I| J s a "-«5 s IH. STRASZAK Véritable Extrait de Viande Liebig Paris 1867, Havre 1868. Amsterdam 1869. Moscou1872. - Lyon 1872, - Paris. 1872. o 2 .2 *2 a §I-S 43 .2 s Z -U s §|o g -S "3 a" s B <d as s. 2 Un petit principicule allemand voyageant dans ses États, ne passait pas dans un village sans cntcpdrc un air composé par son pianiste ordinaire et joué par toutes sortes d'instruments depuis la grosse^caisse jusqu'à la cithare chanté par des chœurs d'orphéon, ou mugi par des fanfares. Un soir, harassé, fini, rendu c'était heureusement le dernier village qu'il visitait (il devait partir dans la nuitincognito) il rentre l'hôtel etcongédiant les personnes qui l'accompagnaient, il se dit Enfin je vais donc pouvoir me reposer et dormir tranquille, sans entendre ce maudit air qui m'écorche les oreilles Et avec un soupir de soulagementil se laisse tom ber lourdement dans son lit. Ciel qu'entend-il Son air national Une attention de l'aubergiste qui avait placé sous le matelas uue boîte musique le prince avait poussé le bouton. M. B... cherche en ce moment un appartement. Il en avise un dans une plus belles maisons de la rue Taitbout. Pardon monsieur je voudrais parler au con cierge. C'est moi, monsieur. Vous avez un appartement louer Oui monsieur mais avant d'aller plus loin monsieur veut-il me dire s'il compte rester Paris tout l'été Certainement. Alors je ne pourrai pas louer monsieur. Pourquoi ça Ma femme et moi nous allons tous les ans fftire "une saison Vichy. Des secousses de tremblement de terre ont été ressenties Augsbourg. Un autre tremblement de terre vient d'avoir lieu en Italie et s'est fait légèrement sentir Munich. Il a été assez intense Gross Carolinpnfeld (Roscnheim) où l'on a redouté l'écroulement des 'maisons. A Rcuth (bains), les baigneurs ont été secoués dans leur lit. Le choc a été aussi ressenti Inspruck. Un mot navrant d'une femme du peuple. Un jeune homme passait sur le boulevard Ménilmon- tant, une énorme canne la main. Ob le joli garçon dit une jeune fille en le montrant sa mère. Celui qui a cette trique dit la femme en ques tion... ce n'est pas un garçon, ma fille,'ça ne peut être qu'un homme marié Paris possède dans ses murs Mlle Harriett Cqopcr, fille du célèbre romancier, et auteur de plusieurs ro mans d'aventure fort appréciés et bien dignes de l'être. Mile Harriett Cooper ptfcse, en Amérique, pour être une des femmes les plus courageuses du nouveau con tinent. On cite d'elle de nombreux traits de bravoure. En voici un tenu d'un témoin oculaire. Il y a dix-huit mois, Mlle Cooper se trouvait Phi ladelphie. Elle apprend que le feu vient de prendre une ha bitation des environs elle monte cheval, arrive sur le lieu du sinistre, sauve une femme et un enfant,"et comme l'incendie éteint on l'en félicitait. Voici une,petite statistique qui replace les choses sous leur véritable jour. Meurent annuellement'd'ivrognerie En Angleterre cinquante mille individus j En Allemagne quarante mille Aux États-Unis, trente-huit mille Eu Belgique, quatre mille En France quinze cents. Nota. Dans les cinquante mille Anglais, il y douze mille femmes Sur une porte, dans la première rue gauche, passé le pont du chemin de fer chaussée de Louvain ou lit en caractères peints l'huile DES fando dans tres. La Fille de Madame Angot vient d'atteindre sa centième représentation aux Folies-Dramatiques. Ces oent représentations ont produit un chiffre de 512,107 fr. 45 c. Ce résultat est sans précédent. Les droits des auteurs s'élèveut fr. 51,210-75. Il existe Paris, dans les environs un cercle qui, pour être moins connu que ceux du Jockey et des Patiaeurs, n'en est pas moins intéressant. Il se nomme Club des Silencieux Tous ses membres sont sourds-muets; cette infirmité est d'ailleurs une des conditions sine quanon d'admissioh. Les domestiques eux-mêmes sont muets et pour les appeler un de3 membres a imaginé un appareil qui leur douue, lorsqu'on a besoin d'eux, une secousse électrique. Le président actuel du Club des Silencieux, nommé H..., est un vieillard qui a fait dans le temps la guerre aux Indiens peaux-rouges, et auquel ces sauvages ont coupé la langue. Ce cercle, dont ou peut dire qu'il fait peu de bruit, réunit une cinquantaine d'adhérents tous gens fort leur aise et qui se consolent dans les douceurs du whist de leur triste infirmité. marché d'tprrs. ÉTAT indiquant les quantités et le prix moyen des grainsfourrages et autres produits agricolesvendus le 9 Août 873. NATORE df.s grains etdkniiebs. quantités vkn'duks. kilogrammes. PRIX MOYEN par sent kilogrammes. poids ii" 1)b l'hectolitre Froment 6,200 fr. 54 00 H0 1,600 24 25 75 Avoine 900 23 25 80 Féveroles. 200 23 50 80 Pommesde terre. 5,000 7 50 ii 315 00 État-ci vu, ifyprrs, du 5 Août au 9 inclus. Naissances. Sexe masculin 5, idem féminin 4, total 7. Mariages.-- BlaeckeThéophile, maçon, et Therry4 Marie dentellière. Mortier Louis journalier et Slekelçrum Marie dentellière. Brdem Joseph fabricant de chaises, et DehondtAmélie, domestique. Alleman Henri ouvrier agricole et Jonckheere Marie dentellière. Décès» Doolaeghe Amélie", 77 ans, sans profes sion, célibataire, rue de Mcnin. BaeckerootBarbe, 72 ans, veuve de François Petyt, rue au Beurre. Lauwerens Gaspard 62 ans boutiquier époux de Marie Dcjonghe Marché aux Poulets. Nevejans Marie, 27 ans, dentellière, épouse de Louis Pottel, rue de Menin. Enfants au-dessous de 7 ans sexe masculin o. Onguent et Pilules d}HollowayAide Efficace. Dans le cours ennuyeux d'une maladie,il est agréable d'apprendre qu'il existe un remèdecertain et qu'on peut se le procurer bas prix. Les Pilules d'Holloway sont précieuses pour soulager les peines, diminuer les inflammations et rétablir la marche des fonctions darangées. Elles ne peuvent jamais être employées tort, et dans aucun cas, elles ne peuvent nuire. Prises en doses appro- priées, elles sont un bienfait pour le riche qui souffre d'une indigestion, de la goutte, de maladies de peau, etc., et la sauve garde du pauvre atteint d'une maladie.La médecine d'Holloway devrait être en la possession des soldats, de3 marins, et des émigrants qui seraient ainsi même de soulager eux-mêmes leurs douleurs et de se guérir, lorsque l'assistance médicale leur fait défaut. 16. Eu vente: Pilules et Onguent, ohez Frtsou-Vaw Ootetvb, rue de Dixmude, 35. Ypres. N B. Vendue maintenant en état torréfié, la Revalenta n'exige plus qu'une minute au feu et pour les personnes en voyage, ou qui n'ont pas de cuisine, nous avons préparé des BISCUITS DE DEVALENT A, qu'on peut manger en tout temps; eu boîtes de fer-blanc de 4 et 7 francs. Santé a tous rendue sans Médecine par la délicieuse Farine de Santé Kevalbnta arabica Du Barry de Londres. Toute maladfe cède la douce Revalenta Du Barry, qui rend santé, énergie,digestion et sommeil. Elle guérit, sans médeciné ni purges, ni frais, les dyspepsies, gastrites, gastralgies, glaires, vents, acidités, pituites, nausées, renvois, vomissements, consti pation, diarrhée, toux, asthme, phthisie, tous désordres de la poitrine, gorge, haleine, voix, des bronches, vessie, foie, reins, intestins, muqueuse, cerveau et sang. 74,000 cures, y compris celle de S- S. le Pape, le une de Pluskow, M"" la marquise de Bréhan, etc. Plus nourrissante que la viande, elle économise 50 fois son prix en d'autres remèdes. Cure N° 68,471. Prunetto (près Mondovi). le 27 octobre 1866. Monsieur,— Je puis vous assurer que je fais usage de la mer veilleuse Revalenta Arabica du Barry. c'est-à-dire depuis deux ans, je n'éprouve plus aucune incommodité de ma vieillesse, ni le poids de mes 84 ans. Mes jambes sout devenues fortes, ma vue est tellement bonne que je n'ai pa> besoin de faire usage de lunettes j mon estomac est robuste comme l'âge de 30 ans. bref, je me sens rajeuni je prêche, je confesse, je visite les malades, je fais des voyages assez longs pied, et je me ^eus 1 es prit lucide et la mémoire fraîche. Je vous autorise donner cette déclaration toute la publicité que vous voudrez. Votre très-dévoué. L'abbé Pierre Cartrllï, Bachelier ès-théologie, et curé de PrunettOé En boîtes 1^4 kil., 2 fr. 25; 1/2kil,, 4 fr.; 1 kil., 7 fr.; 6 kil., 32 fr. 12 kil., 60 fr.— Les Biscuits de Revalenta en boîtes de 4 et 7 fr. La Revalenta chocolatée rend appétit, digestion, som meil et énergie aux personnes et aux enfants le* plus faibles et nourrit dix fois mieux que la viande et que le chocolat ordinaire. En boîte» de 12 tasses, 2 fr. 25; de 57G tasses, 60 fr., «mi en viron 10 c, la tasse. Envoi contre bori de poste. D'pôt Ypres. C. Becuwe. pharm.. rue du Verger; 11. FryRou, pharm., rue de Dixinude G. Veys, pharm., rue de Lille; II. Mahieu, boulanger, rue du Verger Bruges Veuve De Grave, drog., rue Eeckout, 2 S. Veys-Deloampe, pharm., rue Nord du Sablor», 9 V. Veys-Frysoti, près S1 Jacques, 21pharm. H. Standaert, pharm., rue des Pierres, 29 L. Algoet-Dispersyn, négt., rue Notre-Dame, 33 De Hoifdl-Gazet, denrées coloniales, rue des Pierres, 10; A. Willaert-De Smet, denrées coloniales, Graud' Place, 5; A. Delplace, imprimeur-éditeur, rue Nord du S«blonf 24. Court rai. H. Bossa'ert, pharm.; E. Hiers, pharm. L. Kindt-de-Gheyne, pharm., C. Vauder Espt, pharm Dix mude. Claus-Vandciibussche,fabrique de chicorée.Furnf.s. J. Dobbelaere, pharm. E. Duclos, pharm. Mknin Vedve Van Ackere," pharm. Moorslede. Ch. Bostyu. boulanger. Niku- port. L Lefevre, phartn Vaubaeckel-Focqueur, pl»-rui. OsTr.NDE. F. Kockenpoo, pliarra.,rue Louise; Hayward. deuréeâ coloniales, 68, rue de la Chapelle Veuve Philips, épicerie et négociante, Place S1 Joseph. Poperinghe. A. Haelewyck, phai m. Roulers. F. Ameye, pharm.; H. Boutens-Degheest, pharm. Thiblt. J. Buysseos-Byl, pharm. Thourout. J. Vande Casteele, impiimeur. 4. Sera Ypres, le Dimanche 10, et Lundi 11 Août 1873. de la Compagnie Liebig, Londres, fabriqué FRAY-BENTOS (Amérique du Sud). LES PLUS HAUTES DISTINCTIONS AUX EXPOSITIONS Exiger les signatures Agent pour la Belgique M. DE GERLACHE-DE MAERTELAERE, Anvfers, Place S'-Paul, 24/1. En Tente chez les principaux marchands de comestibles, épiciers, Droguistes, etc. H •«C -J. U nJ iJ m cd d rçj C0 h- 00 r—h c3 .£H <6 c s- <D cd en o §- 3 -ci T3 O JEj -<v o 2-3 gp o - s,® 50 u .S a -3 as =3 >H "3 z- •S/* S s® a o-s - *-> -M 03 G C2 1 <D «5 fr "o "tf ^73" o «3 C <1 <D S o c r2 s_ -g h O -t-3 <d c G cd 2 <d r a a en <D o <13 T3 S 02-T3 M 2 s- JE 03 "CD c3 L I m 12 q) -CD <d o r-j .2' g.-S W ÉH <1) =5 K! m T3 O 03 2 -<D =s S .S -CD -2 -V, 9*1 -ci r- ci 3 M 2 g 2 3 0 SE "O -4-3 en fciJD 1 H M I >-1 -w fa S-a •a >#■- l:/A oo -a o ii Ï5 H S H a se en I et f 1 'i ai s-, ho S S- <x> a. SSt-OTZ.cS C3 C3 OT <D .53 (Xi o S s -cS -3 g a t. 2 s a .s o <3 o -1 tO o s cj 2 h o %-=> s - io <05 05 Ué cS a m S p-i m P S - s-2 3 3 S o <D ig- m Os o,® ci. ci - -O cr'-cS. mab y K i a i

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Le Progrès (1841-1914) | 1873 | | pagina 3