M. ADLER, CmRERGIJN-TANDMEESTER, Leuvenscheplaats, n" 3, te Brussel, Nouvelles diverses. Variétés. Uitvinder van een nieuw stelsel onbederflijke tanden en kunstgebijten, geene uitroeijing van wortels vereischende en geen de minsle pijn veroorzakende, gewaarborgde goede uitslag, de eenige aan welke door beslissing van de Fakulteit van geneeskunde eene vereerende raelding is toegekend. Rechtzetten der tanden, gebreveteerd door den Koning der Belgen, aan kinderen onder de vijftien jaren oud. Bijzonder middel om de zieke tanden te bewaren. M. Adler zal sprekelijk zijn in het hôtel la Tête d or, te IJperen, den Zaterdag, 5" September 1868, van acht uren 's morgens tôt vier uren namiddag. Nota. M. Adler begeeft zich ten huize der personen die zulks verlangen. dies, qu'il était inutile de veiller encore, que les gendarmes pouvaient en toute sécurité dormir la nuit. Aujourd'hui l'on a lu au prône une lettre pasto rale de l'évêque de Bruges, qui déplore les crimes de Saint-Génois, eu ajoutant qu'il faudrait monter jusqu'aux troubles excités jadis dans notre pays pour retrouver de pareils forfaits. Monseigneur dit encore dans son mandement que les confes seurs ordinaires ne peuvent remettre des crimes de cette gravité, mais que samedi prochain, l'oc casion de la Nativité, il y aura exposition du S1 Sacrement et qu'à celte occasion il enverra des confesseurs étrangers munis de pouvoirs spéciaux. Monseigneur espère que tous les paroissiens ac compliront leurs devoirs religieux et que Dieu permettra que la justice mette la main sur les vrais coupables. Notre bourgmestre, M. Mullie, a eu hier Bruges une conférence avec M. le chanoine Maes, qui était venu dernièrement, d'après les ordres de l'évêque, faire ici une espèce d'enquête la suite de laquelle il avait manifesté l'inteution d'entreren négociation avec l'administration com munale. Il faut croire que l'évêque a trouvé que tout était pour le mieux, puisqu'il a fait savoir notre bourgmestre, par l'intermédiaire de M. le chanoine Maes, que lui et son conseil étaient décidés ne rien céder de leurs prétentions dans la question du cimetière. Le contraire nous eût singulièrement étonnés. Un arrêté royal, en date du 28 Août, autorise le conseil de fabrique de l'église de Notre Dame, Poperinghe, faire exécuter de nouveaux tra vaux de restauration cette église. On lit dans le Précurseur Il y a environ six semaines nous avons annoncé que deux enfants, filles du sieur Smits, tenant un estaminet près du Juif Errantavaient été mor dues par un chien engagé, dans la commune de Berchem. Depuis lors ces eofanls ont été l'objet de très-grands soins et on espérait que les mor sures n'auraient pas de suites. Samedi dernier ce pendant l'aînée des deux enfants a montré tous les symptômes de la rageet malgré les efforts de l'art, elle est morte, mardi, dans les plus affreuses dou leurs. Jusqu'icila seconde enfant est bien portante. Une dépêche de Dunkerque nous apprend que, pour la troisième fois depuis quelques semaines, cette ville vient d'être lejhéâire d'uu désastreux incendie. C'est hier soir que le feu a éclaté dans les maga sins de Hall. Il a été dominé au bout de quelques heures: mais les pertes matérielles sont très- grandes. Il ne paraît pas y avoir de malheureux déplorer. L'adjoint de police Cerfontaine, d'Anderlecht, vient d'arrêter un nommé Jules François, étran ger, sous prévention d'émission de fausses mon naies, J'effigie de Léopold II. Uu grand nombre de ces pièces ont été saisies dans divers petits magasins du hameau deCureghem.L'inculpé a été écroué sous mandat de dépôt après interrogatoire devant le juge d'instruction. On a-fait le calcul suivant Il y a 12,443 cafés, estaminets, brasseries et marchands de vin, dans les vingt arrondissements de Paris, qui possèdent environ 3o,ooo billards. Ces billards rapportent en moyenne «o fr. par jour, ce qui donne pour la ville, une recelte quotidienne de fr. 3oo,ooo et annuelle de 103,500,000 fr. Le premier numéro du Times fut publié le i» de l'an 1788, et ce journal n'a jamais cessé une seule fois de paraître depuis ce jour. De très-petit format, le journal ne se composait alors que de quatre pages. Chacun connaît le format presque monstrueux du Times actuel avec ses annonces et ses suppléments mais ce que tout ie monde ne sait pas, c'est que le papier sur lequel le journal est imprimé vaut lui seol bien pins que le prix demandé pour les nouvelles.- Un exemplaire du journal avec son supplément contient 20,000 lignes ou 200,000 mots, ce qui est légal au con tenu d'un volume in-8" de 5oo pages, et la plume la plus rapide ne saurait le transcrire en quinze jours, même en y consacrant dix heures de travail journalier. On vient d'adopter en Angleterre un nouveau moyen de retirer le miel dçs ruches. Ou chloro- formise tout bonnement les abeilles. Ainsi on se sert d'un sixième d'once de chloro forme pour opérer sur une ruche de dimension ordinaire. Une grande ruche nécessite l'emploi du quart d'une once. On place une table recouverte d'une nappe de toile épaisse peu près deux mètres de la ruche. On met au milieu de la table uoe petite assiette plate contenant le chloroforme soigneusement recouvert d'un grillage en fil de fer pour em pêcher un contact trop immédiat avec les abeilles. Puis 00 soulève la ruche de la planche où elle se trouve pour la placer au-dessus du chloroforme. En moins de vingt minutes les abeilles dormeot d'un profond sommeil, il n'y en a pas une seule sur la gâteau de miel, elles jonchent la table. Enlevez le miel, replacez la ruche sur la plan che, emportez le chloroforme, et Ie9 abeilles en se réveillant s'empresseront de regagner leurs demeures. Avec ses numéros d'Août et de Septembre 1868, la Poupée modèle termine le délicieux petit salon en cartonnage qu'elle offre ses jeunes abonnées. Ce salon se compose d'une obarmante cheminée imitant le marbre blanc et munie de toute sa garniture pendule, candé labres, devant de foyèr, pelle feu, pincettes, balai, soufflet, écran, porte-allumettes, etc., d'un piano avec tabouret et casier musique, d'un guéridon, a- d'une console, de jar dinières montées sur pied chinois, de fauteuils, de chaises, de coussins de pieds, etc., etc. le tout destiné être groupé dans de ravissants panneaux pans coupés, ornés de peintures vertes, grises, blanches et or, style Louis XVI, formant la tenture de ce boudoir de poupée nul autre pareil. Avec son prix si modique (6 fr. par an Paris et 7 fr. 50 c. pour les départements), ik Poupée modèle ne perdant jamais de vue le but qu'elle s'est proposé f Éducation de la jpetite fille par sa poupée, n'a cessé de donner, en outre, dans ohacun de ses numéros, une collection de modèles d'ouvrages et de patrons faciles et spéciaux pour les fillettes, des nouvelles morales et littéraires, des poésies enfantines, des énigmes, des pro blèmes, des reoettes de ménage et d'économie, des comptes rendus enfin de livres pouvant intéresser les mères et les enfants, eto.,etc. Ou s'abonne ParÎ3, Boulevard des Italiens, 1, et chez tous les Libraires des Départements. Un paysan tombe malade. Sa femme fait Venir l'officier de santé de l'endroit. Le médicastre arrive, examine, et docloralement -.Hé! hé! Plait-11 C'est dooo grave. Très-grave. Seigneur mon bon monsieur le médecin, traînei-le tant seulement que j'ai le temps d'user mes effets de couleur Dans Y Kcl airun mot ajouter au répertoire si riche dont la méehanceté publique gratifie M. Couture. Le oélèbre peintre, invité une soirée de S. A. Mrar la prin cesse Mathilde, est interrogé complaisammeut sur ce qui pour rait lui faire plaisir en travaux. En travaux, rien. J'expédie toutà l'étranger-, mais, princes e, une de mes joies suprêmes serait d'être exempté du service de la garde nationale. VILLE D'TPRE§. conseil communal. Séance publique, Samedi, 5 Septembre 1868, quatre heures de relevés. ORDRE DU JOUR: 1" Communication de pièces. 2° Location main ferme d'une prairie Reninghe, propriété du Bureau de bienfaisance. 3* Rapport de la 2* commission concernant le Mont-de-piété. Désormais nul De pourra douter des cures merveilleuses obte nues par la Revaleuta Arabica du Barry. Aux milliers d* béné dictions déjà reçues, nous sommes heureux de pouvoir joindre celle du Pape. Elle est constatée dans la Gazette du Midi Rome, 21 Juillet 1866: La santé du Saint-Père est excellente, surtout depuis que, s'abstenaut de tout autre remède, il fait ses repas de la Revalenta Arabica du Barrt, qui a opéré des effets surpre nants sur lui. Sa Sainteté ne peut assez louer les avautages qu'elle resseut de cette excellente farine dont elle prend une assiettée chaque repas. A l'immense mortalité des enfants en bas âge 60,000 en France et 50,000 en Angleterre la Science Médicale n'a ja mais réussi opposer un remède efficace et il n'y a rien s'y étonner, vu que toute drogue ne peut produire d'autre effet que celui d'augmenter la faiblesse des forces vitales de la digestion et de la nutrition. Il fut réservé la Revalenta Arabica du Barry de Londres de résoudre le problème de réparer les orgauea de la digestion, fournir nouveau sang, muscle et os et guérir le sys tème glandulaire sans forcer ni échauffer, mais d'une manière toute naturelle. Aussi avons-nous des preuves abondantes de son influence salutaire dans les ouvrages du célèbre docteur Routh, président de l'hôpital des Enfants, Londres, qui a trouvé dan3 la Revalenta Du Barry le moyen de ranimer les forces vitales et la digestion des enfants qui ne pouvaient plus digérer, qui rejetaient tout, souffrants en même temps de diarrhée, spasmes, crampes et périssant vue d'œil. Madame la baronne Deutsch de Horn, Trêves, a sauvé ses deux enfants par la Revalenta Arabica d'une maladie-des glandes, qui avait résisté toute mé decine et ne laissait plus d'espoir de guérison. Un pareil cas, s'est présenté dans la famille de M. Lawley, page de Sa Majesté la reine d'Angleterre. Nous pourrions ajouter les milliers de cas de guérison de diarrhée, bronchite, toux, phthisie, crampes, spasmes et rachitisme pour démoutror l'incalculable bienfait de ce précieux aliment sauveur, non-seulement pour les enfants, mais également pour les adultes. DU BARRY, 12, rue de l'empereur, Bruxelles. En boites de 1/4 kil., 2 fr. 25* 1/2 kil., 4 fr. 1 kil., 7 fr. 2 1/2 kil., 16 fr. 6 kil., 52 fr.; 12 kil., franco, 60 fr. Contre bon de poste. La Revalenta chocolatée du Barry, eu poudre. Ali ment exquis pour déjeuner et souper, éminemment nutritif, assimulaut et fortifiant les nerfs et les chairs, sans causer de maux de tête, ni échauffement,' ni les autres inconvénients d« chocolats ordinairement en usage. En boîtes de 12 tasses, fr. 2-25, 24 tasses, fr. 4 48 tasses, fr. 7 288 tasse», fr. 52 57$ tasses, fr. 60, soit environ 10 centimes la tasse. 10. Se vend Ypres, chez G. VBrs, pharmacien; Frtsou-Van OuravvK, pharmacien Ch. Brcuwb, pharmacien; Mahiku, pâtissier, et les premiers pharmaciens, épiciers et confiseurs dans toutes les villes. Onguent et Pilules (P Holloway. Dans beaucoup de maladies externes, quand le secours du meilleur chirurgien avait été ap pelé et que le talent le plus profond avait échoué obtenir une guérison, les remarquables remèdes découverts par Professeur Holloway ont atteint ce but désiré. A chaque génération il a rencontré des hommes qui abandonnent les sentiers battus et par viennent trouver une route plus aisée et plus courte. Tel est Holloway quand il essaya ses remèdes alors nouveaux et qu'il vit les ulcères les plus profouds, les inflammations les plus intenses céder son Onguent et ses Pilules. L'une et l'autre de ces pré parations amolissentguérissentet purifient l'une assiste l'autre matériellement en effectuant les cures, en renouvelant la force, et en donnant la nature épuisée, juste ce dont elle a ie plus besoin. 20. Eu vente Pilules et Onguentchez Frysou-Van Ootryve, rue de Dixmude, 55, Ypres. Nous apprenons que M. Adler, cédant aux sollicitations de sa clientèle, viendra un jonr tous les mois, Ypres. C'est une heureuse nouvelle pour notre ville, car la réputation, le talent et l'estime générale dont il jouit depuis de longues années, sont un gage de confiance pour les personnes qui ont recours son art. N'oublions pas qu'il est le seul dentiste dans toute la Belgique qui a été couronné d'une mention honorable de la faculté de médecine. M. Adler a déjà produit plusieurs ouvrages remarquables, entr'autres VOstéologie, traité sur fart dentaire, en vente chez les principaux libraires de Bruxelles.

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Le Progrès (1841-1914) | 1868 | | pagina 3