eooi-vmnm MA A I fi R AS nouvelles diverses. Notaris CA PELLE TE WATOU. ONROERENDE Eerst. Op Vrijdàg; 12" Junij J 1874^ ora 3 uren namiddag,: te Watou-1 plaats, ter herberg der weduwe Labey, Openbnre licitatie-verkooping van 6 hectaren 44 53 c. Weide, Znniland. Neersch, Bosch eu Boiixvgrouden, te Waton Steeuvoordé eu Wormliont. «r- te Pollinchove, van 2 hectaren namj(j(jag^ gTAyELE, bij de kinders 0 A: o0 c. Uarhey M0B1LAIRE VERKOOPING TE PROVEN-PLAATS. Dan. Op Donderdag, 18° zelve maand Junij, drie uren namiddag, te Beveren, ter J >berg a hel LLooghe, LICITA foi- V RfvKOO PING Notaris Laurent Proot, E WOUMEM. VERKOOPING Mais le mais traditionnel les employés sont furieux ceux du ministère des travaux pu blics, surtout. Leurs nominations ne sont pas antidatées en sorte qu'ils auront payer deux mois de retenue pour la caisse des pensions. D'usage immémorialon antidatait les nomi nations d'avancement. C'était une tolérance toujours respectée. M Beernaertparaît-iln'a pas voulu la main tenir. Pqur lui, qui s'intitule si volontiers un homme de tolérancec'est bizarre. Et il parait que ses employés se résignent avec peine tolérér cette façon d'agir. On écrit du canton de Fléron", le 3 juin, au Journal de Liège La commune de Beyne-Heusay a été sur le point d'avoir dernièrement son petit scandale en matière d'inhumation. Il s'agissait de procéder l'enterrement au cimetière de Beyne d'un petit enfant mort sans baptême. Sur les ordres du curé de la paroisse, le fos soyeur s'en fut creuser Ja fosse dans le coin des réprouvés car il paraît que ce compartiment, que nos cléricaux dans leur langage évangélique appellent le trou des chiensexiste dans le cime tière en question. Ces faits ayant été portés la connaissance de l'administration communale, M. lechevin Jadot se rendit sur les lieux et prescrivit au fossoyeur de combler la fosse creusée et d'en ouvrir une nouvelle dans la partie commune du cimetière, immédiate ment la suite de la dernière inhumation opérée en cet endroit. Le curé ne se tint pas pour battu il fit de rechef ouvrir une fosse dans le coin des réprouvés et intima l'ordre au fossoyeur de procéder l'en fouissement du pet:t cadavre. Cet ordre reçut son exécution sous l'œil vigilant du charitable pas teur. M. Jadot, prévenu par le père de l'enfantse transporta immédiatement au cimetière et ordonna l'exhumation du cadavre et enjoignit de l'enterrer l'endroit qu'il avait primitivement assigné. Force resta cette fois l'autorité civile. M. l'échevin, après avoir rappelé au fossoyeur qu'il relevait uniquement de l'autorité locale et n'avait point d'ordre recevoir du presbytère le- prévint que si de semblables faits venaint se reproduire il se verrait forcé de proposer sa ré vocation au conseil communal. Les choses en sont restées là. M. le curé de Beyne a sans doute jugé prudent de ne pas soulever de conflit. Toute notre population éclairée remer cie notre échevin d'avoir fait respecter et les sen timents les plus sacrés de la nature et les préroga tives de l'autorité communale. Les journaux catholiques ont prétendu qu'il est faux que l'on vend des images représentant le pape en prison. Nous avons en main une image dorée, éditée chez Aubry, Paris, n° 39, 3° série. Cette image représente une prison, dont les fenêtres sont garnies de grands barreaux de fer. A l'intérieur, on voit le Pape en prières. La ser rure de la prison porte les armes de la maison de Savoie. A la partie supérieure de la prison, on voit la tiare et les armes pontificales. Voilà comment les catholiques écrivent l'his toire [Journal de Gand.) On écrit de Liège, le 6 a Dans sa séance d'hier, le conseil communal a approuvé le contrat passé avec la maison Errera- Oppenheim pour la conclusion de l'emprunt de 15 millions de francs, ainsi que le plan d'amortissement annexé ce contrat. On lit dans la Presse Un assassinat, qu'on n'a découvert qu'hier, a été commis, il y a trois jours, 9, rue Aubryot, dans d'effroyables circonstances, par un sieur Tinloup, sur la personne de sa maîtresse, une jolie ouvrière de 25 ans, nommée Marie Solez. Dans un accès de jalousie. Tinloup l'a tuée. Profitant de son sommeil, il l'a complètement dé capitée avec un rasoir puis, laissant là le tronc qui saignait sur le lit, la tête qui en roulant de l'oreiller s'était accrochée par ses longs cheveux un des barreaux de fer, il s'en est allé chez le mar chand de vin. La nuit, il est revenu coucher près du cadavre et a dormi sur une chaise devant cette tête et de vant ce corps, au milieu de cette odeur fétide qu'exhale le sang hnmain. Pendant deux jours, sortant et rentrant, il a vécu auprès de ce cadavre, abruti, sans remords. Hier, il a compris que son crime ne pouvait être caché, et alors, pour se rendre intéressant, il a simulé une tentative de suicide, en s'entaillant légèrement la gorge. G'esten allant constater cette tentative de suicide qu'on est arrivé la décou verte du crime. Tinloup sera, du reste, prochaine ment sur pied pour rendre compte la justice de son forfait. Voici une nouvelle histoire de ligre que publie un journal indien La scène se serait passée dans les environs de Vizagapalam. Un mari et sa femme (CcHe- ci douée d'une puissance exceptionnelle de poumons) s'étaient engagés dans une forêt, lorsqu'un tigre, sor tant tout coup du fourré saisit l'homme et le ren versa. Au cri de détresse qu'il poussa, sa femme courut sus la bête, l'enfourcha, puis se mit crier plus fort que la victime. Naturellement, l'animal, effrayé son tour, se retourna et lâcha sa proie. Le mari profita de ce temps d'arrêt pour se relever et prendre la fuite. Alors, d'un bond vigoureux le ligre, devenu furieux, se débarrassa de son amazone improvisée et la dévora bel et bien, sans que son chevalier peu galant ait songé revenir sur ses pas pour lui porter secours. Sommaire de /'Illustration européenne, 4° année. 6 Juin, n" 30. Gravures M. Disraëli, chefdu ministère anglais. Moines et musiciens. El moi aussi j'aurais pu être heureux Les Qiakers. Texte Nos gravures, -r- Chronique de Partout. La procession dansante d'Echternach. La question des rapports du capital et du travad. L'origine des chiffres romains. Née pour souffrir, (Roman.) M. CROMMELINCK, Traitement des maladies chro niques réputées incurablesdes Voies uiunaîres Epuisementcatarrhe vésical rétrécissements vicia- tion du sang; affections cutanées, etc.). Auteur du Vhai Trésor de la santé ou Traité des maladies des voies urinaires, écrit par les gens du monde, 12° édit. 105 fig. Prix 12 fr. chez l'auteur BRUXELLES 18 rue Notre-Dame-aux-Neiges et chez M. Lambin, fils, rue au Beurre, Ypres. Consultations tous les jours, de 9 h. 1 h. Il ne reçoit ni les dimanches ni les jours deféle, moins de con vention spéciale préalable. IV. B. Il est souverainement imprudent de confier sa santé un médecin que l'on ne connaît que par une annonce, alors surtout que tonte annonce de l'es pèce est d'avance taxée de charlatanesqiie. Le docteur Crommelinr.k engage vivement quiconque se propose de le consulter lire d'abord son ouvrage. Il ose se flatter que nul ne regrettera de l'avoir lu. C'est un ouvrage unique en son genre. Pilules tV Hollmvay'.-Peines d'Estomac et des Intestins.— L'estomac est l'intendant du système ptiysique. Il fournit l'en tretien matériel de chaque organe. S il est dérangé, tout |e corps lauguit.mais lors même qu'il se trouve sévèrement afleotéa sou ton et sa force peuvent toujours être rétablis par l'emploi de ces Pilules irrésistibles. Des milliers de personnes a;lestent la vérité de oette assertinn et pas un des patients qui en ont essayé, ne voudrait nier leur suprême eflicarilé Parmi les cas de maladies d'estomac, depuis celui le pins bénin de dyspepsies jusqu'à l'horrible'cancer, dr pois l.es nausées du foie libre jus qu'au vomissement qui accompagne un estomac ulcéré, ces Pilules soulagent immédiatement et, eu général, guérissent. 13. Eu vente: Pilules si Onguent,e\\es Firsou-V** Ou raiva. rue de Dixt.ude, 35. Ypres. KANTOOR van den hectaren 01 a. 30 c., bij uithangende! GEWOONE VERKOOPING DER plakbrieven in zeven koopen. MAAIGRAZEN wassende te Beveren, Thans gebrnikt door de kinders De- op de eigendommen van Mher Albéric- ieir, tôt 1" Oktober, 1884, mits 1200 Marie-Ghislain Baron Des Cantons de francs s jaars. Monr ingesteld 53,000 fr En B. Eene WEIDE, in de Her- VKRkOOl'INOKN. Gebrnikt door Rooryck-Pil, tôt 11"| jàARLIJKSCHE VERKOOPING November 1879, aan 372 fr. 60 c. s jaars. Slechts ingesleld 18,000 fr. Op Woensdag, 24" Junij, ten 2 uren fix namiddag, te Proven, ter herberg bewoond door de weduwe France, Koop- Bij plakbrieven verdeeld in elf koopèn. dagvàn MEUBELEN, HERBERGIERS- Met tusschenkomst van den' Noïakis GEREEDSCHAPAKKERALLAAM enz.,breederbeschrevenbij uithangende plakbrieven. BEVEREN. Op Donderdag, 25° Junij, drie uren namiddag,',te Beveren; ter hérberg de Znaan, bewoond d'oôr Joseph Top, VANDENBERGHE, te Rousbrugge: •w'a'n: A. Eene^choone, goede en patri- onieele HOFSTEDE, te IseNbeRGhe, ddf, steenweg, inhoùdeûde 12 1« Een SCIIOON GBOOT HUIS met h. 0-07-52 e. Erf, te Dixmude in de Eessen- slraat in drie koopen. l.aalsl gebrnikt geweest door Madame weduwe Denaux- Delahaye. 2» Een TWEE-WOONSTIIUIS met ccinsrccht aan h. 0-53-90 c. land te Dix- Op Maandag, 29° Junij," drie uren \a"f Broederskaatje. - r Gebruikt door Pieter Verdeele en Auyuste Impe, zonder pachtrecht. 5» H. 2-0-50 c. ALLERBESTE ZAAI LAND, te Beerst, nbij d'herberg de dkie van Mher B°° Pycke de Peteghem en Musschen, bekend bij. kadaster scctie, B, Montblanc van Ingelmunster. STAVELE. deheer De Bie de Westvoorde, der MAAIGRAZEN op de Zestien-gemeten, de Zes-gemeten en de Vier-gemeten op Beveren, en de Acht-en-twintig-gemeten op Stavele. Om aile inlichtingen rakende dé ver- koopingen der onroerende Goederen zich te begeven ten kantoore van voor- noemden Notaris CAPELLE, te Watou. s a ts <D a van den INSTEL 29° Jlunij, en TOE- SLAG J13° JJulij 1874, tclkens ten 3 '/a ure juisTnamiddagjte Dixmud dtel Peerdenposterie'u vaij nummer 1,004, in twee koopen. Ge brnikt door d'keer Romain Woets le Beerst. Met gewin van 1/2 p. 0/q instel- penuiug, op elkeu.koop. van Op Donderd&g, 18° der inaanè Junij I874,zal cr door de tussch'enkoms van den Notaris VAKDEHMEERSCB, om zes uren des avonds., overgegaan wor- den tôt de openbare Verkooping der GRASGEWASSEN in de lusthoven en aanpalendc eigendom men van de Hcercn Carton ep âlertjhe ckf te Si£t Jacobs-nevens-IJperen.

HISTORISCHE KRANTEN

Le Progrès (1841-1914) | 1874 | | pagina 3