BOOMEN D'ARBRES E LIVRES EN LECTURE PILULES HOLLOWAV WÏÏENT HOLLOWAY1 EAU TONIQUE. VA Q DENTS SAINES. der stad ijperen. VERKOOPINGEN ]Tlaaii(lag, 15n December DijusdaçS»n December de Lannoy, Notaire, COMITES. VENTES PUBLIQUES SUR PIED. a s h a s OH BONNE Rue de Dixmude, 59, a YPRES. La Vcriic DÉPÔT: YPRES, Dumon, rue d# Lille, 50. l epoque ou Une ou d< temps le r/iuw phthisievtêW^ch,(?vancé*s c'anr ce BURGERLIJKE GODSHUIZEN VAN ]flaandagUecember 1873, ten 12 ure 's middags, van 66 Koopen schoone en zware EIKEN, IEPENESSCHEN, ABEELEN en POPELIEREN te Zuidschote in eene weide gebruikt door de W* Deco- ninck te Bixschote, op de hofstede gebruikt door sieur Vandoorne- Wulle- man en te Boesinghe, in eene weide gebruikt door sjeur Leroy, bij het Sas. 1873, ten 12 ure 's middags, op de' hofstede gebruikt door sieur Ferdinand Hillewaere, te Sint-Jan, bij het ge- huchte het Wielken, van 86 Koopen IEPEN, ABEELEN, POPELIEREN en ESSCHEN-BOOMEN. 1873, ten 1 ure namiddag, te IJperen, Sint-Pieters buiten, langs den steen- weg van IJperen naar Waesten, op de hofstede gebruikt door sieur Charles Van Overberghe, en in eene weide ge bruikt door sieur Polydore Dejaegher, 57 Koopen schoone IEPEN en ABEE- LEN-BOOMEN. Deze Verkoopingen zullen gehouden worden met tijd van betaling mits door de koopers begoede borgen te stellen en tien ten honderd gereed te betalen aan den hper J. Boedt, ontvanger der Burgerlijke Godshuizen. De Notaris VANDERMEERSCH, te IJperen, is met deze Verkoopingen belast. M ETUDE A. Lundi 8 Décembre 1875 s une heure de relevée la ferme occupée pal* Louis Roussel-Collie, COMINES-TEN BRInLEN 50 marchés de très-gros Peu plier», Bois-blancs Ormes 2 Noyers et un Cbèuc. B. Luudi, 15 Décembre 1873, 1" A 10 heures du matin la petite ferme occupée par Pierre Decroix-Pallyn ZILLEBEKE (limite de Zatilvoorde), 30 marchés de beaux Peupliers. 2" A une heure de relevée, la ferme occupée par Louis Roussel-Delbecque, près du Château, a ZANTVOOUDE, 60 marchés de beaux Peupliers, Ormes (Hues feuilles) et Chê nes. DIGQUEMARE aîué, chimiste Active la pousse des cheveux Empêche la décoloration Détruit les pellicules. Prix du flacon 3 fr. Dépôt pour la vente en gros chez Frcy, r. de l'Escalier, 14, Bruxelles. YPRES Van Eydb, coiffeur,2"2,rue au Beurre, s Uu illustre chimiste, Raspail, dans son Manuel de la santépage 118. dit que le goudron embaume la circulation du sang et il le conseille dans une foule de cas. Bouchardat, daqs sou Traité de ihe- rapeutiqueannée 1866, page 92, dit propos d'une affection qui avait résisté tous les anties traitements après quelques jours de traitemeut parle goudrou, l'ezéina avait disparu et les fnrouolos avaient oessé de se reprodaire. Le même résultat a étéeoustaté chez d autres malades et ces divers faits sont venus ainsi constater l'efficacité du goudron comme moyeu d'empêcher la repro duction des furoncles. Dans {'Annuaire de thérapeutique pour 1869, page 83, il est dit l'usage habituel et quotidien du goudron est très-recommandé chez les convalescents et les personnes faibles il constitue un excellent préservatif contre un grand nombre de maladies, surtout oontre les maladies épidémiques. Le docteur Jozaii, dans son Traité pratique des maladies des voies uriuairesdit l'avoir ordonné avea succès dans les catarrhes de la vessie et les rétrécissements de l'urètre. Maison le goudrou est d'uue efficacité supérieure tout autre médicament, c'est coutre l'asthme, les rhumes négligés, les bronchites chroniques, la phthisie et les rhumatismes. Dans l'asthme, la respiration est difficile et laborieuse^ cause de l'occlusion incomplète des broucl^ s; quintes violentes de toux, qui se terminent par des expectoiatious complotes, grisâtres, grumelées, fad s OQine et nauséabondes bouffisures de la face, et souveut de toutes les autres parties du corpsét,ou^^nejiffre (Je fréquents. Le froid empire tous ces symptômes, parce que le froid paralysant les fonctions des •■■^3... rend les produitsde leurs sécrétions plus concrets et moins faciles a se détacher. Vue ou de de (joudron tous les soirs, avant le dernier repas, sujfit pour dissiper tous ces symptômes,- gemenl immédiat et bientôt une guérison complète. v:. Un rhume négligé ou mal traité fiuit par amener le marasme, quand il ne se IraufTf} aie pulmonaire parfois les quintes finissent par deveuir si fréquentes et si violentes, rpi lion eu est ébranlée le sommeil eu est chaque instant tiouhlé les iocn> lies mugi Rruxellea, 31, rue des fripiers. Libgk, 42, nuR Sorbet.Toute machine qui ne remplit pas d'un maniéré irréprochable le but désiré, Sera échangée ou remboursée sans frais. cy2 a v S-.5- §-'= O -i s "S"'»;? Q n 2 1 a t; 3 ■*n ra -r. -e. K s=- ■2 isï.' I u .S "Ou v 4-5 ,-S.S 1 s ï-1 -3 - £"Z; 5 3 5 5 S ïS .2 J 0 T I va a a o m V 3 9 V u 9 s A S 3 U3 M I V Se - J!-13 as - s H La g tO 5gxi S -5 S uses i-3 =5 3 S.2 •a a 1 a s 3 O a. m -c U s. O - m s 3 t - 5 ~v M S. 3 v -i U fa i 2 <5 .fi B -r a. a. 3 2 a .- -.2 3^ 3 - 6J33-< Sfa fi V w :5 ï-i.'S (Si *- DBS CHEZ FÉLIX LAMBIN, I/)rsque les pellicules abondent, c'est un signe certain de la prochaine chiite des cheveux. Employez vite, vite l'buileDalminesi vous voulez les conserver. Par suite de sou application, les cheveux cessent de tomber et les têtes les plus chauves se couvreut d'un léger duvet qui tomberepousse et fiuit par se transformer en une abondante chevelure. Cette h uile dispense de pomma de et ne tache pas Essayez et vous serez persuadé persuadé per suadé Fr. 2-50 le flacon avec brochure contenant des notions d'Hygièue de la ohevelure. GROS le REPRÉSENTANT du doctbua almin, rue Fontaiuas, 52, Bruxelles. Pour nettoyer et conserver saines les dents et la gencive, ainsi que pour faire disparaître toute mauvaise odeur de la bouche on peut recommander comme des pins efficaces Y Eau denti frice anatliérine, préparée par M. le docteur J.-G. POPP, dentiste de la cour impériale et royale de Vienne. Celte préparation qui ne contient aucun ingrédient nuisible la santé, empêche la carie des dents et la for mation du tartre elle préserve des maux de dénis et de la mauvaise ha leine, et, dans le cas où ces affections existeraient déjà, elle les dimiuue et les guérit en peu de temps. La Poudre dentifrice véyétale du même docteur nettoie si bien les dents, que sou usage quotidien a pour effet noil-setilemeul de prévenir la forma- lion du tartre, ordinairement si fi elleux mais encore de conserver l'émail des dents et d'en augmenler la blancheur. Eau anatliérine, fr. 9-00 le flacon. Poudre, fr. 1-60 la Imite. YPRES Dumon, 50, rue dé Lille. cpnsidéi et celui polissent le pouls est fébrile et rapide. La moindre impression de froid plus tard, il se forme des tubercules, qui, se mullipliaut, obstruent les y 1 oxygéuauou du saug; lorsqu'ils vieuuentà suppurer, ils sont le foyer d« poumon, et y occasionuent de larges fiertés de substance que l'ou i sigi0 lade est pris d'uue langueur sans souffrances, d'uue mélancolie sans e pumeux et nacrés, virent de plus eu plus versaïue cfWaiiqu te maiif*' ils sont d'un vert herbacé. Le dévotement le prend au'Tétait et ne^ n'est plus qu'une lente agonie, sans remords et sans tvgn 1 7 ii i x 11 *V» est souvent tre 9 du gre non-seépu - Nul remède n'est comparable ces Pilules pour la guérison de tous désordres du foie et de l'estomac; elles purifient le sang et exercent une influence des plus salutaires sur l'action organique du coeur et sur les affections des reins. La débilité mentale et physique, résultat de l'imprudence de la jeunesse ou de tous autres excès, disparait rapidement, et le système entier réprend de la vigueur sous l'aotion la fois calmante et fortifiante de ces merveilleuses Pilules. Elles sont la panacée des personnes in valides et d'une "constitution ébranlée car elles chassent du système les humeurs malsaines, réta blissent la digestion, règlent les sécrétions, raffermissent les nerfs, et, en un mot, "ent au corps humain toute sa santé et sa vigueur. Leurs propriétés curatives aussi efficaces pour les personnes jeunes que pour celles âgées, quel que soit o et dans toutes les périodes de la vie, dès le bercepu même, elles détruisent L,-mes de ces msdadies qui sapent les fondements dé l'existence humaine. nature aida I e>t seu't**!» dés S Nv-ieun spécifique égal cé dé toutes espèces d'., aussi! Cet! Mal deux/ sure emeUy,. Qt IV-

HISTORISCHE KRANTEN

Le Progrès (1841-1914) | 1873 | | pagina 2