I>Ei\TS SAIVES. apine qui mettent Coupe réglée. nos bonnes populations en La proposition de rédiger un compte-rendii ana lytique de la Chambre des représentants a été adoptée par 49 voix contre 45. Toute la gauche a voté pour. Elle a eu pour adhérents MM. Drion, Drubbel, Julliot, Magher- man, Pety, Royer-de-Behr, Santkin, Snoy, Tho- nissen, T'Serstevens et Yerwilghen. Toute la droite et M. Demeur ont voté contre. M. de Haerne s'est abstenu. La commission spéciale chargée d'examiner cette proposition est composée de MM.Thonissen, Was- seige, Coomans, Kervyn de Lettenhove, Pirmez, Sainclelette et Couvreur. M. Wasseige a demandé ne pas faire partie de cette Commission, moins qu'il ne puisse y protester contre le principe qui a été admis. M. le président a fait observer l'honorable député de Namur qu'il est libre de protester au sein de la Commission. mEJ M f igjw Enfin s'écrie la Chronique, les clameurs de la presse et de l'opinion publique, concernant l'insuf fisance des appointements des petits employés, ont été entendues du gouvernement. Les oreilles officielles se sont ouvertes, et justice vient d'être rendue qui de droit. Les membres de la députation permanente qui n'avaient que 3,500 francs d'appointements en auront dorénavant 4,000. Bravo bravo bravo Si maintenant les petits employés continuent se plaindre, qu'on les flanque la demi-solde ils ne l'auront pas volé. Encore un mécompte de la politique fhi-jicière de M. Malou. L'an dernier, lorsque l'auteur du prograr: me de S' Nicolas soumit aux Chambres le projet de rachat du Grand-Luxembourg il s'étendit sur les avan tages du projet et le représenta comme une excel lente affaire. Laeommission de quinze millions M. Philippart ne lui paraissait pas trop forteindépendamment du prix même du réseau. Or, dans la séance du 12 décembre, M. le minis tre Beernaert est venu piteusement confesser que le gouvernement a trouvé la ligne du Lnxem- bourg dans un état des moins satisfaisant, voies renouveler en grande partie, matériel de trac- tion ét de transport hors de serviceconcur- rence de 30p. cl, ateliers et bâtiments de station insuffisants, magasins d'approvisionnements peu près vides en un mot le gouvernement s'est trouvé en présence d'un outil qu'il fallait re- nmveler en grande partie. Et voilà la propriété que M. Malou a acquise pour le compte de l'Étatau prix fort, indépen damment des millions versés dans les mains de M. Philippart, sous, forme de nouvelles concessions de lignes construire pour l'Etat Tel est le résultat de la politique d'affaires. Ce qu'elle coûte au pays on le saura trop tard, quand les libéraux auront la liquider. En 1856 M. Malou laissa un déficit de 40 mil lions. Il tientparaît-ilne pas se départir de ce peu glorieux précédent. [Union.) Tous les jours un aspirant gouverneur déses péré, désapointé, gommeux et dégommé s'en va faire ses doléances daine Patrie et lui dit Pa trie, ma sœur Patrie, ne vois-tu rien venir? Alors celle-ci monte sur un clocherquelconque et explore l'horizon politique mais elle ne voit rien que Ma lou qui poudroie et Vrambout qui verdoie. Ce qui ne fait pas l'affaire de l'aspirant gouver neur. Alors Recommence la grande et la petite guerre qui dure "depuis taçtôt trois ans. Hier encore on s'en allait en guerr<f*contre le gouverneur sur trofë colonnes très-serrées. Mais les instruments de guerre dont on se sert ressemblent des capucins de cartes ils tombent les uns sur les autrés, des qu'on les touche du bout du doigt. Décidément le siège menace de se prolonger aussi longtemps que celui de Troie. Il faut avouer aussi que c'est vexant de devoir1, subir un gouverneur libéral dans la ville épisco- pale. [Journal de Bruges.) Voici un fait qui prouve combien la nouvelle organisation iieilitaire est populaire. Cette orga nisation est, appelée peupler l'armée de sujets distingués S De:- examens d'entrée étaient annoncés pour l'Écoie Militaire. Anciennement, lorsqu'il y ayait une vingtaine de places vacantes, il se présentait une centaine de candidats. Cette fois grâce aux. grandes réformes introduites dans l'armée, il y a- vait quarante places vacantes et il s'est présenté six candidats. Cela fait envîton sept candidats pour chaque place. Si ceux-là ne sont pas admis, ils auront peu de chance. TILLE D'VFRES. CONSEIL coimnuvil/t f Séance publique Samedi, 27 BécembreJ.8i7ixt- -•< quatre heures de relevée. ORDRE DU JOUR 1" Communication de pièces. 2° Vente (Parbres croissant sur la propriété communale dite flar%land«n. 3° Location des étaux la Roueherfe et de la fier» h ception du droit de dépôt au Quai. 4" Comptes 1873 des Écoles primaires gratuites pour garçons et filles de l'École d'adultes et de la Fondation la Loye. 5" Demande de la commission des Hospices afin d'em ployer le produit d'une vente d'arbres aa paiement des dépenses faites pour l'installation d'un asile agri cole!! Locre. 6" Cahier des charges pour la vente du taillis des sapins et d'une grande quantité d'arbres hors de croissance dans les bois des Hospices soumis au régime forestier. 7° Demande de concession a perpétuité pour un terrain au cimetière. 8° Deman de de subsides pour les travaux de restauratiou de l'église Saint Martin. nouvelles diverses. Le clergé namurois a découvert, dans un village des environs une jeune fille chex laquelle dans certaines circonstances, se manifestent la paume des mains et au flanc des marques sanglantes qui pourraieut passer pour 1rs stigmates sacres. L'occITsion était belle de montrer aux fidèles un nou veau miracle. Tout fut mis en œuvre pour décider la jeune fille se prêter des exhibitions saintes au profit de la foi. Malheureusement ,1a jcuWfille peu dévote, a jus qu'à présent envoyé promener les pieux négociateurs. Son pèrft fermier libéral décidé la soutieut dans sa résistance. Le clergé namurois n'a pas encore renoncé la lutte. Mais la partie a hieu l'air de devoir être perdue pour lui et il est bien ennuyé. Le curé Santa-Cruz fait de nouveau parler de lui, et en mal naturellement. Ce digne brigand, tombé en dis grâce auprèsxtc don Carlos soupçonnait fort l'évéque d'Urgel, grand aumônier du prétendant,d'être l'auteur de sa déconfiture. En.conséquence, il résolut dernièrement de le faire passer par les armes. C'est simple comme bonjour comme on voit. Apprenant que l'évéque élaitîà Vergara, il se dirigea ensuite vers cette ville, la téte de ses voleurs de droit divin, pour exécuter son dessein. Mais il y arriva trop tard. L'évéque avait pris la fuite. C'est partie remise. V OngUent et Pilules d? JJolloway. Aide Efficace. Daus un cours enrftfyeiix d'une maladie,il est agréable d'apprendre qu'il existe u£re<nédecertain et qu'on peut,se le procure bas prix. Les Piluflb d'Ho lloway sont préoieuseS "plrtv soulager les peines diminuer les inflammations et rétablir la marche des fonctions darangées. Elles ne peuveut jouais être employées tort, -et garde du .pauvre atteint d'une maladie La médecine d'Holloway devr^^f^e ;en U possession des soldats, des marins, et des émigranls qui feraient ainsi même de soulager eux-mêntes leurs douleurs et de so guérir, lorsque l'assistance médicale leur fait défaut. 46. v En vente: Pilules et Onguentohex-Farsoo-Vàn Ootetvb, ruè de Dixmude, 35. Yprev. si si s? a VAN DBN No taris Capellc, TE WAIOU. 3° Dinsdag, 6° Jtanuarl 1874, I Drij-Koningdag, om 1 urenamiddag, te WATpcCvfehuch'.è S' Jans-KjM^elle, ter hofstede gcbruikt door sieur De- gryck-Plaetevoet, Bystuur der Registra^en Domeinen. KA.HTOOR ÏPR1. éPENBÎRE VERKOOPING V iS c i VAN .epstatent iiises. Les trou- péniblemeul. Le 1* Vp^?£-vaisopérations et l'enoemi Ton 1 "TÂc beauemio d'énereie. Tcn 1 y/Ac beaucoup d'énergie. OjMlelairé-du Virginius parait devoir ■yicissiititles. A peine l'Esptrgir jvec son équipage aux Êtais-Q |t que Iqqrs protégés n'ai L'v'llo.'i/aïuéricain. Don kts-Unis jiamati PD>- •*T*enr dnergiqWn^r quelque temps çpMion.oaeF" i"u,1Mac, i 'a v'e v lorsqu'u li pubhquément déshorio: fi Jite soiîfeênt dSTk Dpj>":s - \patrimoine. Dert"^ B-M 1^1 f'iai#, t., iratie en do- "'fc.L if i-il h ar ide! Il Mahon nt .ut faire incien car»?. ïde, et fi '"rance GRÛS le représentant du doctisa almin, rue Fontaina.s, 52, Bruxelles. DÉPÔT: YPRES, Dumon, rue de Lille, 50. on isser f-eï àr La séance dé la Chaq,0i prés(,î',)J' -.tn assez mèdio, qffc/'déITi- atiônj r iia le*!Grclo. JoCK.' tue. ->n" 3' I 20r 1 XJial c'a iger i,PUrdr'eAûtiO la mJe a> ST' aux C 'j^field es t (urdagr* om 11 ure, arkt, ve**-i je Pfdi que Pour nettoyer et conserver saines les dents et la gencive, ainsi que pour faire disparaître toute mauvaise odeur de la bouche on peut recommander tomme des plus efficaces VEau denti frice anathérine, préparée par M. le docteur J.-G. POPP, dentiste de la cour impériale et royale de Vienne, ccrtljtjireparation qui ne contient 1 grédient nuisible la santé, la £arie des dents et la for- elle préserve dès de la mauvaise ha- Ji.c* ,,rv,| des vacances, lans^tfujj-nai :e pa L tster0* u "s P* <\C a\ 1E 'is

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Le Progrès (1841-1914) | 1873 | | pagina 3