mm e&g Nouvelles diverses. TILLE CYPRES. La Pommade fici'olairc de Codefroy Stour- seciicgger fllérisau, Suisse, dont l'efficacité est constatée par nombre d'autorités médi cales et par des certificats distingués VERKOOP1NG BERMHERTIGHEID. émissioa d'actions dont le produit est destiné fournir aux dépenses d'établissement d'exploita tions nouvelles. Jusqu'à ce jour, la rémunération des soins don nés cette sorte d'opération a été exclusivement réservée aux banquiers; mais, dans un moment où la misère a si grand besoin d'être soulagée, nous avons pensé faire de la réuumération dont nous parlons un objet de bonnes oeuvres; nous avons voulu dans celte grande entreprise faire la part du pauvre, et personne mieux que vous, monsieur le curé, ne peut nous aider mettre celte pensée exécution. Placé comme vous l'êtes au milieu de toutes les misères, c'est vous naturellement qu'est ré servée toute mission de charité,et nous riedouton9 pas que vous ne consentiez dans cette circonstance nous prêter votre bon concours. Nos actions sont de 5oo fr., dont i z5 fr. seu lement payables comptant, conformément au prospectus que nous vous avoos adressé. Nous vous engageons chercher, trouver des souscrip teurs: ce sera en même temps pour eux un bon emploi de leurs fonds, et pour vous, monsieur le curé, une bonne occasion de faire du bien autour .de voue. Nous vous attribuerons vingt-cinq francs par chaque action dont vous obtiendrez la sous cription. Ces vingt-cinq francs vous seront remis en espèces, et vous les appliquerez votre choix, >sux besoins de votre église ou au soulagement des pauvres de votre paroisse. Cette attribution pour rait vous offrir des ressources assez considérables, puisque vingt actions souscrites donneraient pour ■vous un produit de ■cinq cents franc*et si vous parveniez réunir uoe souscription decent actions ■votre droit serait de 2,5oo francs. Vous savez, monsieur le curé, de quelle uti lité sont les chemins de fer que nous construisons; tous les conseils généraux les approuvent parce ■que leur établissement donne du travail aux ou vriers et accroît la prospérité de leur département. Nous vous remercions d'avance, monsieur le curé, de votre charitable concours, et nous vous prions de nous faire passer les fondsdes souscrip tions que vous recueillerez de la manière indiquée notre prospectus, sous la déduction de fr. •que vous retiendrez par chaque action. Veuillez agiéer nos sentiments bien dévoués. A. Laurent de Blois et C" Ajoutonsqu'en dépit du clei gé, la Compagniedes chemins de fer d'embranchement* fil faillite et fut même l'objet de poursuites correctionnelles. Pour la fi nance, le salut n'est pas toujours dans l'église. (Journal de Bruges.) Société des Chœurs. La Commission directrice a l'honneur de faire con naître aux membres de la société que la 5™' conférence scientifique de M. Bergé aura lieu Vendredi prochain, 7 heures du soir, au local de la société. On assurait ce matin au Palais de justice que AI. Jacobs est cîlé devant le Conseil de disci pline du barreau anversois au sujet de faits révélés sa charge par les journaux et qui se rap portent la célèbre succession Dehoey. D'après ce9 journaux, M. Jacobs, avocat, du ptêtenom des jésuites, a fait venir d'Anvers Brux elles, dans son cabinet, certains témoins appelés déposer dans l'enquête, pour les éclairer sur la façon dont ils auraient répondre au juge d'ins truction. bulletin télégraphique nu Journal de Bruges. Anvers, 5 Mars, 12 heures 23 minutes. Encore un sinistre: la goelette anglaise Mary Mnn. chargée de pétrole et de naphte, a pris teu. L'explosion a eu lieu en rade de l'Escaut. Il y a quatre victimes. Dans le salon d'un riche financier qui siège au Corps législatif, la partie jeune de la société se li vrait aux douceurs de ce jeu, fort la mode cet hiver, et qui consisté distribuer au hasard des réponses faire des questions déjà posées. Or, le secrétaire chargé du dépouillement de l'urne trouva cette interrogation délicate Quel est le secret du bonheur en mariage la réponse suivante, dont l'écriture fine trahissait une main de femme: Le bonheur en ménage consiste dans l'har- monie des pouvoirs constitués La femme re- présente le Corps législatif qui discute et qui vote, et le mari est le Sénat qui ne s'oppose ja- mais. Si c'est une jeune fille, avouez qu'elle promet. Trop d'esprit et d'expérience, trop tôt (Figaro.) Un paysan entre chez un pharmacien et deman de 2 sous de pommade camphrée. On fait droit sa demande, il veut payer. Allons donc dit le pharmacien, ce n'est pas la peine, nous sommes gens de revue. Mais cependant dit le paysan, inquiet... Allons donc maître un tel ce n'est pas la peine la première occasion vous m'enverrez un lièvre. Oh très-bien dit le paysan. Et il s'en alla tranquillisé, ravi de Itiorisoo que lui avait ouvert le Cadet-Cassicourl local. Il n'aura pas d'argent débourser. connais-tu la politesse? Deux soldats descendaient la rue de Cléry, Paris; ils passèrent devant un capitaine et négligèrent de le saluer. L'officier allant eux leur dit? Eh bien vous ne connaissez pas la politesse? Un des troupiers se tourna vers son camarade, et prenant un air niais Dulard connais-tu La Politesse Moinon. Aloraportant la main son Schakole soldat répondit La Politesse, mon capitaine? inconnu au bataillon. L'officier ne put s'empêcher de rire, et, vous le savez quand on a ri on est désarmé. Un officier prussien punit de 24 heures d'ar rêt un nouvel incorporé de la iandwehr qui pas sant côté de lui dans une rue de Francfort, ne l'a pas salué. Huit jours après, l'officier et le soldat se ren contrent de nouveau. Pas plus de salut que la première fois. Mais malheureux, dit l'officier, vous aimez donc bien les arrêts que vous me forcez voua y mettre de nouveau. Dîme, cette fois-ci, mon officier, je n'ai pas osé vous saluer j'ai cru que vous étiez encore fi ché de l'autre jour. C'est une grande misère, quand on se marie* de ne pouvoir offrir aux invités, aux parents, amis et connaissances, du chamberlin, du clos- vougeot ou du Champagne de bonne marque. Mais enfin quand on n'a pas ce qu'on désire, il faut aimer ce que l'on a, comme dit le proverbe. Telles sont, ou peu près, les réflexions que se faisait l'autre jour un pauvre ouvrier de Cha- telineau en rentrant chez sa femmelejourde leura noces, et peut-être n'était-il passeul penser ainsi. Que faire Non-seulement il n'y avait pas de vin dans la cave, il u'y avait même pas de bière. Pour tant un jour semblable on ne peut se passer de boire quelque chose: le marié fit acheter une cruche de genièvre, et l'on se mit consommer du peké on en but tant que le soir tout le monde était ivre, le nouvel époux plus que tou9 les autres. Ou le porta dans sun lit ivre mort, et il y est encore, dans un état désespéré. Désormais nul ne pourra douter des cures merveilleuses obte nues par la Revalenta Arabica du Barry. Aux milliers de béné- dictious déjà reçues, nous sommes heureux de pouvoir joindre celle du Pape. Elle est ooustatée dans la Gazette du Midi Rome, 21 Juillet 1866 La santé du Saint-Père est excellente, surtout depuis que, s'absteiiant de tout autre remède, il fait ses repas de la Rrvalenta Arabica bu Barry, qui a opéré des effets surpre- sanls sur lui. Sa Sainteté ne peut assez louer les avautagea qu'elle ressent de celte excellente farine dont elle prend une assiettée chaque repas. Les gastrites, gastralgies, toux, consomption, dépérissement, pour lesquels la médecine n'offre aucun remède efficace, sont parfaitement guéris par la délicieuse Revalenta Arabica Du Barry de Londres. —Cure N° 62,815, Tbillies (Belgique), 50 Septembre 1865. Depuis 20 ans, j'ai souffert d'une dyspepsie avec tous les maux qui en résultent. Votre Revalenta Arabica a fait disparaître la stupeur, la ohaleur de l'estomac et les conges tions cérébrales. J. J. No&l. DU BARRY, 12, rue de l'empereur, Bruxelles. En boîtes de 1/4 kit., 2 fr. 25 -, 1/2 kd., 4 fr. -, 1 kîl., 7 fr., 2 1/2 kil., 16 fr. 6 kik.,52 fr.-, 12 kil., franco, 60 fr. Contre bon d eposte. La Revalenta chocolatée du Barry, eu poudre. Ali ment exquis pour déjeuner et souper, éminemment nutritif, assimulant et fortifiant les nerfs et les chairs, sans causer de maux de tête, ni éebauffement, ni les autres inconvénients de chocolats ordinairement eu usage. En boîtes de 12 tasses, fr. 2-25, 24 tasses, fr. 4 48 tasses, fr. 7 288 tasses, fr. 52 576 tasses, fr. 60, soit environ 10 centimes la tasse. 4. Se vend Ypres, chez G. Veys, pharmacien Frysou-Vaw Outkyve, pharmacien y Ch. Beccwe, pharmacien; Mahieu, pâtissier, et les premiers pharmaciens, épiciers «t confiseurs dans toutes les villes. Onguent et Pilules d'flulloway. Sciatique, Rhumatisme. Le son seul de ces mots jette la terreur dans l'esprit de tous eeux qui, une foi«, ont eu sabir leur tourments de ces terribles maladies, bien qu'Holloway leur ait indiqué une méthode do guérison qui devrait rendre aux patients qui désespèrent le plus, courage, espoir, et soulagement. Après que les parties malades ont été convenablement fomentées avec de l'eau salée tiède et séchées avec soin, cet Onguent devra être frotté avec patience et persévérance sur la peau ainsi préparée pour le recevoir, et ces Pilules prises par doses conformément aux prescriptions conte nues dans les Instructions. Cette simple méthode améuera les cas les plus terribles de tic, névralgie, rhumatisme, et goutte, une facile résolution, réduira l'enflure qui les accompagne, relâchera les tendons embarrassés, et fortifiera les membres énervés. 2. En vente Pilules et Onguentohez Frysou-Vaw Outryve, rue de Dixmude, 55 Ypres. L'ADMINISTRATION COMMUNALE pré vient tous les habitants que le rôle pour le recouvrement de la Taxe provinciale 6ur les chevaux, bêtes cornes cl moulons, est provisoirement arrêté et déposé au Secré tariat l'inspection des contribuables. Ceux qui se croiraient lésés sont admis faire valoir leurs réclamations devant le Conseil communal. Fait l'Hôtel de ville, le 24 FévrierI868. les bourgmestre et échev1ns, P. BEKK. PAR ORDONNANCE le secrétaire, J DE CODT. se vend chez l'inventeur même et au dépôt (d/Uttli M. François De Baste, pharmacien, rue Fossé S" Elisabeth, 27. Dépôt Bruxelles t M. C. Smoldeks, pharmacien, rue des Fripiers 26.- Prix d'un pot original fr. 7. Ce spécifique qui ne contient point d'in grédients suspects, assure la Gnérisou sans produire anenue in flammation. Pour se persuader d'avance du succès étonnant, l'instruction avec certificats seront envoyés gratis. IN DEN VAN Dondcrdag 5° iïlaart I8G8, ten een en half ure xamiddag, Zollen er, in don Bank van lcening der stad Yperen, ver- koebt worden, al de voorwerpen der over- geblevcne panden van de maenden Novem- bercii Dëcember 1866, bestaendein: Gond' Zilver; Kleederen, Laken, Stof- ficu, Lynwaed Koper, Tin, Blek. Deze Verkooping zal gebeuren met gc- recd geld en verhoog van 4 p.

HISTORISCHE KRANTEN

Le Progrès (1841-1914) | 1868 | | pagina 3