HUIZEN TAILME-HOUT 6RÀND- EN TIMMERHOUT EN ERYE AVIS AUX MALADES. Nouvelles diverses. TE LANGEMARCK, TE YPEREiY. J.-P. CAUVIN jouissait de l'estime générale et comptait de nom breux amis. La fatalité s'attache parfois certaines famil les. Il y a une dizaine d'années un frère et un neveu de M. Rutot furent également victimes del'accidentarrivé sur le chemin de fer de Manage. L'état des autres blessés est aujourd'hui sa tisfaisant. A moins de complications fâcheuses, M. Haesenhaeger pourra bientôt être transporté Tournai. M. Dubois, de Jeinappes, et M. Eugène Accarain de notre ville, vont bien. Voilà la troisième fois, paraît-il, que M. Dubois a la même jambe cassée. La femme qui a été pour ainsi dire décapitée n'avait pas encore été reconnue hier soir. Elle doit «être enterrée aujourd'hui. On a trouvé une pipe dans sa poche et une paire de petits souliers d'en fant daos le paquet qu'elle portait. Des nouvelles que nous recevons du Borinage nous présentent la situation comme très tendue; la misère règne dans les populeuses communes des «nvirons où de nombreux ouvriers sont condam nés au chômage par suite du stock considérable -des charbons. Ce stock sera bientôt de trois mil lions de kilogrammes. Organe de Mont.) Le drame mystérieux Demme-Trumpy agite •de nouveau les esprits. Il y a quelques jours ar riva ici un ancien militaire au service français (Allemand d'origine), qui, en racontant dans un public sa campagne du Mexique, a dit entre autres .qu'il était tombé malade du choléra et qu'il avait ■été guéri par un médecin de Berne. Ce médecin s'appelait Demme, parlait couramment l'allemand bernois et lui a donné une lettre pour son frère Berne. En remettant cette lettre son adresse, il a reçu un pourboire de i francs, etc., etc. Quelques citoyens, en écoutant ce récit, demandèrent au narrateur s'il maintenait ses assertions et, sur sa -réponse affirmative, le conduisirent chez le préfet <;ui interrogea le militaire et le fit mettre en lieu -de sûreté. Dans son interrogatoire, celui-ci a ré pété le même récit et donné le signalement com plet du docteur dont il a reçu les soins au Mexique. Cb ose étonnante, ce signalement concorde en tous points avec celui du docteur Demme qui a disparu de Rerne. [Berne-Zeitung les grand8 hivers en france. On a ptl Voir, dit le Moniteur, bon nombre d'individus s'aven turer sur l'épaisse couche de glace qui couvre la Seine et traverser le fleuve pied sec. C'est là un fait qui ne se produit qu'à de rare3 intervalles. Depuis une vingtaine d'années, le fleuve pari sien n'avait pas subi ce point l'influence du froid. La première mention qu'on trouve dans les historiens de la congélation de la Seine remonte l'an 821 elle fut prise pendant uu mois, et il eu fut ainsi dans les hivers de 1044» «067, iia4, 1125, I 2O5, I2l6, l325. En j4o7, le froid fut 9i rigoureux que la plu part des vignes et des arbres fruitiers furent dé truits. En 1420, Paris eut souffrir d'un froid si vif qu'une mortalité extraordinaire se déclara et que la ville perdit plus des deux tiers de ses habitants. Les loups entraient jusqu'au cœur de la ville pour dévorer les cadavres. En «434, la gelée dura, partir du 3.« Dé cembre, deux mois vingt et un jours la neige tomba pendant quarante jours consécutifs. En lôyo, le froid dura pendant trois mois entiers daDS toute sa rigueur. En 1608, l'hiver fut si ri goureux dès le 21 Décembre, que les approvision nements de la capitale en combustibles étaieul devenus si rares qu'un cotret se vendait 35 sols. Les troupeaux périrent en grand nombre dans les étables, ainsi que toutes les espèces de gibier dans les campagnes et les forêts. La Seine fut si profon dément prise, qn'elle portait des chariots pesam ment chargés. En i683, l'hiver fut si âpre qu'un grand nom bre de personnes moururent de froid les gelées durèrent trois semaines. En 1709, le froid ex trême occasionna une disette qui lit périr beau coup de monde. On fabriqua Paris et Versailles du pain d'avoine, qui fut servi sur la table des princes et des riches. En 1 740» le froid occasionna une nouvelle famine on fit, par ordre du Parle ment, des prières publiques et ou promena par les rues les châsses de sainte Geneviève et de saint Marcel. En 1768, les cloches des églises se brisè rent sous l'action du froid. L'hiver de 1784 avait changé la physionomie de Paris. L'amoncellement des neiges et des glaces formait d'insurmontables obstacles dans les rues, où l'on ne pouvait plus marcher. Au coin de la rue du Coq Saint-Honoré, on éleva une pyramide de neige en l'honneur de Louis XVI. Le 3o Décembre 1788, le thermomètre descendit 18 degrés i4 au-dessous de zéro; l'épaisseur de la glace qui couvrait la Seine fat de 12 pooccs. Enfin, en 1799, 1810, 1811,1812, 1814, 1820, 1829, >846, les hivers furent très-rigoureux et la Seine lut coogélée. AVIS. - Le sieur ROSIM ONT-VERPOORT, directeur de la Compagnie d'assurances contre la milice, rue d'Argent 38, Bruges, a l'honneur d'informer le public, qu'il se trouvera la dispo sition des intéressés tous les Samedis jour du marché, aux Trois Rois, a Ypres. Désormais nul ne pourra douter des cures merveilleuses obte nues par la Revalenta Arabica du Barry. Aux milliers de béné dictions déjà reçues, nous sommes heureux de pouvoir joindie celle du Pape. Elie est oonstatée dans la Gazette du Midi Rome, 21 Juillet 1866 La santé du Saint-Père est excellente, surtout depuis que, s'abstenaot de tout aotre remède, il fait ses repas de la Revalenta Arabica bd Bahut, qui a opéré des effets surpre- sants sur lui. Sa Sainteté ne peut assez louer les avantages, n'elle ressent de cette excellente farine duut elle prend una assiettée chaque repas. No 49,422 M. Baldwin, du délabrement le plus complet des neifs, estomac, vessie, intestins et paralysie des membres par suite d'excès de jeunesse. Cure no 62,815. Thuillies (Belgique), 50 Septembre 1865. Depuis 20 ans, j'ai souffert d'une dyspepsie avec tous les maux qui eu résultent. Votre Revalenta Arabica a fait disparaître la stupeur, la chaleur de l'estomac et les conges tions cérébrales. J. J. Noël. - No 48.721, M. le baron de Zaîus- kowski, général de division, de souffrances terribles de plusieurs années dans tes voies digestives. DU BARRY, 12, rue de l'empereur, Bruxelles. Eu boîtes de 1/4 kil., 2 fr. 25 1/2 Lit., 4 fr. 1 kîl., 7 fr. 2 1/2kil., 16 fr. 6 kil., 52 fr.; 12 kil., franco, 60 fr. Contre bon d eposte. La Revalenta chocolatée du Barry, eu poudre. Ali ment exquis pour déjeuuer et souper, éminemment nutritif, assimulant et fortiGant les nerfs et les chairs, sans causer de maux de tête, ni échauffemeut, ni les autres incunvénieuts de chocolats ordinairement en usage. En boites de 12 lasses, fr. 2-25, 24 tasses, fr. 4 48 tasses, fr. 7 288 tassas, fr. 52 576 tasses, fr. 60, soit environ 10 centimes la tasse. 8. Se vend Ypres, chez G. Vêts, pharmacien; Frtsoc-Van Odtrtvb, pharmacien Ch. Beccwe, pharmacien; Mahieu, pâtissier, et les premiers pharmaciens, épiciers et couGseuts dans toutes les villes. Pilules Hollowax). Les affections bilieuses et les dérange ments du système, produits par une surabondance de bile im pure, sont toujours corrigés par quelquesdoses de ces inestimables Pilules, partout admirées par leur rare combinaison de douceus et de pouvoir, parce que tout en guérissant avec facilité et rapi dité les maladies les plus obstinées, elles n'affaiblissent jamais l'estomac, et ue nécessitent aucune interruption dans les devoirs de l'existence, ou les amusements. Au contraire, elles augmen tent l'appétit, fortiGcnt les organes de la digestion, donnent une nouvelle énergie et une nouvelle vie toutes les fonctions ani males, et conviennent tout la fois au corps et l'esprit pour de nouvelles forces. Celui qui se sent malade ou faible peut faoi- lemeut découvrir quelle heureuse révolution le pouvoir de ses Pilules peut exercer sur le système humain. Eh vente: Pilules et Ont/ueul, chez Frisoc-Van Odtrtve, rue de Uixmude, 35, Ypres. SCHOONE KOOPDAGEN VAN OP STAM, benevens ander IN T BOSCH HOUTHULSI Ten verzoelie der erven van wijlent M. DE B1DDCR, op de hierna gemelde dagen, telkens om twaalf uren s' tniddags le beginnen. A. Woenadng, 36° Fcbrnarij 1868, (Ascuwoensdag), zal men er vcc- koopen in de partien Oost- en VVest- Stnalleseype 1° 10 hectaren extra schoon en zwaar Tailliehout op slam 2° 1,000 barde en zachte Taillie- Amcloozcn 3° 1,000 Eiken Snoek-Amcloozcn 4° 3,000 Sparrebusschcn g» 25 vuramen Sparren 6" 50 koopen Rodingblokkcn. De vergadering ter herberg Royssen. B. Donderdag, 19» Maart 1868, (S* Josephsdag), zal men er verkoopen in de partien Doodkeirel Kruisciken Meunekeweiden, Oost- en West Mulic- Broucken 1° 20 heclaren gelijk Taildehout 2° 2,000 barde en zachte Taillie- Ameloozen 5° 2,000 Eiken Snock-Amcloozen 4" 3,000 Sparrebusschcn 5" 50 koopen Sparren 6* 75 koopen Rodingblokken. De vergadering ter herberg 't Kasteelken. Nota. De boschwachiers Petrus Noyez en Petrus Lechat, zulleu ailes aan- toonen. Op gewoone voorwaarden en negen tnaanden lijd van betaling, behoudens bc- kende solvabel medekoopers le stellcn, 1er aanveerding van den Zaakwaaknemer L1EB1ERT, te Langemarck, met dco ontvangst van deze belast. nr 15, met Keuken, Beneden- en Boven Kamers en medegaande Erve. Gcbruikt te weten koop 1 door Madame de weduwe van M. Léopold Jolyt, tôt 1° April 1868, en koop 2, door den beer Isidore Ducomeymet beboud van gebruik loi 1° Maart 1870, ten prijze van 200 francs. INSTELPENNINGEN TE WINNEN. OPENBARE VERKOOPING VAN SCHOONE Op Dondcrdag13° Febrnapij 1868, voor den Instel, en op Douderdag, 37° dcrzelfde ma and, voor den Over- slag, telkens ten drie uren namiddng, in de estaminet Salon d'Apollon, Lombaard- straat, te Yperen, zal de Notaris VAN ÉECK.E, dier rcsidentie, te koop aan- bieden, ingevolge de wet van 12°Junij 1816, de naschreveu HUIZEN en ERVE, te weten STAD YPEREN. B0ES1NGHE-STRAAT Koop 1. Een schoon en onlangs bijna geheel NIEUW GEBOUWEN HUIS van drij verdiepingen gcteekend nr 13, samen- gesteld uit groote Kelders, Beneden- en Bovenkamers, Cour, Waschhuis en Remise met de Erve daar medegaande. Koop 2. Noord aan 't voorgaande, een HUIS van drie verdiepingen, geteekend Celle combinaison nou velle, basée sur des prin cipes non connus de> médecins anciens, rempli avec un bonheur remar iiinble toutes les conditions ii problème de la médica tion purgative. A l'opposa des cvalres purgatifs, celui- ci n'opère bien que lorsqu'il est pris avec de très boni aliments et des boissons fortifiantes. Il ne manque pas son effet, comme cela arrive souvent 1 eau de sedlitz et d'autres purgatifs. La dose est facile z régler selon l'âge ou la force des individus. Les en fanls, le6 vieillards et les malades les plus débilités I* supportent sausdifficulté.Chacun choisit, pour s« purger, l'heure et le repas qui lui conv'eunent mieux, selon ses occupations habituelles, l'a fatigue de ia purgalion étant complètement annulée par l'effet dé la bonne alimentation prescrite, on se décide faci lemenl recommencer aussi souvent que cela est nécessaire. Les médecins qui emploient ce moyen oe rencontrent plus de malades hésitant se purger sous prétexte de mauvais goût, ou par la crainte d< s'affaiblir. La longueur du traitement n'est plus ul obstacle, et lorsque le mal exige, par exemple, qu'on se purge vingt fois de suite, on n'est plus retenu pai la crainte d'être obligé de renoncer avant la fin. Ces avantages deviennent bien plus précieux, quand il s'agit de maladies serieuses, telles que tumeurs, engorgementsaffections culancescatarrhes et bien feutres maux réputés incurables mais qui codent une purgalion régulière et longtemps réitérée. Voirie manuelde lu médication purgative du docteur Dehaul volume de 264 pages, donné gratuitement. Paris, pharmacie du l)' Mehaui, et dans toutes les bonnas pharmacies de l'Europe. 5 fr. et 2 fr. 50 ceni. DÉPÔT la pharmacie et droguerie de Frysoa-Tanontrlve, Ypres. de CAUVIN, de PARIS. Ces PÏLD- bfficàcilé'et'par l'emploi facile O if auquel elles se prêtent, sont le meilleur pur gatif et dépu ratif pour com battre la con stipation, dé truire les hu meurs etVâcrée té du sanget pour ramendr l'harmonie les fonctions vitales.) Composées de substanoes végétales, elles ont la propriété de donner du ton aux intestins, de purger sans fatiguer l'estomac ni affaiblis ancun organe. Les PILULES CAUVIN n'exigpentni régime ni boissen spéciale sous ce rapluort elles con stituent le plus commode et le plus efficace des purgatifs connus aussi, elles sont ordonnée- avec succès dans les maladies aiguës et chronis ques, gastritesengorgementsasthmescata-r rheSs douleursd artresmigrainés, pi go- les rhumatismeséto., etc. Le mérite des PILULES CAUVIN peut se résumer en ces mots rétablir ou entretenir le santé. PRIX La î/2 bt8 de 50 pilules 2 fr. La boîte de 60 pilules 3 50 Nota. Une instruction explicative est renfermée dans chaque boite. preparees uniquement par Place de l'Arc-de-Triomphe de l'ÎUiik 10, Champs-Elysées, Paris. Dépôt Ypres, chez M. FRYSOU-VAPï OUTKIVE, pharmaien-drogiste.

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Le Progrès (1841-1914) | 1868 | | pagina 3