CHÊNES MAISON BOOMEN Nouvelles diverses. VILLE D'ÏPIIES! COMMUNE DE PLOEGSTEERT. &0 très-beaux A VENDRE Notaire NEVEJAlV, VENTE PUBLIQUE MEUBILAIRE GOEDEREK TE YPEREN. AEMERRELYKE VENDITIE 3 droite qui vous a protégé jadis contre de grandes vio lences et les malheurs, aura encore assez de force, non- seulement pour vous proléger maintenant contre tout mal, mais aussi de vous conduire vers un avenir heureux cl glorieux. Je m'efforcerai de répondre par mon gou vernement la volonté et aux vœux de la nation, en me tenant l'exécution des lois du pays. Voilà pourquoi je tiendrai sévèrement et courageusement ce que toutes les autorités jugent justement dans le sens des lois et remplissent fidèlement et promptement leurs devoirs. Rappelant loutc la nation l'amour réciproque et la concorde générale, je lui recommande d'ohéir aux fonc tionnaires que j'instituerai d'après des ukases particu liers, conformément aux lois et suivant les besoins, et remplir exactement les prescriptions légales. Les peuples de l'Occident ne sont pas habitués h ces naïvetés priucières. Il ne leur arrive pas d'en tendre un souverain leur dire a Je songerai vous seuls, car je n'ai plus placer aucun des miens.» Dieu protège la Servie et son vieux gospodar Le nouveau président de la république de Haïti, le général Geffrard, a ouvert au commerce étranger tous les ports de l'île. 11 a de plus adressé la na tion haïtienne une proclamation empreinte de sen timents pacifiques et généreux. On ignore encore quelle époque aura lieu la réunion de la Conférence. Le Daily-Neu)* assure, d'après une dépêche de Vienne, en date de 17, que l'Autriche ne se fera représenter il la Conférence que si l'Angleterre et la Prusse lui garantissent que les affaires d'Italie ne seront pas discutées. Nous trouvoas dans un journal français la résumé d'une circulaire adressée aux États de la Confé dération germanique par M. de Buol, le chef du cabinet de Vienne. Sans entrer dans l'examen approfondi des causes qui ont amené certaines puissances vouloir faire de la situation de l'Italie, une question de paix ou de guerre, le comte de Buol constate, comme un fait, les symptômes graves de la dissidence sur la ma nière d'envisager les affaires et l'avenir de l'Italie, qui existe entre l'Autriche et la France. Le cabinet de Vienne rappelle, en termes la fois éloquents et significatifs, les traités et les titres au nom desquels l'Autriche tient ses possessions terri toriales dans la péninsule italique et saisit habile ment cette occasion pour signaler non-seulement les circonstances qui ont concouru ce que les droits incontestables et incontestés de l'Autriche ont pu être perdus de vue par certaines puissances, mais encore le travail occulte et pernicieux qui, s'opéraut sans relâche dans les profondeurs les plus mysté rieuses des sociétés révolutionnaires, prépare l'Italie et l'Europe des convulsions dont le conti nent a déjà fait la douloureuse et jamais affligeante expérience. Le comte Buol témoigne avec effusion la joie ressentie par l'Empereur des manifestations de l'Al lemagne et des gouvernements en faveur de l'Au triche et contre toute aggression injuste laquelle elle pourrait un jour être en butte. Cependant, l'Autriche désirerait, dans l'intérêt de tout le monde, connaître d'une manière plus précise et d'une façon officielle la ligne de conduite que les Étals de la Confédération adopteront au cas d'une guerro entre l'Autriche, d'une part, et la Fiance et le Piémont, de l'autre. Ce ne serait qu'après des explications catégoriques des cours allemandes sur ces points, que la Diète de Francfort pourrait être saisie opportunément de ces graves questions. L'Autriche, enfin, rie doute pas de l'Allemagne, de son patriotisme, de son énergie, de sa prudeuce, de sa prévoyance elle fait appel toutes ces hautes et éclatantes vertus de la patrie commune germa nique, et attend avec confiance la réponse de ses confédérés. A la suite de la descente faite jeudi Menin, par les membres du parquet, de Courtrai, six individus ont été arrêtés par la gendarmerie et conduit la prison cellulaire de celte ville. La rixe, qui paraît avoir été des plus sanglantes a eu lieu dans un des faubourgs de la ville de Menin entre des ouvriers belges travaillant Halluin. Trois de ces derniers sont obligés de garder le lit, un quatrième est en danger de mort. Depuis dimanche, jour de la lutte, il n'a pas encore su articuler une seule parole. On a fait beaucoup de mots sur la princesse Clo- tilde. En voici un que la Patrie lui attribue Lors qu'elle mit le pied sur la Reine-Horteme, avec son auguste époux, le contre-amiral, M. Jurieu de La- gravière, lui exprima le regret qu'il éprouvait de l'état agité de la mer, et de l'impression désagréable que devaient produire sur elle les salves d'artillerie qui se succédaient sans interruption. Tranquil - lisez-vous, monsieur, lui dit la princesse, comme Piémonlaise, je ne puis craindre le feu, et comme Française, je dois l'aimer. Un effroyable accident a eu lieu, mardi dernier, Bruxelles. Un ouvrier, employé chez l'un des principaux baltenrs d'or de la ville, le sieur X..., avait dû, lundi, quitter son travail avant la ffn de la journée, se sentant, disait-il, un très-violent mal de tête. Le lendemain, il dut encore pour la même cause aban donner l'atelier et retourner son domicile. Rentré chez Jui, X... continua de souffrir du même mal, sans cependant que son état parût pré senter aucun symptôme alarmant. Mais tout coup, au moment où rien ne pouvait faire pressentir un pareil accès de démence sauvage, le malheureux ouvrier, entraîné par une horrible hallucination, s'élance sur le poêle, chauffé extraordinairement l'occasion d'un ouvrage domestique et presque com plètement ronge, et l'entoure de ses deux bras, en le pressant de toutes ses forces contre sa poitrine et son estomac. Aux cris d'épouvante poussés par sa femme, qui s'efforce en vain de l'arracher cette mortelle étreinte, on accourt, et l'on parvient détacher l'in fortuné X... du poêle qu'il continuait tenir em brassé avec le stoïcismo d'une folie insensible la douleur physique. Mais déjà toute la partie anté rieure de son corps présentait un aspect efliayant et indescriptible, et tombait pour ainsi dire en lambeaux, dévoré par le contact prolonge du bloc de fer rouge qu'étreignaient ses deux bras, pareille ment atteints et sillonnés d'affreuses brûlures. Au bout de quelques heures, X..., malgré tous les secoursde l'art, expirait au milieude souffrance» inouïes. La mort si tragique de ce malheureux, laisse sans autre ressource que la charité publique, une femme enceinte, déjà inère d'un premier en fant encore en bas-âge. Indépendance On écrit de Charleroy: <t Les deux femmes de Fa- millereux, les nommées Amélie Bouret et Joséphine Valeutiu dont nous avons annoncé l'arrestation pour crime de faux témoignage et subornation de té moins, sont renvoyées devant la cour d'assises du Hainaut, par décision de la chambre des mises eu accusation. Ce qu'il y a de surtout regrettable dans cette af faire, c'est que leur concitoyen qu'elles ont fait con damner 3 mois d'emprisonnement, a subi sa peine. Eiles avaient, paraît-il, contre lui certains griefs fondés ou non} pour se venger, elles allèrent un soir qu'il était sorti, déposer dans son vestibule un sac de divers objets volés, puis elles allèrent informer l'autorité du vol, eu indiquèrent l'auteur prétendu, et vinrent au tribunal confirmer ces lausses déposi tions en aggravant leur crime de subornation de témoins. Qaant au drame qui s'est passé au faubourg de notre ville, dans la maison de Pélagie Despoutin, l'on procède en ce moment une instruction sup plémentaire. Ou lit dans la Reeue et Gazette det Théâtre* Les jésuites d'Avignon viennent de ressusciter un usage observé dans leurs collèges aux deux der niers siècles; ils viennent d'y faire jouer Joseph vendu par tes frère* tragédie latine représentée pour la première fois en 1696, au collège Louis-le-Graud.» L'administration locale prévient tous les ha bitants que les rôles pour le recouvrement de la Taxe sur les chevaux, bétes cornes et mou tons, ainsi que de celle sur les chiens sont pro visoirement arrêtés et déposés au Secrétariat, l'inspection des contribuables. Ceux qui se croiraient lésés, sont admis faire valoir leur réclamation devant le Conseil com munal. Fait l'Hôtel-dc-vilIe, le 21 Février f §39. les bourgmestre et échevins, P. BEKE. par ordonnance LE SECRÉTAIRE, Jf. De Codt, Dans un bois appartenant M. Cary- Selosse, près de la ferme la Grande Munck, Dont plusieurs ont une circonférence de 2 3 mètres, par conséquent propres la construction de bàteaux, aux tonneliers, menuisiers, pour essieux et entrebuts de moulin et autres ouvrages. Le Jtcndi, 3 Mars 1859, 11 heures du matin, sur les lieux. Vers les 10 heures il sera vendu dans le même bois 1* 78 Plançons divisés en 3 marchés 2* 600 Fagot»; et 3° 800 Bourrées. La vente aura lieu long terme de paie ment pour les acheteurs solvablcs. Le Notaire TBERRV, Neuve-Église, est chargé de celte vente. ÉTUDE du saasaaaas, D'UNE BELLE ET SPACIEUSE A ÉTAGE, Ayant au rez-de-chaussée deux Salons, Place manger, Cuisine, Arrière-cuisine et Lavoir avec pompe, 4 grandes Chambres l'étage surmontées d'un beau Grenier, un grand Magasin, et 5 ares 90 centiares de Fonds bâti et jardin, située en la ville de Warnéton, sur la Grand'PIncc, ayant une sortie parle magasin rue des Uauts-Jardins. Occupée par M. le Vicomte Ohcrt, et dont l'acquér-tur entrera en libre jouissance avec la mi-Mars 1839. JfJise prix 4,120 fr. ADJUDICATION Mardi, V Mars (859, 3 heures de relevée, au cabaret le DAMitR, tenu par le sieur Eugène Delambre, Warnéton. DOOR VERANDERING YAN WOONING. VgNEIITIE van scuoone Op Dysscndag, 1° Maert 1859 en volgendcu dag, telkens om 10 uren voor- middag, zal den Notarjs VAN EECKE, te Yperen, opcnbaerlyk verkoopen, met comptant geld, ten huize bcwoond doorden hccr Charles Bondub, te Yperen, Thourout- straet, ur 4, wrlken hctzrlve vcrlaet, aile de Meubilairc Goedercn hetzelve buis be- kleedendo, bestaende wel namentlyk in Sloelen Tafels, Kleerkassen Comoden, Secrétaire, Beddcbakken en Nachttafcls, al van acajou en kcerzclaren bout, wel ge- maekt veel Brddingcn en toebehoorten, als Matrasscn, pluiinen Bcdden en Uoofd- kussen, Onderbedden, Ressors, wollen en catoenen Sargien Slacplakcns Spreien (Courtepointes); Keukcngcrief, veel Koper, Tin en Yzerwerk, kristalincn en andrre Bier-, Wynglazen en Karaffen, Tafcldwalen en Serviette», Galeis en Porcelcin Kook- en twee andere Stoven; Slaghorlogie met kas, Pendulen, Schouwstukken en schoone Printen;Venster-en Bedgordynen, Tapylcn, Vrouwklcederen en veel ineer andere Goe- deren te veel ora alhier te mclden. van TE UOUTIIEtt EN COHEN. Den SioTARis DLFORT, le Ledc- gheiuzal Dysseudag1" Maert 1859, ten 10 uren voormiddag, open- baerlyk doen verkoopenter hofsleden gebruikt door de weduwc en kinderen Joannes-Ignatius Vanden Berghe en Joan- nes-Baptiste Soete, te Iloulhcm en Comen, een groat gelai schoone en zware Abeeien en Popelieren, waerouder verscheide van 2 tôt 3 meters dikte. Op gcwoone conditien en langen lyd van bctaling. By M' POUPART-VIEKNE, Notant ter residentie van Oostvletereu, is er geld in leening te hekomen mits goed bezet

HISTORISCHE KRANTEN

Le Progrès (1841-1914) | 1859 | | pagina 3