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PILULES H0LL0WAY
ONGUENT
LIVRES EN LECTURE
PRES A FAUCHER ET MAISONS,
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BEATS SAINES-
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BIENS PATRIMONIAUX
0 BELLES
TERRES,
PATURES GRASSES,
IN LA VILLE D'YPRES.
LA MISE-A-P&IX
ON BONNE
Rue de Dixmcde, 59, a YPRES.
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YPRES Dumon, 50, rue de Lille.
La Vérité
DÉPÔT: YPRES, Dumon, rue de
Lille, 50.
CONSISTANT EN
FERMES
situés
ans lss communes CI-APRÈS DÉSIGNÉES,
A vendre
ADINKERKE.
1» Une FERME de 49 h. 38 a. 80 c.
occupée par le sieur David
Bobaeys, avec bail jusqu'au
Octobre 1875, 5,010 francs
par an.
VLAMERTINGHE.
2* Une FERME de 20 h. 75 a. 74 c.
occupée par le aieur Pierre Cannaert, avec
bail jusqu'au 1' Octobre 1874, 2,(60
lianes par au.
DICKEBUSCH ET VLAMERTINGHE.
3* Une FERME de 24 h. 65 80 e.
occupée par le sieur François ffeughebaert,
avec bail jusqu'au l'Octobre 1878, 2,675
francs par an.
VLAMERTINGHE ET ELVERDINGHE.
4* Une FERME de 25 h. 20 a. 20 c.;-
oecupée par le sieur Charles Damber, avec
bail jusqu'au 1' Octobre 1878, i 1,960
francs par an.
S1 JACOBSCAPELLE.
8° Une FERME de 7 h. 83 a. 25 c.
ocupée par la veuve Vallaeys, avec bail,
jusqu'au 1* Octobre 1874, 1,210 francs,
et des lors jusqu'au l'Octobre 1881,
1,110 francs par an.
BOESINGI1E.
6" Une FERME <1e 4 li 93 a. 80 e.
occupée par les frères et moeurs Gbyselen,
avec bail jusqu'au t' Octoure 18/5, 483
francs par an.
LAMPERNISSE.
7" Une PATURE GRASSE, de I h. 37 a
50 c. occupée par Ange Portier et sœur,
avec bail jusqu'au I' Octobre 1874, 233
francs par an.
YVESTVLETEREN.
8* Le nombre de 3 h. 27 a. 30 c. de
TERRE A LABOUR, Pâture et Jardin;
occupés par le sieur Jules Fieuw, avec
bail jusqu'au 1' Octobre 1883, 250
francs par an.
OOSTVLETEREN.
9° Un PRÉ de 1 h. 77 a. 50 c. occupé
par le sieur François Ameloot, avec bail
jusqu'au 1' Juin 1880,4 290 francs par an.
CASSEL (France).
10» Le nombre de 4 h. 64 10 c. de
PATURE GRASSE, PRÉ et JARDIN, avec
Maison occupés par le sieur François
Mortier, avec bail jusqu'au 15 Mars 1882j
860 francs par an.
VILLE D'YPRES.
11» Une MAISON DE MAITRE, avec
Jardin, Écurie et Porie-coclière, rue d'EI-
verdinghe n° 21 dernièrement habitée
par feu M°" la douairière Cardinael.
12° Une MAISON, usage de Boulange
rie, me d'Elvci'dnighe, nu |7 occupée par
le sieur Charles Dernedt.
13° Une MAISON, rue S'" Godelieve n»
2 occupée par le sieur Herman Swekelt.
Jeudi, 6 Novembre 1873, 10
heures précises du matin,
A I'IIôtel des Pays-Bas, rue d'Elverdin-
ghe, Ypres,
Par le ministère des Notaires v4n-
DERUEERSCH, Ypres, et VEY8,
Vlamertingbe.
il sera accordé
!;2 p. pour prime de hise-a-pirx.
seules véritables
Un illustre chimiste, Raspail, dans son Manuêl de la santépage 118, dit que le goudron embaume la
ireu a ion du sang et il le conseille dans une foule de cas. Bouchardat, dans son Truite de the-
rapeutique, annee 1866, page 92, dit propos d'une affection qui avait résisté tous les autres
traitrmeots: après quelques jours de traitement parle goudron, l'ezéraa avait disparu et les
fin oncles avaient oessé de se reproduire. Le même résultat a étécoustaté chez d'autres malades et ces
divers faits sont venus ainsi constater l'efficacité du goudron comme moyen d'empêcher la repro
duction des*fiirouol«i. r r
Dans l Annuaire de thérapeutique pour 1869, page 85, il est dit l'usage habituel et quotidien du goudrdn
est très-recommande chez les convalescents et les personnes faibles il constitue un excetteut préservatif!
contre un graud nombre de maladies, surtout oontre les maladies épidémiques. I
Le docteur Jozan, dans son Traité pratique des maladies des voies urinairssdit l'avoir ordonné aveo
succès dans les catarrhes de la vessie et les rétrécissements de l'uretre.
Mais où le goudron est d'une efficacité supérieure tout autre rnédioAment, c'est oontre l'asthme, les
rhumes négligés, les bronchites ohroniques, la phthisie et les rhumatismes.
Dans l'asthme, la respiration est difficile et laborieuse, cause de l'occlusion incomplète des bronche s
quintes violentes de toux, qui se terminent par des expectorations compactes grisâtres, grumelées, fades
•t nauséabondes bouffisures de la faoe, et souvent de toutes les autres parties du corpsétouifem ents
fréquents. Le froid empire tous ces symptômes, parce que le froid paralysaut les fondions des muqueuses,
rend les produits de leurs sécrétions plus couorets et moins faciles a se détacher. Uns ou deux capsules
de goudron tous les soirs, avant le dernier repas, suffit pour dissiper tous ces symptômes^ amener un soula
gement immédiat et bientôt une guérison complète
On rhume négligé ou mai traité finit par amener le marasme, quand il tif^transforiog pas en phihi-
aie pulmonaire parfois les quintes finissent par devenir si fréquentes et si vi<î(fcies, que Unie la constitu
tion eu est ébranlée le sommeil eu est chaque instant troublé les pomo/eties rougissent et- les joues
pâlissent le pouls est fébrile et rapide. La moindre impression de froid ri-double toutes les soulCiance6
pins tard, il se forme des tubercules, qui, se multipliaut, obstruent les Capillaires et paralysant ainsi
1 oxygénation du sang; lorsqu'ils viennent suppurer, ils sont le foy*-r de lajidésorganisation des cellules du
poumon, et y occasionnent de larges pertes de substance, que l'on désigne sous le notà de cavernes. Le ma
lade est pris d une langueur sans souflfrauces, d'une mélancolie sans eunuii ses crachats, d'abord blancs,
pumenx et nacrés, virent de plus en plus vers une coloration de mauvais et, la dernière péuip
ils sont d un vert herbacé. Le dévoiement le prend au début et ne fait ensuite que s'accroître. Sou exi^ r
est plusqu une lente agonie, sans remords et sans regrets, et il s'é^int en pleine connaissance*^®!
l'époque où la nature se réveille, soit celle où elle s*eudort.
Une ou deux capsules de goudron, tous les soirsavant derriiejf/repassuffisent pojfr. quérir
temps le rhume le plus opiniâtrela bronchite la plus invéjéré&ç pou Jfcfcjjgr et
phthisie, même assez avancéedans ce dernier cas, le got
nature aidantla guérison est souvent très-rapide*
'ide faire l'éloge du goudron, les mi iliini i li >n
dron liquide répugne, et beaucoup de perj
al sur la lang ue et sont avalées au raoye
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des
CHKX FÉLIX LAMBIN,
Bruxelles, 31, rne de» Fripiers.
Liège, 42, rue Siirlrt.— Tout* machine qui lie
remplit pas d'un manière in éprnoliahle le but désiré
«era échangée ou remboursée -.ans frais
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Pour nettoyer et conserver saines les
dents et la gencive, ainsi que pour faire
disparaître toute mauvaise odeur de
la bouche on peut recommander
comme des plus efficaces l'Eau denti
frice anatliérine, préparée par M. le
docteur J -G. POPP, dentiste de la
cour impériale et royale de Vienne.
Celte préparation qui ne contient
aucun ingrédient nuisible la santé,
empêche la carie des dents et la for
mation du tartre; elle préserve des
maux de dents et de la mauvaise ba
leine, et, dans le ras où ces affections
existeraient déjà, elle les diminue et
les guérit en peu de temps.
La Poudre dentifrice végétale du
même docteur nettoie si bien les dents,
que son usage quotidien a pour effet
non-seulement de prévenir la forma
tion du tartre, ordinairement si fâ
cheux mais encore de conserver
l'émail des dents et d'en augmenter la
blancheur
Eau anatliérine, fr. Î-OO le flnron.
Poudre, fr. 1-BO la boite.
Lorsque les pellicules abondent, c'est un signe
certain de la prochaine chiite des cheveux. Employez
vite, vite l'huile Dalmiiiesi foiisynulez les conserver.
Par suite de son applicaiîou, les cheveux cessent
de tomber et les têtes les plus chauves se couvrent
'd'un léger duvet qui tomberepousse et finit par se
transformer en une abondante chevelure.
Cette huile dispense de pommade et ne tache pas
Essayez et vous serez persuadé persuadé! per
suadé
Fr. 2 50 le flacon avec brochure*; contenant
des notions d'Hygiène de la chevelure.
GROS le REPRÉSENTANT du doctbox
almin, rue Foutainas, 52, Bruxelles.
Nul remède n'est comparable ces Pilules pour la
guérison de tous désordres du foie et de l'estomac
elles purifient le sang et exercent, une influence
A-;.- des plus salutaires sur l'action organique du cœur
et sur les affection? des reins. La débilité mentale
et physique, résultat de l'imprudence de la jeunesse
ou de tous autres excès, disparait rapidement, et le
système entier reprend de la vigueur sous l'action
la fois calmante et fortifiante de ces merveilleuses
Pilules. Elles sont la panacée des personnes in
valides et d'une constitution ébranlée car elles
chassent du système les humeurs malsaines, réta
blissent la digestion, règlent les sécrétions, raffermissent les nerfs, et, en un mot,
rendent au corps humain toute sa santé et sa vigueur. Leurs propriétés curatives
sont aussi i
le sexe,
les germes de ces maladies qui sapent
lés contiennent^ te i
i invariable; une berl
ans notre
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foutes espèces d'ulcérations,
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des seins
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