LES C4RT0UCHES FOUR DETRUIRE LES VERS tÏÏgSS.ZiZ* BOTES SUR POUR DETRUIRE LES RATS ET LES SOI nouvelles diverses. 18* ENCRES. grande réduction de prix! j Le discours de M. Van der Taelen est, d'ail leurs le cri de l'honnêteté révoltée contre les avocats d'une mauvaise cause quise voyant la veille de sombrer avec les dernières épaves de leur bâtiment, se cramponnent des procédés inavoua bles qui n'accusent que mieux leur indignité poli tique. En ce sens nous sommes de l'avis de M. Jean Nauts qui a prononcé le mot dè la fin en invi tant le corps électoral, quelque Opinion qu'il appartienne de créer désormais des loisirs des députés qui, comme M; Coremans, forcent les hon nêtes gens parler comme venait de le iaire M. Ferd. Van der Taelen. On attend avec une vive anxiété Madrid et dans toute l'Espagne le résultat des opérations qui vont être reprises autour de Bilbao. Aucun engagement n'a eu lieu depuis le 28 jnars. Voici quelle était cette daté la situation des deux ar mées. Les troupes du maréchal Serrano occupent la plus grande partie du versant de Monte-Àbanto. Les carlistes sont retranchés au sommet, dans une enceinte fortifiée. Cette enceinte est formidable les retranchements en sont blindés avec des rails enlevés des chemins de fer deCaldamèset deTriano. sommaire de L'EUROPE. n° 9 5 Avril 1874. Sous le musqué, par Elicm. Les soirées de l'Esbe- kieh, par Foreigri-Bcy Nos jolies gommeuses, par Cliei-uluii. Chronique théâtrale par Léopold Sta- jrienux. Nous avons annoncé, d'après les journaux de Liège, la disparition rie M. Georges Brixhc. L'Eclio de Brux elles a publié dans son numéro du 2 avril une lettre qui donne d'étranges détail? ce sujet. En voici un extrait: Vendredi soir, M. George Brixhc, directeur d'as surances et fils du lieutenant-colonel de la garde .civique de Liège a disparu cl on n'a plus eu de ses nouvelles. On croit que sur la foi d'un faux message, il sera allé un rendez-vous où il aura été attaqué et peut- -êlrc jeté dans la Meuse. La veille, dit-on, un Espagnol l'aurait menaeé,dans un café, de lui donner des coups de couteau, la suite d'une discussion où il s'agissait d'une dugazon du café- concert. Cette fille a été arrêtée le lendemain de la dispa rition de M. Brixhc mais comme il n'y avait aucune charge directe contre elle, on a dû la relâcher et elle s'est hâtée d'en profiter pour se rendre Aix-la-Cha pelle. n L'Espagnol n'a pas reparu. On comprend le désespoir de la famille de M. Brixhe. Hier, pendant toute la journée, on a fouillé le lit de la Meuse. Rien Le correspondant de l'Echo de Bruxelles s complété «es renseignements dans la nouvelle lettre que ce jour nal commente ainsi Les tristes nouvelles que laissait prévoir la lettre de Liège que nous avons reçue, il y a deux jours, ne se sont que trop confirmées. Une seconde letirc nous apprend que le corps du malheureux M. Georges Brixhc a été retrouvé dans la Meuse. Il avait été étranglé avec une jaircbère de femme Nous avons dit comment line querelle avait eu lieu la veille dans un café entre M. Brixlic et un Espagnol, propos d'une femme. L'Espagnol avait fait entendre des menaces de mort. Le lendemain M. Brixhe sort va dans un café où on lui remet un billet avec ces mots: Viens vite, ta mère t'attend la gare des Guillcmins. Il sort, et on ne le retrouve que plusieurs jours après, assassiné. Le guet-apens était évident. La police, informée de la scène du café, des menacés de l'Espagnol, interroge la femme, puis la laisse en liberté ce dont elle profile pour filer au plus vile Aix-la-C»pelle. On la laisse fuir, pour aller, sans doute, rejoindre l'Espagnol et on trouve que M. Brixhe a clé étranglé avec une jarretière de femme n 0 perspicacité des hommes habiles qui veillent sur la vie des citoyens Il est vrai qu'ils ont, sur la façon d'arriver la de-, couverte des.coupables, des théories bien naïves Le soir même où lut signalé l'assassinat de la rua de la Loi, un des chefs de la police bruxelloise disait un de nos confrères 11 ne sera pas long pincer, celui qui a fait le coup. Les barbiers, n'est-ce pas savent tout Eli bien Demain matin, j'irai me faire raser chez tous les barbiers du quartier! Qii devine la consternation de l'honorable famille Brixhe et des nombreux amis de la victime de cet odieux guet-apens: Comment se fait-il que les journaux de Liège n'ont donné jusqu'ici aucun renseignement sur cette grave ailairc En 1873, la recette de l'oeuvre de la propagation de la foi s'est élevée dans notre pays la bagatelle de trois cent nouante un mille francs et cinquante sept centimes. Pour rappel Il y a en Belgique plus Je trois cent mille pauvres. Les cinquante sept centimes seront sans doute p' eux. Le jeu de billard est menaçé d'une sérieuse-concur rence, par une. invention toute récente c'est celle d'Un jeu de boules sur tapis-billard, mesurant 6 m. 50dcldngsur 1 m. 60 de large, Jè la hauteur d'un billard ordinaire. Les combinaisons, toutes nouvelles, eu sont des plus ingénieuses. -a nu i' ENFIN L'HOMME INFAILLIBLE EST ARRIVÉ; o0> le progrès de la medecine. Ce fut avec une fierté et une satisfaction peu communes que nous eûmes dernièrement l'honneur d'être introduits auprès d'un des hommes les plus renommés du temps,Professeur Thomas Holloway, qui a fait pins pour le progrès des sciences médicales que tous ceux qu'on peut nommer, sans excepter les «savants» éminenis tels que Àhercrombie, Rush, Clark, ou Majendie. II nous fit remarquer oomhieii la majeure partie dé-la médecine de l'époque actuelle si vantée était empirique, et combien, en réa lité, on connaissait peu les Lois de là Physiologie. Poursuivant ses investigations, une heureuse idée le frappa comme une inspi ration, et il localisa le siège de chaque, maladie —quels que soient sa nature'et son diagnostic dans le sang. Il est d'avis, d'accord avec les plus célébrés pathoîogistes que le sang poisède vitalité, que le sang est vivant, c'est en effet dans le language de l'Écri ture, La vie de l'homme. Si ce fluide de l'existence est impur,comment l'être humain peut-il être autrement que faible, épuisé, amaigri et affligé de maladies de différentes espèces Purifier le sang et le tenir pur, c'est virtuellement chasser la maladie de la terre. Ainsi et alors il y a de l'espoir pour celui qui souffre. Le pauvre invalide qui désespère de toute guérison, peut rentrer dans le monde, en liomme fort et régénéré. Le trai tement d'Holloway extirpe'tous 110s maux, qu'ils soient de l'es tomac, du foie, des rognons., des poumons, du eceur ou de la peau, il reporte leur origine au sang et ramène l'organe évidem ment malade sa première et parfaite santé. Connaissant cela, comme nous lé connaissons d'après l'expérience de nos amis aussi bien que d'après notre propre expérience, nous remplissons vis-à-vis du public un devoir Samaritain, en recommandant cor dialement les Pilules et l'Onguent Ilolloway les premières pour les dérangements internes du système, le second pour applications externes sur les blessures et maux qui ont résistés tout antre soit-Jiéant reraede. Quand un patient est languissant semaines et mois sans éprouver le moindre bénéfice de la science du médecin, simplement tenu en suspens, comme cela arrive avec une existence pénible el sans joie qui doit se terminer dans un espace de temps vraiment court, nous pensons sincèrement que ce serait le Comble de la folie, ou pis, de l'empêcher par simple préjugé, d'avoir recours un remède comme celui-ci, qui,-s'il ne lui fait pas de bien, ne peut aucun titre lui faire île mal. Que <1^ milliers de personnes se sont alistenoes de pren- jdre un remède rien que par préji/gé, et combien on est disposé croire que les annonces insérées dans les journaux ne sont pas ce qu'elles prétendent être, quoique, dans 1 espèce a tout hasard, nous avoirs, bouge raison de croire que les annonces du Professeur Ilolloway"disent fait' sinëèremenl et sans vernis comme sans aucune exagération oa fausseté. Public Ledger (St. Johu's, Newfotjiidlandj. M. CROMMBLINCK, Traitement des maladies chro niques réputées incurablesries Voies uhinairf.s (Epuisement, catarrhe vésical ^rétrécissements viola tion du sang; affections cutanées, etc.) Auteur du V1141 Toésor de la santé ou Traité des maladies des voies urinaires, écrit par les geris du monde, 12* étlit.'; 165 fig, Prix 12 fr. Chez l'auteur BRUXELLES 18 rue Notre-Dame-aox-Neigcs et chez M. Lambin, fils,'rue au Beurre, Y pies. Consultations tous les jours, de 9 1». 1 li. I l ne reçoit ni les dimanebes ni les jours deféte, moins de con vention spéciale préalable. N: B.' Il est souverainement imprudent de confier sa santé un médecin que i on ne connaît que par une annonce, alors surtout que toute annonce rie l'es pèce est d'avance taxée de charlat'anesque. Le docteur Crommelinck engage vivement quiconque se propose de le consulter lire d'abord son ouvrage. !i ose se flatter que'nul'Tic regrettera de l'avoir lu. C est un ouvrage unique en son genre. Onguent et Pilules (TIlolloway. Souffrance secrète Vaincue, beaucoup de maladies existent chez certaines personnes que sciemment préfèrent les porter en silence que d'en faire part leur plus grand ami. Aucune application ne peut rivaliser avec l'Onguent rafraîchissant et curali.f d'HolloWay pour le soulage ment et la guérison qu'il procure dans les ««g d'hémorrordeat fistules et autres maladies également pénibles Un martyr éori- aiusi: J'ai souffert d'une attaque terrible d'hémorroïdes, pen dant plus de six mois dans cet espace de temps, j'ai payé plus de dix livres sterling aux Médecins sans obtenir le moindre avantage de leur avis et quand je me déterminai substituer l'emploi de vos remèdes leurs prescriptions, une quantité vrai ment petite de ceux-ci a suffi pour me guérir radicalement. Ru vente: PUnies et Onguent, chez Fxrsoo-Va9 Oiitutvic, rue de Oixinude, 55. Ypres. Tontes les encres qui proviennent de ma fabrique, telles que l'encre dite alizarine, aniline et tnnnt'neencre de salonP encre de noix de galleainsi que les couleurs de marques préparée* d'après les dèrniels principes .de.là chimie, se distinguent par leurs couleurs vives et leur -fluidité, et sèchent en fort peu de lemps. Les encres copier lie laissent point de résidu, ne se moisissent jamais, et mélangées avec une égale' quantité d'eau, elles fournissent une bonne encre écrire qui est très- bon marché. En vente chez Lobs les libraires de renom Emmerich. H. von (.iniborn, pharmacien el fabrioant de produits cbiiu-techuiqoes. Par suite du débit toujours croissant du sel stomachique universelle prix .de oèt article a été baissé pour toute la Belgique. Lès paquets entiers fié vendent fr. 1-40. et les demi 75 centimes, et afin que l'on puisse essayer ce remède efficace contre les maux d'estomac, j'ai mis en vente des quarts de paquets à^iO centimes." Dépôt Ypres, chez Ch. Becuwe, pharmacien, Marché au Beurre. Roulers, chez F. Ameye, pharmacien. Et dans les autres endroits aux dépôts connus. Brochures sur l'emploi, attestationsetc., gratis J'avertis le public d'avoir garde de produits contrefaits et nuisibles c'ést pourquoi je prie de faire attention non-seulement aux prix, mais surtout ce que chaque paquet porte le nom de H. voil hlinihoi'll, pharmacien Emmerich e;Rfc. et fabrioant dç produits chim-tecliuiques. Le certificat qui ~uit prouve l'efficacité de l'arliolè précité ooutre une gastralgie invétérée. Mon cher Monsieur von Gimborn Plus de 20. ans jesonffrais d'une gastralgie affreuse. Plusieurs médecins m'ayant prescrit des re mèdes inutiles, jmiessayé de votre sel stomachique universelGrâce oe remede domestique, je suis même de vaq4V mes affaires, au graud élonnement de ceux qui connaissaient l'état de santé désolant où je meH.rouvais auparavant. C'est pourquoi je m'empresse de recommander l'huma nité souflrantejvotre sel stomachique universel qui est doué des meilleures propriétés curativés. Je vous suis tres/reoonnaissant et profite de cette occasion vous assurer de ma plus haute considé ration. j§_ Veenendaal. G. Bos. DAÇTII I PC DAT1D I A PflITDINF composées de réglisse, de sel ammoniac, de malte, Au 1 IJLiIjIiu 1 U Ull Ll» vl 1 Illllll d'auis, de soufre et d'extrait de pavot, sont d'un goût agréable et recommandées par tous les médecins comme le meilleur remède contre la toux, l'enrouement, les maux de gorge et de poitrine. Elles se vendent eu boîtes entières, en demi fr. 1 et 60 centm. et en petites bourses l'essai 30 centm. UFDTlVïr nr DUTTD A DDE1 00 P»'1*!*» Stomachiques se vendent en boites contenant llKLlUL UEl nnUjjAlUjtl 50 pilules 50 centm. UDAnnnr HP BARATTAT!1 ^hrége le-.temps qu'il faut mettre battre t UUUllEi UEl DAiUU 1-Ta. Il El beurre, rend le beurre plus dur, lui donne un plus agréable et le garantit de rancir, Un paquet d'un demi kilo suffit 1,500 litres t coule fr. 1-40. ip çpi ÇTnMiirmMTP tîntvrncri aX lera°yeD leP,u' sîn*,e o,rali LL DLL DlUiflALlllyUL UnnLnDLL le.irs <restomac, le» crampes. aigres, l'atonie, les maux de tête, le vertige et les palpitations Comme il rend-d'exoel l'art culinaire pour ja cuisson des pois, des fèves et des lentilles^ eu général pour I mineuses, ce sel devrait se trouver dans chaque ménage. Il se vend en paquets entii demi 75 en quart 40 centm. I PÇ PnTITTFÇ TVTMATnff de toute substance nuisible, LElO uUUl 1 Lu U lillAiUli champ les plus violentes douleurs caust dents. Le flac. coûte 90 centm. substance fr. 1-60 qui ne contient aucun poisonsuffit garantir une maison ou, toute uifc anuée, de rats, de souris, de lattes, etc. Une boîte donuée àl'épruuve se^ !><<pôt Y pues, chez Ce. Becuwe, pharmacien, Marché au Beurré^ Roulers, chez F. Ameye, pharmacien. 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Le Progrès (1841-1914) | 1874 | | pagina 3