ADJUDICATION
nuiiiynD,
BOOMEN,
s
PRÉPARATOIRE.
r VROCHTEH, MELKK0E1
Variétés.
Marché d'Vpres.
AENMERKELYKE VENDITIE
TE GULLEGHEM.
AENMERKELYKE VENDITIE
DADIZEELE en MEENEN.
est celui qui part 7 h. 10 du soir de Mon» pour
Minage.
L'année dernière, pendant une soirée d'hiver, une
dame d'un âge avancé fit une chute, Lyon, sur le
trottoir du quai St-Antoine, rendu glissant parle
verglas.
Un jeune homme, modeste employé dans une
maison de commerce de la ville, témoin de l'accident,
s'empressa de relever cette dame, et, comme dans
sa chute elle s'était légèrement blessée, il lui offrit
son bras pour la reconduire fe son domicile.
Tout en cheminant, Mine X... interrogea le jeune
homme sur sa position, elle apprit qu'il était sans
iortune,etqu'avec les ressources d'un appointement
assez minime, il faisait vivre sa vieille mère.
Arrivée son domicile,et après avoir remercié le
jeune homme du service qu'il lui avait rendu, Mme
X... l'invita t) lui rendre visite. Le jeune homme
alla en effet voir quelquefois Mme X... qui, au com
mencement de l'été, quitta î.you, pour se rendre
dans une magnifique campagne située dans le Midi.
Or, il y a quelques jours, le jeune homme appre
nait par une lettre la mort de Mme X..., qui l'avait
fait son légataire universel.
Le modeste employé d'hier se trouve aujourd'hui
possesseur de vingt mille francs de rente. C'est l'oc
casion de dire qu'un bienfait n'est jamais perdu.
La fabrication des briquettes decharhon aggloméré
prend chaque jour plus d'extension dans nos envi
rons, dit un journal de Cuw-
que deux nouvelles usines vont être fondées dans
notre arrondissement l'une Bouffionlx, par une
société d'industriels l'autre Roux, par la Société
des charbonnages du Nord de Charleroi.
Un incidentcomique a beaucoup égayé les person
nes qui assistaient la représentation de vendredi
au Grand-Théâtre de Gand.
Un paysau se présente, ou plutôt est conduit au
contrôle.
Comme il restait la bouche béante, on lui deman
de ce qu'il lui faut. Une place, fut la réponse du
bonhomme.
s Une place, mais laquelle?
v Un waggou pour Waereghem.»
Le malheureux avait pris le théâtre pour la gare
du chemin de fer.
Une affiche originale. Un voyageur traversait
dernièrement Villefrancbe. Une immense affiche
collée sur les murs lui apprit qu'il y avait spectacle
dans cette cité intéressante, qui devait l'abriter
pendant quelques jours, et que l'impressario du
pays avait souci des plaisirs de la population, dont
il avait, par brevet, mission de rendre les soirées
agréables e( instructives. On promettait pour le soir
une représentation de l'opéra si remarquable et si
dramatique la Favorite
Le Notaire VAJV ECCKE, Neuve-
Église, adjugera préparatoirement, en pré
sence de M. le Juge-de-paix du canton de
Messines, le mercredi, 16 Novembre
1859, il deux heures de relevée, en l'esta
minet la Belle-Vue, au bourg de Neuve-
Église, les Biens ci-après désignés
NEUVE-ÉGLISE.
1' Lot. Un EXCELLENT PRÉ, d'une
contenance d'après cadastre, section C,
m* 62, de €0 ares 50 centiares, situé cinq
minutes du bourg, proximité du pavé de
Neuve-Église Ypres.
NIEPPE (France).
2* Lot. Une BELLE MAISON, avec
Grange, Fonds et Jardin, d'une contcnnncc
d'après mesurage de 6 ares 06 centiares,
située le long du chemin séparant les com
munes de Nieppe et Nbuve-Églisc.
Et 3» Lot. - Une TRÈS-BONNE PARTIE
OE TERRE, située même commune, d'une
contenance de 46 ares 27 centiares, tenant
du nord le deuxième lot.
Ces Biens sont occupés par M. Augustin
De Pecker.
Les acquéreurs en auront la jouissance
compter du jour de l'Adjudication définitive,
l/t p. "/e pour prime de mise-à-prlx.
rjdq^ii «ni
.eq.o
TE LA.NGEMARCK (WÏX ROOBAIRT).
Maendag, 14* Xoveinber 1811,
om elf uren voormiddag, ter hofstcdeken
genaemd de Motjens, by den Roobaert-
molen, te Langemarck en alwaer Pieter-
Joannes Vanstaen d'oude onlangs overleden
is, zal Koopdag gehouden worden van ge-
hcel den aldaer te bevinden Huisraed, voorfs
van Laudgcreedschappen, Kuip- cu Keirn-
allaem, eene groote hoeveelheid gexaegd
Hout, grooten klein Jloat, 3 Weefgetouwen.
met hunneiTocbcboorten, aile slach van
Tiinmermansallacm, 1 Driewielkarre, 10
Graenzakkcn, 2 Kruiwagens, 20 aren Bee-
ten en Loof, 1,300 scboûf Terwe, 1,300
idem Roggc, 200 idem Haver, 150 idem
Booncn, ÏQ0 bondels Klaver- en Witbooi,
150 bondels droog Vlas, 1,000 kilogrammen
Aerdajjpeb3n»-200 Gleyen, 200 booten Hot
te boone^jeene schoone Melkkoei, eeue
Scholveérze, 2 vette Zwyncri en meer an-
dere Goedercn alsdan aentebieden.
Tyd van betaling voor de koopen boven
de 8 francs, behoudens stcllende selvabel
en aen den Notabw COMV.V te Ltnge-
marck, bekende raedekoopers.
Sa curiosité excitée l'engagea lire l'affiche jus
qu'au bout. Hélas quelle airière déception li n'y
avait que trois acteurs pour chanter tous les rôles de
la pièce, et dans un petit coin celte observation
bizarre N'ayant pu trouver de choriste Ville-
franche, M. Saint..., le directeur, lemplacera les
chœurs de la Favorite parceux du Siège de Corinthe
qu'il sait parfaitement et chantera seul.»
Nous lisons dans le Vlaemsche Land
M. D..., de Botlclaere, avait lu dans un journal que
le meilleur moyen de chasser les charançons du blé, était
d'entourer le grain de bottes de nouveau foin. Afin d'es
sayer le mérite de ce procédé, M. D..., qui avait une
partie de froincnt ravagée par les charançons, l'entoura
de foin nouveau, et pendant trois ou quatre jours, il fit
remuer plusieurs fois le froment. Un membre de la com
mission provinciale d'agriculture écrit ce sujet Je
dois affirmer, avec plusieurs autres témoins oculaires,
que tous les charançons ont quitté le froment pour
aller se loger dans les l ottes de foin.
-
Un Monsieur qui a étudié l'Histoire
naturelle.
Henriette Gilbert est prévenue de vol dans les champs,
vols d'asperges, potirons et autres légumes de choix ou de
poids, et Christophe Lebeau est traduit comme son
complice par recel, devant la 6* chambre du tribunal
correctionnel de Paris.
Je reconnais mon tort dit Henriette, mais j'étais
bien obligée d'obéir M. Christophe, devant me marier
avec lui.
M. le Président. Et en attendant vous faisiez ménage
commun avec lui et que vous disait-il, M. Christophe
Henriette. Il me d isait d'aller me promener et de ne pas
revenir les mains vides.
M. le Président. Que répondez-vous cela, prévenu
Christophe.
Christophe. Dieu l'a dit Un bienfait n'est jamais per
du. Cette dame, que je ne connaissais aucunement, entre
un jour dans un établissement où je prenais mon café au
lait: elle me dit que j étais bien heureux de goûter ainsi
les douceurs de prendre quelque chose pour satisfaire
mou appétit. Je regarde cette dame, je lui trouve une
espèce d'air affamé, mon rœur parle, et je lui offre la
pareille tasse de café que je venais de m'offrir i moi-mê-
m.e C'est donc par pitié et commisération que cette dame
est entrée dans ma généiosité naturelle.
M. le Président Vous vous donnez beaucoup de peine
pour nous faire croire un mensonge: la vérité est que
vous avez reçu cette fcinuie riiez vous, que vous avez
vécu avec «'lie, et que pour faire aller le ménage commun,
vous lui avez conseillé des vols, ou, tout au inoins, vous
avez profité de ceux qu'elle a commis.
Christophe. L'histoire naturelle nous apprend qu'il
est impossible l'estomac de suppôt ter certains aliments
qui lui répugnent; essayez de faire manger de la viande
un cheval ou de l'avoine un chien, et ils mourront de
faim côté je suis positivement de méine vis-à-vis des
potirons et des asperges s'il n'y avait que des personnes
comme moi pour les manger, la culture de ces légumes
serait abandonnée car toute la surface du sol de la France
et pays circonvoisins.
M. le président. Vous affirmez que cet h omme vous
conseillait d'aller voler dans les champs
Henriette. C'était prendre ou laisser si je ne rap
portais rien, je ne mangeais rien. C'est ls vérité qu'il
n'aime pas beaucoup les légumes, mais il me les faisait
vendre pour acheter des côtelettes et des beefteacks
AI. le substitut. Ce que dit cette femme doit être vrai,
car Christophe a de mauvais antécédents il a volé de la
laine au préjudice d'un maître qui la lut donnait pour
travailler.
Christophe. Tout le monde sait que dans le travail de
la laine il y a des déchets donnez-vous la peine d'aller
dans la fabrique de M. Ternaux et vous en verrez de»
montagnes de plusieurs mètres de circonférence, dans
les arts et sciences tout n'est pas bénéfice et je connais
un célèbre fabricanttèup
Christophe parlerait encore si M. le président ne lui
coupait la parole en le condamnant, ainsi que la fille
Henriette, six mois de prison et 25 fr. d'amende.
j
État-ci vu. d'I'pres, du 6 Novembre au 12 inclut.
Naissances. Sexe masculin 7, id. féminin 5, total 12.
Mariages. OpsomerEngclberf, bouclier, et Mon-
kerhey, Eugénie jardinière ~~Debal,Alexandre, tail
leur, et Verdoene, Eugénie, dentellière. Jacquet,
Henri, journalier, et Viane, Rosalie, dentellière.
Décès. Hof, Charles, 70 ans, boueher, époux de
Thérèse Deuninck, rue Su Godeliève. BailteulAlbert,
54 ans, journalier, époux de Barbe De Queecker, rue de
Menin. Verbrugghe, Albert, 76 ans, sans profession,
veuf de Catherine Quaeghebcurrue des Chiens.
Logie, Pierre, 54 ans, sans profession, célibataire, rue
de Dixmude. Slosse, Alexandre, 58 ans, journalier,
époux de Joséphine Pannecoucke,.S' Jaequcs-lex-Ypres.
GarreynPierre, 29 ans, journalier; célibataire, do
micilié Zillcbcke. Aeben, Auguste, 46 ans, proprié
taire, célibataire, rue de Lille. M' i4?,0'
Enfants au-dessous de 7 ans sexe masculin f, idem
féminin 1, total 2.
ÉTAT indiquant les quantités et le prix moyen det
grains, fourrages et autres produits agricoles, vendut
le 12 Novembre 1859.
RATURE
QUANTITÉS
PRIX MOYEN
POIDS MOYEN
I f1 fil 'T ȉJL J 4 9 t'j fi
YENDl'ES.
1
PAR
M
GRAINS ET DENRÉES.
Kilogrammes.
cemlplogr^nn^i
l'hectolitri.
Froment
28,814
fr. 27 39
irtus Jnarnt
22 01
78 40
73 60
Avoine
176
n: 11
lins 44
„tè-,s908
20 19
03 el 83 20
Fèverolei
3,465
111- 90 47
,Él-ioiW
Pommes de terre
JO ?7 50 a
249 15
19*8 lb
X)
idf.sbiiatd «vbT^Çjpon et oc j
By M' PDUPART-VIENKE, Notaris
1er residentie van Oostvleterenis cr geld
>n leesing te bekomen mitsgoed bezet.
Den Notaris DU FORT, te Ledeghem,
zil Donderdag. 15* Oecember 1859,
ten negen uren voormiddag, openbaerlyk
doen verkoopen, op het verzoek van Joef-
vrouxv Maria Cornilliexveduwe van Myn-
heer Josephns De Backer, te Moorseele,
een groot gelai schoone en zware
Abeelen en Pepelieren, waerondrr
versebeide van 2 lot 3 meters dikte,
mitsgndcrs Olmen, Fsscben, Benken,
opgacnde Wllgen Tronkwilgeu
en eeneu Peerlaer, staende op de
hofsteden gebruikt door Petrus-Ludovicus
Bekaert en Bruno Vande Putte, te Gulle-
ghem, by dcszelfs plaets.
Men zal begionen op d'bofstedo gebruikt
door Bekaert.
Op gcwoone conditien en langen tyd van
betaling. .fnisS ub ai
Den Notaris DU FORT, te Ledeghem,
zal Weensdag, 7* Oecember 1859,
ten negen uren voormiddag, openbaerlyk
verkoopen, op het verzoek van Joefvrouw
Marie Cornillieweduwe van Mynheer
Josephns De Backer, te Moorseele, een
groot getal schoone en zware I I-
ken, Abeelen en Popelieren. waer-
onder versebeide ter dikte van 2 tôt 3
meters, mitsgaders Esschcn en Sper-
ren, staende
1* Op de hofstede gebruikt door Mar-
linus-Judocus Vandcn Berghe, te Dadi-
zeele, digt oost de kassei van Meenen nacr
Roussclacre
2* la eenen hosch le Dadizecle, west
by gemelde kassei
En 3* Op de hofstede gebrnikl door
de kinderen van Antonius-Joseplius AJas-
quelitrte Meenen, digt oost denzelven
steenweg.
Men zal beginnen op de hofstede onder
nummer cen. .Jii»n..sti Jaailn m r
Op gewoone condition-en langen .tyd van
betaling.