Nouvelles diverses.
STEENEN MOLEN
VERKOOPING
BERIGT.
PMTISCHE LSERGAHG
het snoeijen en opleiden der Fruithoomen.
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gea et l'Empereur des Français. On ajouta aujour
d'hui que l'archiduc Maximilien assistera cette
entrevue.
Nous donnons plas loin des détails sur l'accueil
enthousiaste qu'a reçu h Gênes et Turin la députa-
tion de la Toscane. Les banquets et les discours n'au
ront point manqué cette députalion, qui doit rap
porter ses concitoyens l'acceptation conditionnelle
du roi de Sardaigne. Cette acceptation a déjà provo
qué une crise ministérielle. M. Rnlazzi l'aurait vou
lue pure et simple, francheet immédiate, tandis que
le général La Marmora était opposé toute accepta
tion. De là conflit et crise ministérielle. En Toscane
elle a provoqué les manifestations les plus enthou
siastes. A Florence les armoiries de la maison de
Savoie ont été placées, aux applaudissements de la
foule, sur les portes des palais Vecchio, Litti, et de la
municipalité. Le gouvernement provisoire a publié
une proclamation explicative des pâroles du roi
Victor-Emmanuel.
La réponse faite par le roi Victor-Emmanuel il la
députalion toscane est regardée par VO*t-deutsche-
Postcommeayant un caractère plus évasif que con
ditionnel. 11 est vrai que V Ost-Deut*che-Po*t, est
l'organe de la pensée et des désirs de la politique
autrichienne. La restauration des princes dépossédés
lui paraît toujours l'issue la plus certaine et la plus
naturelle de la situation présente, et il soutient que
les signataires du traité de Villafranca en ont fait la
condition, implicite, sinon formelle, de la cession de
la Lombardie au Piémont. Vouloir prendre ce qui
n'a pas été cédé, dit VO*t-Deut*che-Po*tc'est
■«'enlever le droit de garder ce qu'on a reçu.
Plus nous avançons, et plus il de vien'té vident que
<ce traité de Villafranca, dont les stipulations sont si
•contradietoirement interprétées, a été, pour employ
er une ex pression polie, un singulier malentendu.
Il est très-certain que S. M. François- Joseph, en
signant celte convention improvisée, a été complète
ment abusé sur le sens et la portée de l'acte qu'il
acceptait. La question des duchés, surtout, lui a été
présentée sous un jour, dont l'apparence fallacieuse
n'était pas tout fait destinée favoriseréventuelle
ment le mouvement qui se produit en ce moment
an centre de l'Italie. La marche rapide des événe
ments a brusquement détrompé l'empereur d'Autri
che en même temps qu'elle dissipait, de l'autre côté
des Alpes, des illusions qu'on avait eu le tort de trop
bien dissimuler sous des déclarations de désintéresse
ment. En Autriche, en juger par le langage de
l'Ost-Deutsche-Pott, on persiste croire que le roi
de Sardaigne attendra la signature du traité de paix
pour exprimer son regret, coup sûr bien sincère,
de n'avoir pu annexer Ces territoires son royaume.
Cette espérance de l'Autriche a bien l'air d'une me
nace.
Le Time* envisage la situation au même point de
Vue que la feuille autrichienne. Il pense que la guer
re eût immédiatement recommencé si l'acceptation
du roi de Piémont n'avait pas étéconditionnelle.
Le Times pense anssi qu'en signant la paix de Vil
lafranca, l'empereur François-Joseph loin de vou
loir sacriâer les duchés, croyait au contraire que la
France aauclionniat ses droitsderéversion et consa
crait uneextcnlionévenluelle de territoire en faveur
de l'Autriche.
Nouscomprenons aisément les difficultés queren-
contrent les plénipotiaires de Zurich chargés de
donner une forme acceptable et permanente ce
traité de paix sur lequel on n'a été d'accoi d ni avant,
ni pendant, ni après. Et, si on veut éviter la solution
violente que prévoient,dans des intérêts si différents,
le Timtt et V0*t-Deuttche-Po*t, la prochaine réu
nion d'un Congrès est une inévitable nécessité.
En attendant, le Times félicite le roi Victor-Em
manuel de la prudente réserve qu'il a mise dans sa
répones.
Le Morning Pottorgane du ministère anglais,
considère l'acceptation du roi Victor-Emmanuel
comme définitive et le sort de» duchés, comme dé
sormais lié d'une manière indissoluble celui du
Piémont.
Le voyage d'inspection de l'empereur des Fran
çais Cherbourg paraît définitivemeat fixé aux
premiers jours du mois d'octobre.
Le gouvernement napolitain songe, dit-on, h for
mer une légion de soldats étrangers j elle serait
organisée très-promptement.
A Milan, sous le régime da la dictature, une feuil
le de caricatures, qui doit être soumise la censure
préalable,contenait dernièrement deuxdessins, dont
l'un représentait le* têtes découronnée* et l'autre le*
tête* découronner. Parmi les premières figuraient
des bustes avec cette inscription Toscane, Modène
et Parme. Parmi les secondes, deux autres bustes au
pied desquels on lisait Rome et Naples. Le Piemonte
trouve cette licence assez significative. Nous som
mes de son avis.
Le Diario, de Barcelonne, du 2 septembre, dit
savoir d'une source élevée que le concordat a été
signé Rome le 25 août, sur la base du désamortis-
aement absolu moyennant le paiement de la valeur
des biena du clergé en inscriptions inaliénables.
Le Diario félicite de leur esprit de conciliation le
Pape et M. Rios Rosas, ambassadeur de S. M. Catho
lique.
Il règne en ce moment une grande activité la
Monnaie on fabrique chaquç jour, dan» les hôtels
de Strasbourg et Paris, pour quatre millions d'or en
espèces de 20, de 10 et de 5 francs, ces derniers du
dernier module.
Sous le règne de Napoléon III, lea presse» moné
taires ont frappé pour 3 milliards 770 millions
864,775 francs de monnaies d'or, et 176 millions
908,35 1 francs 90 centimes d'argent. Le chiffre total
du numéraire frappé en France, depuis l'inaugura
tion du système décimal jusqu'à i358, est de 9 mil
liards 611 millions 169,541 francs.
On a frappé jusqu'à ce jour pour 5g millions
476,500 francs de pièces d'or de 100 francs.
Il serait désirer que la fabrication des pièces de
1, de 2 fr. et de 5o centimes soit largement étendue.
Dans une commune voisine d'ici, le curé, faisant
le catéchisme, demande un petit villageois:
Beuchu, es-tu Chrétien
J'sais pas, m'sieu le curé.
Comment, tu ne sais pas ce que tu es qu'est-
ce donc qu'est ton père
Il est fermier, mais maman prétend qu'il e»t
ivrogne.
Innocent Bouchu, refléchis, et dis-moi ce que
tu es
Je suis embété, sauf votre respect.
Non, mais tu es bête.
Oh que nenoi on dit qee je auis le plus ma
lin de chez nous.
- Combien êles-vous elitz vous
Autant que j'avons de cuillers.
Et combien avez-vous de cuillers
Chacun la nôtre.
On prétend que le curé compta longtemps et
ne trouva pas la solution du problème.
PETIT DIALOGUE SUR LA DIGUE.
Ah mon dien, chère belle, que je voua trouve
triste aujourd'hui, qu'avez-voua donc
Ne m'en parlez pas, j'ai un tas d'ennuis D'a
bord je auia horriblement enrhumée, ensuite on
m'a rapporté une robe qui me va mal, puis mon
mari arrive demain.... si vous croyez que c'est
drôle
État-civil d'Vpbes, du 4 Septembre au 40 inclut.
Naissances. Sexe masculin 4, id. féminin 4, total 8.
Mariages. Waeles, Amand, tapissier, et Van Over-
schelde, Pauline, dentellière. HouvenaghelCharles,
cabaretier, et MurentJulie, cuisinière.
Décès. De Vos Nalalie 58 ans, dentellière, céli
bataire, rue de Menin. Van Houtte, Ives, 59 ans,
charpentier, époux de Joséphine Stekelorum, rue de
Menin. Boudry, Pierre 55 ans, tisserand, époux de
Catbérine Gisquierc, Brielen-lez-Ypres. Valcke, Barbe,
63 ans, sans profession épouse de François Hinnion,
S1 Jacques-lez-Ypres. Van Besien, Pauline, 67 ans,
rentière, célibataire, rue des Pauvres Filles. Engels,
Françoise, 91 ans sans profession, célibataire, rue Gas-
pard-Konyn. Lesoone, Jacques, 83 ans, clerc d'église,
célibataire, rue de Menin. GoffinAgnès, 50 ans, sans
profession, épouse d'Henri Renard, rue du Quai.
Temperman, Henri, 21 ans, sans profession, célibataire,
rue de Menin.
Enfants au-dessous de 7 ans sexe féminin 5.
Marché B'ÏPRES.
ÉTAT indiquantles quantités et le prix moyen de*
grains, fourrages et autres produits agricoles, vendus
le 10 Septembre 1859.
NATURE
bf.s
grains et denrées
Froment
Seigle
Avoine
Pois
Fèveroles
Pommes de terre
Beurre
quantites
VENDUES.
30,968
7,912
616
416
5,985
5,460
prix moyen
PIE
cent kilogrammes.
fr. 22 54
17 11
18 18
18 75
16 66
6 25
245 76
poids moyen
de
l'hectolitre.
78 40
73 60
44
83 20
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VERKOOPING
DER ROERENDE EN DRAEYENDE
van den
van M. Ludovicus TAUPE-CUVELIER
LANGS DEN LAGEN-WEG,
TE WERVICK..
De Notaris FORREST, te
gezegde Wervick verblyvende,
lzal1opl>yM»dng,4,October
1859, ten 2 uren namiddag, nevens den
voorsebreven molen, verkoopen
Eenen onlangsnieuwgcmackten As, twee
Moleneinden geboord en gereed om er de
scheeden in te slaentwee Pestels, nici
meer dan een jaer gediend hebbende, vier
Eindcn met hunne scheedenvicr Zeilen
waervan twee slechls een jaer nieuw, een
Wiel in goeden stael dienende om op eenen
standaerd te placlsen voor het malen, twee
Maélsteenen, de eene van 1 meter 80 een-
timeters en de andere van 1 meter 50 cen-
timeters middellyn, voor een ofmeer jaren
gewacrborgt, eenen As met zyne lemmers,
eenen Steenreep en eenen gang nieuwe
Lemmers.
Tyd van betaling, mits voldoende borg
ten vergenoegen van gezegden Notaris
FORREST, met den ontvangst derzclfde
verkooping belast.
van eene
HOVENIERHOF
EN ZAEILAND
TE WESTK00SEBEKE.
INSTEL op Dyasendag, 37* Sep-
teuiber, enOVERSLAG op Dyssendag,
11° October IS59, t'clkens om 4 uren
namiddag, ter herberg de Kortekbbb, te
Westroosebekedoor het ministerie van
den Notaris VAN EEC&E, der nasclireven
Gocderen
WESTROOSEBEKE.
1° koop. Ter noordzyde van de plaets,
een HUIS zynde herberg gcnaemd de Kor-
met Broodbakkery Stalling en
TEKEER
verderc Gerieven toe dies 6 aren 88 cen-
tiaren Erve waerop al 't zelve is staende en
medegaende.
2° koop. Zuid aen koop 1, een per-
ceelkcnGROND, groot 2 aren 60 centiaren.
5" koop. West van 't voorgaende, een
H0VEN1ERH0F groot 10 aren 40 cen
tiaren.
4° koop. Noord van 't voorgaende,
eene partie ZAEILAND groot 60 aren.
De voorsebreven Goederen zyn gebruikt
door de gezusters Wallopmet beboudenis
tôt 1° October 1860.
INSTELPENNINGEN TE WINNEN.
De voorwacrden der verkooping berusten
t'elks nazien ten kantoore van den Notaris
VAN EECKE, te Yperen
By M' POIJP ART—VIENNE, Notaris
ter residentie van Oostvleterenis er geld
in leening te bekoraen mits goed bczet.
Mr i f I? Y chirurgien-dentist)
M il là Ei honoraire du Roi,
place Belliard, n° 3, Bruxelles, désireux
de justifier la confiance dont sa clientèle l'a
honoré jusqu'aujourd'hui, vient d'acquérir
un appareil vapeur propre vulcaniser et
durcir le caoutchouc. L'applieation de cet
appareil la fabrication de dentiers base
en caoutchouc, breveté, permet M. Alex
de réaliser les plus grands progrès que l'art
dentaire ait fait de nos jours. M. Alex n'a
reculé devant aucun sacrifice pour apporter
toute la perfection possible dans la pratique
d'un art qui a fait l'objet des études de toute
sa vie. Quant au mérite des dentiers base
de caoutchouc et gutta-percha, tous les
journaux l'ont proclamé assez haut pour
qu'il soit inutile de le rappeler ici.
Te bekomen ten bureele van dit dagblad
VOOR
door
B. MORTIER,
hooedonderwizer ht de gimientischoor
van tpeken.
Brochuer in-8", inhoudende 44 bladzyden
en 3 groote op steen gedrukte platcn,
prys fr. 1-25.