Nouvelle* diverse*. xle la Russie sont venues les adhésiifns les plus sympathiques signées des noms les plus illustres. La plupart de ces pays sont représentés la con férence. M. Maacini, membre du Parlement italien, un des meilleurs orateurs de l'Italie et l'un des plus brillants représentants de la science du droit en ce paysa répondu. Le public s'est ensuite retiré, et la conférence a immédiatement commencé ses travaux. Nous ap prenons qu'elle a élu comme président M. Mancini et comme secrétaire M. Rolin-Jacquemyns. Un échantillon de la polémique des feuilles cléri cales. Le Courrier de Bruxelles parlant des journalistes libéraux d'Anvers, les appelle Des haridelles étiques et poussives qui J— Anvers le tombereau doctrinogueux traînent M. J. Lejeune, juge d'instruction, et M. Victor "VVouters, substitut du procureur du roi, Anvers, -adressent au Précurseur une lettre par laquelle ils démentent les allégations du sieur Penter •déclarant que le débat public auquel sera soumise l'affaire de la succursale anversoise de la Banque ■de V Union leur permettra de produire des docu ments qui démontreront le peu de réalité des griefs de l'inculpé. Ces honorables magistrats se bornent •là pour le moment. Nous n'avons, disent-ils, ni le droit de violer le secret de la procédure ni le désir de discuter avec un inculpé les actes d'une -instruction que nous poursuivons sa charge. Ordre de Léopold. Voulant donner au sieur Paul Delvaux, docteur en médecine et bourg mestre de Rochefort, un témoignage public de -notre satisfaction pour le courage et le dévouement -►dont il a fait preuve en prodiguant immédiatement ses soins aux victimes de l'accident arrivé le lr de •ce mois sur le chemin de fer du Luxembourg le sieur Delvaux est nommé chevalier de l'ordre de Léopold. Le Figaro continue révéler aux populations belges ahuries une foule de détails on ne peut plus inédite sur les événements dont notre pays a été le théâtre lors de la guerre de 1870. Il publie un article de M. Albert Millaud, inti tulé Souvenirs du 4 septembre. Le dit M. Millaud ^raconte ce qu'il a vu Libremont Lisez Libra- mont au moment où l'empereur.Napoléon III prisonnier passait par la Belgique. Il a vu notamment sur la route plusieurs esca drons de hussards belges. Il a vu la grosse tête du général Chazal. Il a vu la voiture de l'empereur escortée par •d'autres hussards plus belges encore, ci c'est possi ble que les premiers. Il a vu le train de Liège Cologne passer mous le donnons en mille par Matines. 11 a vu beaucoup -d'autres choses encore dont nous faisons grâce nos lecteurs. C'est ainsi que le figariste Albert Millaud écrit l'histoire quand il en a été témoin oculaire. Ce qui donne une rude idée de la façon dont, il doit la raconter quand il n'écrit que d'après ce •qu'il a entendu dire. Nous apprenons que l'Extrait de viande Liebig vient de remporter le diplôme d'honneur la plus haute distinction décernée l'Exposition univer selle de Vienne-. Nous aimons signaler ce nou veau succès obtenu par la compagnie Liebig, dont le produit se trouve exposé dans le compartiment Belge groupe des substances alimentaires Programme des morceaux qui seront exécutés le 1 h Septembre 1875, ci 5 heuresau jardin de la JSociété de la Concordepar la musique du 1 réyi- iiU de liai ne, sous lu direction de M. Cli. Simar. premiers partie, fure. De Sommaire de ^Illustration européenne 3° année, n" 44. 13 Septembre. Gravures: Le Dry-Toren nu le château de Teniors Perck. Les fragments de lettre. Paysages de In Suisse. Ascension des DiaLilcrcts. Les poses et gestes d'un chef d'orchestre. Texte Nos gravures. Chronique de partout. Médecine usuelle. Du la conservation des dents cariées. Le Retour de l'Exilé. La Tache au Front. Roman. La police gantoise vientde découvrir dans la rue Haute du Soleilune maison de prêt sur gages où de pauvres ouvriers allaient emprunter sur leurs effets de l'argent raison d'un taux excessif. Ou cite entre auties une pauvre mère de famille qui avait uiis eu gage un jupon et une robe de sa fille pour une somme de deux francsct qui six semaines plus tard, lorsqu'elle alla dégager ces vêlements dut payer 47 centimes d'intérêt. On a découvert dans ce bazar de nombreux paquets contenant des manteaux des jupons des robes «tes bijoux de toute espèce en or et eu argent des ustensiles de cuisine, etc. Voici ce que la science nous prépare Un médecin anglais le D' Ricliardson est en train de donner au corps humain en général et' au cœur en particulier la transparence du verre. Ses premières expériences promettent déjà beaucoup. Au moyen d'un appareil qui projette la lumière d'une certaine façon il est arrivé voir dans le bras d'un eolaiit. Sur uii sujet très-jeune il distingue les contours du cœur et perçoit des mouvements. De toutes les lumières qu'il a essayées, savoir l'élec trique, l'oxhydrique et la magnésienne, cette dernière est A la fois la plus commode et celle qui pénètre le plus profuudémcut. Un joueur qui s'épilc. Ou parle beaucoup, depuis quelque temps, de joueurs et de fétiches. Nous avons connu Rade parmi les plus acharnés et aussi les plus superstitieux la roulette un bonhom me qui procédait d'une singulière façon pour choisir uii numéro. 11 saisissait sur son prppre crâne, assez peu garni cependant ce inoineni-l» nue jiièehe de che veux entre ses doigts. Il lirait fortement, comptait les cheveux arrachés et mettait' sur lu case dout te uuiuéro correspondait la quantité de cjieveux. A la fin de la saison malgré quelques hasards heu reux, il n'avait plus un cheveu et plus un sou. Il existe Cortcnberg près de.Bruxelles un peu plier très-élcvé et très-vieux autour duquel l'herbe est comme fauchée par suite des piétinements des fidèles qui vont prier autour de l'arbre'•vénérable. Aucune nielle du saint ou de sainte n'y est suspendue. C'est du paganisme pur. Uu nouveau sport les courses aux canards. C'est Liège, l'école de natation, qu'ont lieu ces courses d'un nouveau genre. Ou ne dit pas si le vainqueur est un journaliste de la localité. Nous lisons dans le Journal (V Anvers Un affreux accident est arrivé vendiedi après-midj au tir de la garde oivique de Calmpthout. Le marqueur de cible a été tué. Ce malheureux est tombé foudroyé parla balle d'un des tireurs. Il laisse une veuve et quatre petits eufauts. Cette nou velle a produit Anvers line douloureuse émotion. Deux enfants de dix onze ans,-frère et sœur; demeurant rtie de F Ecluse jouaient ensemble sur le pont d'uu bateau aftuarré dans le canal an Charbon. Tout coup le garçou fut si fortement poussé par sa sœur qu'il lit la culbute et tomba dans le canal. Aux cris poussés par la petite fille, uu gamin du voisi nage descendit prestement les escaliers du canal, ne jeta tout babillé l'eau et parvint sauver d'une mort certaine l'enfant eu danger. Depuis quelques jours est arrivé Anvers un voyageur frauçais quelque peu extraordinaire eu raison de «ou mode de locomotion il voyage sur un vélocipède. A l'aride de ce coursier métallîcjue il a déjà visité la plus grande partie de la Frauce de la Suisse, et de la Belgique. l'habileté qu'il a acquis en vélocipédie} qu'on nous passe le mot s'il n est pas dans Littré touohe du prodige. Ou pourra s'en faire une idée lorsqu'on saura que sur les routes françaises'qui sont tres-uuies et bien v kiiomèl Mariages.Cuvelie, Éuiile, serrurier, et Ver faillie Léonie, su fis profession. De houekCharles, mare- chal-des-logis l'École de cavalerie et Va n Ee Rosalie dentellière. Décès. Verslrutle1 Albert, 72 ans, maçon, époux de Scholastique Waterbled, rue de Meuia. Delaere Ferdinand 08 ans journalier époux de Prudence Macverson rue S1 Jacques. DeproostMarie 51 ans sans profession célibataire rue des Boudeurs. IfesselMarie 80 ans sans profession veuve de Pierre Noyez, S1 Jacques-b'z-Ypres.—Dufour, Charles, 70 ans, uirvcon, veuf d'Amélie Delattre, rue de Menin. Solder Clémence, 12 ans, rue de Menin. Van- den Broucke, 71 ans, journalier, époux de Marie Mu- hieu, rue de Menin.BurggraeveAnge, 63 ans, sans profession veuf de Colette Rubberechtrue de Dix- mode. Enfants au-dessous db 7 ans sexe masculin 3, idem féminin 2 total 5. IflAftCHK u'VpRES. ÉTAT indiquant les quantités et le prix moyen des grainsfourrages et autres produits agricolesvendus s le 13 Septembre 1873; NATCJUE DKS GRAINS ET DENRÉES. quantités VKNDUKS. kilogrammes. prix moten PAR cent kilogrammes. poids a" DR l'hectolitre. - F rouient 16,400 fr. 43 25 ho 4,100 26 25 73 2,100 24 50 44 Pois. 1,000 25 75 80 Féveroles. 500 27 00 80 Pommesde terre. 4,000 7 50 Beurre 11 340 00 QUEL EST LE REMEDE UNIQUE POUR LES MALADIES, QUELLES QUE SOIENT LEURS FORMES Parmi les milliers de Médeoiaes presorites pour les masses, il y en a peu qui réellement possèdent aucun mérite intrinsèque et qui puissent s appliquer presque toutes les maladies aux quelles le corps humain est sujet. Quelques unes apportent ua soulagement temporaire,mais bientôt le patient retombe malade comme auparavant, et, dans beaucoup de cas, avec aggravation. Les plus extraordinaires productions en médecine sout peut-être l'Onguent et les Pilules Holloway, qui jouissent de la plus haute répulatiou, non-seulement en Europe, niais dans toutes les par ties du Globe. Ces deux remèdes agissent conjointement sur le Système, et guérissent les maladies les*plus malignes.L'estomac, le foie, les rognons et les poumons, tous sont également et rapi dement infiqeuoés par leur étonnante puissance, peudant qu'ils causent une purification rapide du sang et enlèvent de la peau les éru'ptious les plus désagréables la vue, après que tous les autres moyens sout avoués avoir été impuissants. La carrière do l'inventeur, (nous faisons allusion au Professeur Holloway,) est en réalité des plus étonnantes, et l'activité qu'il a déployée pour faire réussir sou entreprise, vraiment merveilleuse. La célébrité que ses Médecines ont acquises et les guérisous presque miracu leuses-qu'elle ont effectuées sont toutes digues d'être citées. Chaque nation et chaque religion sur le Globe ont eu, leur temps, leur Holloway, et sou nom est maintenant devenu aussi familier aux coins les plus réculés de la terre qu'il l'est dans sou pays. Il a eu les instructions pour l'emploi de ses Médecines traduites dans presque toutes les langues, sans en excepter ces curieux hiéroglyphes Chinois. Dans certains cas, les Princes d Orient reconnaissants pour les bienfaits qu'ils avaient recueillis par l'usagé de ses Médecines, ont montré leur admiration enthousûiste pour sa gigantesque entreprise et habilité,eu faisant, eux-mêmes, des traductions de ses brochures pour lui et ainsi, il a su faire connaître ses préparations, au Monde entier. Quoi qu'il eu soit, sou mode d'aveTtissement est immense et sa col lection de journaux mérite la visite des curieux et, en fait, elle est fréquentée journellement par les- hommes d'État et les Capi talistes. Cela montre qu'Holloway est philaulropique dans su manière d'agir avec les hommes, et quoiqu'il ait sans'doute amassé uue grande fortune par sqs travaux, il a mérite pour le bien qu'il a fait eu allégeant les souffrances de ses semblables, aussi bien que pour la manière intelligente avec laquelle i! a agi et pour l'activité qu'il a déployée pouF faire coimaitre ses inesti- niables Pilules et Onguent au Monde tout entier. Cela montre ce que peuvent accomplir énergie.et persévérance, combinées avec un sain discernement et des pouvoirs intellectuels éteudus, ce qui est bien digne d'imitation, bien que nous doutious qu'aucun de nos lecteurs puisse-être capable de devenir le rival jHj d'Holloway, dont personne au monde ne peut atteiudrc le chiffre immense de ses Annonces. London Adverliser. Pilules (PHolloway. La Mortalité provenant dè^ Diarrhée et de maladies d'intestins est aujourd'hui alarmaute un haut degré. Les fameuses Pilules Holloway prises par doses appro priées guérissent ces maladies aiusi que l'attestent desfuillieis Aftta^raonues dont l'existence e été sauvée au moyeu'de cet J^t remède. Que le relâchement soit causé par une sup- aliénation, un froid subit, uii aliment, indigeste |s. ces Pilules offrent uu antidote efficace; elles ^irritation des intestins, caluiefont les tràii- flatuosités désagréables et détruiront les jiie. Les Pilules d'Holloway, autant qi ffses au début des désordres, car elles immédiat et empêcheront la fie ou choléra. phfobe6 Faisou-Vx» Outmvb, ru r

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Le Progrès (1841-1914) | 1873 | | pagina 3