BOOMEN LITS DE FER. PILULES VEGETALES POUDRE MIXltËLË^ PIANO ANGLAIS VÉRITABLE ÉL1XIR TORIQUE ANTI-GLAIREUX PLUS D'OPÉRATIONS AUX YEUX. PILULES G0C'MAMES rcR<SA CÂUVIN VERKOOPING VENDITIE van 195 koopen EXTRA SCHOONE DOCTEUR GllLLIÊ, préparé par PAUL GAGE, P041TOACIM, n 1 a la fabrique spéciale de meubles en vendre, IEUBLE DE TOUTE BEMJTÉ EJi FALtSSiiVDRE MASSIF PURGATIVES ET DÉPURATIVES tir». Elles sont géiié- PILULES ANTI-NEVRALGIQUES. USINE d'ulysse HO Y, de Poitiers. 1 P 9 v*« TE VPÎRÏfc, Drn Waendag, t8" Deceuiber 1859, tcn tien uren 's murgena, ten st«-1 fliuite van sieur Jan-Uaptistk Uk Waeme, in leven ucr- wt'rkinaker, Dixinudestracl, le Yprren, zal rr verkooping grboudin worden van Meu- belen en Voorwcrpcn, bfslttrndc in Tafels, Stoelen Basbuffits Couimoden twee tchoonc en goede Klefcrkassen, Bedbakken met bebangscls, Spicgcls, Kadcrs, Kool- «toven, Koper, Tin, Yicr, Galeiî, Glas en Aerdewerk, ciiineesch Poreelein, Iwce Pcn- dulen ondcr glas, twee Slagborlogien met hnnne kaa, vyl'grootc en kleene idem zonder kss, Baroineters, Snyplact, veel Beddingen, Sloors en Gordynen, en mcer andere goe- dcren te lang om le inelden. Met gererd geld en vcrhoog van den 10' penning. Zegt het voorl. tï2 GEHl'CHTE TRE URN1ET-MOLEN GEMBENTE LAKGEMARCK. Nnenda;, 96* Dcceinber 1859, om 10 uren s'morgens, op de hofstcden ge- bruikt door het slcrfltuis wcduwc Flyps, Ptetcr Soenen en Goemaere, op gemeldc Poelcappellc, znl inen publick verkoopen 175koopenzeerschooneen zware Abecleu, Popellercn en lepcu. Dcze Verkooping zal gescliieilen met langen tyd van bclaling mits stellcnde goede inedekoopers 1er aenveerding van den Notaris COMVS, te Langcniarck, belast met dezc verkooping en den ont- vangst. DO rue de Grenelle-Salnt-Germaln, 13, PABI9. M. PAUL GAGE a acheté,en 1833, la propriété de l'ÉLIXlR ANTI-GLAIREUX DO DOCTEUR GlULLIÉ, par acte passé devant M" Cotliuet, notaire a Paris, et enregistré. Ce n'est pas un remèdi secret, et la vente en e>t autorisée par divers arrêtés des cours impériales et de la cour de cassation. L'ÈLIXI A DE GlllLLlÉ, préparé par PAUL GAGE, offre la thérapeutique Tondes médicaments les plus eifii-aces, les plus utiles et les plus économiques que l'on connaisse, comme purgatif et en même temps comme dépuratif. Il est surtout utile aua médecins de campagne, anx pères de famille éloignés des seconrs médicaux et aux eeolésia. tiques qui se donnent pour mission de visiter les pauvres malades et de secourir les indigents. 11 est également utile A La classe ouvrière laquelle il épargne des frais considérables de médicaments. Une expérience «le plus de QU A R AIX TE ANNÉES a démontré jusqu'à l'évidence que l'ÉLIXlR DE GUILL1E, préparé par PAUL GAGE, était d'une efficacité incontestable contre les fièvres des pays marécageux, les dissenteiies, le choléra morhus, la fievre jaune et les maladies épidéraiques, contre les affections goutteuses et rhumatismales, contre les catharres de la vessie; dans les maladies des femmes et des enfants, dans les maladies du foie et de l'estomac, dans les affections qui compliquent l'âge cri tique et la vieillesse, dans les gastralgies, les gastro-entérites, les engorgements glanduleux, les afl'ec- tious herpétiques et hépatiques, les engorgemeuts pulmonaires, les hémorroïdes, etc., etc. Une brochure explicative, qui est uu véritable traité de médecine usuelle et domestique, est délivrée gratis avoo chaque bouteille iTÉlixiv. Elle doit être exigée. Un artêt de la cour impériale de Dijon, du 7 août 1834, a déclaré, sur le rapport des experts-ohi mistes, MM. Ossian Henry et Chevalier, membres de l'Académie impériale de médeoine de Paris, et Lassargne, professeur de chimie a l'Ecole impériale vétérinaire d'Alfort, désignés par cette cour pour en faire l'analyse, que I'Êlixir de Guillié, préparé par PAUL GAGE, était on perfectionnent de la formule des CODEX FRANÇAIS, n» 327, que ce médicament, ainsi perfectionné; agissait toujours d'une manière constante et régulière, et que la vente en devait être autorisée. Cet arrêt a été confirmé par la Cour impériale de Rouen, le 37 novembre 1835, par ta Cour impériale de Metz, le 11 février 18o7et ce dernier par la Cour de cassation, le 14 mai 1837. Un arrêt semblable s été rendu par la Cour suprême d« Prusse, la date du 23 mars 1835. Î.'ÈLIXIU DE GUILLIÉ, préparé par PAUL GAGE a été contrefait, et M. GAGE a fait condamner les contrefacteurs A l'amende, aux frais, A des dommages-intérêts considérables, et A la publication dans les journaux, aux frais des contrefacteurs, du jugement du tribunal de commerce du 17 mars 1856 et des arrêts de la Cour impérial* de Paris, 1' chambre, des 12 janvier 1857 et 22 janvier 1858, qui avaient proaunré ces diverses condamnations. Un nouveau jugement du tribunal de commerce de Paris, A la date du 31 mai 1838, a oondamné les contrefacteurs A deux mille francs de dommages-intérêts au profit de M. PAUL GAGE. Pour préveyir lessnites funestes de le contrefaçon, M. PAUL GAGE a pris le parti de coiffer d'une bande de papier imprimé en ronge, sur fond sablé inimitable, avec sa signature écrite A la main, chacune des iHiuleilles D'ELIXIR DE GUILLIE qui sortent de sa pharmacie. Le public est prié de refuser comme contrefaites, toute* les bouteilles qu'on lui présenterait sans être revêtues de cette marque dis tinotive, et surtout sans être accompagnées de la broebure. L'Élixirse vend en bouteilles du prix de 6 fr.; et en demi-bouteilles, du prix de 3 fr. 50 c. POUR LA VENTE en gros de L'ÉLIXlR DE GUILLIÉ, préparé par PAUL GAGEs'adresser chez M. PAUL GAGE, rue «le Grenelle-Saint-Honoré, 13, Paris, et A Bruxelles chez MM DURAND et fils, MJSSOTEN et THILLF.M1NS REJiOU et C». VAN KERKHOVEN-DE GHEEST, VANDEN SCHR1ECK et C', et pour la vente en détail, chez MM. SCHOOFFS, pharmacien, 15, rue de la Montagne, RAMLOT, pbartn., 38. Grande rue des Bouchers, ainsi que dans toutes les bonnes pharmaoies de BRUXELLES et de la BELGIQUE. Dépèt Y près, chez M. Fryson, pharmacien, me de Dixmude, n° 53. urand assortiment P£R de E. rdelens, quaiau BoiS-à-Brûier, n* 5, et place de la Grue, Bruxelles. Solidité garantie. ET EXCELLENT INSTRUMENT, Par William Stodart and son, Makers to lier Majcsty and Royal Fainely, London. Prix avantageux. S'adresser au bureau du Progrès. L'Eau céleste du docteur Rousseau, pour la guét'ison radicale de toutes les maladie* d'yeux, telles que cataractes, taies, inflam mations, etc., fortifie les vues faibles, -en lève la goutte sereine et apaise les douleurs les plus vives. Les personnes qui entrevoient encore les effets d'ombres et de brouillards peuvent être sûres de recouvrer complète ment la vue dans l'espace de 10 1b jours. Prix du flacon 10 francs Paris, chez M. Paul L'on, pharmacien, 12, rue de* SS. Pères. (Écrire franco.) (Le» »enie» entièrement exempte» de snbstanees minérale».) Ces pilules, entièrement composées de substances végétales, toutes inoffensiviss, ont un avantage sérieux sur les autres purgatifs employés jusqu'à ce jour. Elles constituent un dépuratif infaillible, et les maladie* les plus rebelles et les plus invétérébs ont dû ccJer l'usage de ce médicament, qu'on peut appeler juste titre Régénérateur du sang. Leur emploi n'exige aucune préparation, ni aueun dérangement dans le* habitudes ordinaires. La dose pour une grande personne est de deux pilules par jour, qu'il faut prendre en une seul^ois au commencement du repas. L'effet se produit habituellement quelques heures après mais si la dose n'était pas suffisante, il faudrait l'augmenter progressi vement d'une pilule par jour jusqu'à cinq et même six pilules. Pour les enfants de dix ans et au-dessous, on n'en donnera qu'une ou même la moitié d'une, selon l'âge du sujet. Le repas le plus substantiel est celui qu'on doit choisir pour prendre ces pilules, afin de réparer prompte ment 'e vide produit dans l'économie par l'expulsion des humeurs. Si, la suite de l'ingestion des pilules, on éprouvait quelque malaise, ce qui se pré sente très-rarement, il faudrait prendre au lieu de tisane, des boissons fortifiantes, telle* que eau-de-vie sucrée, vin chaud, thé, bouillon gras, café noir, etc., etc., notre système étant de fortifier le malade et non de le débiliter. En résumé, pour obtenir un résultat satisfaisant, il faut prendre la dose nc'cessaire pour chaque jour en une seule fois au commencement du repas le plus substantiel de la journée, en l'accompagnant de boissons fortifiantes, au lieu de tisane* débilitantes recommandées pour les autres purgatifs. On devra continuer l'usage de ces pilules tous les jours jusqu'au rétablissement com plet de la santé, eu ayant soin d'en augmenter ou diminuer progressivement la dose, selon l'effet produit. Ce précieux et nouveau médicament, véritable trésor de la médecine, est le seul qui ne contient que des principes végétaux. 11 convient tous les tempéraments et tous jes âges. Son heureuse découverte est due 20 années de recherches sérieuses et d'expérienee* multipliées faites par le docteur Paoll sur lui-même et sur des sujet* de tous les âge*. Les résultais obtenus par l'emploi de ce bienfaisant régénérateur sont merveilleux. 11 combat avec avantage la Constipation et tous les maux qui en dépendent. Il lait des prodiges dans le traitement d'une foule de maladies chroniques, telles que Asthmes, Catharres, Migraines, DartresScrofules, Engorgements, Rhumatismes pris au coni- meneement de l'accès, il arrête les Douleurs de la goutte, et son usage ralionel et prolongé, éloigne et finit par faire disparaître Us accès. Il faut avoir bien soin de ne pas le confondre avec une foule d'autres préparation* de ce genre, annoncées comme Végétales, et dans lesquelles l'analyse a fait découvrir des Minéraux souvent très-nuisibles, tels que le Mercurel'Antimoine, etc. Prix le flacon entier, 5 franc». Le demi flacon, 9 franes 50 cent. AVIS IMPORTANT. Pour éviter toute contrefaçon ou imit tion qui viendrai! porter atteinte aux intérêt* des malades, son nom PAOLL Paris, est imprimé sur chaque pilule chaque étiquette portesa signature ci-contré, chaque llacon est garanti pat son cachet en cire rouge, et sa signature est répétée sur les deux ex trémités de l'enveloppe de chaque flacon. Tout flacon ne portaut pas ces marques et n'étant pas aocompagné d'un prospectus ayant son centra sa marque de fabrique, devra être refusé, comme une contrefaçon nuisible. A S0IV «ABIWBT, 2S, RUE LEPELLETIM, A PARIS. DEPOSE CONFORMEMENT A LA LOI. rires préparées pai (Codex n* 531) Pharmacienplace de V Arc-dt-Triom- pbe, 40, Paris. CesPilnle» végé tale* sont digestives, toniques, dépuralives, et constituent le plus commode et le plus efficace des purgn- ralrment employées contre les maladie* suivantes constipation, bile, glaires, migraine, asthme, catarrhe, douleurs, gastrite, dartres, humeurs. (Boite 2 fr.) A Bruxelles, chez M. SCHOOFFS, 15, rue de ht Montagne. MM. les ph*r- maciens ri droguistes recevront ces Pi- laie» au même prix que chex M. CAD- VIN, en s'adressant M. SCHOOFFS, dépositaire général pour toute la Bel gique. Il faut en prendre deox par jour nue 1« matin, l'autre le «oir. Dans les cas de migraine violente, on pourrait en prendre quatre par jour, une avant chaque repas. Ce» pilules guérissent radicalement l®a Névralgies, les Migraines, ks Maux d'estomac, l'Hystérie, elc., elo. Dépôt A Paris, pharmacie E.-B DU BLANC, aîné, 221, rue du Temple, 331, au eoiadu Boulevard, et dans toutes les bonnes pharmacies de Bruxelles et de la Belgique. hydraulique A ligugé FABRIQUE Oiplôa* dlusoseur. hors ligne. 1856. Diplôme âTiencear. hsn ligm, 1856. NOUVELLE LIQUEUR VINEUSE d'Ulysse Roy, de Poitiers, colore, fortifie et améliore instan tanément les vins reuges et blancs; la bouteille, 3 fr., pour 1 hectolitre. (L'hectolitre pour l'étranger et les colonies) SIROP et EXTRAIT DE RAISINS; vieillit et enlève la verdeur des vins nouveaux; la bouteille, fr. 25 c. pour un hectolitre. L'hectolitre BOUQUET OENANTIQUE DES VINS, les améliore et élève leur prix; le flacon, pour une pièce, 2 fr. (se conserve iudéfhûment). Le cent ESSENCE DE COGNAC (garantie) ou RANCIO d'Ulysse Roy, bonifie instantanément les eaux-de- vie de toute nature; lo flacon pour un hectolitre, 5 fr. (Recette déposée et approuvée.) Le cent PARFUMS CONCENTRES pour liqueurs françaises et étrangères; la flacon paur 20 litres, 3 fr. Ces produits sont chimiquemrnt fabriqués. Le cent ESSENCE DE RHUM d'Ulysse Rov, de Poitiers, donne -nisrantanément ntt goût exquis et délicat aux elixirs, punchs, crèmes, bonbons et liqueurs de ce nom. Un flacon suffit peur un hectolitre. Prix du flacon, 6 fr. Le cent 300 625 200 500 300 600 La maison CAVALIER, de Montpellier, s'exprime de la manière suivante dans ton courrier du 29 novembre 1856 s Noua sommes depuis des années les dépositaires généraux do vos excellents produits, et nous pourrons, au nom de tous ceux qui les ont employés, donner les témoignages les plus flatteurs et vérldiqucs. Se 4Cfier des contrefaçons et imitations. Remises aux commissionnaires proportionnées l'importance dos ordres. de Incomparable pour faire couper les rasoirs, pour lustrer l'or et l'argent, pour polir la corne. l'I voire, l'écallle, le mêla! anglais, le enivre, l'a cier trempé et les pier re» fine». Prix du flacon fr. 1-95. A Ypres, chez Lambin, fil», rue au Beurre, 83. i - ir> Lambin, Iiu, éditeur, me an Beurre, 83.

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Le Progrès (1841-1914) | 1859 | | pagina 4