r PILULES HQLLOWAY ONGUENT HOLLOWAYI REVALENTA ARABICA REVALENTA CHOCOLATEE LYS DE BAYLE, BISCUITS DE REVALENTA. 3 lEa EXTRAIT Chevalier de la Légion d'honneur. La Vérité IVH SEULES VERITABLES w Briixcllc», 31, rne des Fripiers. Liège, 42, rue Sprlkt.— Toute machine qui ne remplit pas d'un maniéré irréprochable le but désiré fera échangée ou remboursée sans frais. CHIMISTE, L'usage journalier de l'Extrait de fleurs de Lyg copservt aux personnes jeunes leur jeuuesse. leur fraîcheur et prévieut le> ridesChez les personnes fatiguée- par 1'iiisouiuie, la poussière des bals, l'air biûl 'ut des théâtres et des salons, il revivifie le te*1*1 décoloré, leur rend l'éclat, la frai heur, et effàce les rides. Héroïque coutre les taches de rousseur qui affligent les peaux les plus Gués, il les fait disparaître en se substituant aux fluides du tissu qui les occasionnent. Le hâU de la mer et le hâle du soleil qui affligent et désolent nos touristes intrépides et nos jolies baigneuses, ne s«>ut plus redouter, l'usage quotidien de l'Extrait de Fleurs de Lys leur per met de braver le soleil, et de courir impunément les plages de la mer. La couperose, cette irritation des tissus qui enlumine le visage des blondes sur- t ut, dont ta peau line et fragile a la seusibililé de la seusilive, disparaît sous l'iuGuence des sucs ra fraîchissants extraits du Lys. Les gerçuresles boutony, Ies feux du visage et même lesdurires disparaissent après un usage de quelques jours Dépôt Liège, chez De Botct, rue Sainte-Marie. EAU ET- POMMADE ANTI-PELUCULAIRES DE BAYLE. Ypres, dépôt chez Uuraon, coiffeur- parfumeur, rue de Lille, 50. U uu auixg ci ii ic conseille aans une foule ae ca5, ooucnaraai, dans sou imité de tn*~ auuée 1866, page 92, dit propos d'uue affecliou qui avait résisté tous les autres i: après quelques jours de iraitemeut p*r le goiidrou, l'ezéraa avait disparu et les vaieut cessé de se reproduire. Le même résultat a étécoustaté chez d'autres malades et ce» phthisie, mime assez avancée; dans ce dernier casle goudron empêche la décomposition des iubercu/es} etla nature aidantla guérison est souvent très-rapide. 11 est inutile de faire l'éloge du goudron, les médecins le prescrivent journellement leurs malades seulement, le goudron liquide répugne, et beaucoup de personnes se refusent le prendre, tandis que nos capsules se mettent sur la langue et sont avalées au moyeu d'une gorgée d'eau sans laisser le moindre arrière-goût. Ces capsules contiennent le goudron de Pin Sylvestre Maritimele goudron rectifié est le seul d'une efficacité toujoui~s invariable; une seule capsule contient les principes de trois ou quatre litres d'eau de nmmee plus fôm améliorant considérablement le goût; la Farine se conserve parfaitement pendant dix ans, notre conviction profonde,ce goudron est uu préservatif certain contre la vauole N. B. Dès ce jour, due minute de cuisson suffira pour la Hevalenta accompagnée d'instructions en encre roc«e. Moyennant uu procédé breveté, nous avons réussi cuire la Farine sec. Cette opération donne une T) I M 11 Ct* T11 11 C If k i f*- anialmp.nl m,... n A i. 1.1i 1 f |A 171f i 1 .,1i I r. n illustre chimiste, Raspail, dans «on Manuel de la santé} page 118, dit que le goudrôn embaume la circulation du sang et il le couseille dans une foule de cas. -Bouchardat, dans son Traité de thé rapeutique, année 1866, trait* meuts après fu ron oies avaieut divers faits sont venus ainsi constater l'efficacité du goudron comme moyen d'empêcher la repro duction des furoncles. Dans {'Annuaire de thérapeutique pour 18G9, p?ge 83, il est dit l'usage habituel et quotidien du goudron est très-recommandé chez lv» couvalesoenUet les personnes faibles il constitue un excellent préservatif contre un grand nombre de maladies, sprtout ooutre les maladies épi Hé iniques. Le doçteur Jozaii, dans son Traité pratique des maladies des voies unitaires, dit l'avoir ordonné avec uoeés dans les catarrhes de la vessie et les rétrécissement s de l'urètre. Mais où le goudron est d'une efficacité supérieure tout autre médi'oameut, c'est contre l'asthme, les rhumes négligés, les brouebites chroniques, la phthisie et les rhumatismes. Dans l'asthme, la respiratiou est difficile et laborieuse, a cause de l'inclusion incomplète des bronches; quintes violentes de toux, qui se terminent par des expectorations compactes, grisâtres, grumelées, fades et nauséabondes bouffisurt-s de la face, et souvent de toutes les autres parties du corps; touffe m eiils fréquents. Le froid empire tous ces symptômes, parce que le froid paralysaut les fonctions des muqueuses, leud les produits de leurs sécrétions plus concrets et uioius faciles se détacher. Une ou deux capsules de goudron tous les soirs, avant le dernier repassuffit pour dissiper tous ces symptômes, amener un soula gement immédiat et bientôt une guérison complète. Un rhume négligé ou mal traité finit par amener le marasme, quand il lie se transforme pas en phthi sie pulmonaire parfois les quintes finissent par devenir si fréquentes et si violentes, que toute la constitu tion eu est ébranlée le sommeil eu est chaque instant troublé les pommelles rougissent et les joues pâlissent le pouls est fébr ile et rapide. La moindr e impression de froid redouble toutes les souffrance* plus lard, il se forme des tubercules, qui, se multipliant, obstruent les capillaires et paralysent ainsi l'oxygénation du sang; lorsqu'ils viennent suppurer, ils sont le foyer de la désorgauisalion des cellules du poumon, et y occasionnent de larges perles de substance, que l'on désigne sous le nom de carernes. Le ma tade est pris d'une langueur sans souffrances, d'une mélancolie sans eunui ses crachats, d'abord blancs, spumeux et nacrés, virent de plus en plus vers une coloration de mauvais augure, et, la dernière période, ils sont d'uu vert herbacé. Le dévoieuieut le prend au début et ne fait ensuite que s'accroître. Son existence n'est plus qu'une lente agonie, saus remords et sans regrets, et il s'éteint ta pleine connaissance, soit l'époque où la nantie se réveille, soit celle où elle s'endort. Une ou deux capsules de goudron, tous les soirs, avant le dernier repas, suffisent pour guérir en peu de temps le rhume le plus opiniâtrela bronchite la plus invétérée pour enrayer et guérir en peu de temps la .1 les d'épaigiier le temps et 1. fatigue >ui cuisinières sont iuclcuîables. Pour les personnes «ni1® cholé,«. fi.èvre «jrpSorJe. de. En preuaut mie ,i.up e cap.ule deS....,l.<.u Unis les jours, ou pe.it i.npu- a la cli.« r o„ relies qui n'ont pas .le o.isiiie, noua «tous prépaie des ue.nent aller soigner les malades atteints de ces maladies toutes les personnes qui les oui employées peu- - - daut l'epidémie variolique qui a deruiéremeut sévit a Paiis aveo taut d'intensité s'eu sont bien tiouvée$ et aucune d'elles n'a éprouvé les atteintes du fléau. Chaque flacou de capsules est contenu dans une boîte portant le cachet du docteur i1erby refuser tout flacon qui ne porterait pas ce cachet. Dans le traitement par le GOuaaoN^ il convieu de se pui ger de temps en temps. Nous conseillons .étales uvi qne toute irritatiou et toute odeur Gévreuse en se levant, ou après certains plats compromet-j Ie® pilules purgatives Cauvin, que nous avons analysées et qui ne contiennent que des uialiêies vége ions, ail, etc., ou boissons alcooliques, même après le tabac. Améliorant le sommeil, l'appétit et la bieufaisautes. YPRES Frysou-Van Outryve pharmacienrue de Dixmude Becuwe Ijorsque les pellicules abondent, c est un signe certain de la prochaine chdte des cheveux. Employez vite, vite l'huile Daiminesi vous vouiez les conserver. Par suite de son application, les cheveux cessent de tomber et.lès têtes les plus chauves se couvrent d'uu léger duvet qui tombe, repousse et Guit par se. trausformer en une abondante chevelure. Cettehùile dispense de pommade et ne tache pas. DÉPÔT Lille, 50. r. Yati dtjj'Casteeîe, imprimeur. Je. !»R^Ks7\.Veuve Degrave, drog., rue Eerkhont, 2, pharm ruvvflîord du Veys-F'jj na° premier mè'ô&Stt 1 Yandenplj pu, pif .irai. Dixml des Pierres, acques, 21, Moere-Vau I. Bossaerl, wVerpoorte- Ces Biscuits se mangent eu tous temps, soit sec ou trempés daus de l'eau, du lait, café, chocolat, thé, v»u, etc. Ils rafraîcbisseut la bouche et l'estomac, enlèvent les nausées et vomissements, même en grossesse ou eu iuer, air-* j 5 m k "J A tants, oignons, digestion, ils nourrissent, eu même temps, mieux que la viande, donnent un sang pur et chairs fermes et for- tifient les personnes les plus affaiblies. en I tôt lin <lc fer-blanc de 4 el de 7 fr. du BARRY et c*, 26, Place Vendôme, Parispharmacien, rue du Verger Courtray Bossaekt 12, rue de VEmpereur, Bruxellescontre bon de poste. LA SANTÉ RENDUE SANS MEDECINE, SANS PURGES ET SANS FRAIS AUX ADULTES ET AUX ENFANTSy PAR LA DELICIEUSE FARINE DE SANTE, LA Du BarrY Elle rend la sauté parfaite l'estomao, de Londres, aux nerfs, aux poumous, foie, glandes, vessie, reins, cerveau, sang et muqueuses, aiusi que l'ap pétit, bouue digestion et sommeil rafraîchissant, guérissant les mauvaises digestions (dyspepsies), gastrites, gastro-entérites, gastralgies, constipations habituelles, hémorroïdes, glaires, flatuosités, ballonnement, palpi- talious, diarrhée, dysseuterie, gonflement, étourdissemeut, bourdonnement dans les oreilles, acidité, pituite, maux de tête, migraine, surdité, nausées et vomissements après repas ou eu mer, même eu grossesse, douleurs, aigreurs, oongestious, inflammations des intestins et de la vessie, orampes et spasmes d'estomac, insomnies, Wuxioude poitrine, étoufïèment, toux, oppression, asthme, bronchite, phthisie (consomption^, dartres,"érup tions, abcès, ulcérations, mélancolie, nervosité, dépérissement, rhumatisme, goutte, Gèvre, grippe, rhuiue, eatharre, échauffemeut, hystérie, névralgie, épilepsie, paralysie, les accidents du retour d'âge, chlorose, vice et pauvreté du sang, faiblesse, sueurs diurnes et nocturnes, hydropisie, diabète, gravelle, les désordres de la gorge, de l'haleine et de la voix, les maladies des enfauts el des femmes, chlorose, les flueurs blauches, les suppressions, le xiauque d embonpoint, de fraîcheur et d'euergie nerveuse. Cet aliment est égalemeut préfé rable au lait et la panade pour élever les enfants et pour fortifier les txibles, de tout âge. il raffermit les chairs des personnes affaiblies ou boursouflées. Extraits de 72,009 Cures de Maladies rebelles tout autre Traitement. CUBE DE S. S. LE PAPE Home, 21 Juillet 1866. u La santé du Saint Père est excellente, surtout depuis que, s'absteuaut de tout autre reoiede, il fait ses repas de la Revaleuta Arabica, quia opéré des elfets surprenants sur lui. Sa Sainteté ne peut assez louer les avantages qu'elle ressent de cette excellente farine, dont elle prend une assiettée chaque repas. Coires- p'»iiilaut de la Gazette du Midi. Certificat A* 58,614, de Madame lu marquise dk Brbhan. Naples, ce 17 Avril 1862. Monsieur, —par suite d'une hépatite, j'étais tombée dans un état de marasme qui a duré sept ans. il m'était impossible de lire ou écrire j'avais des battements nerveux par tout le corps, la digestion tort difficile, des insomuies persistantes et j'étais en proie une agitation nerveuse insupportable qui me faisait aller et venir, sans pouvoir me reposer, pendaut des heures entières. Les bruits de la vie ordinaire, me faisaient mal j'étais d'une tristesse mortelle et tout commerce aveo mes semblables m'était devenu très-pénible. Plusieurs méde cins m'ayaut prescrit des remèdes inutiles, en désespoir de cause j'ai voulu essayer de votre farine de santé. Depuis trois mois j'eu fais ma nourriture habituelle. La Kevaleuta est bien nommée, car, béni soit le bon Dieu 1 elle m'a fait revivre je puis maintenant m'occuper, faire et recevoir des visites, enGn, reprendre ma position sociale. Agréez, M., l'assurance de ma vive reconnaissance et de ma considération la plus distinguée, Marquise uk Brbhan. Plus nourrissante que la viande, elle économise 50 fois sou prix en d'autrvs remèdes. En boîte 1/4 kilo, 2 fr. 25 1/2 kilo, 4 fr.; 1 kilo, 7 fr.; 2 1/2 kilos, 16 fr.; 6 kilos, 32 fr.; 12 kilos, 60 fr. Envoi ooutre bon de poste. MAISON D0 BABRY et C'*, 12, rue de l'Empereur, Bruxelles. SANTÉ A TOUSPAR LA DU BARHY. Dix fois plus nourissant que le chocolat ordinaire, cet aliment exquis purifie le sang, fortifie et tranquillise les utils et le cerveau, et reud les chairs fermes. Purifié par des machines spéciales de tout ce qui échauffe dans le cacao, ce chocolat convient aux personnes les plus délicates et aux eufant9 de faible cocuplexion il rend 1 appétit, bonne digestion et sommeil rafraîchissant aux plus affaiblis, même ceux qui ne peuvent pas digérer te chocolat ordinaire. Certificat N* 65,715. Paris, 11 Avril 1866. Monsieur, Ma fille qui était excessivement souffrante ne pouvait plus ni digérer, ni dormir; elle était accablée d'iuaoïnuie, de faiblesse et d'irritation nerveuse. Elle se trouve très-bien de la Hevalenta chocolatée qui J >y 'rendu la sauté aveo bon appétit, digestion et sommeil parfait, tranquillité des nerfs, gai té d'esprit "ermes. Votre reconnaissante, H. de Montloitis. tien poudre et en tablettes pour faire 12 tasses, 2 fr. 25; de 24 tasses, 4 fr. Poudie en boîtes de 48 i i 120 lasses, 16 fr.; 288 tasses, 32 fr., 576 tasses, 60 fr., soit environ 10 centimes 1 at asse daus ces «s. DU BÂfiRY etCie, 12, rue de l'Empereur, Bruxelles, et partout chez leurs dépositaires. ërks. C. Becuwe, pharm., rue du Verger, H. Frysou, pharm rue de Dixmude. Moorslkdk. Ch. jSiRCPORT. L. Lefevre, pharm., Vaubaeckel-tfocqueur, pharm. Ostbndb. F. Kockenpoo, 9. Hayward, négt rue de la Chapelle. 68. Popkrikchk. A. Haelewyck, pharm. Houlers Bouteus-Degheest, pharm. Thielt. J. Buysseus-Byl, pbarui. Thourout. L. Coruilîe- Essayez et vous serez persuadé persuadé per suadé Fr. 2 50 le flacou avec brochure contenant des notions d'Hygiène de la chevelure. GROS le REPRESENTANT du docteur almin,rue Fontaiuas, 52, Bruxelles. YPRES, Dumon, rue de Nul remède n'ehti comparable ces Pilules pour la guérison de tous désordres foie et de l'estomac elles purifient le sang et exercent Sine «influence des plus salutaires sur l'uctîon.organique du cœur et sur les affections des reins. La débilité mentale çjt physique, résultat de l'imprudence de la jeunesse ou de tous autres excès, disparait rapidement, et le système entier reprend de la vigueur sous l'action la fois calmante et fortifiante de ces merveilleuses Pilules. Elles Sont la panacée des personnes in valides et d'une constitution ébranlée; car elles chassent du système les humeurs malsaines, réta blissent la digestion, règlent les sécrétions, raffermissent, les nerfs, et, en un mot, rendent au corps humain toute sa santé et sa vigueur. Leurs propriétés curatives sont aussi efficaces pour les personnes jeunes que pour celles âgées, quel que soit le sexe, et dans toutes les périodes de la vie, des le berceau même, elles détruisent les germes de ces maladies qui sapent les fondements de l'existénee humaine. La science médicale n'a encore produit aucun spécifique égaPà celui-ci. Il assure la guérison des maladies de la peau et de toutes espèces d'ulcérations. Sous l'influence de ses propriétés balsamiques, les anciennes blessures, les plaies, les tumeurs, les cancers, les maux de jambes, et ceux des seius disparaissent. G'/ également un remède infaillible contre la teigne,' les maux scrofûie.us pustules, et toutes affections du même genre. En cas de rhume, toux, b|oiJ asthmes, palpitations, congestion du foie, indigestion, goulte, et rliunlal on trouve un prompt soulagement par la friction fréquente et soutenuelfie excellente préparation sur les parties du corps affectées. Prendre les Pilules comme indiqué dans les instructions que accompagnent chaqtfe 1 Se vendent chez les Pharmaciens 1 fr. 50 c., 3 fr. 76 c., et fr. le Pot ou la Boîtt. ^Pa - 4, vente en gros, s'adresser chez le propriétaire, le Professeur HoEoway, 533, Oxford Street, Londres. DÉPOSÉS. cc5- Etctir, rue au Beurre, 85.

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Le Progrès (1841-1914) | 1873 | | pagina 4