PILULES HOLLQWAY ONGUENT HOLLOWAY ivntwT LYS DE BAYLE, BISCUITS DE REVALENTA. RPIIIjPTA aiubica REVALENTA CHOCOLATEE La Vérité!!! Chevalier de la Légion d'honneur. fr f L T' I u n illustre chimiste, Raspail, dans son Manuel dt la Monté, page 118. dit que le goudron embaume U irryl»*i*»n du sang et il la conseille dans uoe foule de cas. Bouchardat dans *ou Traité de thé rapeutique, aimée 1868. pagr 93, dit ptopos d'une affection qui avait résisté a tous les aut«es rm t. tueut* ap> es quelque* jours de traitement parle goudron, iVzémt avait disparu e< las furoncles avaient cessé de se reproduire. Le même résultat a étéconstsié cli.ii d autres malades et ceâ divers fait sont venus ainsi constater fefli. acité du goudrou comme a<»)eu d^empétiber la «vpio- decliou des furoncles. Dans V Anauaire de thérapeutique pour 1809, page 8$, il est dit l'usage habituel et quotidien du goudrou est très-recommandé eliet les convalescents et les persouneS faibles, il constitue un eftcelleut préservatif contre un grand nombre de maladies, surtout contre les maladies éoidémiques. Le dooteur Jozan, cL<ni son Traité pratique det maladies des voies urinaires, dit l'avoir ordouné avec sucera daus les catarfhes de la vessie et les rétrêcilsemenls de l'uretre. Mais où le goudrou est d'une eflioacilé supérieure tout autre médie*mcut, c'est contre l'aathuie, les vfcamr-f négligé*, les brmicliites chroniques, la plithisie et les rhumatismes. Paus l'asthme, la respiration rst difficile et laborieuse, cause de r«x*l«**i<ra incomplète des broncWs; quintes violentes de toux, qui se termiuent par des expecloiatiou* comp loter grisâtres, grti.nelée* fades et nauséabondes; bouftisures de la face, et souvent de toutes les aunes parties du corps étonU'emeui* fréquents. Le f»oid empire tous ces symptômes, parce q >ele froid paralysant les fouciious «les moqueuses, vend les produits de leurs sécrétion* plus couorels et uioius faciles se dét relier Une au deux capsules ds goudron tous tés soirs, avant le dernier repas, sujffit pour dissiper tous cèS symptômesamener un soula gement immédiat et bientôt une quèrison complète mm On ihuaie négligé ou mal traité fîuit par amener le marasme, quand il ne se trauefortne pas eu plitlii- ms pulmonaire parfois les quintes fui ssent par devenir si fréqn» utes et si violentes, que toute la constitu tion eu est ébranlée; le Sommeil eu est chaque instant tiouhlé les pommelles ruogisseul «ti les joues pâlissent le pouls est féhiile et rapide. La moindre impressiou de froid redouble toutes les souffrance* ries tard, il se forme des tubercules, qui, se multipliant, olrstrueiil les capillaire* et paralysent ainsi oxygéuation du Sang; lorsqu'ils vieunent suppurer, ils sont le foyer de là désorgaiiisriion des cellules du Cette huile dispense «le pommade et ne tache pas. Essayez et vous seret peisuadé peisuadé per suadé 1 Fr. 2 50 le flaooii av« c brochure coutenant det notions d'Hygiène «l«* la chevelure GltOS le KRPHBSENTANT du boctbor ALMis, rue Foutainas, 53, Bruxelles. DÉPÔT: YPRES, Dumon, rue de Lille, 50. Lorsque l«s p.lli«nl« «btillHen tc'est un signe certain de la prochaine chiite des cheveux. Rnplujft cite, vite l'huile D.lmiu«« vuiiivualn lei conserver. Par suite de sou application, les cheveux resseut de tomber et les télés les plus chauves se couvreut d'un léger duvet qui tomberepousse e> fîuit par se transformer eu une abondante chevelure* poumon, ét y occasionnent dp larges pertes de .substance, que l'on désigne sous le" nom de cavernes. Le ma- ade est pris d uue langueur sans souffrances, d'une mélanooliè sans ennui ses crachats, d'abord blancs, pomeux^el nacras, virent d« plus en plus vers uue colora'ion «le mauvais augure, et, la derniers période, js sont d ou vert heihat Le dévoieiueut le prend .«u début et ne fait ensuite que s'accroître. Sou existieuce u est plus «pi nue leute agonie, sans remords et sans regrets, et il s'éteint eû pleiue connaissance, soit l'époque où l Ua uie se réveille, soit celle où elle s'eudnt. Une ou dèux cnpsu'es de youdton, tous lès soirs, aw*nt le dernier rêpas, suffisent pour guérit en peu de temps le rhume le plus opiniâtre la bronchite la plus invétérés pour enrayer et quérir en peu de temps la phihisie,même assez avancée; dans ce dernier cas. le youdton empêche la décomposition des tuberculeset, la nature aidantla yuènson est souvent très-rapide. Il e.*t inutile de faire l'éloge du gou mm, les médecins le prescrivent journellement leurs malades; seulement, lè goudron liqui le répugne, et beaucoup de personnes se refusent a le prètidre, tandis que uds capsules <e niellent Sur la luigoeet sont avalées au moyeu d'une gorgée «l'eau sans laisser le moindre arrière goût. Ces capsules contiennent le i/oudren de Pin Hyliéstre Maritime, le ynùdron rectifié est le seul (Tune efficacité toujours invariable; une seule capsule contient les principes de trois ou quatre litres d'eau ds youdron ordinaire D.ms iiotrecuu victi<>n profonde,ce goudron rit ou préservatif certain contrôla variole, le choiéi a, la lievre typhoïde, etc. En prenant oiie >iinp e cap-ule de goudron tous les jours, ou peut itnpu- iiéuient aller soigner les malades atteints de Ces oiAlkdiéi toutes les personnes qui les ont employée# pen dant i'epidémie varioiique qui a dernièrement sévit Paris avec taut d'intensité s'en Sont bien troftvéebol aucune d'elles n'a éprouvé les atteintes du fléau. Chaque flacon de capsules est c<ui e nu daus une boîte portant le cachet du docteur 1U2RBY j refuser tout flacon qui ne porterait pas ce cachet. l'ans e Utilement par le goudron^ il couvien de se purger de temps en temps. Nous conseillons les pilules purgatives Cad vin, que nous avons analysées et qui ne contiennent qùe des matière^ végétale* bieufaisautes. YPRES: Frysou-Van OutrWe, pharmacien, rue de Dixmude Becowe pharmacien, rue du Verger Courtray Bossaert. CHIMISTE, ff B. Dès ce pmr, cas miruts «le cuiviou suffira pour la Uevalenta accompagnée d'instructions en rncrr •oect. Moyennant un procédé breveté, nous avons réussi cuire la Farin** sec Cette opéiation donne une •uauce plus foncée, améliorant considérablement le g«»ût, la Faune se i'«u serve parfaitement pendant dix ans, et tes avantages d'épargner le temps et la fatigue aux cuisiuieres sont incalculables. Pour les persouue* en voyage, la cha« e ou relies qui n'ont pas de cuisine, nous avons prépaie des L'usage journalier <l«-l Extrait «le fleurs «le Eiys ci mserve hox etsoun s juins 'ciir jeunesse, h'fir fraîcheur et prévient les rides ililirt les persoune-; fatiguées par l'insomnie, la poussière de, biul-mt des théâtres et des salon*, il le teint décoloré, L tir rend l'éclat, la hais, I revivifie Ces Biscuits «e mangent eu tous temps, soit sec ou trerap/s «Uns de l'eau, du lait, café, chbcolat, thé, 'u'*Jr7 el *fface es r'fïes ,0jque coolie le». vin, etc. Ils rafralehiaseut U bouche et l'estomac, enlèvent les nausées et vomissements, nié ne eu grossisse on ?Cies ouest ut qui igeu e pe.qix es puis en mer, ainsi que toute irritation et tonte odeur fiévreuse eu se levant, ou après certains plats compromet- 1 .ft,t 1 ue se s ,slJtUi)" a,j* tant*. oignon*, ail, etc., «»n boissons alcooliques, même apiès le tabac. Améliorant le sommeil, l'appétit et la es ^.al OCt c di,« ion, il. ,;,ri«n<, eu mê.n, Ump., m,eux Hue 1. «iaa.U, douw.nt un .»ng pur et .l,.ir. feru,,. et fer - U m" el hAf' el1 et i? 1 1 il -I i- - nos touristes lutrépid.S et nos lobes haigiieu es, tineul les persouues les plus aiIalMies. .7 B» Ml .1. -le 4 -t «le 7 fr. - DU IUURY et C«, 26, Place Vendôme, ravis de LyM it" - 13, THt fit l Empereur, Hruxellex9 contre boil do poste. fmet «tehiaver le soleil, et «le couru impuiiéiucnt LA SANTÉ RENDUE SANS MÉDECINE, SANS PUROES ET SANS FRAIS AUX ADULTES ET AUX les plages de la tuer. La couperose. cet h ii rit «pion jdcj tissus qui cnhimine le visage des blond.:s sur- tout, dont ia p«au fine et fragile, a la .sensibilité de enfants, par la delicieuse farine de sante, la l)o BsrrY. Elle rend la sauté parfaite l'estomac de Londres, aux nerfs, aux poumons, foie, vessie, reius. Cerveau, sanjf et muqueuses, ainsi que 1 glandes seuli'dve, nisparait sons I influence des su.es ra fi aft lii-isauts extraits «lu Lys. l es yerçures, les pétit bonne «figesliou e» sommeil rafraîchissant, guérissant les mauvaises «ligestious (<lys|»epsies), gastrites, boutons, es Jeux du tisaye et même Ie>d.irlies gaatro-eiilérites, gastralgies, constipations habituelles, hémorroïdes, glaires, flatnosiiés, balloiiueiiieut, j«alpi-j l*l,Hrai^s*11A après un usage i e qu» (jues joins talions, diarrhée, «ly-weiiterie, gonflement, étourdissemeiit, bourdonnement d-«ûs les oreilles, acidité, pi'uite, j Dépôt 8 L'égO, «liez De UObCK, TUC Baux de tête,migraine,surdité, nausées et voinissemenis aprèdi repas on en melr, même eu grossesse, douleiirs. ig^in tt'-Mai'io. lilA 1a A I k L1 a m .m__A .1 i ....m u/* i, I lui I aigreurs. eongi'Vtion*. fnllamm»ti«»i»s «lesintestins et de la vessie, crampes et s|»asmes «l'esiotuac, insnmuiei, linxiou de poitrine, ét«»ufT'eineiit, toux, «»ppressi«ui, asthme, brouchitt. plithisie (consomption dartres, émp- timt, al»oè«, ulcérations, mélancolie, nervosité, dépérissement, rlimMaiisnac, g«»mte, fièvre, grippi. rhume, ealharre .éciial»Remplit, bystétie. uévr-lgie, épilepsie, paralysie, les accidents de retour «l'âge, clihnose, vice et pauvreté «in sang, faiblesse, sueurs diurnes et nocturnes, hydiopisie, diabète, gravelle, le* désordres «le la gorge, de l'haleine et «le la voix, les maladies «les enfants el des femmes, cldorofe, les (lueurs blanches, les •oppressions, le anauque d embonpoint, de fraîcheur et «l'energie nervi'use. Cet aliment est également-préfé rable au lait el la paiia«le pour élever les enfants et pour foi tlher les taibles, de* tout âge. Il ralfenuil les chairs des perwmnea afîaiblics mi bnnrsoullée» Extraits de 73.000 Cures de Malc.dies rebelles tout autre Traitement t.UKE DE S. S. LE PAPE Home, 31 Juillet 1866. m l.n santé du Saint Père est excellente, surtout depuis que, «'abstenant de tout autre icinedr, ii lait «e* rapas de ta Revalelita Arabica, qui a opéré «leS effets surprenants sur lui. Sa Sainteté ne peut a«>ez louer les avantages qu'elle ressent de cette excellente /arine, dont elle preud uue assiettée chaque repas. Coire». pondant de la Gazette du îllidi Certificat /V* 58,614, ds Madame la marquise dk Brima*. i Naple«, ce 17 ivèil 1863 Monsietir, —par suite d'une hépatite, j'étais tomliée dans un état «le marasme qui a «luré sept ans. lUii'éta i impossible de lire on écrire j'avais «les battements nerveux par tout hs cérpjq la digestion tort difficile, «les insomnie* persistantes et j'étais eu proie une agitation neiveùse insuppurishle qui me faisait aller et Venir, sans |wmvoir me teposer, pendant «les lumes entières. I«es bruits «le la vie ordinaire, me faisaient mal j'étais d'une tristesse mortelle et tout commerce avec mes semblables m'était devenu très-pélHh.le. Pliihieura iu^Io oins m'ayaiit prescrit «les remèdes inutiles, eu désespoir dfe cause j'ai voulu essayer de v«ure faiiue de vanté. Depuis trois moi* j'en fais ma nourriture babitiieliei La Bevaleuta est bien iiominée, car, liéni suit le bon Dieu 1 elle nra fjsjt revivre je puis maiuteiiaut mOccuper, faire et recevoir des visites, enfin, reprendre ma {aie. Agréé/., M., l'assurance de ma vive reconnaissance et de ma Cfiuvidéiatiou la plu* dinting EAU ET POMMADE ANTI-PELLICULAÏRKS DE BAYLE. Yphks, de ôt «liez iitieiiois, c«»ilT«Mir- pai fuilimir ruo'di» Li'l»*. 50. position iocÎr guée, Mar«joisé us Brkha* PI«ir nourrissante que la viande, elle économise 50 fois s«»n prix en d'autres Vemè«l«*s Kn boîte 1,4 il. kll., fr.: 1 kilo. 7 fr.: 9 1,5 kilos, t6 fr tt kilo», 31 fr.; U kilo», 60 fr. Ëuroi «outre lion H. 9 fr. fO«l«. MAISON D(J BAItllY rt C", U. ror lie l'Ëiu|ier<fur, Bruxelles. SANTE A TOUS par la DU i1arry* Dix fois plus nonrtjRant que chocolat or<liuairet cet aliment exq puiilie le sang, fortifie et UaiiqoiMi.<<i! Ie> Beifs et le œrveau, et rend les chairs fermes. Purifié par des macfhlnéi spéciales de toiit ce qui échaufL dass le cacao, ce cjiocolat couvieut aux personnes les plus délicate* et aux eiifaut* «le faible cninplexiou il rtful l'appétit, bonne digestion et sommeil rafraîchissant aux plus affaiblis, même ceux qui ne peuvent |m* éiférer le chocolat ordiuaire, Certificat N* 65,715. Paris, 11 Avril 1866 V* Monsieur, Ms fille qui était excessivement souirranle ne pouvait plus ni digérer, ni «loiiuir; elle étai accablée d'in*omnie, <Ae faiblesse et d'irritation nei veu*e Elle se trouve lies-bien «le la Uevalenta cboc«iiaté< qni lui a rendu la sauté avee hou appétit, digesttou et sommeil paifail, trai»<|iiidité «les ne»f*, gaité il'wjnii et chairs fermes. Vo're re&muaissaiite* II dk Moimti.o*us. Eu boites en |>oudr® et en tablettes pour faire 13 tasses, 3 fr 35, <le 34 tas^e*, 4 fr Poudie eu i»oitrs de 4h 130 tasses, 16 fr.; 388 ta-wu-s, 33 fr. 576 ta»*es, 60 fr soit euviion 10 c«-ntiuies «a. asse «fans ce- les. DU BAllHY el U**, 13, rue de l'Empereur. Binxelies. et |»aitout chfîZ leurs défmsii aires. Ypsks t^. Becowe, pliai ni rue du \ergei.ll Fiy*ou, pliarm rue «le DixumkI*-. Moor«i.ki>k. Cl» tlaiiger. nirue«»st. L. Lefevre, pliarm., Vrf|ibae« kel-FiK!qneiiipliarm. Ostknok. K. KoekeU|HM» latui^e, 9 Haywafil, négt rue «le la Cha|»-lle, 68 PoeKHiaofiK. A. IJaelrwyck, pfuuui. floOLaas i»n.. Il BooleiiS-Degliee"!, pliarm. Thiklt.J. Huy.*.\*-ua-Byi, pliarm. I houruijt, I,. C«»iuitie il «I. Valide t^wfi.-èle. i m primeur. tutoie. Hauoas Veuve lb grave, «Irog rue Ke« kliout. 3. F. Vamleuplas. drôg., nie des Pierre*, pliarm me Nmd du SalMoii, 41. V 4 ey*-Ft ymnt, jét-im., rue 6' Jacijtle*, 31 *yti, négt rue Notre-Jhime. 33. De Jlomlt Gatr.et, négt rue «le* Pierres. 10 Van Moere-Yau flsre, 93, A I>etplaoe, iuij.riuieiulue Non! du Sablou, 34 Courtbai. Il fttiasmri pliariu. Dixuodx. Claus-Vaudeubudsche. Frasas J. Dobhelaere, ph-ria., Verpoorte A1 g Rrnzellcii 31, rue tlem Fripier#. Lixgr, 43, ruk Svr.LtT T »«ite m*el. as qui ne remplit <->s d'un manière in éproohsblele but désiré •••ra échiugée on rt'-nhouis -e aaiis fr i< »ul reniède n'est oomparable i ces Pilules pour la gnérison de tous désordres du foie et de l'estomac; elles puriflent le sang et exercent une influence des plus salutaires sur l'action organique du cœur et sur les Affections des reins. La débilité mentale et physique, résultat de l'imprudencede la jeunesse onde tons autres excès, disparait rapidement, et le système entier reprend de la rigueur mis l'action la fois cal mante et fortifiante de ces merveilleuses Pilules. Elles sont la panacée des personnes in valides et d'une constitution ébranlée car elles chassent du système les humeurs malsaines, réta blissent la digestion, règlent les sécrélions, raffermissent les serfs, et, en nn mot, rendent au corps humain toute sa sauté et aa vigueur. Leurs propriétés curatives sont aussi efficaces pour les personnes jeunes que pour celles âgées, quel que soit le sexe, et dans toutes les périodes de la vie, dès le berceau saême, elles détruisent les germes de cob maladies qni sapent les fondements de l'existence humaine. La science médicale n'a encore produit aucun spécifique égal eelui-ei. H assure la guéiison des maladies de la peau et de toutes espèces d'ulcérations^ l'influence de ses propriétés balsamiques, les anciennes blessures," le j tumeurs, les cancers, les maux de jambes, et ceux des seins dispar également un remède infaillible contra la teigne, les maux pustules, et toutes Affections du même genre. En cas de rhume, I asthmes, palpitatiops, congestion du foie, indigestion, goutte, ef^us jt, on trouve Un prompt soulagement par la friction .fréquente et s<j":'iii excellente préparation sur les parties du corps affectées. une Prendre lee Pilnles cimtnê indiqué istnsles instruction» que aecowpagi^ fie vendent cher les PhartaAciea» t fr. 60 <f.. i ii. 75 a, et 6 fr. le Po* où i de A vante eu gros, s'adresser ch x le propriétaire, le Professeur HoL 533, Oxford iStroet, Londres. ■f péfosÉa. Lambin, ru.s. éditeur, rue su Beurre^ i

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Le Progrès (1841-1914) | 1873 | | pagina 4