ittonn.
FUMIER
vax
1» te watou.
te leysele
3" te stavele.
4* te beveren
en gyverinchoye.
5° nog leysele.
en 6° te isenberghe.
grande vente
t/ ™or<-
nouvelles diverses.
koopdag
koopdagen
verkoopltf&nS
occupation, même partjell*, parce que, «elon elle,
cette occupation laisserait la question ouverte.
La presse anglaise se montre toujours fort mé
contente de l'expédition du Maroc et manifeste sa
mauvaise humeur par les prédictions les plus sinis
tres pour l'Espagne. Le Daily News. par exemple,
prétend que la Guzette de Madrid s'efforce d'amoin
drir les perles des Espagnols dans les diverses ren
contres qui ont eu lieu que la levée extraordinaire
de 5o,ooo hommes, prouve l'imprévoyance du gou
vernement au début de la campagne; que les Maures,
loin d'avoir subi des défaites, sont partout victo-
ri«>hfl®î,fi no sisiin ,olo»bi 9ioun» JisJa n néii ,islH
Les préparatifs du Congrès se poursuivent très-
lentement. Le Pape vient de désigner pour le repré
senter le cardinal Antonelli. S. E. est attendue i
Paris pour le 4 janvier prochain. On prétend que le
Souverain-Pontife a réclamé pour son représentant
la présidence du Congrès, en vertu des traditions qui
accordent, dans tous pays, aux nonces apostoliques
la préséance sur les autres membres du corps diplo
matique. Celte prétention est assez invraisemblable.
Le prince de la Tour-d'Auvergne est désigné
comme le second plénipotentiaire de la France. Le
marquis d'Aiitorlini remplira ces fonctions au nom
du roi des Deùx-Siciles lequel, psrait-il, est disposé
1 donner son adhésion au projet d'une confédéra
tion italienn«.®b slmoo ei istî
Nous avons dit que le cabinet de St-Pétersbourg
se refusait maintenir la choix du prince Gort-
schakoff pour le représenter au congrès dans le cas
où le cabinet de Londres ne reviendrait pas sur la
détermination qu'il a prise de ne pas envoyer un de
ses membres pour le représenter dans les conféren
ces en qualité de premier plénipotentiaire. D'après
une correspondance de Munich adressée au Courrier
du Dimanchele cabinet de Sl-Pélersbourg aurait
chargé M. le comte Kisseleff de faire connaître ce
sujet ses ititènlions ou ses désirs au gouvernement
français. En outre, il aurait exprimé le vœu que la
réunion dû congrès fût ajournée au ai janvier. De
son coté, le cabinet de Berlin se serait prononcé
dans le même sens, et M. le baron de Schleinitz au
rait déclaré qu'il ne se rendrait pas au Congrès de
Paris, danir le cas où le prince Gorlschakoff s'abstien-
dréîl d'y paraître. Suivant la même correspondance,
le gouvernement français aurait refusé de reculer la
date fixée pour la réunion du Congrès; mais il aurait
renouvelé le désir de voir le prince Gortschakoffy
siéger comme premier plénipotentiaire de la Russie.
Le choix de M. de Cavour est très-populaire et
très-fortement appuyé 4 Turin. Nous avons remar
qué, ce sujet, dans VJndipendente d'hier, un article
digne d'une attention particulière. Répondant aux
observations d'un journal, qui conseille au ministère
d modifier sa marche et de se rapprocher davantage
des hommes et des idées de l'extiême gauche, l'Iti-
dipendente sans méconnaître la capacité, l'inlelli-
gencè ¥t le patriotisme des conseillers actuels de la
couronne, déclare que leur lâche leur a été facilitée
par la|politiqoe constamment suivie depuis dix ans,
et qui se personnifia dans un nom, celui du comte de
Cavour. Il rappelle que le» hommes du parti pro-
gressif modéré, tels que M. d'Asegl io, Buoncom-
pagni et Des Ambtois, ont prêté leur concours au
ministère actuel, et 'qu'aucun d'eux n'appartient
aux opinions extrêmes, vers lesquelles on voudrait
l'entraîner,
Il court des bruits contradictoires et assez invrai
semblables dans la presse allemande au sujet des
intentions des puissances. Ainsid'après 1 e Journal
allemand de Francfort, le gouvernement français
proposerait de considérer la question des Etats pon
tificaux comme intéressant uniquement lei catho
liques et de ne la soumettre qu'aux puissances
catholiques. Les autres n'arriveraient que pour
prendre acte de l'arrangement intervenu, dont une
des clauses serait l'occupation permanente de Rome
par une garnison mixte, française, autrichienne et
espagnole.
La Diète de Francfort a été saisie hier des propo
sitions de la conférence de Wurzbourg. Ces propo
sitions demandent
La publicité des débats de la Diète; la promulga
tion d'une législation civile et criminelle commune;
l'égalité des droits de patrie et de domicile; la révi
sion de la Constitution de guerre de la Confédéra
tion, avec renforcement de l'armée fédérale, non pas
au point de vue du nombre, mais sous le rapport de
son 01 ganisalion; la fortification des côtes de la mer
du Nord.
La Diète a fixé la reprise de ses travaux au 5
janvier.
On écrit de Vienne, en date du 17, que dans le
dernier conseil des ministres, présidé par l'Empe
reur il a été décidé une réduction de 38 millions de
florins sur les dépenses du département de la guerre.
L'Autriche, paraît-il, entre daus la voie d'un
désarmement complet.
Deux dépêches en date de Madrid, le 16 annon
çant que la veille i5,000 Maures ont attaqué avec
furie le centre des positions espagnoles. Le combat
a été long et sanglant, puisque la perte des assail
lants n'est pas évaluée moins de i,5oo hommes.
L'armée d'Espagne ne compte que 3o morts et 126
blessés, dont 10 officiers. Le seconde dépêche porte
L'augmentation dea cas de maladie est sensible,
avec diminution d'intensité.
P. S. La séance de la Diète de Stockholm a été
signalée hier, 4 propos d'explications données sur la
question italienne, par une manifestation enthou
siaste. L'Assemblée a volé, 4 l'unanimité, l'envoi
d'une Adresse demandant que la Suède soutienne
dans le Congrès le droit des Italiens de régler leurs
propres destinées.
On lit dans une correspondance napolitaine
Croiriez-vous que nous venons d'avoir un procès
qui rappelle les temps de l'inquisition Le cardina'
de Naples s'est chargé de nous édifier cet égard. Le
contre-maître napolitain d'un négociant anglais, M.
W..., qui a. un vaste établissement i Torre délia
Nunziante (près de Castellamare), s'est vu arrêté,
incarcéré et remis au tribunal criminel sur l'ordre
de Son Eminence, et cela sous la fausse inculpation
des'être montré incrédule dans le dogme de l'Imma
culée Conception. Ce n^st cjoe sur les instances de
puissants protecteursque ta fausseté de l'inculpation
a été reconnue et que l'élargissement du prérenn a
mis fin ce procès scandaleux. >.o'nsu:ui
rifGcn suu'b t rfusltiah xnn ^.c elro.q 09
On manda d'Anvers, le 1 7 Une rixe suivie de
vol a eu lieu hier dans.... une vigilante. Voici dans
quelles circonstances Un campagnard, accompagné
de trois autres individus, avait roulé en vigilante
pendant toute la matinée. Dans l'après-midi, le co
cher,'en passant 4 ta place de Metr pour sortir de la
Tille, s'aperçut qu'on se battait daussa voiture avec
acharnement Descendre de son siège et ouvrir la
portière,içe fut l'affaire d'?Jn instant mais les trois
individus avaient déjà pris la clef des champs, en
abandonnant le pauvre campagnard dans la vigilan
le, après l'avoir dévalisé de tout l'argent qu'il avait
en sa possession. La police cherche les voleurs.
s Le boucher Schillemans, arrêté la semaine der
nière sous l'accusation d'avoir empoisonné sa femme
légitime, a été mis hier eu liberté, l'autopsie nVyanit
fait découvrir aucune trace d'empoisonnement dans
les intestins de la femme. .toilwcv
înfssTinEfn saamq tuoq san'ébb
;:pa - u iiTê npiniqo noa-lnsmairii*
Le Journal de Gand signal* en fc?s tgrfnes uqe
nouvelle variété de vol. Nous reproduisons le fait,
afin que le public puisse se défendre contre les stra
tagèmes de ce genre.quejjjar esprit d'imitation, nos
pik-pockets seraient tentés de mettre en œuvre:
r r naaiam^jp El
Il y a peu de jours un inconnu se présente, vers
le soir, dans une maison .de cette
leur d'une lettre 4 l'adresse du maître de la maison.
En la remettant la servante, il'dit Portez-la tout
de suite votre maître, il s'agit d'une affaire pres
sante. La domestique laisso l'inconnu dans le corri
dor et s'empresse de remettre la lel1r#tjk*9fMdresse.
C'était une supplique d'une personne .demandant
l'aumône. Le maître de la maisoo donna un secours
4 l'inconnu et lui rendit sa niJ JnniKvr.
QuandjCe mendiant d'un nouveau .genre eut
quitté la maison, on s'aperçut qu'un pgfapluie.ep
soie avait disparu du corrido^jt, guplgup r, 1!
i icm.» 9b àyolqr'JTiovB'b uup ,euon nolae
Un heureux événement;djt le Journal d#)(Sftnr-
leroi du 11 vient d'arriver dans la famille de M.
Jean C o rp ify^sjîjt ça, 4flj TfiJftM Sa
femme est accouchée, hier soir, de trois gros enfanta
d'une santé magnifique. L'état de là mère est des
plus satisfaisants.
~su?i70 ziov ami u allarJ-aïutmnui neilqaJc
Ob 1 n 6 it&i t ANGEMARCK.
*>b -sennob «0 tuhj'iiiJisvfa an a juariii
Maendag 9" Jannarln» 1860
ten ccn ure naraiddsg, zal den Notaris
COitlTN te Langcmsrck verblyvende
houden de nsschreven koopdagen van Boo-
men, dienstig lot aile slacli van werken
Ter hofplaets en gsrzingen der
hofstede gcbruikt door Pieter Delaey, in
den Sint-Eloihoekte Lnngemarck, van
50 koopen Boomenwaeronder vecl
seboone Àbeclen, lepen en Popelieren.
En 2* Ter hofstede gebruikt door
Joannes Vanstaen na Franciscus Bossaert,
tegezegde Langemarck, wcinig noord van
d'hofstede dito Delaeyvan 30 koopen
allerachonnste Popelieren.
NeTA. De vergadering ter hofplaets
van Pieter Delaey voornoemd.
Tyd van betaling voor den principalen
koopprys, behoudens goede eu welbokende
medekoopq'S.j
▼au
Op Maendag, 36° December 1839,
tan cen uro namiddag, 1er hofstede ge
bruikt door Auguste De Puydt, van 60
koopeuUàJ bI
Gehuotb DEN HAND.
Op Zaterdag, 39* December 1839,
em twself uren 's middags, ter hofstede
gebruikt door Xaverius De Molder-De
Schryver, langs den steenweg van Beveren
nser Hoogstaede, van 06 koopen.
Op Zaterdag, 7m Aannary 1860, om
ten ure namiddag, ter hofstede gebruikt
door sieur Joannes Troost en Pieter Devo-
ghel, digt by de plaels, vsn 900 koopen
Op Maendag, O* Jannary 1860,
ten twself uren i's middags, ter hofstede
gebruikt door sieur Frédéric De Croos, vsn
83 koopen waeronder .35 Ciken
Popelieren en Abceien, van 3 tôt
3 meters dik.
Op Dynndag, 90° Jannary 1860,
om twaelf uren 's middags, ter hofstede
gebruikt door Emmanuel De Voghel, van
53 koopen lepen en Abeelen, al
zeer lang en hebbende eene dikte van 9
me ter a tôt 3 meters 60 ccntime-
ters.
Op Zaterdag, 94* Jlannary 1860,
om clf uren 's morgenster hofsteden
gebruikt door Karolus De Beir, Pieter De
Beir en Franciscus Linseele, van 190
koopen.
Al door den Notâris CAPELLE, te
Watou.
van
sètlT
2* REGIMENT DE CUIRASSIERS.
D« o M «O
3i?aa3.
Samedi, 94 Décembre 1850, 2 et
demi heores de relevée, 4 la Caserne de
Cavalerie, rue des Tuiles, en la dite ville.
Argent comptant et 10* denier, outre la
somme princip«W.'jlBJi<;« sels
ilduq ilM as!) Jneb Ji Qu'on se le dis».
TE
Den Maendag, 96" December 1839,
ten tien uren 's morgens, ten sterfhuize vsn
sieur Jan-Baptiste De Wable, in leven uer-
werkmaker, Dixmudestraet, te Yperen, zal
er verkooping gehouden worden van Meti-
belen eif Voorwerpen, bestaende in Tafels,
StotlenBasbuffels Commoden twee
schoonc en goede Kleerkassen, Bedbakken
met hehangsek, Spiegels, Kadcrs, Kool-
stoven, Koper, Tin, Yzer, Galeis, Glas en
Aerdewerk, chineescb Poreelein, twee Pen-
dulen onder glas, twee Slagborlogien met
hunnekas, v^fgrooteen kleene idem zonder
kàs, Barometers,£nypIaet, veel Beddingen,
Sloors en Gordynen, en raeer andere goe-
deren te fang ora te raeldcn.
Meigèteed geld en verhoog van den 10*
:j ijjpnia .ii-nioa uF-ziis* uD "iaTi^anAD
tJI JeQ 93èi gl OOP STOig '9 .€^3" y T
Iberigt.
By Mr POCPART-VIENNE, Notari»
ter residentie van Oostvleterenis cr geld
in leeaing U bekomen mit» goed bezet.