FUMIER IMMEUBLES k VENDRE, PRAKTISCHE LEES6ASG het snoeijen en opleidea der Fruitboomen. Chronique politique. nouvelles diverses. VENTE BERIGT. rapportés par ceux qui ont pu assister l'audi tion des témoins, sont de nature faire naître de tristes réflexions sur la moralité de nos cam pagnards, qui croient pouvoir mentir impuné ment la justice, porter de faux serments et forfaireà tous les devoirs sociaux quand il s'agit d'une question où leur fanatisme inepte voit leur salut, le ciel ou l'enfer engagé. [Mémorial.) Incendie l'entrepôt d'Anvers. Anvers, 23 octobre. Un incendie a éclaté, cet après-midi, l'en trepôt royal d'Anvers. Le feu a été signalé, vers 3 heures, dans le pavillon du centre. Ce pavillon, qu'on disait incombustible et qui contenait du sucre et du riz, a été complètement détruit ils s'est écroulé avec fracas. Deux per sonnes ont péri. Le feu couve encore sous les décombres, et l'on craint que l'incendie se ranime. Conr d'assises de la Flandre occidentale. Li*te des jurée appartenant larron dittement judi ciaire d'Ypret, appelée eiégerà la Cour d'aeeieee de la 4° eeesion i 85g, i* eérie, qui e'ouvrira le i4 Novembre prochain. i. Du mortier, Jean-Baptiste, brasseur, Corn i nés. Van Renynghe, Hubert, propriétaire, Pope- ringhe. 3. Cools, Joseph, pensionnaire, Ypres. 4. Vande Zande, Jacques, propriétaire, Ypres. 5. Beaucourt, Auguste, avocat, i Ypres. Devos, Charles, propriétaire, Poperinghe. 7. Andi ies, Gustave, secrétaire communal, Hoog- lede. 8. Paltyn, Ignace, échevin, Hooglede. Du 23 Octobre au 26 Inclus. Jusqu'à présent, le premier traité entre la France et l'Autriche est seul signé. Les deux autres ne le seront que lorsque l'Autriche aura accepté certaines clauses arrêtées entre les deux autres puissances contractantes, et lorsque la Sardaignc aura adhéré certains engage ments pris par la France et l'Autriche, sans renoncer au droit et la possibilité de plaider devant un congrès la cause de l'Italie centrale. S'il faut en croire le Courrier du Dimanchece qui a retardé la signature du traité entre la France et le Pié mont, c'est que la première a demandé du second 60 millions pour indemnité de guerre en alléguant que la cession de la Lomhardic faite par l'empereur Napoléon au roi Victor-Emmanuel assure au Piémont une trop importante acquisition, et augmente dans une trop large mesure le territoire et la force de la maison de Savoie, pour que le roi Victor-Emmanuel ne doive, pas une in demnité la France. Après quelque résistance, le cabinet de Turin cédé, paraît-il, puisque VOpinione compte ces 60 millions dans les 500 qued'après ses calculs, la guerre a coûté au gouvernement sarde. Le Courrier du Dimanche parle en outre de la propo sition qui aurait été faite la Sardaignc de se charger des pensions accordées par Napoléon 1er sur les fonds du Montc-Milano mais il ne dit pas ee qui a été convenu, et nous ne trouvons ailleurs aucune information sur ce point. Les journaux français reproduisent l'analyse du traité sans y ajouter de commentaires. Les plus osés se hasar dent dire que l'analyse pourrait bien n'être pas authen tique et réservent, pour ce motif, leur approbation. En Italie, le traité de Zurich n'a contenté personne, et, comme indice de la situation, nous devons signaler la résurrection de la Société nationale italiennesous la présidence honoraire de Gnribaldi. Un coricspondnnt de Modène, du 18 octobre, annonce VOpinione que le duc de Modène François V aurait abdiqué en faveur du duc Robert de Bourbon, sous la régence de la duchesse sa mère; et VOpinione en conclut assez lestement que le duc de Modène a, par cela même, reconnu l'impossibilité de sa restauration. il est question, parait-il, de la rentrée aux affaires de M. de Cavour: le correspondant de la Presse dit qu'à la veille d'un congrès, l'on souhaite Milan et Turin voir prendre par cet homme d'État le portefeuille de M. le générai Dabormida C'est, vous le sentez, une assez grosse question, dit le correspondant de la Presse. La présence de M. de Cavour au cabinet, dans une circonstance où le cabinet va être continuellement en rapport avec l'Europe, serait assurément une excellente chose. Mais M. Ra- tazzi est très utile pour l'intérieur. Un cabinet Cavour- Ratazzi est-il actuellement possible? Je le souhaiterais pour ma part. Quoi qu'il en soit, la presse me parait disposée pousser M. Dabormida la retraite. Elle de- mande déjà pour les affaires étrangères, un ministre définitifun homme d'un esprit vaste, d'une nature subtile et d'un caractère ferme. Un de ces matins on écrira, au bout de cela, le nom du comte Camille Cavour, n'en doutez pas. La nouvelle de l'entrevue de l'empereur d'Autri che et de l'empereur de Russie est aujourd'hui révoquée en doute et il ne paraît pas qu'elle doive avoir lieu. Le seul fait exact jusqu'à présent c'est que l'archiduc Albert a été envoyé Varsovie pour complimenter le tzar. Une dépêche télégraphique annonce que le ma réchal O'Donnell a fait connaître officiellement aux Cortès le rappel du ministre espagnol Tanger. On s'attendait apprendre la déclaration de la guerre avec le Maroc le lendemain. Il paraît que l'interven tion anglaise n'a pas abouti une entente entre les deux pays et, s'il faut en croire les renseignements donnés par la presse espagnole, le gouvernement britannique ne verrait pasavec satisfaction l'Espagne remporter des succès dans le Maroc. Les commer çants anglais, s'inspirant de cette politique, se se raient même faits les pourvoyeurs des ennemis de l'Espagne. La Iberiaentre autres, assure que, la semaine dernière, des négociants anglais, qu'elle ne veut pas nommer, mais dont on sait les noms, ont vendu aux Marocains 4^000 quintaux de soufre, des boulets de canon, et des balles en grand nombre, et se sont engagés de plus fournir bientôt des fusils européens d'une excellente qualité. En attendant on mande de Gibraltar que la garni son, composée de sept régiments, sera renforcée de trois autres légiments. Vingt canons Armstong ont été montés sur les batteries de la Puerto de Tierra. On déploie la même vigilance que si la guerre était déclarée entre l'Angleterre et le Maroc. On lit dans le Journul de Charleroi Il existe dans une maison de village de nos environs, un échantillon curieux de l'esprit des moines d'autrefois. C'est un tableau qui représente divers animaux rendant témoignage de la naissance de Jésus-Christ. Dans la partie la plus élevée paraît un coq, et de son bec sort une bande de papier où sont écrits ces mois Christus natus est; plus bas est un canard, avec ceux-ci Quando? Quando un corbeau répond In hac nocte; line vache demande Ubi? Ubi?k quoi un agneau répond en bêlant, Bethléem. Ce tableau appartient un maréchal-ferrant et pro vient de l'abbaye d'Aulnes. La Gazette du Tyrol rend compte d'un procès assez intéressant qui a occupé récemment les tribunaux ecclé siastiques et civils du pays. En décembre 1858, deux amoureux de Roveredo, qui n'avaient pu obtenir les consentemens requis pour le mariage, résolurent de se marier conformément un usage du pays. Us se présentèrent un matin avec deux témoins leur curé, au moment où il revenait de l'église pour rentrer chez lui.. Arrivé son domicile, l'homme déclara qu'il prenait la demoiselle N.. pour son épouse légitime celle-ci fit une déclaration analogue, et, en même temps, les nouveaux conjoints se donnèrent la main, Le curé, tout surpris, s'adressa l'ordinaire épis- copal pour savoir si un mariage ainsi contracté était valable. Il lui fut répondu que, d'après les saints canons et depuis la conclusion du concordat, ce mariage était complètement valable, mais que I'évéque déplorait néan moins ce fait, et devait frapper d'interdit les contractants aussi bien que les témoins. Le tribunal civil les a condamnés alors pour défaut de publication, le mari 4 mois, et la femme 2 mois de prison, avec jeune. Mais la Cour d'appel a réduit ces peines 5 mois pour le mari et 15 jours pour la femme. On mande de Stcttin qu'un enfant de sept mois est mort la suite d'une morsure de rat. Un souvenir assez curieux de l'expédition fran çaise Alger, au mois de mai 18S0, va nous mettre même de mesurer les immenses progrès que la marine a faits, sous le rapport de la célérité, depuis j83o. La flotte française qui emportait environ 4o,ooo hommes de débarquement, fit voile des côtes de France le 3i mai et n'arriva devant Alger que le i3 juin. Il lui fallut donc quatorze jours pour franchir une distance de 17S lieues, qui n'exige aujourd'hui que 3o heures. Une sensible mais prévoyante épouse. Un négociant, sentant que l'heure de la mort allait son ner pour lui, appelle sa femme, qui fondait en lar mes, et lui dit Mon amie, mes affaires sont prospères; mais quand j'aurai fermé les yeux tu seras ruinée si un homme intelligent n'est pas là pour les diriger. Promets-moi que tu te remarieras. Me remarier, jamais Ne me parle pas de ta mort. Je le dois pour toi, pour nos enfants. Jules, mon premier commis, est un excellent travailleur... Ne me parles pas de cela. Si, pour que je sois tranquille, promets-moi que tu l'épouseras. Ah! j'y avais déjà songé, répondit en sanglo tant la pauvre femme. On discourait hier dans un cercle de cette ville sur le crédit des Etats. De l'avis de tout le monde l'Aulriche.était perdue et 11e pouvait se sauver qu'en vendant la Vénétie. Tous les Etals, dit M. X., sont peu près au même point, leur dette les accable et les pousse fata lement la banqueroute. Hormis un seul, dit M. H. Et cette honorable exception quelle est-elle Le gouvernement du Pape. Oh! Oh! Pourquoi la banqueroute l'épargne rait-elle plus qu'un autre? Est-ce que vous ne savez pas dit M. H. que le pape est infaillible. 2* RÉGIMENT DE CUIRASSIERS. D'UNE GRANDE QUANTITE de Samedi, 2» Octobre 1859, 2 et demi heures de relevée, la Caserne de Cavalerie, rue des Tuiles, en la dite ville. Argent comptant et 10* denier, outre la somme principale. Qu'on se le dise. D'ORIGINE PATRIMONIALE, SITUÉS A COM IN ES-FRANCE, AU BAS DE COMINES, SANS CHARGE-DE BAIL Le Notairï FORREST, de résidence Wervicqce commis judiciairement, vendra au plus offrant et dernier enchéris seur, les Biens suivants COMINES-FRANCE, au bas dp. Comines. i' lot. Une partie de TERRE A LA BOUR grande h. 0-48-73 tenant an chemin de Com.incsà Qucsnoy, fiondues- Berten et au 2* lot. 2* lot. Une partie de TERRE A LA BOUR, grande b. 0-70-88, tenant audit chemin au 1' lotM11" Louise Joye, et Louis Vandammc. 3" lot. Le 8* indivis d'une FERME avec h. 1-05-48 en Fouds-bàti, Jardin- Verger planté d'arbres montants et fruitiers et Terre labour, aboutissant au sentier du poirier, au 4" lot, M. Lauwyck-Van Elslandc et au chemin de Wervieq Ques- noy. 4* et dernier lot. Le quart indivis de h. 0-35-44 de LABOUR tenant au 3' lot Angélique Lefehvre ci audit M. Lauwyck- Van Elslandc. Tons lesdits biens sont occupés, sans bail, par Henri Berten, au fermage annuel de 160 fr.susceptible d'une forte augmen tation. MISE-A-PRIX Lundi, 31 Octobre 1859, et ADJUDICATION Lnndi, 14 Novembre 1859, chaque fois 5 heures du soir, l'auberge le Duc ds Brabant, près de la Station Comines-Belgiquc. Pour tous renseignements s'adresser en l'étude du Notaire FORREST, Wervicq, ou en celle du Notaire DELEEORTR1E, a Gheluwe. Te bekomen ten bureele van dit dagblad VOOR DOOR o B. MORTIER, HOOrDO.VDVEWTZKR BT DE GEMEEKTBtCHOOl VÂN tperen. Brochuer in-8% inhoudende 44 bladzydcn en 3 groote op steen gedrukte platcn, prys fr. i-25. By Mr POE PART-VIENNE, NoUris er residentie van Oostvlcteren, is er geld n leceing ta bekomen mits goed bezet.

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Le Progrès (1841-1914) | 1859 | | pagina 3