MAISON BOOMEN. BOSCBTAILLIM LE LlfflT PLUS D'OPÉRATIONS AUX YEUX. Variétés. étude VENTE PUBLIQUE A ÉTAGE, BURGERLYKE GODSHUIZEN verkooping Avis aui propriétaires de chevaux. BOYER-MICHEL D'AIX heures du soir, dans toute la force de l'âge, après avoir demandé et reçu avec piété les sacrements. M. L. Henrotin était (rère de M. Henrotin, con sul de Belgique Chicago. La Sologne, journal de Romorantin, contient le récit d'un crime hideux auquel on hésite ajouter foi, malgré les détails précis qu'on va lire Un crime atroce, bien rare heureusement, a été commis la semaine dernière, la Ferté-Imbault, sur la personne d'une petite fille de quatre ans, par sa belle-mère. Cette marâtre, qui depuis longtemps accablait l'enfant de son mari des pins mauvais trai tements, saisit jeudi un prétexte futile pour la frap per coups redoublés sur la tête, et comme la victime poussait des cris déchirants, son bourreau la prit par les pieds et le milieu du corps et la tint suspendue ainsi au-dessus du foyer jusqu'à ce que, suffoquée par les flammes et la fumée, la pauvre martyre eût re.ndu le dernier soupir. M. le juge Salbris, prévenu de ces faits, s'est rendu sur les lieux accompagné d'un médecin et de la gendar merie. Une enquête a été commencée sur le champ, et l'affaire se poursuit. Un crime horrible a jeté la consternation di manche dernier dans une commune du département des Ardennes, près de Givet. Une mère dénaturée a enfoui son enfant nouveau-né dans une terre hu mide, un pied de profoadeur; l'enfant a été pro videntiellement découvert trois heures après, et, chose extraordinaire, il n'avait pas cessé de vivre. La mère a été arrêtée. L'enfant paraît hors de danger. Une dame américaine, résidant actuellement Paris, a commandé dans une fabrique pour le pro chain bal de l'Hôtel—de—Ville, une robe qui n'aura pas sa pareille. Le dessin représente les écussons de toutes les provinces des États-Unis, formant l'U nion américaine. Le fabricant est parti pour Lyon avec ordre de détruire les cartons et de briser lo métier aussitôt qu'un exemplaire de cette robe unique aura été tiré. L'original ne coûtera pas moins de 30,000 fr. Dédit dépareillé somme a été stipulé pour le cas où la même^oilelte serait portée par une rivale. On lit dans la Gazette de Mon* Ou parle beaucoup eu ville de la disparition d'un chantre d'un de nos paroisses, membre de la Société de Saint-Vincent de Paul. Cette disparition aurait été nécessitée par des actes d'une probité peu scru puleuse. Avec cette admirable persistance qui caractérise leur race, les Anglais continuent rechercher l'in fortuné sir John Franklin. Le capitaine Mac Clintock, après avoir passé l'hi ver, du 18 août 1807 au 25 avril 1858 emprisonné dans les glaces dans la baie de Melville, a eu son bâtiment, Foxtransporté par la banquise du 7 1* au 63' degré vers le sud, c'est-à-dire qu'il a reculé de 1,200 milles géographiques. Au 24 ma' 1828, l'expédition se trouvait dans les parages de l'île groërilandaisu de Disko; le capitaine Mac Clintock comptait profiler de l'été pour attein dre l'île de Bochey, où Franklin passa son premier hivernage et de là pousser par la passe de Peel jus qu'à Fisli River, lieu où s'arrêtent jusqu'à présent les vestiges de l'expédition de Franklin. L'heure de l'exécution allait sonner pour un meurtrier départemental. Heure fatsle, laquelle la loi elle-même s'attendrit, et prend presque en pitié l'homme qu'elle est prête frapper! Le géolier fait part au condamné de la suprême clémence de la loi. Il peut demander ccqu'il voudra. Cela lui est aecordé d'avance. Ah! dit le condamné d'une voix enrouée, eh bien, alors... j'demande la croix Un autre était traduit en Cour d'assises pour avoir tué son beau-père. Comment, lui disait la président, avez vous eu le courage de frapper un homme si âgé, qui n'avait peut-être que quinze jours vivre Eh bien! quoi... mon président? je les ferai, ses quinze jours (Figaro.) Ua anversois du bon vieux temps. Cet anversois se nommait François Ignace Gan- sacker. Il était né le 3 octobre 1696 et Ris d'Abraham et de Catherine Van Havre. Eu 174^ il était capi taine de la garde bourgeoise de sa ville natale. Ce n'est certes pas là ce qui rend remarquable et digne, nous dirons presqued'admiration. Mais chose étonnante, inouïe, difficile croire..... il se maria neuf fois; nous disons neuf foi*, ainsi qu'il conste des registres tenus aux siècles précédents la plé- banie de Notre-Dame, et conservés aujourd'hui aux archives de la ville. La première fois qu'il se maria, ce fut le 17 sep tembre 1729. Il épousa Josine Heymans, qui mourut le 14 mars 1730. Sa seconde femme qu'il prit le 8 mai 1730, s'ap pelait Susanne-Isabelle Cano.il eut d'elle 3 enfants. Elle mourut le 8 mai 174°* Le 28 novembre 174», H se remaria avec Anne- Catherine Govaerls, qui décéda le 4 décembre 1742. Les deux premiers mariages avaient été célébrés dans la cathédrale; le troisième le fut S1 Jacques. Après la perte de sa troisième, il alla chercher une épouse Bruxelles. Le 22 février 174^, >1 y convola eu quatrièmes noces avec Jeanne-Thérèse Dutrieu, qu'il perdit bientôt, après qu'elle lui eût donné un enfant. Anne-Marie VVouters succéda Jeanne-Mario Dutrieu. Il l'épousa le 28 décembre 17^8, l'é glise de Notre-Dame. La pauvre femme ne vécut avec lui que quelques mois peine. Elle mourut le 8 juin 1749* Gausackrr lut inconsolable de la perte de sa cin quième femme. Aussi il ne se remaria qu'au bout de six autres mois. Le i4 janvier il épousa, dans l'é glise de S* Georges, Isabelle-Ferdinande de Villegas. D'elle aussi il eût un enfant, la naissance duquel elle ne survécut pas longtemps, car elle mourut le a3 novembre 1751. En 17Ô3, il se remaria Gand avec Agnès-Elisa beth de Heeuis. Le mariage eut lieu le ig janvier, et le 4 février 1 y55 cette eeptième épouse mourut comme les précédentes. Le 18 septembre 1706 Gansacker prit sa huitième femme, nommée Catherine-Françoise-Joiéphine Van der Schueren. Elle était de Bruxelles. Il la con serva jusqu'au 2 août 1761. A cette date elle mourut en lui laissant deux eniauts. EuGn le 28 août 1764 il convola en neuvièmee noces avec Anne-Marie-Josèphe-Béatrix Van Me- chelen, de Berthout, qui seule lui survécut. Quant lui, il mourut vers 1774 et a"a rejoindre ses huit défunte* an attendant que la neuvième vint le re joindre son tour. Etat-civil d'Ypres, du 13 Février au 19 inclus. Naissances. Sexe masculin c, id. féminin 4, total 10. Mariages. MatheeuweseJoseph, cordonnier, et Cherchiez, Marie-Louise, dentellière. Charles, André, journalier, et Bertier, Virginie, dentellière. Legon, Charles, ébéniste, et Mieroo, Virginie, sans profession. Décès. De Poorter, Ives, 83 ans, charpentier, veuf de Delphine Tyberglicinrue S1 Jacques. Cremmery, Aline, 13 ans, rue Kauwe-kind. Odou, Pierre, 73 ans, huilier, célibataire, S' Pierre-lez-Ypres. Joestens, Auguste, 36 ans, soldat au 9* de ligne, célibataire, rue de Tliourout. De Vlaininck, Anne, 71 ans, dentellière, rue du Corbeau. Hublan, Pierre, 28 ans, soldat au 11' de ligne, célibataire, Caserne d'infanterie. Hubail, Sophie-Virginie, 20 ans, dentellière, célibataire, rue de la Bouche. Enfants au-dessous de 7 ans sexe masculin 2, idem féminin 1, total 3. Un mort-né du sexe féminin. Marché d'Yprks. ÉTAT indiquant les quantités et le prix moyen des grains, fourrages et autres produits agricoles, vendus le 19 Février 1839. NATURE quantités prix moyen poids moyen dus vendoes. paz oi grains et denrées. Kilogramme!. cent kilogrammes. l'hectolitn. Froment 47,530 fr. 21 42 78 40 10,212 16 03 73 60 640 25 62 40 312 22 50 83 20 Eèveroles 9,600 23 00 80 Pommes de terre 7,000 5 50 m 276 27 DU Notaire NEVEJAN, Ai S23S32SJ3 3. D'UNE BELLE ET SPACIEUSE Ayant au rez-de-chaussée deux Salons, Place manger, Cuisine, Arrière-cuisine et Lavoir avec pompe, 4 grandes Chambres l'étage surmontées d'un besu Grenier, un grand Magasin, et 3 arcs 90 centiares de Fonds bâti et Jardin, située en la ville de Warnêton, sur la Grand'Plaee, ayant une sortie parle magasin rue des Hauts-Jardins. Occupée par M. le Vicomte Obcrt, et dont l'acquéreur entrera en libre jouissance avec la mi-Mars 1839. Mise prix 4120 fr. ADJUDICATION, MardiMars 1859, 3 heures de relevée, au cabaret le Damier, tenu par le sieur Eugène Delambre, VVarncton. BEKENDMAKING. DER STAD TPRE. VAN 56 KOOPEW BEUKEN De ADMINISTRATIE der BURGERLYKE GODSHUIZEN, te YPRE, zal den Iflaeu- dag, 28° Ecbruary -1859, ten ecn ure uamiddag prccics, verkoopen in den bosch genaenid Hoogendorp, te Zandvoorde, 56 koopen Beuken-Boomeu. De Verkooping zal gebeurcn met lyd van betaling, niits stcllcnde goede borgen of medekoopers en bclalende gerçcd tien ten honderd acn den Notaris VANDER- Tll.l.ltSCII, Oude-Hoiiimarkt, te Ypre, met gcmclde Verkooping gclast. elk zesse het voort. IN siL&assDssriss!» TE RENINGHELST. D'ACCOUCHEMENT. M™ CUINNIEZ, Sage-fem me, rue des Bouchers, 16, LILLE, reçoit des pensionnaires et se charge des enfants. Wocnsdag23" Febrnary 1859, ten 2 uren namiddag, te Reninglielst, in het Gemeente-Huis, zal er openbaerlyk ver- koebt worden A. Ten verzoeke van M. Huyglie-De Schodt, Burgmecster van Reninglielst De Taillic met 187 Plantsoencn, geteekend H, staende op 1 hectare 89 aren bosch, gelegen te Reninglielst, palende aen de Ncdergravestraet verdeeld in 4 koopen. En B. Ten verzoeke der heeren Leden van het Armbestuer van Reninglielst De Talllie met 130 Piant- soenen,op een hectare 1 arc 50 cenliarcn bosch te Reninglielst, by de plaets b. De Taillie met 21 Piant- gocncu, op 10 aren 74 cenliarcn boscli le Vlamertinghe En c. Al het Honl blanketaillie te kappen, op 19 aren 65 cenliarcn boscb te Rcninghelst, in de Geuzckensbosschcn. De konditien berusten ten kantoore van den Notaris BERTEN, te Popcringhc. L'Eao céleste du docteur Rousseau, pour la guérison radicale de toutes les maladies d'yeux, telles que cataractes, taies, inflam mations, etc., fortifie les vues faibles, en lève la goutte sereine et apaise les douleurs les plus vives. Les personnes qui entrevoient encore les effets d'ombres et de brouillards peuvent être sûres de recouvrer complète ment la vue dans l'espace de 10 15 juurs. Prix du flacon 10 francs Paris, chez M. Paul Bon, pharmacien, 12, rue des SS. Pères. Rendu franco Genève,! 1 francs. (Écrire franco.) 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Le Progrès (1841-1914) | 1859 | | pagina 3