fojs, la Bourse de
Parîs,'^ù*iin ultimatum de la Fiance et deTAngle-
tëri'è allait êti'e notifié ou"'l^éiait déjà ap roi de
Naples, et l'on ajoutait que 5[I. le baron Brenier, mi
nistre de France auprès de ce souverain, avait de
mandé ses passeports. Cette double nouvelle nous
-, h"* .trouve incrédule, comme toutes les nouvelles ana-
l ne protesdàt?éè du-b9lflilRm'(}hntl«'C«<e-qyVùes qui ont précédé, et h propos desquelles un
îHégblilë' éitt'!eô!^é«fatiaW ^n,^'to^nfiéHt, ,etfjttdrhl»l^fiëtttfnd'à''fSi't,hHeVélKiï«{ilfârttjuste?dont
ôcrtls àjSjWft'tbfrs de sbiiiâféSéei'taiiné^uè Aies éhfefs
sont lrë's-tîlfej!)b^és à^faite lbutes,;leS démarches
nécessaires pôiir Cblfenio ju^licb.' IFeei-aUl'èl'dé-
sîrer qtte f ahloéileb'e+itelldtl pour éviter l'àVe-
lolf dé*jsàWifi'éôtn'fliaih «sim; aeùr ir,
su; .fi -Ut Iif il il 1111 lit l|j.'JViiOa nts j
Oh'^ëtit1 d'Ostéttde tf up ooid ie Jn v ruou j
Lundi matin, un âne qui ie Irouvaibeér les
réiltljéhi chemin de fer q uelques mètres de l'en
trée de la station d'Oslende, a «lénhetitté par le
convoi aviivant de Bruges eb a élé tué,A «an*
qitïf«éri soit résulté le-moindre accident au Con
voi,' r.-tf-j tooI ni linhiov noilsi.' .'îfrlBbr I Ifiup
cofiiù';ce prit a etA' rein porté par M. De Buisseretj
de Seneffe.
i Toùtevcet coursés orftété viSèment disputées
et ont présenté le plus grand iéftérêt.
M7 c :ini. 1 j i1 111 i ifr. a!i t.1: v/ r j
lia ji&wnal a annoncé que pendantson séjour
.«•Liège, le Roi avait reçu une lettre du roi- de
Prusse, dans laquelle ce dernier le félicitant
l'occasion du 2s>* anniversaire de soo règne, lui
dnait qu'il enviait son bonheur; 1
Celte lettre fut remise au Roi
HirsCbfetd, président supérieur de
l'hénâtie. Aiijourd'huî'i| 'une relire i
que le Roi aurait fait verbalement M. deiE^'f/ uiBbin#-• u-iéi' #uMu
Rirscbfeld, la réponse suivante ^em.«ifcl-, a t.ôuvela mqrl sur les ,a»|s.
.e'*, t r> Lane a elé lance sur lés àcebteâdënts'dè la rou»
Da«àSa..VLJ«tef _,non cher coosm de Prusse, f morf. j| n'était pas blessé.
que je O1* sens,profondément louche dé» bons ,f q.ijfV, jAo iup m v
sçutjments qu'il a daigné m'exprime*1 dans cette
lettre^ et que je l'eu remercie de tout muai cœur.
Parrpi Les preuves «ombreuses de sympathie que
j'ai reçues 4 l'occasiçn de mon jubilé, cette leiire.
de lteesange ci «éveilla une anère douleur. 11 iressailliL
cette parole,j,, r, Ilol 'fa ,t:3
isT-.frpWrv U
j(— Mais preuds ganie, cpqtinua Catish sans l'écoqtcr;
les Aranza q^L ^jas étjè é(cyé?( juiû du pay», ili sont
fidèles et il» le mépriseront, et, un jour wcudraou lu lé
repeptiras d'avoir oublié la tombe de tonhère, et méconnu
la voix qui ^an» ccS?e prie y engeance du j(bnd du sépulcre.
Feifimc, éloigile-toi... ne vois-Ju pas que je suis
faible, que tes discours me brisent le^coçur... -Éloigne-
toi, laisse-mpi, laissç-moi scul^laos ma rêverie.
>oii, Henry, jê ne puis te quitter encore.,JL y a
longtemps que j'attends et. fhçure est piécieuse. 11 faut
que tq entendes la vérité dp ma bouche. Tu uuuryjs avec
un vain espoir un amour coupable. Lgs^ Açaqfa $qnt|
dignes de leurs aïeux et leur fille ne t uinjera j^ipaq....
Tu me déscs; cres.... lai»sc-inoi, va-i-cu... ,fli
Écoute encore, Henry... Je reste tçpt iç jovrdaos
ces ruines, quand' j« ne suis pas sur le taqibeau dp ton
perc. C'i^l la que tu me trouveras, si janjai,».... n08j1
£t, comme la bpbcmienne pamlfitqitcore, saps^l'égouter
davanUge, Hepry de Boysapgé s éioigfia prçeipitaipniçnt.
Sou ceeur était .déchire et èa.proie a uqe lutte violenta.
11 connaissait le tcrriktçjpççftt qui pesait sur ta ilesljpéc.
fie serait urte élude curieuse k fiiîre qûp de rcchercbtfé
1 ibllueuce quQ-peut avoir sur. les natures fortes et priniif
IUI J l 11 "!fl! l 11 —■■Vf
Vives nne eiviHsiition parvenue^» son entier développe
lucnt. Pour «tous quj 4»ons, toeopsti.i(çniçti,t vu dç près
l(^.Py^éuées-Qeçidwitt«lea1(lo,|%tag|ie, la ,Cffffcx.
avpns ictrpuvé ejb^ces,jpjepp|i;f, au fpqd 4d coeur, les
passions, aiidçntes ,el]qsjjù)'stinctt sauvàgo?r.lL(a ayjlisqtion
peut badigeonner d un vernis quelconque içs formes e«-
térjapf^i aM les, popplatiqns restent inébrsnlablq-
Les fêles'' cïé 'Vepfémbré commencent nu
naafdi pojir finjp. le vepclretlji. l^es mêtuies ^ub-
siJcs sont accordés,,par' le gouvein)cim,%nhi,<|1-
HI. 111
pays de nioqlagncs 9ui;tout
d'asilç des races prjiqitiyes, se coi^ervepf jpieuseincpt les
traditions anciennes,, et l'explication:.,dyé.,cc pliénomènb
est facile. Si un sqwg s'isole^ il gardera,,toqjopi;9 l'ardeur
ct ja vii;acjjjédes rpçpa fortes; ré o'esL .quc par le croiscf-
in^nt et les mél^iges que lcs.ldées^de, nqiusuétude.pqui-
vcj>t entrer dan* le? veines des peuples., !(0t i
M. de Boasqngç ^evé^.vec jf» ij^ées d'un autre iqonde
avait, itaus le iajfpir lui-iuème, conservé un ,c^ur can-
tabre. D'autre part l'aniour qu'ilnourrissait .jçur map
dqme de ïhpjry. arrêtait, ses résolutions.,!Ett,)OUtr,f, ,h
devait la vie su Cette situation était
rWftPA dillieullcs; son esprit hésita Iougtcmfis.,EnCn il
prit un pnj-li qui paraissait tout concilier. Il réxilut de
ne plus reuteer au eliàtepu uxa<j«*ç ,jioçir sqlhciler
d'clle-nièrae d'abord V?-re K^ain de
(nadamedelhony.
ni i ,*oi !L twt&ktfA
la ville de Bruxelles, indépendamment des prix
royaux pour les différents tirs et jeux. Il y aura
un feu d'artifice pour la clôture. Les prix pour
les tirs consistentcomme de coutume, en piè
ces d'argenterie. Des conceéts, représentations
dramatiques, distributions de prix el de récom
pensés pour actes de courage et de dévouement,
des illuminations, un spectacle-gala, peut-être,
feront partie du programme.
Hier sont arrivés bord du sleamer$Te/et/ra-
yAtt, venant de Rotterdam, un lieutenant-colo
nel," un ôfficiër de santé et plusieurs autres
officiers au service des Pays-Bas, chargés par le
gouvernement néerlandais de se rendre Lierre,
afin d'y éludipr !jç régirpe de l'école des enfants
de troupes.
wMk- ..Vii •- AwmWÊÊÊkWÊÊÊÊÉSÊÊ^mttÊÊttÊtÊÊk WÊÊ WÊÊÊHHÊtÊÉÊÊ m
La musiqùé dti coéps des Sapeurs-Pompiers
dounera demain. de midi une heure, ua con-
,cer.t au Jardin.public, y
Voici J|ç jyrogiatnine. de» morceaux qui seront
6ï6CUl6S ît'JC'L (JQ Hfl
Ouverture K*s Vêpr>es siçijiennes.irrangée
P?r.Çhi1Q|H>i([Vqnd.i4,lf.; ,j 1ue -.eiàdil'ja V
a" Pot pourri sur {(J es motifs de l'opéra l'Etoile
du N^rd.fMeyerbeer).
3° Polpourrism dus motifs de difféienls opéras.
f' '.l'iiirrr.rtrvie et) if
nous lui euvious l'initiative. 1 s
Ge journal rappelait que le Congrès de Paris a
Voté une proposition, d'après laquelle, en cas de
difficulté entre des puissances, le différend "devra
être soumit, avant foute ùiësiire d'hostilité, Paplion
compté 'de çetle pi'esci'lplion Nous n'en crovon»
iil dFgncljT»9â«M«ff6l2iJoq ,àrJW
I. (J j'y
Ou a dit bien souvent, il est vrai, que l'Autriche
s'était posée en médiatrice entre le roi Ferdipané et
les deux puissances occidentales. Mai* le fait n'a
jamais été confirmé, bl il Vésfe encoré 'j l'état (la
.<shi k ii .à*ici i-'"'A'.' J4..t r
que thVn ce qu'oira dit de là mission de M.
Hùbner, Naples, s'est trouvé faux. Aujourd'hui
même, une féin1 e"aTlemanue fait, remarquer avec
raison, que si l'AI/trlche voulait peser sur le gouver
nement napolitain elle auralf pu 16 faire fabilement
.par ses eiivoyésoordiiiaiires; bt sans avoir'besoin de
reéooriir souja.riilmssadeur li Paris.) yl<
f,:, Voiçi uik>auti'd histoirej,aussi vriie
AB U?Ji"ffpr«^>R. lùdjj noiJ^iJ?ioi(b
L Usi-Dtuliche l'ust, dit une dépêche de Vienne
on /I a I o <iu mnan'.m.li a u i r n i .v o ..nai llul lu il nlu f>
en date de^me^credi, assure qu'une non vel|ejuotS a
ete adressée par le gouvernement de Naples aux
puissances Ocioident.iles, et que la ton plus conciliant
lie celte notenst-.de nature èffacer l'impression
produite par la première. M. Brenier s'en est tnon-
ué sa tisiait. jjq, Ulli j .,n,
Coiuuie pendant .aux dires. de l'Osf-/?eu/ic«»
ment attachées aux mœurs èta là, foi autàuurs. pans les, Pa*tf le» ligue» suivante» se trouvent dan» te Sun de
quj sont Iqs derniers lieux Lundm# r/.-l'mo rte Jar.ii mi »«p U bi
•jBq fiii inp
a Lue dépêche de Naples dit que les efforts de'la
part de la) Fratveè et de l'Anglietet'rë pourerthagsr Sa
Majesté siéilieiineù revenir shésa réponse aux nofe»
collectives Vtu gouvernement de Sa Majesté 1a Reine
ëtf"<^fl?'Â|'&ifo0rifti-r,' bot complètement éclioué.
G'é'sf- pfobablèmérit suV'cettè'àssértttfn du joujjn^l
apglais que reposaient les bruits réjp^pduf mercredi
la Bourse ae Parts. .o: ,i.. ti
uIparrlve dfcSnisse line nouvelle assez inattendue.
Le parti prussien a tenté, dans la nutl du a'au 1
WMWtttbrdj d'à replacer la prlrteipaulé do Neufchâttl
sou» la VlOtïilftâtion dii roi de Pruaiel'Il s'ést ètnpaVe
de: la "«fié de Neuféhâtet' et' ffu châtétfo; ma'ji If»
montagnards républicains les ont repris dans la ma
tinée du 4- Douze Prussiens ont'