EGRAÏNOIR LYS DE BAYLE, a STRASZAK LECLERCO MENTION HONORABLE - MÉDAILLE D'HONNEUR. PREMIER PRIX. a a ïs a JVotaris FEYS EXTRAIT biievaiiei Chevalier de la Légion d'honneur. vicr 1869, loin de violer l'art. 49 précité, en a fait une saine application Sur la seconde branche du deuxième moyen dé nonçant la fausse interprétation la fausse application et la violation de la déclaration de la Constitution des'*' 3-14 septembre 1791 ainsi conçue Les biens des tinés aux dépenses du culte et tous les services d'uli- lité publique appartiennent la nation et sont dans tous les temps sa disposition de la loi du 9 vendémiaire au IV, des art. 1 et 2 de la loi du 7 fruc tidor an V, des art. 1 et S de la loi du 5 frimaire an VI, de l'art. 49 de la loi du 19 décembre 1864 et de l'art. 107 de la Constitution en ce que l'arrêt décide que l'arrêté royal du 19 janvier 1869 était conforme la loi parce que la fondation Van Zuutpeene a de même que la corporation laïque qui la desservaitété législativeinent anéantie comme personne civile, com me mainmorte; la violation encore dans le même or dre d'idées, des art. 1 et 2 de la loi du 18 pluviôse an IV, et de l'art. 1' du code civil, en ce que l'arrêt dé clare applicable la Belgique le principe prérappelé de la Constitution n'a jamais existé pour la Belgique et n'y a jamais été publiée Et encore la fausse interprétation et application de l'art. 49 de la loi du 19 décembre 1864 et la vio lation de l'art. 107 de la Constitution, en ce que l'arrêt proclame la légalité de l'Arrêté royal du 19 janvier 1869 par le motif que la situation de faitrelative ment l'administration de la fondation, était contraire aux statuts de 1766 Considérant que la solution donnée sur la première branche du même moyen rend inutile l'examen de la seconde branche Sur le troisième moyen, déduit de la fausse inter prétation et violation des lois déjà citées l'appui du premier moyen et notamment de la fausse application des art. 10 et 2b de la loi du 23 septembre 1842 en ce que l'arrêt a reconnu compétence la commune d'Ypres pour régir la fondation litigieuse, alors que l'application des dispositions de ladite loi est inconci liable avec la fidèle exécution des clauses de l'acte de fondation, spécialement en ce qui concerne le caractère religieux de l'enseignement Considérant qu'aux termes des art. 43 et 45 de la loi du 19 décembre 1864 il appartient au gouverne ment de veiller ce que les biens et revenus de fon dations soient affectés leur destination et do prendre les mesures propres suppléer la volonté du fonda teur, de la manière la plus conforme au but que celui-ci s'est proposé lorsque cette volonté ne peut plus être suivie en tout ou en partie Que le gouvernement est également chargé par l'art. 49 des dispositions transitoires de la même loi, de la mission de désigner l'autorité compétente pour gérer les fondations d'enseignement qui avaient anté rieurement une administration distincte Considérant que l'exercice de ce pouvoir en tant qu'il ne touche aucun droit individuel civil ou po litique ne saurait être soumis au contrôle des tribu naux Que si la remise des fondations l'autorité com pétente a lieu, d'après ledit art. 49 sans préjudice aux droits des tiers cette réserve suppose comme cela résulte des travaux préparatoires de la loi l'cx- istenee de tiers intéressés faire valoir la nullité pré existante des fondations faites en faveur de personnes incapables, ce qui n'est pas le cas de l'espèce Considérant, d'autre partque la légalité de l'ar rêté royal du 19 janvier 1869 en tant que cet arrêté attribue la fondation litigieuse le caractère d'iostitu- tiou d'enseignementayant été reconnue par l'arrêt attaqué le demandeur a été justement écarté de l'ad- ininistration des biens qu'ils détenait h Qu'il devait, par une conséquence ultérieure, être déclaré sans qualité pour contester la légalité de l'arrêté royal en ce qui concerne la désignation de l'autorité communale pour régir la fondation s Considérant au surplus que la cour de Gand n'a fait et n'avait faire aucune application des textes cités de la loi du 23 septembre 1842 Qu'il suit de tout ce qui précède que le troisième moyeu n'est pas recevablc Par ces motifs la Cour ouï M. le conseiller Becxebs en son rapport et sur les conclusions de M. Cloquettb premier avocat général, rejette... (Du 5 juin 1873. Plaid. MM" De Becxer c. Orts et Au. Du Bois, du barreau de Gand.) L'Opinion d'Anvers annonçait dernièrement que dans un hôpital de cette ville, l'hôpital Sainte-Elisabeth l'eau de Lourdes avait été substituée aux médicaments prescrits un des malades. Elle maintient le fait aujourd'hui, en ajoutant que, pour les religieuses, l'eau de Lourdes est devenue le spécifique universel. Ce qu'il y a de plus étrange dit YOpinion dans ce qui se passe l'hôpital Sainte Élisabclh c'est que les chefs de service sauf de rares exceptions s'inclinent très-humblement devant les religieuses et subissent sans souffler mot leur autorité souveraiue. Ce n'est pas tout. Le dimanche on ne donne pas de bains. Tel traitement d'affection nerveuse dans lequel des bains avaient été prescrits tous les deux jours a été interrompu par les sœurs parce que c'était diman che Comme si le dimanche comptait eu médecine. Le public est prévenu qu'en vertu d'un arrêté minis tériel du 11 juillet courant le chômage sur l'Yser bief aval du canal d'Ypres ne commencera que le 3 août prochain et durera 43 jours, soit jusqu'au 14 sep tembre inclus. Pilules d'Holloway. Le Grand Secret. Avec la tempéra ture variabl» de ce pays, il est essentiel pour se préserver U lionne santé que le sang soit purifié de temps autre et que les matières nuisibles soient expulsées du corps. Pour cela, le pu blic peut être sou propre médecin et un prix insignifiant. Des instructions pour leur emploi sont fournies avec les Pilules et la moiudre attention, a peu de restriction près, entretenu la santé quellesfque soient les circonstances et les épreuves. Ces Pilules sout allératives, toniques et apéritives. La Médecine Hollovray doit être sous la main, afin qu'elle soit admiuist réé aussitôt que le premier symptôme avertit de l'approche d'uue maladie. 11. Eu vente: Pilules et Onyuentohez Farsou-Via OoTaive, rue de Dixmude, 55. Ypres. Nouveauté en Biscuits. La vogue en ce mo ment Londres dans la bonne société est d'offrir aux visiteurs eu guise de lunch des Bi&'iits de Revalenla Arabica, fabri qués par la maison du Barry et Cc, de Londres cette maison nous annonce l'arrivée Bruxelles de quelques caisses de ce nou vel article de ôonsouimatiou. Ces biscuits, pour assurer leur conservation en tons les climats, sout faits sans beurre, lait ou œufs, ce qui les rend un peu plus durs que les biscuits ordinaires, mais empêche la rance laquelle ceux-ci sont sujets ils fondent rapidement dans la bouche ils se maugent en tous temps, soit sec ou trempés dans de l'eau, du lait, du café, chocolat, thé, vin, etc. Ils rafraîchissent la bouohe et l'estomac, enlèvent les nausées et vomissements, même eu grossesse ou eu mer, ainsi que toute irritatiou et toute odeur fiévreuse en se levant, ou après certains plats compromettants oignons, ail, etc., ou boissons alcooliques, même après le tabac. Améliorant lesommeil, l'appétit et la digestion, ils nourrissents en même temps, mieux que la viande, dounent un sang pur et chairs fermes et fortifient les personnes les plus affaiblies. Pour les personnes en voyage ou qui n'ont pas de cuisine, ils sont inestimables. En boites;de 1 lb., 4 fr. de 2 1b., 7-fr. de 5 lb., 1G fr. LA RBVALENTA CHOCOLATÉE. Dix fois plus nourrissant que le ohocoiat ordinaire, cet alimen- exquis purifie le sang, fortifie et tranquillise les uerfs et le cer veau,'et rend les chairs fermes. Purifié par des maobinesspéciale,- de tout ce qui écbaulle dans le cacao, ce ohocoiat convient aux personnes les plus délicates et aux eufauts de faible complexions il rend l'appétit, bouue digestion et sommeil rafraîchissant aux plusaffaihljs, même a ceux qui ue peuvent pasdigérer le chocolat Cure N" 70,406. Cadix, 5 juin 18G8. t Aïonsieur, j'ai bien de bouheur pouvoir vous dire que me femme, qui souffrait depuis des années de douleurs aiguës dans les intestins et d'insomuie continuelles, s'est parfaitement guérie par votre incomparable Kevalenta chocolatée. Nous sommes très- reconnaissants et je profite de cette occasion, vous assurer de ma plus haute considération. Vicenle Movxtto. En boîtes en poudre et en tablettes pour faire 12 tasses 2 fr 25 j de 24 tasses, 4 fr.; de 48 lasses, 7 fr, de t^ba^s, 1G fr* soit environ 15 centimes la tasse. BARRY DU BARRY et C', 12, rue de l'Empereur, Bruxelles chez partout leurs dépositaires. g. Sera Ypres, le Dimanche, Lundi et Mardivde chaque semaine. BREVETÉ EN FRANCE ET A L'ÉTRANGER. tiCMl J fi.. A- Trois onvriers suffisent pour obtenir 3 hecto litres de blé par heure. Pour la France s'âdressèr l'inventeur LECLERCQ- LESCORNEZ, S1 Sylvestre-Cappel (Nord); pour la Belgique M. YALCKE-HAGE,:Constructeur Ypres. van den TE PROVEN. 2° Donderdag, 31 Jlnli 1873, 1 ure namiddag, te Leijsele (bij de Drij Boomtjes), ter hofstede van sieur Edouard Dehouck, Aanzienelijhe KOOPDAG va» IMenagicgocdercn Zool- en Wagenbarnas Beestialen twee goede Werkpecrden, 6 Kocien, drij Jaarlingen, drij Kaivers, 7 Zwijns en 12 bec- tareu Vrnchten op staui. w 1" Dinsdag, 29° Jlnli 1873, 9 ure 's raorgens, Icn sterfhuizc vao F. Deniers, (Naaldoog) te Proven, Schoone Koopdag van aller- bande slach van iMcobels en 'GHenaglcgoederen Berberg- gerief, Hnip- en Kern allaam, Labdbouwlnig, Beestialen en 6 hectarcu jvriichtcn op stam. CHIMISTE, L'usage journalier del'l£xfrAlt de fleurs de Ijys conserve aux personnes j eunes leur jeunesse, leur fraîcheur et prévient les* rides. Chez les personnes fatiguées par l'insomnie, la poussière des bals, l'air brûlant des théâtres et des salons, il revivifie le teint décoloré, leur rend l'éclat, la fraîcheur, et efface les rides. Héroïque contre les taches de rousseur qui affligent les peaux les plus fines, il les fait disparaître en se substituant aux fluides du tissu qui les occasionnent. Le hâle de la mer et le hâte du soleil qui affligent et désolent nos touristes intrépides et nos jolies baigneuses, ne sont plus redouter, l'usage quotidien de l'Extrait de Fleurs de Eys leur pèr-' met de braver le soleil, et de courir impunément les plages de la mer. La couperose, cette irritation? des tissus qui enlumine le visage des blondfes sur tout, dont la peau fine et fragile a la sensibilité de la seusilive, disparaît sous l'influence des sucs ra fraîchissants extraits du Lys, Les gerçuresles boutonsles feux du visage et même Ie6 dartres disparaissent après un usage de quelques jours. Dépôt Liège, chez De Boeck, rue! Sainte-Marie. EAU ET POMMADE ANTI-PELLICULAIRES DE BAYLE. Ypres, dépôt chez Du mou, coiffe parfumeur, rue de Lille, 50. i. i

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Le Progrès (1841-1914) | 1873 | | pagina 3