w ADJUDICATION PRO JUSTITIA. YPRE. Par jugement contradictoire rendu par le Tribunal correctionnel de l'arron- Constructioii d'an Bâtiment dissement d'Ypres, province de la Flan- «1e recettes, (l'un Hangar dre-Occïdentale marchandises et d'un En date du vingt-quatre Avril 1800 "ai- *ePtante .trGls LAMBIN, Prosper Pavillon pour lieux d sauce la station de Tliou- rout. fils de Jules, âgé de 30 ans, négociant, né et demeurant Ypres, Convaincu d'avoir a. Ypres, en I872, commis le délit de banqueroute simple, pour, étant commerçant failli AVIS. ÏLZZl?S„anr„r:!meDtsde différence 2° de s'être, dans cnandiscs et d an Pavillon pour l'intention de retarder sa faillite, livré des circulations fictives d'effets ruineux, de se procurer des fonds 3° de n'avoir point fait l'aveu de la cessation de ses payements, dans le délai prescrit par l'article 440 du Code de commerce b. d'avoir, en 1872, détourné au préjudice du sieur Vanneste, Edouard, fraudu leusement Ypres, une somme de cinq mille francs qui lui avait été remise condition d'en faire un usage déterminé; c. d'avoir, Mens ou Ypres eh 1>872, quinze mille francs qui lui avait été remise, condition d'en faire un usage déterminé. A été condamné, en vertu des arti cles 573, 2°, 3°, 574, 4°, 583 de la loi du 18 Avril 1851, 491, 40, 60 du Code pénal, et 194 du Code d'instruction cri minelle 1° du chef de banqueroute simple six mois d'emprisonnement 2° du chef de deux détournements, deux fois quatre mois d'emprisonnement, deux amendes de vingt six francs 3° aux frais liquidés nonante sept francs, deux centimes. En cas de non paiement, des amen des, il a été ordonné qu'elles pourront être remplacées chacune par un empri sonnement de huit jours En outre il a été ordonné que le pré sent jugement sera inséré par extraits dans les journaux qui s'impriment Ypres, le Progrès et le Journal Ypres. Pour extrait conforme délivré Mon sieur le Procureur du Roi, Ypres le 14 Mai 1873. (Signé) L. SPILLIAERT, frauduleusemenUlétourné au préjudice uren' voor de M. Leduc, Cejestin, une somme de! BESTUUR T. dos... ou ailleurs, le stigma diabolicum et vous livrait «ux juges pour vous reprendre après et ne plus vous lâcher. N'est-ce pas édifiant? Avec les autres organes de la presse, nous félicitons M. Vanden Bussche du succès de ses travaux et parti culièrement pour ceux qui, tout en étant un sujet d'étude pour les hommes spéciaux, sont un enseigne ment pour tout le monde. X.... /Sommaire de ^'Illustration européenne 3' •année. 24 Mai 1873. Gravures Entrée du palais de l'Exposition de Vienne. Chaussure et douleur. Une course de chevaux en Angleterre. (D'après G. Doré.) Le baron de Scbwarz-Scnborn. Texte Nos gravures. Let tres Viennoises. Une excursion dans une houil lère.(Suite.)—Le joueur d'orgue.Traduit du flamand d'Aug. Snieders. Les animaux .pourvus d'armes. Un tableau de Wiertz l'Exposition de Vicuue. Les voies du châtiment. (Roman.) Programme des morceaux qui serônt exécutés la Soci été de la Concorde, le 25 Mai I 873, 6 heures du soir, par la musique du corps des Sapeurs-Pompiers, sous la direction de M. ChOtto. 1° Ouverture la S'" Cécile, t° exécution. (L. Chic.) 2° Fantaisie sur Lara, arrangé par Ch. Otto. (A. Maillait.) 3° Fantaisie les amours du diable. 4« L'Étoile du matin, valse. (Labilzky 5« Pislonetle, polka pour piston solo. (L. Couor.) Nous lisons daus l'Echo du Nord Un nommé François 1)..., belge de naissance, et marchand de tableaux Lille, a été surpris en flagrant délit d'attentat aux mœurs pendantl'audieiice de tribu, nal. Dénoncé par des témoins indignés «le ses faits et gestes, ce misérable, âgé de 47 ans, a été arrêté et le tribunal stateçsa sans doute aujourd'hui sur ce délit vraiment exceptionnel. Vaisseaux bliudés. Actuellement,chaque nation aspire se procurer ces poissants instruments de guerre mais si ce siècle de charbon et de fer se glorifie, en raison de ses ressources et de son pouvoir, nous ne devons pas oublier la nécessité de cherher les pioyeus de fortifier le corps du marin, comme celui de son vaisseau, en reconfortant sa constitution Cette remarque a 'été suggéiée dans de nom- v bretises circonstances bien constatées, dans lesquelles les Médi caments Holloway ont restauré des oonstilolious complètement brisées. Soulager momentanément la douleur, c'est un bien pour l'humanité souffrante mais, ce qui est infiniment préférable, c'est de déraciner le mal et de restaurer le système sa vigueur primitive. Les Médicaments Holloway extirpent la maladie et développent, par l'activité qu'ils donnent, le fluide vital', le t germe de la santé. Des milliers de personnes qui, dans leur profonde misère, et bout de ressources, ont vainement essayé toute sorte de remèdes, ont, enfin, leur grande satisfaction, trouvé dans les Pilules et Ongueut Holloway une perle d'un grand prix, un trésor caché et un mystère résolu. Ceux qui, une seule fois, ont essayé ces remèdes s'y attachent invariablement,non-seulement parce qu'ils n'ont jamais manqué de guérir, mais encore parce qu'ils sont une sauvegarde, ou un antidote contre les maladies de lonte sorte. En effet, ils fortifient la constitution et maintiennent la vigueur de tons les organes du corps et la pureté du sang, de sorte que le système entier devient invulnérable aux attaques de la maladie. Si l'on peut dire que le corps est une harpe mille cordes, les remèdes Hol loway sont les moyens par lesquels on la tient toujours dans le ton, en la restaurant son accord primitif, quand elle est dérangée. Mais ce qui nous étonne, ce sont les merveilleuses organisation et direotiou de l'établissement oentral de Londres le foyer d'où les rayons sanitaires se répandent dans les parties les plus reculées de la terre. Là ces Médecines sont continuelle ment sous la main et la portée de toutes les classes du Monde entier Ces souverains remèdes dont les matières première» proviennent de purs végétaux, 6ont préparés de telle sorte qu'ils sont actifs ou passifs, suivant les car 1rs Pilules contiennent des propriétés toniques, aussi bien que détergentes, et développent même l'une ou l'autre, selon les symptômes l'onguent, étant tout la fpis expulsif et absorbant, agit de la même maa ère, de sorte que. combinés ensemble* ils aident la nature cliasser l'ennemi oommun la maladie. Nous disons qu'ils assistent la nature, car il ne faut jamais oublier que le plus sage, le plus sur et le plus infaillible mode de traitement médical, doit êtie basé sur le principe qui cousiste assister et faciliter la nature triompher de la maladie et a fortifier la constitution pour le ré tablissement de la santé telles sont les deux grandes Vertus accomplies par les Pilules 'et l'Onguent Holloway. Jigger Times. marché •'i'pres. ÉTAT indiquant les quantités et le prix moyen des grains, fourrages et autres produits agricoles, vendus le 24 Mai 1873. naturÉ quantités prix moyen poids m" des tendues. par db grains et denrées; kilogrammes. cent kilogrammes. l'hectolitre fr. 32 50 Fromeqt 22,000 80 4,300 22 00 73 u t( j Pois 1,700 22 37 80 Féveroles. .4. 3,500 22 00 80 Potumesde terre. 7,800 8 50 ii 255 00 État-ci vu, u'Yprks, du 18 Mai au 24 inclus. Naissances. 'Sexé masculin 5, idem féminin 5, total 10. Décès. Rubberecht, Victor, 40 ans, sans profes sion, célibataire, rue Longue de Thourout. Alleman, Amélie, 31 ans, dentellière, célibataire, Petite Place. Bekaert, Pélagie, 71 ans, sans profession, épouse de Joseph Bamelis, S1 Jacques iez-Ypres Wallaert, Joséphine, 73 ans, dentellière, célibataire, rue de la Boule. Enfants au-dessous de 7 ans sexe masculin idem féminin Onguent et Pilules <VflnUoway. Maladies Dangereuses. Combien de maladies dans le cours de la vie se produisent par suite de la négligence de symptômes, en apparence, uns im portance. Le bouton susceptible d'une guérison prompte daus l'enfance, devient, faute de soins le tourment incurable de toute la vie. Avec la connaissance du pouvoir curatif de l'On guent et des Pilules Holloway, ceux qui négligent d'extirper les premiers germes de maux héréditaires auront subir le châtiment provenant de leur folie. Les rémèdes d'Holloway font disparaître leséruptious delà peau, les maladies de scorbut, les scrofules, en toutes sortes d'ulcères, maux, blessures ou écor- chures. Par l'emploi des excellents remedes d'Holloway qui sont prompts et sûrs, beaucoup de peines et de grandes dépen ses peuvent êlre-épargnées et un grand bienfait est assuré aux présentes, comme aux futures générations. 12. Eu vente: Pilules et Onguent, ©bec Frtsou-Va» Ootrtve, rue de Dixmude, 55. Ypres. N. B. Vendue maintenant en état torréfié, la Revalenta n'exige plus qu'une minute an feu et pour les personnes en voyage, ou qui n'ont pas de cuisine, nous «vous préparé des BISCUITS DE REVALENTA, qu'on peut manger en tout temps; eu boites de fer.blanc de 4 et 7 francs. Santé a tocs rknbce sans Médecine par la délicieuse Farine de Santé Revalenta arabica Do Barri dr Londres. Aucune maladie ne résiste la douce Revalenta du Barry qui guérit sans médecine, ni purges, ni frais, les dyspepsies, gastrites, gastralgies, glaires, vents, acidités, pituites, nausées, renvois, vomissements", constipation, diarrhée, toux, asthme, phthisie, tous désordres de la poitrine, gorge, haleine, voix, des bronches, vessie, foie, reins, intestins, muqueuse, cerveau et saug. 74,000 cures, y compris celles de S. S. le Pape, le duo de Pluskow, Mm« la marquise de Bréhan, etc., eto. Plus nourris- saute que la viande, elle économise 50 fois sou prix en d'autres remèdes. Cure N» 65,218. Longueville [Belgique), le 21 septembre. Je me suis servi de la Revalenta, il y a quelques mois, contre unetoux dont je souffrais depuis plus d'un an, et au bout d'un mois je fus radicalement guéri. Quatre autres personnes qui j'ai conseillé ce remède, se sont trouvées mieux au bout d'un oertain temps, et sont veuues me remercier du ouuseil que je leur avais donné. P.-J. Imberechts, clerc de notaire. En boites 1;4 kil 2 fr. 25; 1;2 kil.,4 fr.; 1 kil., 7 fr.; 6 kil,. 52 fr. 12 kil., 60 fr.— Les Biscuits de Revalenta eu boites de 4 et 7fr. La Revalenta chocolatée rend appétit, digestion, som meil et énergie aux personneset aux eufauts les plus faibles et nourrit dix fois mieux que la viande et que le chocolat ordinaire. Kn boites de 12 tasses, 2 fr.25; de 576 tasses, 60 fr., <m en viron 10 c. la tasse. Euvoi contre bon de poste. Dépôt Yi-res. C. Becuwe. pliai m., rue du Verger H. Fryson. phai m., rue de Dixmude ;,G. Veys-pbarm., rue de Lille; H. Mahieu, boulanger, nie du Verger bruges. Veuve De Grare, drog., rue Eeckout, 2; S. Veys-Delcampe, pharm., rue Nord «lu Sabloii, 9 V, Veys-Frysou, près S1 Jacques, 31, pharm. H. Staudaert, pliarm., rue des Pierres, 29 L. Algoet-Dispersyn, négt., rue Notre-Dame, 53 De Houiit-Gazet, denrées coloniales, rue des Pierres, 10; A. Willaert-De Soaet, denrées coloniales, Grand' Place, 3 A. Delplace, imprimeur-éditeur, rue Nord du Sabloo, 24.— C'otJRTRti. H. Bossaert, pharm.; E. Hiers, pharm L. Kindt-de-Gheyne, pharm., C. Vander Espt, pharm. Dix- mcdr. —Clans-Vaiidrnhossciie,fabrique de chicorée.— Flânes. J. Dobbelaere, pharm. E. Duelos, pharm. Menin. Veuve Van Aokere, pharm. Moorsleds. Gb. Bostyn. boulanger. Nieo- port. L. Lefevre, pharm Vanbaeckel-FocqUeur, pharm. Ostende. F. Kockenpoo, pharm., rue Louise; Hayward. denrées coloniales, 68, rue de la Chapelle Veuve Philips, épicerie et négociante, Place S1 Joseph. Popkringhe. A. Haelewyck, pharm. Roolebs. F. Ameye, pharm.; H. Boutens-Degheest, pharm. Thiblt. J. Buyssens-Byl, pharm. Thooroct. J. Vande Casteele, impiimeur. 1, société générale d'exploitation DE CHEMINS DE FER. EXTRAIT. Le 3 Jfnin 1873, onze beures du mn-'l° avoir consommé des sommes considé- M. VANDEN rables des opérations de pur hasard, >11 n 1 înn o'a» j Xi A J tin, dans les BOGAERDE bureaux de directeur d'exploitation ou des opérations fictives terme sur Courtrai, il sera procédé l'Adjudication marchandises, véritablesjeu* lahausse de la construction d'an «titiuieut ou k bai se sol(knt (]eR llenx d'aisance établir la station de kThourout. et modèle de soumission pour sont déposés dans les bureaux d%n Bogaerde, où les intéressés ire connaissance. ic.stion se faisant pour générale d'exploitation et de la Compagnie du d'Ostcnde Armentières, se fera sous réserve d'appro- lonscil d'admipistratiçD de ces lies. 13 mai 1873- lg greffier du tribunal de 1* instance d'ypres, adj*. Op Din 1873, ora tien bet GEMEENTE E, in de Bene- dcn-Zaal van bet Stadhuis, openbanrlijk verpachten voor den termijn van drie uavolgende jarcn, ingang nemende den 1" Juny 1873 en eindigende den 31" Mei 1876: 1° EEN GEDEELTE «ROND geschikt oui te dienen voor Iloutplein, ge- legen op bet einde der Bukkcrstraat nabij den Poterne gebruikt door d'heer Podevyn groot bij rneting 63 vierkante meters. 2° EEN GEDEELTE GROND tegenwooi'dig gebruikt zonder recht van pacht voor Houtmagazijn door sieur Jules Burgho, koopman in bout tôt Ypre, gcle- gen langs den nieuwen steenwcg van de Elverdingpoort naar de statie van den IJzercn*wcg en Ook langs den steenwcg van IJpcren naar Poperingbe, groot bij meeting 400 vierkante meters. 3°—BET DEEL VIN DEN BITITEN- OUI.ODPWEG van aan den Café du Boulevard lot aan den nieuwen steenwcg van bet Hoekje, thans gebruikt zonder recht van pacbt door sieur Debouck, koop man in bout tôt IJpcren, groot bij rnetipg: 1004 vierkante meters. Deze twee laatste Joten door hunnei stand, scbikken uitnemende wel om cr ce paviljoen op te plaatsen. Deze Verpachtingen zullen geschicdea onder devoorwaarden alsdan voor te lezeq, berustende ter inzage der liefhebbcrs op bet Secretariaat des gemcente-bestuurs| Gcdaan in vergadering van het Kajfcgie des Bu rgmeesters en Sebepcnen, dfm 25° Mei 1873. de burgmebster ïn schepenen P. BEKE b» betel de sekrktaris, J. DE CODT. i w

HISTORISCHE KRANTEN

Le Progrès (1841-1914) | 1873 | | pagina 3