PILULES HOLLOWAY.
onguent. »»Jn»truotion» détaillée» entourent chaque Boite et lot
- eceoiti. - A
En Chine, ans Inde», an as»
Afrique et en d'autre* partie» /KB |a
du monde, un grand nombre Ca\v»\ Kfj
de millionnaire» catholique* se
foiirnieieut, depui* longue» n - fc V Y WfïstJBam a
née», directement l'établisse-
ment HOLLOWAY, de ce» fa-
meute» Pilule» pour l'usage de»
malade» louffrant des dérangé- ■*e»ê ^/j3Éi»L5»2
nients de l'estomac ou du foie, de» maux ue ven
tre, de lassitude et de débilité. Ce» oon» million
naires sont souvent obligé» d'agir comme médecin»
tout eu remplissant leurs devoirs de bons pasteurs.
Ces Pilules se recommandent toutes les per-
vjfgL ÇÛiK fausses digestions; elles corri-
gent aussi l'acidité et dissipent
feY mOnjlyMles maux de tête, excitent i'ac-
tion du foie et sont éminem-
flMffililWh ment propres ceux qui souf-
JtÊEfSMm î»i3 frent pat suite d'un tempéra-
ment nA/Tenl e'les exercent
généralement une action douce
et cannante. L'usage de cette médecine, qui donne
de la force et de la vigueur au système, est indispen
sable aux femmes des deux âge» ou celle» d'une
santé délicate, ainsi qu'aux personnes qui s'occupent
beaucoup d'études ou oui mènent une rie sédentaire.
fleevguéridons effectuée» par cet ONGUENT sont oour ia piunari si surprenantes qu'elles étonnent les
médecins dé la plus grande réputation. Par son emploi dee ir.illier» de personnes ont retrouvé l'usage de
leurs jambes on de leurs Dras, après avoir restées plus ou moins longtemps dans les hôpitaux et avoir ete
averties qu'il fallait se résoudre l'amirutation. D'où il était résulté u ue beaucouu, ayant refusé de se sou- i
mettre i l'opération, avaient quitte ces établissements et ont ronçrvé leurs membre» au moyen ae cet
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