HOFSTEDEN GUERRE. BELLE MAISON LYS DE BAYLE, DÉPÔT D'HUITRES TONIQUE. GOEDE ZAAILANDEN RECHTSMACHT EXTRAIT A LOVER AU BASSIN de COMMERCE, Chevalier de la Légion d'honneur. HÂKlfûiiLiySIESj ez la Yeuve MERAI1N 5 Ville de Bruxelles (1853) 6 Ville de Ganrl (18G8) 4 billets de la Banque de Belgique de 100 francs 1 billet de la Banque de Belgique de 50 francs Une paire de bouoles d'oreilles en corail montées en or. Une autre paire en or une paire de dormeuses et'une boucle d'oreille du même métal une croix aussi en or^avec perle fine au milieu une autre petite croix en or avec pierres rouges et bleues et un thaler- A la suite de oette découverte on a immédiatement mis en état d'arrestation le sieur A. Deby âgé de 74 ans son épouse née Céline Mohimont, âgée de 42 ans, et leur fils A. Deby, âgé de 23 ans. Us sont accusés de eomplicité daus le dit vol et de recel. L'AFFAIRE DE PENEBANDA. La Gazette publie ce sujet les détails suivants Le fils de Kcrckliove était allé passer quelques jours chez M. de Pcneranda. Celui-ci écrivait son parent et ami de Malines qu'il était très-satisfait du jeune Kerck liove et en même temps il lui annonçait qu'il venait d'être victime d'un vol important. M. le vicomte rie Kerckliove en apprenant cette nouvelle se rendit Anvers et croyant sans doute que le voleur prendrait cette voie pour quitter le pays, se rendit chez M. le commissaire en chef, en compagnie de M. Delaet, fils, pour lui dénoncer le vol et le prier d'exercer une surveillance sévère sur les embarque ments. On ignore par quelle frontière le fils de Kcrck- hove est sorti de Belgique. Un steamer devait partir dimanche d'Anvers pour Santander, le centre du mouvement carliste. Un acci dent arrivé au mécanicien, qui s'est coupé uu doigt, a retardé le départ du navire jusqu'au lundi de sorte qu'à ia rigueur le jeune de Kerckliove a pu prendre la voie de mer mais comme les steamers et les voi liers se rendant en Espagne sont depuis quelque temps constamment et soigneusement surveillés et que l'on exige des passagers l'exhibition de papiers parfaitement en, règle il est plus que probable que le fugitif aura pris la voie de terre. Comme il a eu deux jours devant lui, il lui a clé facile d'atteindre la frontière d'Espagne, le seul pays en Europe où l'on soit pour le moment l'abri des investigations de la justice et des extradi tions. Entre la famille Deby et la famille de Kerckliove, il n'existe aucun lien de parenté. On ne pense pas même qu'elles eussent le moindre rapport entre elles soit d'affaires soit d'amitié. Mais le jeune de Kerck liove voyait fréquemment l'un des fils Deby avec lequel il était lié d'intimité depuis quelque temps. Le jeune de Kerckliove passait Malines pour un assez mauvais sujet. Il a fait tout une partie de son éducation chez les jésuites Anvers qui ont fini paraît-il par le renvoyer son père cause de sa conduite. Revenu Malines, le jeune homme y a fait, l'insu de son père de mauvaises connaissances qui ont achevé de l'entraîner dans le désordre. Son père s'étint aperçu, l'hiver dernier de certaines escapades nocturnes, a fait placer une grille au-dessus du mur qui sépare son habitation de la rue. Mais il ne parait pas que cette précaution ait eu le résultat qu'il eu espé rait car au moment où le vol a été commis tout Malines avait connaissance des relations de son fils avec une fille du peuple qui ne passe pas précisément pour une fleur de pureté. Le clergé malinois se montre très-émn des pour suites dirigées contre le fils de M. de Kerekbove. Il ne va pas encore jusqu'à prétendre, comme le Bien public dans les affaires Langrand, que ces poursuites sont in spirées par la haine de parti. Mais patience, cela vien dra et quand il le dira, il ne manquera pas d'imbé ciles Malines et ailleurs pour le croire. VÉtoile dit que M. Deby père dont le nom vient d'avoir un si triste retentissementest l'an cien directeur du haras de l'État. Or tout le monde sait que l'ancien directeur du haras de Tervueren et de Gembloux, qui a laissé Bruxelles les plus excellents souvenirs est mort depuis plusieurs années. C'est son frère, qui, lui aussi, a longtemps habité Bruxelles et Laeken qui se trouve impliqué dans cette malheureuse affaire. On écrit de Bruges Y Echo du Parlement Le procès du vol chez M. de Peneranda mon tre déjà combien est mal conçue, en plusieurs de ses dispositions, la loi sur l'usage de la langue fla mande en matière répressive. Quoique l'un des prévenus, celui même qu'on dit parti pour Mar seille, connaisse certainement le français et ne comprenne peut-être pas le flamand beaucoup mieux que le turc, quoique tous les autres prévenus se servent d'habitude de la. langue française, la seule qui leur soit familière, c'est en langue fla mande qu'il faut que l'instruction se fasse, puisqu'il faudrait le consentement formel de tous les préve nus, une préférence pour la langue française, déclarée par tous, y compris le fugitif, pour que l'emploi de la langue française fût permis.Une par tie de l'instruction se poursuit Bruxelles. Là chacun parlera la langue qui lui convient le mieux MM. Van Wambeke, Delaet, Coremans, les par rains de la loi sur le flamand obligatoire, en font eux-mêmes autan t. Mais lorsque lè dossier viendra devant la chambre des mises en accusation de lâ cour de Gand, c'est en flamand que l'arrêt devra être rendu et ce sera un arrêt rédigé en flamand qu'on enverra en France ou en Italie s'il y a lieu de demander une extradition. Cependant il est certain que juges, prévenus et victimes auraient plus de facilité s'expliquer et sé comprendre en langue française. Dans l'occurence, pour l'utilité de qui ou de quoi le fla mand est-il imposé VILLE B'ÏPKES. - comsf.ii. commcmml. Séance publique Samedi4 Octobre 1873, quatre heures de relevée. ordre du jour 1° Communication de pièces. 2° Budget 1874 de l'Académie des beaux-arts et de l'École professionnelle. 5° Compte 1872 et budget 1874, du bataillon et de la demi-hatterie d'artillerie de la Garde civique. 4° Discussion règlement communal. 1' chapitre con structions. 5° Approbation comptabilité du pen sionnat annexé au Collège communal et l'École moyenne. i Pilules <THolloway. Petues d'Estomac et des IotestiDS. L'estomac est l'intendant du système physique. Il fouruit l'en tretien matériel de chaque organe. S'il est dérangé, tout le corps languit, mais lors mêinc qu'il se trouve sévèrement aflfeolé, sou ton et sa force peu vent toujours être rétablis par l'emploi de ces Pilules irrésistibles. Des milliers de personnes attestent la vérité de cette assertion et pas un des patients qui en ont essayé, ne voudrait nier leur suprême efficacité Parmi les cas de maladies' d'estomac, depuis celui le plus bénin de dyspepsie, jusqu'à l'horrible cancer, dt puis les nausées du foie libre jus qu'au vomissement qui accompague un estomac ulcéré, ces Pilules soulagent immédiatement et, en général, guérissent, 13. En vente: Pilules et Onguent^ ohet Farsou-Van OuiaivB, rue de Dixmude, 35. Ypres. lAantoorcn van de JVolarissen AËLAVGHEteJabbeke, -,Yu PBOOï te Dmlzeele. OPENBARE VERKOOPING van sch00ne en welbebouwde MET EN MEERSCHEN TE THOUROUT, bij de herberg HET SCHAAKSKEN. INSTEL, Bonderdas, 9" Octobcr 1873 DEF1N1TIEVE TOEWIJZING, Donderdag, 23" derzelve mannd, telkcns ten tien urc voormiddag, in de afspanning de Oude Beurze, Vlamingstraat, te Bruggc. BIJ De eerste groot h. 21-62-26 cen tiaren Gebruikt door Louis Van Slambrouch, tôt 1" October 1876, mits 1,800 francs s'jaars. De tweede groot h. 4-70-10 centiaren; Gebruikt door de weduwe Pieter Cornette, tôt 1° October 1877, mits fr. 519-69 's jaars. De derde groot h. 3-05-48 centiaren; Gebruikt door Francis Cornette, tôt 111 October 1878,mits 400 francs 's jaars. .En groot h. 6-68-40 cen- ^erdinmld 'Lannoo, |755 francs VF.N. Op donderdag, 2" der maand Oc- tober 1873, ten twee uren namiddag, KOOPDAG BIJ RECHTSMACHT, met den gereeden gelde, ZOnder Ver- hoog, van 88 aren CHICORÉE-BEE- MINISTËRE de la Le Ministre de la guerre fait connaî tre qu'il sera procédé le I fl Octobre prochain^ midi, par devant Mon sieur le Major commandant la place, Ypres,àl'ADJUDICATION PUBLIQUE DE LA FOURNITURE DU CHARBON DÉ TERRE nécessaire, pendant l'année 1874, au chauffage des fours de la Bou langerie militaire de la susdite place. Le cahier des charges de cette four niture est déposé dans les bureaux du Major commandant la place d'Ypres précité, rue des Récollets, n° 10, où le TEN, tôt Wytschaete, digt bij Meessen, Pub!ic peut en prendre connaissance tous les tours non feries. in beslag genomen bij proces-verbaal in date zestienden September 1800 drie en zeventig, op JOANNES VLAEMYNCK, berbergier, tôt Meessen. a 40Ô pas de la ville., GVfenier, quatre chq ces au rez-de-chaussa cour et eau de source A. 35 francs 1 contributions fonci. propriétaire. jours Bruxelles, le 10 Septembre 1873. le ministre de la guerre, THIEBA ULD D1CQUEMARE aîné, chimist e Active la pousse des cheveux Empêche la décoloration -, Détruit les pellicules. Prix du flacon 3 fr. - Dépôt pour la vente en gros chez r.JÉÉikgLcaMci'd^i Bruxelles. CHIMISTE, L'usage journalier de l'Extrait île fleurs de Lys conserve aux personnes j euues leur jeuuesse, leur fraîcheur et prévieut les rides. Chez les personnes fatiguées par l'insomnie, la poussière des bals, l'air brûlait des théâtres et des salons, il revivifie le teint décoloré, leur rend l'éclat, la fraïA'heur, et efface les rides. Héroïque contre les taches de rousseur qui affligent les peaux les plus fines,, il les fait disparaître en se substituant aux fluides du tissu qui les occasiounent. Le hdle de la mer et le hdle du soleil qui affligent et désolent uos touristes intrépides et nos jolies baigneuses, oe sont plus redouter, l'usage quotidien de l'Extrait de Fleurs de Eys leur per met de braver le soleil, et de courir iinpuuément les plages de la mer. La couperose, cette irritation des tissus qui enlumine le visage des blondes sur tout, dont la peau fine et fragile a la sensibilité de la senSifive, disparaît sous l'influence des sucs ra fraîchissants extraits du Lys» Les gerçures, les boutons^ les feux du visage et même les dartres disparaissent après un usage de quelques jours. Dépôt Liège, chez De Boeck, rue Sainte-Marie. eau et pommade 'fù anti-pelliculaires de bayle. Ypres, dépôt chez Ituiuou, coiffeur- parfumeur, rue de Lille, 50. 2 Ické au Polason', a Yi jotfcs frais d'Ostende. ■d§, turbots, et safl vu y -f

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Le Progrès (1841-1914) | 1873 | | pagina 3