HUIS KDO.MIK sr s Nouvelles diverses. MET SCHEUR G R ON D EN ZAEILAND, SCHOONE koopdagen EIKEN. 1EPER, ABEELES, POPELIEREN 1* Op de dreve in de Mote-wcide, loopende naer de Groencstraet: KANTOOU Notaris VAN EECKE, NEUVE-EGLISE. 75 marchés qu'elle contient en tout cinquante ou soixante per sonne*, et qu'il n'y a pas dans l'île un seul canon. Le Time* avoue d'ailleurs, en le regrettant, que jusqu'ici on n'a pas commencé le phare cause d'interminables discussions entre las diverses auto- torités de l'Inde et de la métropole. Le journal an glais profile de cette occasion pour déclarer que la nouvelle d'un agrandissement quelconque dn terri toire britannique serait maintenant plus mal reçue par le public eu Angleterre qu'en France et que la célèbre carte de l'Europe en 1860, par exemple, qui offre l'Angleterre la vallée de l'Euphrate, n'inspire point la moindre tentation au peuple anglais. 11 n'y a point encore de nouvelles de l'expédition espagnole contre le Maroc. Le mauvais temps qui continue dans le canalcontrarie les opérations d'embarquement et de débarquement. Le Journal d* Constantinople apporte le ta bleau complet des condamnations prononcées contre les accusés de la dernière conspiration. On remar quera que la peine des travaux forcés a été com muée, par le Sultan, pour tous les condamnés, en celle de la détention dans une forteresse. Ou croyait Washington que le différend relatif i l'île San-Juan ne tarderait pas i être réglé. Les nouvelles de la Vera-(_,ruz du 8 portent que les libéraux ont été repoussés avec grandes perles Thuecan et sur d'autres points. Les représentants de France et d'Angleterre ont protesté contre un pronunciaraento qui avait été fait en laveur de Santa-Anna. On a reçu enfin le texte des traités de Zurich conclus entre le Piémont et a France, et entre le Piémont et l'Autriche. Le premier de ces docu ments est relatif la cession de la Lotubardie; le second règle les conditions générales de la paix entre les trois puissances. Ces pièces ne renferment aucune condition qui ne soit connue depuis longtemps. Nous remarquons, dans le premier article du traité entre l'Autriche et le Piémont, que LL. MM. l'empereur d'Autriche et le roi de Sardaigne déclarent qu'à partir de l'échange des ratifications, il y aura paix et amitié entre eux et leurs héritiers et sujets respectifs. Il rsste connaître encore le traité particulier conclu entre la France et l'Autriche. Le Moniteur français ne tardera pas sans doute le publier. Le Moniteur univereel annonce la nomination du prince de Metternich comme ambassadeur d'Au triche Paris. Le nouvel ambassadeur se rendra dans quelques jours son poste afin de pouvoir être pré sent la visite officielle du {"janvier aux Tuileries. Il'est supposer qu'il y sera mieux reçu que son prédécesseur ne le fût l'an dernier. S'il faut en croire le Rieorgimento de Florence, Gsribaidi restera Gênes. Une note semi-officielle, communiquée au Mot- ning-Poet, constate que les négociations prélimi naires au Congrès ne sont pas terminées encore; j mais la feuille ministérielle regarde la réunion du Congrès comme très-prochaine, ce qui fait supposer que les négociations promettent de se terminer dans le sens des principes du cabinet anglais. Voici cette note du Morning - Pott les préliminaires que le gouvernement anglais a considérés nécessaires avant la réunion du Congrès sont, pensons-nous, en bonne voie d'arrangement. Les invitations de la France et de l'Autriche sont maintenant Paris, prêtes être envoyées aux puis sances qui doivent être convoquées. Nous pouvons donc croire que le Congrès se réunira i une époque peu éloignée. Nous avons parlé dernièrement d'une circulaire adressée par le ministre de l'intérieur aux préfets de France pour les engager modérer le ton des jour naux de province, dans leurs appréciations sur la politique anglaise. L'existence de cette circulaire a été contestée;- le correspondant de Paris nous en envoie aujourd'hui le texte. Le courrier d'Amérique a apporté hier une pièce fort curieuse qui montre ce que la révolution a fait des colonies hispano américaines. C'est une lettre adressée au gouverneur de la Martinique par les représentants des nations étrangères présents Ciudad-Bolivar pour lui demander secours contre le parti qui est maintenant en possession du pouvoir dans la république de Vénézuéla. Les signataires de la lettre disent que ce n'est pas un simple change ment de gouvernement qui a été accompli par la déposition du général Castro; c'est nne révolution antisociale, dont la devise est le meurtre et le pillage II* affirment que des villages et de petites villes de la province de Barinas ont entièrement disparu sous la brutale oppression ses bandits. Ils demandent donc que le gouverneur de la Martinique envoie dans le port de Ciudad-Bolivar un navire de guerre pour le protéger en cas de besoin. La première signa ture que nous trouvons au bas de ce document est celle de M. R. Mathison, consul d'Angleterre, Un journal raconte que le consul de France a été re cueilli par le navire le Luciferainsi que plusieurs 'de ses nationaux mais il ne sait pas ce que sont devenus le» autres représentants étrangers. timbres-poste anglais. On lit dans le journal anglais Leieure Hour Quel est le nombre des tim bres-poste 3 sous annuellement demandés i l'ad ministration des postes? Jamais, croyons-nous, aucun de nos lecteurs ne s'est formé une opinion ce sujet, et ils seront étonnés d'apprendre que, depuis plusieurs années, ou en consomme peu près 5oo millions par an. En supposant que l'année contienne 3oo jours de travail, cela donnerait peu près 1,600,-000 timbres i fabriquer journellement. C'est un grand travail pour l'imprimeur, tuais cette tâche est loin d'être impossible en égard au peu d'étendue du timbre et au nombre qui peut être imprimé d'un seul mouve ment de la presse ou par une seule révolution de la machina i cylindre. Mm* X..., rapporte le Moniteur de Calaitchas sait, il y a quelque» jour», avec son mari. Ile étaient vêtus l'un comme l'autre, pantalon gris, blouse grise, et chacun avait un excellent fusil. Le mari put seul représenter au garde champêtre son port d'ar mes M°" X... n'en avait pas, et procès-verbal lui fut déclaré. Devant le tribunal correctionnel, elle a soutenu qu'une leinme qui veut prendre le délasse ment de tachasse avec son mari n'a pas plus besoin de port d'armes qu'elle n'a besoin de passe-port quand elle voyage avec lui et qu'en définitive un légitima lien reconnu par la loi et béni par la religion faisait une unité de deux personnes. Le tribunal, repoussant cet avis, a condamné la moderne Diane chasseresse 3o francs d'amende et A la confiscation de son fusil. s-e céaw* bei atno. Le ballon gigantesque qui doit traverser l'Atlantique en deux ou trois jours, dit le Courrier des États-Unis dq 25 octobre, est arrivé samedi de Iloboken Nrw-York. Il a fait son entrée triomphale sur un grand waggon d'express, traîné par huit chevaux noirs, ornés de handerolles. Le ballon seul, sans le vapeur qu'il doit emporter, remplissait le véhicule tout entier et le sommet de la montagne d'étoffe était couronné de le corbeille qui doit servir de cabine aux dix, voyageurs, pendant toute la traversée. Le City of New-York, avec sa nacelle et le bateau A vapeur qui a été construit, dit-on, Green-Point, est exposé dans une tente, sur l'ancien emplacement du Palais-de-Cristal. Son gonflement doit commencer de main, et, dans ce but, la compagnie du gaz de Man hattan a fait transporter sur les lieux un gazomètre cylindrique, de huit pieds de diamètre et de douze de long, le plus grand assurément qu'un consommateur ait jamais eu chez lui. Il est vrai que M. T. S. Carlincourt Lowc aura besoin peut-être de 812,000 pieds de gaz pour gonfler son ballon et qu'on trouve rarement des consommateurs de cette force. Nous avons dit déjà que le City of New York empor tera, sa première traversée, huit personnes mais quand aura lieu ce voyage? immédiatement après le gon flement, ou bien l'aéronaute fcra-t-il prudemment une petite excursion d'essai avant de se risquer sur la mer c'est ce que nous ne savons pas encore. Dans tous les cas, M. Lowe nous parait être très-sérieux et décidé tenter l'aventure. Sou rival, M. Laraountain, est décidé lui aussi traverser l'Océan... le printemps prochain. D'iei là, il j passera beaucoup d'eau dans le gulf-stream. A ce propos, un spéculateur vient de partir pour les bois du Canada ou M. Lamountain et Haddock enrent de si tristes aventures, et il espère trouver encore les fragments du ballon Atlan tic et réaliser une somme de 800 dollars en les revendant. 11 y a bien des épaves de bâtiments qui rapportent moins que celles-là. GEMEENTE WERVICK. oilaohii ,n twee woonsten .#•>.1 ne pni: £n 47 arcn 03 e. ..q itt'a nsrfqè TE KOOPEN. Dit Goedgclcgen langsden stcenwcg van Wervick naer Gheluwe, aen de limiten dc- zer laetsle gemeente, scctie B, nr 1 •l,î*, paelt d'rrfgenainen van M. Vande Wocsty- ne, s' Càsier-Mahicu en dito steenwcg. D'ccne woonst met 8 aren 85 centiaren is gebruikt door Charles Carton, aen 85 fr. 's jaers, vry van laslen, en d'andere met 't overig land door den eigenaer Bruno Moerkerke-Casier. q Den kooper zal in vry gebruik komen den I" Oclober 1860. INSTEL Woensdaf, 7December 1859, en OVERSLAG Woenedag SI" derzelve maend, lelkens ten vyf uren 's a- vonds, in d'estaminet le Cercle musical, Nieuwe-slraet, te Wervick. Do Notaris FORREST, te Wervick, is gelast met deze Vcrkoopirtg. INIT1L EH HOOSrBHHINOSH TB W1HNEN van en andkre diknstig voor Schip- molen- timmer- en klompwerken, TE LANGEIHARCK. Ter hierna gemclde dagon en plaetsen, telkens ten een tire namitldag, zal men verkoopen, op gewooncn tyd van betaliug en verdore voorwacrdcn, onder de dircctic van den Zaekwaernemf.r LIEBAERT, te Langcmarck met den ontvangst van diere bclast, de naschreven BOOM EN A. Donderdag, 15° December 1859, op d'hofstcrle de Kraeybekb, gebruikt by vidua Jacob Van Eecke, gelcgen west de kerk van Langcmarck, op klecncn af- stand van den Plaetsemolen en hetgchuchle Pilckem 38 Abcelen, verdeeld in 24 koopen. 2» In het Kraeybcekbosch, palendi- aen 't behuisd land Picter-Ignaes Bekacrt, gelegcn op kleenen afstand der Dixinudc- stracl en der steenwegen van Pilckem en van LangeraariX t&él0BliSftlfcWt 3"i'S Jnéq I Popelier en t Eik (molenas), verdeeld in 2 koopen. En 5" In de weide aclitcr de scheure: 4 lepen, 10 Abeelcn en 3 Appelboomen, verdeeld in 12 koopen. B. Vrydag. 16° dlto. op de hof- strde gebruikt by Petrus Matten, na Char les Baelde gelegcn zuid de kerk van Poclcappelle en op kleenen afstand van den Wallemolrn -, .,f I* In de grasweide zuid 't hof 41 Abcelen en 39 Popelieren, verdeeld in 33 koopen. 2° In de meerscb palende noord voor- zeide weide 12 Popelieren, verdeeld in 7 koopen De vergadering ter wederzydsche hof- steden, ter dagen en uren voorzeid van den ■sa aèl slip aiol surntnD xussasiçg Op SS° dlto, om elf uren voormiddag Sx, Venditie van 135 koopen Eiken, Abeelen, Popelieren, zware lepen en andere Boomen, op de hofstede, te Dicrebusch, verre noord van de kerk, gebruikt door de kinderen Pister-Joanncs Van Htule, te Vlamertinghe. VElIKOOPLIiGEI van -Ll Op 8* December t859,om twaclfurcn 's middags, Vonditie te Zonnebkkb, by de Broodscnde, van 190 koopen Boomen, Plantooenen, Brand- en Gezaegd- houtj «IlieaVh asèùpgfq «iev 1° Sur une pâture près du cabaret nommé Courte-Pipe, proximité du pavé de cette commune au Seau Et 2* Sur une pâture près du bourg le long de la rue de Dranoutredite Korte- kalcliiede «r eulq al Dernièrement occupées par le sieur Louis De Bruyne, nuno ub wqt; âfnl PROPRES AUX CHARPENTIERS, CHARRONS ET AU CHAUFFAGE, Le mercredi, u Décembre 1859, dix heures du matin. Long crédit moyennant bonne caution. La réunion au dit cabaret la Cocrte-Pipb. Le Notaire VAX EECKE, Neuve- Eglise, est chargé de cette vente.

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Le Progrès (1841-1914) | 1859 | | pagina 3