LABOUR, illlk POUDRE esVINS.EÀUX DE VIEet LIQUEURS Chemins de fer de la Flandre occidentale. Chronique politique. 3 TRES-BELLES ET BONNES AUTRES BIENS, A VENDRE 89 o*5?s>iaa3. ÉTFDE du Notaire BUTAYE, WARNÊTON, CONTRE LA TILLE. EXCELLENTE PARTIE A VENDRE. COURS PRATIQUE BERIGT. Poudre du Monténégro. AMÉLIORATION IGLUTEN d'Ulysse ROY, de Poitiers. 0 téavecl'intelligence, avec l'instruction jusqu'ici exclues au profit de la richesse matérielle. Le point de départ est admis, espérons que l'idée fera bieulôl le reste «lu chemin. i Journal de Bruges.) RECETTES DU MOIS DE JUIN. 1859. 1858. 1857. Voyageur* 48,976 35 47 986 57 48 878 79 V'W 930 07 1,079 35 1,10» 05 Marchandises, eto 32,209 90 32 558 50 32,406 22 Total du mo's de Juin. 82,116 30 8I,624~42 82 385 06 Recettes du 1' Janvier su 30 Juin 514,682 28 469,184 01 469 106 26 Du 24 Juillet an 27 inclus. Le Moniteur universel a commencé dimanche la publication des adresses envoyée* l'Empereur, que le Conseil municipal de Taibes appelle l'immortel vengeur de 1 Italie, il qui Dieu a donné la belle et sainte mission de pacifitr les esprits, de réorganiser l'ordre et de venger les nationalités opprimées. D'a près M. 1 l'uplong, la France satisfaite, a admiré la prudence du pacificateur qu'elle avait salué la veille comme un capitaine digne de son grand nom c'est pour des succès tels que ceux obtenus par Napoléon III qu'autrefois Rome décernait ses guerriers les honneur* du triomphe. Dans l'opinion de M. De vienne, premier piésideut la Cour impériale, Napoléon ramène le* jours de triomphe et de gloire aptès avoir rendu k la France l'ordre et le calme intérieur. Le conseil municipal de Lille nous ap prend que S. M. I. a imprimé la prospérité natio nale un développement inouï, et qu'il n'est plus aucun genre de gloire qui ne resplendisse anjour- d 11ui sur son auguste front. Un autre conseil mu nicipal, celui d'Amiens, estime qu'en posant les bases d'une confédération italienne, Napoléon 111 a accompli des travaux étonner le monde. Évidemment, s'il fallait en croire le Moniteur, tous nous avons tort, car l'Italie est libre et la paix européenne assurée; au moins, d'api ès les paroles de l'Empereur, il y a lieu d'espérer que celle-ci ne sera plus troublée. Mais l'Europe est en général si injuste envers l'Empereur, qu'on persiste n'Svoir plus confiance dans ses paroles et qu'on n'espère plus rien de bon de la politique napoléonnierine. Aussi les nouvelles d'Italie sont-elles de plus en plus graves et l'on se demande comment il sera pos sible d'organiser la Confédération dont la présidence honoraire est réservée au Pape. S. S. pour sa part, se borne publier une encyclique dans laquelle elle invite les fidèles rendre Dieu des actions de grâce pour la paix et pour la conversion de ceux qui ont été entraînés k s'éloigner du sentier de la vérité; Pie IX accuse en même temps l'autorité usurpatrice étrangère qui proclame que Dieu a fait l'homme libre de ses propres opinions, suit politiques, suit religieuses. A Florence, la municipalité vote l'annexion au Piémont, et exprime le vœu, si l'annexion était im possible, de faire gouverner la Toscane par un prince de la maison de Savoie. Toutefois, une dépêche do Turin nous apprend que les commissaire* tardes en Toscane, k Parme et 1 Modène seront incessamment rappelés. Dans la Romagne, on signe partout des adresses en laveur de l'union avec la Sardaigno et par conséquent contre l'administration du Pape. Une division de l'armée française va être envoyée dans les Etals de Parme et de Toscane; un autre corps français est destiné se rendre dans les Léga tions. Cette nouvelle contredit singulièrement les déclarations faites, l'une par le comte Pepoli au gouvernement provisoire de Bologne l'autre par lord John Rossell la Chambre des communes ven dredi soir, que le gouvernement français n'inter viendrait pas par la force des armes pour rétablir le Pape dans les Légations et les autres souverains dé possédés de l'Italie dans leurs pays respectifs. Dans la grande discussion qui a eu lieu jeudi la Chambre des communes d'Angleterre sur les affai res d'Italie, M. Briglit et lord John Russell se sont plaints du langage peu mesuré dont se servait la presse anglaise pour apprécier et blâmer la politique impériale de la France. Ils ont prétendu voir dana cette liberté de langage un danger pour l'alliance auglo- française. Le Time» répond aujourd'hui k ces reproches. Sa réponse s'adresse surtout au cabinet anglais. Le Morning- Pott persiste demander la réunion d'un t'oiigi ès. sSa FERMES 1* Une FERME de 22 hcc- j tares 49 ares 03 centiares, située là Biuelen et Boesinghe, un ki lomètre et demi de la ville d'Yprcs, tenant la chaussée vers Dixmutlc;occupée par les enfants Catteeuw, i 1,900 francs par an, outre l'impôt. Mise prix 73.200 fr. 2« Un JARDIN POTAGER de 44 ares lOcentiares, selon titre, et seulement de 30 ares 08 centiares, d'après le cadastre, situé k Boesinghe, contigu la ferme prémen tionnée; occupé, sans bail, par Désiré Van Eeckhout, 100 francs par an, outre l'impôt. Mis prix 3,000 fr. 3* Une FERME de 14 hectares 19 centiares, située Reningiib, au sud-ouest de l'é glise, peu de dislance de la chaussée d'Ypres vers Furnes;occupée par le sieur Jean-François Vandcrgucht1,000 francs par an, outre l'impôt. Mite prix seulement 30,000 fr 4* Une FERME de 10 hectares 50 are* 51 centiares, située Zonnebeke, près du hameau te Frescnberg, tenant la chaussé vers Ypres; occupée par le sieur Jean- Baptiste Goemaere. Mise prix seulement 19,000 fr Et 5* - Un JARDIN POTAGER de 27 •rrs 19 centiares, situé territoire rural d'Ypres, au nord de la chaussée vers Confi nes; occupé par la veuve Van Doorcn Mis prix n 3,000 fr. Le bail de la première Ferme expire en 18C2 e> celui de In deuxième en i 803. Les fermages sont susceptibles d'augmen tation. L'ADJUDICATION DÈFINITIVEnura lieu en la ville d'Ypres, l'hôtel l'Épée koyale, le Samedi, 6 Août 1859, deux heures de relevée, par le ministère du Notaire VAKDEHMEERSCB, Ypres; et l'on peut aussi obtenir tous renseignements en l'étude du Notaire FORREST, Wervicq. Warnêton. DE d'origine patrimoniale, Le Lundi, 8 Août 1859, 5 heures de I'après-dinée, au cabaret les Trois-Ahis, occupé par Fr. BeunWarnêton, rue d'Ypres, le dit Notaiiib RUTAYE, procé dera l'ADJUDICATION DÉFINITIVE, en une seule séance, de l'Immeuble suivant WARNÊTON, Près du cabaret le Roosteret le long du chemin de Neuve-Église et de celui des Loups. Une GRANDE et BELLE PARTIE DE LABOUR, de la contenance selon titre de 88 ares 66 c., cl selon cadastre 87 ares 90 c., tenant le dit chemin de Neuve- Église, le chemin des Loups, les labours des enfants Renard et de M. Roger Laloy-Vol- breclit; occupée jusqu'au I' Octobre 1860, pur le dit Beun, 120 fr. l'an, outre l'impôt. 1' lot. Le tiers, prendre du eôté du levant, faisant 29 ares 53 c., aboutissant les chemins de Neuvc-Êglisc et des Loups, le 2* lot et M. Laloy-Volbrecht. 2* lot. 29 arcs 53 c., formant le second tiers et étant la partie du milieu, tenant le 1' marché, le chemin des Loups, le 3* lot et le dit M. Roger Laloy. 3* et dernier lot. Le tiers restant, con tenant aussi 29 arcs 53 c., formant le côté occidental de la dite partie, aboutissant M. Laloy, le 2* lot, le prédit chemin des Loups et les terres aux enfants Renard. Les trois lots seront aussi présentés en masse. Lc^ titres de propriété et le cahier des char ges se trouvent déposés, l'inspection des amateurs, en l'étude du Notaire BUTAYE, Warnêton. En vente au bureau de cette feuille de la taille et de la conduite des arbres fruitiers, FA* B. MORTIER, INST1TPTS0S I* CHRP A L'ÉCOLR COMMUNAL! D'TPKKS. Brochure in-8*, contenant 44 pages et 3 grandes planches lilliograpbiées, prix fr- 1-25. By M' POUPART-VIENNE, Notari* ter rcsidentic van Oostvlcteren, is cr geld in leening te bekomen mils goed bezct PHARMACIE DES PANORAMAS. 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Diplôme d'honneur, bore ligne, 1856, 5* 6" NOUVELLE LIQUEUR VINEUSE d'Ulysse Roy, de Poitiers, colore, fortifie et améliore instan tanément 1rs vins rouges et blancs; la bouteille, 3 fr., pour 1 hectolitre. (L'h ctolitre pour l'étranger et les col nies) SlItOP et EXIR\IT DE ItAISINS; vieillit et enlève la verdeur des vins nouveaux; la bouteille, 6 fr. 25 c. pour un hectolitre. L'hectolitre BOUQUET OENANTIQUE DES VINS, les améliore et élève leur prix; le flacon, pour une pièce, 2 fr. (se conserve indéfiniment). i.e cent ESSENCE DE COGNAC (garantie) ou RANCIO d'Ulysse Roy, bonifie instantanément les eaux-de- vie tie toute nature; le flacon pour un hectolitre, 5 fr. (Recette déposée et approuvée.) Le cent PARFUMS CONCENTRÉS pour liqueurs françaises et étrangères; le flacon pour 20 litres, 3 fr. Ces produits vont chimiquemi nt fabriqués. 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Le Progrès (1841-1914) | 1859 | | pagina 3