r fl —r "ts e a - i ta jl a c - w i'o c a® a i to S c s 1m «ÏO^ P ®"8 iî M r-"a<& fefcd £0. J g bo-,3 8. ®a M* 8>-& s3 rq <D H3 mariages républicains. La foule en Angleterre en Al- cn France. Latin et latinistes. Trois La tache au front. Roman. Icmagne et L'EUHOPE ILLUSTRÉE, Sohhaibe db s'il Les Braconniers, (dessin de A. Aubry), La chasse dans les Alpes, (d'après un croquis de M. Adrianj). Un Grain. Côtes de Gascogne. (Marine de A. La Motte). Le Château de Frohsdorffrésidence du Comie de Chambord. [D'après une esquisse de M. le Vicomte Le Bailly], Planche hors texte. Aqua relle de J. Bon 10. A l'occasion des fêtes de Septembre l'Administration de l'Europe Illustrée voulant être agréable ses abonnésa joint au n° 12 un grand plan colorié du nouveau Bruxelles. Texte: Courrier, par Fantasio. La Chasse et les Chasseurs par A. Braqua val. Mon dernier Chant, par Tu. oe Banville. Le Comte de Chambord. Une visite Frohsdorffpar le Vicomte A. Le Bailly. Les Nouveautés théâtrales, par E.-A. Félix. Variétés Scientifiques. Expédition Suédoise au Pôle Nord par le D' Knoct. Le%Tablettes du Docteur par le D* Rambleu, Les Modes Nouvelles, par M"* M. Maiily. L'Europe illustrée contient quatre pages do gravures en couleur dans chacun de ses numéros heb domadaires. Dans le courant du trimestre, les éditeurs publient, titre de supplément gratuit, des aquarelles et chromolithographies hors-texte. prime exceptionnelle. Tout abonné nouveau reçoit pour un abonnement d'un an 21 fr. de bous, pour un abonnement de 6 mois, 11 fr. de bons pour un abonnement de 3 mois, 6 fr. de bons. Ces bons sont au porteur et sont acceptés comme de l'argent pour un achat quelconque de tableaux du Musée Européen, 76, rue Neuve, Brux elles. Les anciens abonnés fondateurs qui renou vellent leur abonnement pour une année ont droit 31 fr. de bons. musée ebbopéev 76 rue Neuve, Bruxelles. Le Musée. Européen restera ouvert pendant toutes les fêtes de Septembre, de 10 heures du matin 4 heures du soir. Entrée gratuite pour tous les abonnés de l'Europe Illustrée. Nouvelles diverses. On écrit d'Anvers, le 17 eourant Hier après-midi une scène scandaleuse a eu lieu rue Sl-Paul. Elle a été occasionnée par deux prêtres en état complet d'ivresse qui montaient dans une voiture portant l'inscription Wilmaars-donck. La foule les a hués et leur aurait peut-être fait un mauvais parti si la police n'était intervenue et ne s'était placée entre elle et la voiture. Avant-hier matin, le sieur B..., honnête commer çant demeurant rue du Bae, fut surpris de ne pas voir sa-fille, qu'il affectionnait beaucoup, venir comme d'habitude l'embrasser son réveil. Il pénétra dans sa chambre et la trouva étendue sur son lit, mais froide, inanimée, vêtue de blanc, tenant la main un chapelet et portant sur la tête une cou ronne debluets artistement tressée. Un portrait d'homme photographié reposait sur son sein, et deux réchauds encore tièdes ne laissaient aucun doute sur le genre de suicide qu'elle avait ehoisi. Sur une table, près d'elle, se trouvait un papier marqué de ces quelques mots Je désire que l'on m'enterre telle que je suis. Malheur celui qui oserait me déshabiller Cette dernière volonté a été satisfaite, et la jeune fille, qui comptait peine dix-neuf ans, a été conduite sa dernière demeure suivie d'un petit cortège de voi sins, que cette fin prématurée et surprenante avait fort attristés. M. B... est fort aimé et fort estimé dans son quar tier. On écrit de Tournai Un crime a été commis dans la commune d'Orroir. Vers cinq heures du malin des passants ont trouvé gisant sur la voie publique le cadavre d'un ouvrier. Nous manquons de plus amples détails mais une particularité assez eurieuse c'est que le propriétaire de la maison la plus proche laquelle on frappa pour avoir du secours, a été mis immédiatement en état d'arrestation. Cet individu avait la blouse déchirée et le pantalou tâché de sang. La justice informe. Ces jours derniers est décédéc Viennedans une maison d'aliénés. Julie Ebergénylqui avait empoi- sonuéMunich la comtesse de Chorinsky femme de son amant, le comte Gustave de Chorinsky. On sait le bruit que ce drame judiciaire a fait en 1868. Les deux complices avaient été condamnés vingt années de réclusion. L'un et l'autre ont perdu la raison, ainsi que l'avaient fait prévoir les aliénistes cités par la dé fense. Chorinsky avait précédé sa maîtresse dans la tombe. La police de Londres croit avoir découvert quelle est la malheureuse femme dont le cadavre mutilé a été retrouvé par fragments dans la Tamise. La propriétaire d'une maison.de South street, Bat- terseaûelds est allée au bureau de police, informer l'inspecteur qu'une de ses locataires, dont elle a donné le nom et décrit les antécédentsavait disparu depuis le 2 septembre. Le signalement de celte locataire correspond en tout point avec ce que l'on sait au sujet de la femme assassinée relativement aux contours de sa taille ses cheveux son nez et ses oreilles qui présentent des particularités caractéristiques. L'histoire de la locataire pourrait également s'adapter un crime. Ayant quitté son marielle avait l'habi tude de visiter quelqu'un dans le Wesl-End et de rentrer chez elle très-tard dans la nuit ou de bonne heure le matin. La locataire s'est plaintil y a quelques semaines d'avoir été attaquée le matin sur le pont Victoria par quatre hommes qui l'ayant terrassée ont cherché la dévaliser. Un détective cette époque a entendu sa déclaration et on le mènera voir les lambeaux du corps de la malheureuse, lesquels ont été attachés sur une figure mécanique. La locataire dont il est question se vautait toujours des grosses sommes qu'elle rece vait. On lit dans Y Opinion nationale du 13 Une femme du quartier de ia Roquette vieot de mettre au monde un phoque. Ce phoque n'est pas un canard. Il a été constaté comme on va le voir par le chirurgien en chef de la Maternité et parle commissaire de police du quartier. La jeune femme est primipare elle est âgée de dix-neuf aus bien conformée et d'un extérieur agréa ble c'est uue journalière elle est accouchée avant- hier. L'enfant a l'aspect d'un phoque et aussi celui d'un énorme batracien. 11 est venu terme. La tète a la forme de celle d'une grenouille les yeux et la bouche sont sur le sommet du crâne les yeux saillants en boules de loto. Une couronne de cheveux se montre la place du cou. Les mains ont la forme de nageoires de poisson. L'un des pieds a quatre doigts palmés l'autre sept doigts. Le monstre a vécu près d'un quart-d'heure. a M. le docteur Tarnier professeur la Faculté de médecine, chirurgien de l'hôpital de la Maternité, qui procédait aux constatations en présense du commis saire de police du quartier de la Roquette et d'un autre médecin a emporté le phénomène dont on n'a pu déterminer le sexe, afin d'en faire le sujet d'études spéciales. a Le professeur considère ce cas de tératologie com me l'un des plus curieux dont fassent mention nos annales médicales. Depuis le 1 septembre nous sommes entrés dans la saison où les huîtres août bonnes mauger. Aujouid'hui les huîtres sont l'objet d'un commerce Important mais il n'y a pas longtemps que ce mollusque est répandu. Avant 1815, la vente se trouvait tres-restreinle les hautes classes de la société seules en mangeaientnon pas que le prix en était élevé puisque les huîtres se vendaient alors meilleur marché qu'aujourd'hui mais le bourgeois et l'ouvrier en avaient une sorte de répugnance. En 1850. la bourriche de douze douzaines d'huîtres coûtait i Paris fr. 4-50. Eu 18G8 la bourriohe de oent se vendait fr. 8-50. On peut juger avec les prix d'aujourd'hui qu'elle augmen tation elles ont subi. Les anciens, qui aimaient beaucoup les huîtres, leur avaient donné le nom d'oreilles de Timis. On sait que l'huitre est bonne pour exciter l'appétit, elle est saine, digestive et propre réparer les forces des convalescents. Les huîtres ne sont bonnes qne parquées. Ce procédé a été imaginé par Serguis Orata. Le parquage, on le saitconsiste faire séjourner les huîtres dans un réservoir d'eau salée communiquant par un conduit avec la mer. Lors qu'elles sont restées quelques mois ainsi, elles acquièrent de la saveur et se débarrassent des corps étrangers quelles avaient pris dans la mer. Les huîtres ne sont bonnes manger qu'après trois années. La pèche commence en septembre et Bail en avril. Les plus estimées sont les huîtres d'Ostende et de Marenpes. L'Angleterre consomme davantage l'espèce dite pieds de cheval, dont quelques unes pèsent parfois un kilogramme. En Illyrie les buitres sont brunes avec la chair noire. Dans la mer Bouge la majeure partie est couleur d'iris. Les écailles d huîtres que l'un ramasse pendant l'hiver par tombereaux, sont employées en agriculture comme engrais. Les huîtres sout très-fécondes leurs œufs s'agglutinent aux coquillages et forment ce qu'on appelle des bancs d'huîtres. Marché d'Tpres. ÉTAT indiquant les quantités et le prix moyen des grains, fourrages et autres produits agricoles, vendus le 20 Septembre 1873. NATURE dks grains et denrées. quantités vksroks. kilogrammes. prix moyen par cent kilogrammes. poids m" dr l'hectolitre Froment 15,500 fr. 43 75 80 8,300 27 50 73 1,300 25 00 44 Pois Féveroles. 200 28 00 80 Pommesde terre. 6,000 9 00 >1 340 00 État-civil D'ïpitE»,i!t(l4 Septembre au 20 inclus. Naissances. Sexe masculin 2, idem féminin 1 total 3. Mariages. Coutelle Théodore garçon brasseur, et Tresy, Julienne, dentellière. Décès. Joos Charles 22 ans sans profession célibataire, Marché au bois. Joos, Virginie, 62 ans, sans profession, épouse de Joseph Loonijens, rue au Beurre. Murville Jeanne 8 ans rue au Beurre. Flamey, Marie, 82 ans, dentellière, veuve de Jean Ncvcjans Grand'Place. Foulon Pierre 65 ans sans profession, époux d'Amanda Logie, rue de Lille. Baratto, Napoléon, 67 ans, garçon brasseur, époux d'Hortensc Vanacker, rue du Passage. Enfants au-dessous de 7 ans sexe masculin 3, idem féminin 1 total 4. Onguent et Pilules d'flolloway. Soulagement pour chaque Mal Cet Onguent donne le moyen le plus rapide, le plus sûr, et le plus aisé pour recouvrer la santé dans toute espèce de maladies de peau, affections scrofuleuses. maladies soorbu tiques, ulcérations, éruptions et inflammations H n'y a rien de nuisi ble dans la composition de l'Onguent Holloway; au contraire, celui-ci, de même que les Pilules, possède les qualités les plus douces, les plus dépurative9 et fortifiantes. La peau délicate des enfants n'est pas affectée par l'applioatiou de cet Onguent, qui, eouséquemineut, convient admirablement la jeunesse et guérit oes ulcérations chagrinantes qui attaquent la vieillesse. Dans toute affeotion constitutionnelle chronique ou complexe, les Pilules d'Holloway doivent être prise9 peudant qu'on l'ait usage de l'Ouguent, afin que toute matière nuisible soit expulsée du corps. 10. Eu vente: Pilules et Onguent, oliez Favsou-V.» Out.tvb, rue de Dixmude, 55. Tpres. LE MEIIMUftPKËSEKVAlïF^s MALADIES M tn f V A VnDV Le plus rafraîchis- HIEjJu 11 ■y tt sant des purgatifs, il n'exige ni bouillon ni tisane. Il purifie le sang^johasse les glaires, excite l'appétit, n'occasionne ni irritation ni colique ou peut manger, sortir et travailler aussitôt après lavoir pris, "Iconviént surtout la classe laborieuse, aux ecclésiastiques. yés de bureau, aux hommes puissants eé sanguins, s affectées d'inflammations et de constitution st souverain contre les maux d'estomac,les maux étions difficiles. Un franc par boite, elles, pharmacie anglaise, Montagne de l i luormaie. 57, rue Neuve, et dans toutes les Jpays. a. Ch. Petit, Roux (Hainaut), gCUWE, pharinai

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Le Progrès (1841-1914) | 1873 | | pagina 3