fia if S nouvelles diverses. S 3 a a J*r es en es p OT p o p £-5i s 25 S 3s imposée au* populations a de choquant et d'inaccepta ble. S'inspirer d'un spécieu* prétexte d'humanité pour enjoindro la population d'un pays envahi de conser ver une attitude impartiale entre ses compatriotes et l'ennemi défendre ceux quien trouveraient I'occa9ion ou qui sentiraient le courage de prendre part la lutte avec leurs compatriotes dans un combat qui se livre rait sous leurs yeux obliger, en un mot, la population civile du pays foulé par l'étranger tenir la balance égale entre ceux qui viennent lui ravir son indépen dance et ceux qui versent leur sang pour elle, c'est véritablement faire la part trop belle A la guerre de conquête et tenir trop peu de compte des plus nobles, des plus légitimes sentiments de l'âme humaine. Nous voulons croire pour l'honneur de l'humanité, que si jamais une clause semblable celle dont les auteurs du projet demandent l'adoption était acceptée par la conférence, elle serait repoussée par le sentiment de l'Europe toute entière. Il y a longtemps qu'on s'est aperçu du dessein des Jésuites d'organiser, sous forme de sociétés catholiques, les forces de l'ultramontanisme. C'est une véritable armée qu'ils constituent ainsi. Cela a commencé par l'institution des stokslagers, mais ce n'était qu'un germe, un essai depuis, l'organi sation a été développée et perfectionnée et on la continue avec persévérance. C'est par là que doit se compléter l'ensemble de cette puissance ultra- montaine qui s'est annoncée il y a quelques années comme devant former, au milieu de la société mo derne et constitutionnelle, un Etat part, faisant celle-ci une guerre implacable et imposant, par tout où elle se sentira assez forte pour le faire, les lois et l'autorité absolue de Rome. Ce dessein est audacieusement poursuivi, et c'est sous l'abri de la Constitution et des libertés qu'elle consacre qu'on forge avec tranquillité l'ar me destinée les détruire. Nous avons vu récemment ce que sont les tiers ordres, associations laïques soumises, autant que le permettent les convenances de la vie sociale, aux règles des Franciscains, des Dominicains et des Jésuites, et qui ont le droit de se servir d'armes offensives pour le service de l'Eglise les nouvelles associations catholiques qu'on établit et dont la presse ultramontaine nous parle dans un article relatif l'organisation des forces catholiques, doivent ajouter de nouvelles recrues l'armée ul tramontaine et renforcer considérablement celle-ci. Quant au but, il est assez clairement défini dans l'article en question, et notamment dans ce para graphe significatif De l'initiative des chefs de l'Association bru- xelloise et du concours qui leur est promis par les catholiques les plus influents de la province va donc sortir ce cercle catholique central, que tous considèrent aujourd'hui comme un point d'appui indispensable la défense de notre cause. Inutile de dire que nous applaudissons de tous nos efforts cette résolution et que nous en at- tendons le plus grand bien pour notre cause et pour la capitale elle-même. Tant que les forces catholiques ne seront pas organisées Bruxelles, tant qu'elles n'y pour ront pas balancer les influences maçonniques et libérale.^ le pays ne jouira jamais d'une sécurité êomplète, sa prospérité, son avenir, son repos, seront toujours la merci des coups de main de la Commune révolutionnaire. Vainement nous ferons-nous la fermeté du gouvernement pour nous défendre dé ce péril une triste et récente expérience doit nous avoir appris compter j> moins sur le secours des pouvçirs publics que sur nous-mêmes Nous croyons inutile d'appeler l'attention de nos électeurs sur ce paragraphe il fait assez con naître l'intention de nos adversaires. C'est bien l'armée de l'Internationale noire qui s'organise, de cette Commune révolutionnaire ultramontaine qui ose donner son nom au libéralisme belge, et vous voyez qu'elle se dispose se montrer dans la rue la prochaine occasion, pour substituer l'action du gouvernement et de la force publique ses janissaires fanatiques. En un mot, l'Internationale noire or ganise chez nous la guerre religieuse et la guerre civile. Les journaux de Paris annoncent que l'ex-maré- chai Bazaine s'est évadé de S" Marguerite dans la nuit de dimanche lundi les détails précis man quent. Bazaine aurait quitté le fort au moyen d'une échelle de corde. On suppose qu'il a gagné un na vire allanten Italie. Pendant la nuit de son évasion le temps était obscur et très-mauvais lèvent souf flait violemment. Les journaux ajoutent que le gouvernement est résolu agirpromptementeténergiquement contre les complices de cette évasion. On a arrêté hier Marseille le colonel Vilette, ancien aide de camp de M. Bazaine. On croit que le maréchal Bazaine s'est évadé avec sa femme et ses enfants sur une barque dans laquelle sa femme vint le voir dimanche. On ignore quelle direction cette barque a prise. M. le vicomte Albéric du Bus n'était pas encore enterré, que déjà les petits vicaires de notre Flan dre s'en allaient de ferme en ferme, prêchant pour le candidat clérical. C'est bien, M. le vicaire, dit un vieux pay san. Nous ne demandons pas mieux que de voter pour lui mais dites-nous son nom. Son nom je ne le sais pas, Monseigneur ne l'a pas encore désigné. Mais alors comment écrire notre bulletin Oh cela ne presse pas, vous le recevrez tout écrit la veille de l'élection. Et voilà VILLE n'VPKES. conmem. ronniixxL. Séance publique, Vendredi, 14 Août 1874, quatre heures de relevée. ORDRE DU JOUR 1° Dépôt du compte communal 1873. 2° Idem du compte de la fondation Vandenpeereboom. 3» Demandes de concessions au cimetière. 4° Fonds voler pour la distribution des prix aux élèves de l'École communale gratuite pour garçons. Voici un acte de courage et de dévouement tout l'honneur de Al. J. Slavcaux, capitaine d'un des ba teaux de la compagnie liégeoise de navigation vapeur Orban. Une dame portant un enfant de 3 ans, arrivait le 7 Jemcppe pour s'embarquer sur le bateau M. use u° 4, qui se trouvait amarré au port. Malgré l'avis qu'on lui donna de monter par la pas serelle réglementaire, elle sauta sur le pont, où elle trébucha, laissant échapper l'enfant, qui fut lancé de l'autre côté du bateau et qui disparut dans le fleuve, profond en cet endroit de plus de trois mètres. Aux cris jetés par les témoins de l'accident, AI. J. Slavcaux, capitaine du Meuse n° 4, plongea tout babil lé dans la Meuse et saisit l'enfant le maintenant d'un bras et nageant de l'autre, il revint la surface et remit le pauvre petit aux mains tendues pour le recevoir. Quelques secondes après, Joseph Stavcaux était bissé sain et sauf sur le pont par les hommes de l'équipage. L'enfant ne s'est nullement ressenti de la chute et se porte très-bien. Une particularité curieuse 4 propos de M. Thiers. n'ex-président, qui n'est pas loin d'être l'homme le plus petit du Paris, possède un concierge qui est très- certainement l'homme le plus long de la capitale. C'est l'ancien tambour-major du lr bataillon de (eu la garde nationale. Quand il se déplie, ce concierge mesure 1 m. 99 son désespoir secret est de ne pouvoir atteindre les deux mètres. Le poids de ce concierge u'est pas moins merveilleux il pèse 282 livres. LES ANNEAUX QUI NOUS ENCHAINENT LES UNS AUX AUTRES. ENPÉDITIONS POUR LES MALADES. Cinq mille lieues d'océan sont une simple bagatelle dans ce siècle de vaisseaux vapeurs ei de ctippeis. Notre commerce réciproque avec la Grande Bi etague est aussi fréquent que si un bras de mer nous séparait, et parmi les nombreuses choses kieufaisan'es qu'elle nous envoie eu échange de notre Pous sière d'Or, nous n'en avons pas en plus haute estime que les inestimables remèdes du Professeur Holtoway. Ses fameuses Pilules et son Onguent paraissent comme désignés pour satis faire les besoins de notre climat et de notre condition. Faiblesse ou débilité quelquefois engendrées, toux et rhumes, quelque fois les suites de maladies aiguës et compliquées, les désordres les plus désastreux de l'estomac, du foie et de-intestins sont exressivemeut fréquentes dans les mines Ptrur cette espèce d'afflictions les Pilules sembler aient expressément désignées, si elles ne guérissaient les autres maladies avec au'aut de cer tilude et aussi prompleiucnt. Ainsi le mineur et le bûcheron d'après la nature de leur occupation, sont particulièrement sujets des accidents tels que coupures, fcoulusious, fractures et dislocations, et dans ce cas aussi bien que dans les plaintes variées d'éruption si oommunes dans les excavations, le pouvoir guérissaut de l'Onguent agit avec un succès triomphaui. Cet taiuemeut, si les Pilules et 1 Onguent n'élaieut pas spécialement désignés pour les maladies rie cette colonie, les maux les p'us communs dans cette contrée sont particulièrement susceptibles d'être guéris par eux. Dans tous les camps qui forment la région élendne de notre moderne Opliir les propriétés curatives des médecines du Pro fesseur llolloway sont Iraulement proclamées. .Toutes les fois qu'une provision est épuisée dans un camp, elle est achetée dans un autre tout prix. Le uriueur qui a uue fois expérimenté l'eflet drsP.lul es dans n'importe quel désotdre de l'estomac, du foie ou des intestins ne voudrait pas plus être dépourvu de celte médecine dans sa leute ou cabane qu'il ne voudrait être sans les outils d'uu chercheur d'or il en est de même deTOn- gueut. Il sait que beaucoup des maladies qu'une vie pénible, des dangers cnnliuuels et une nourrituie insalubre produisent, suoeombent par l'Onguent, et que pour toute espèce de blessures et contusions, l'Ongueut d'Hulloway est la meilleure application qui existe. The Miner. M. CROMMELJNCK, Traitement des maladies chro niques réputées incurablesdes Voies urinaires (Epuisement, catarrhe vésical rétrécissements viola tion du sang; affections cutanées, etc.). Auteur du Vrai Trésor de la santé ou Traité des maladies des voies urinairesécrit par les gens du monde, 12" édtl. 105 fig. Prix 12 fr chez l'aulcur BRUXELLES 18 rue Notre-Dame-aux-Neiges et chez M. Lambin, fils, rue au Beurre, Yprcs. Consultations tous les jours, de 9 h. 4 1 h. Il ne reçoit ni les dimanches ni les jours de féte, moins de cou- ventiou spéciale préalable. N- B. Il est souverainement imprudent de confier sa santé 4 un médecin que l'on ne connaît que par une annonce, alors surtout que toute annonce de l'es pèce est d'avance taxée de cliarlatanesque. Le doeteur Crommelinck engage vivement quiconque se propose de le consulter 4 lire d'abord son ouvrage. 11 ose se flatter que nul ne regrettera de l'avoir lu. C'est un ouvrage unique en son genre. Pilules d1 Holtoway. Le Grand Secret. Avec la tempéra- turc vaiiable de ce paya, il est essentiel pour se préserve en bonne sauté que le sang soit purifié de temps autre et que les matières nuisibles soient'expulsées du corps. Pour cela, le pu blic peut être sou propre médecin et un prix insignifique. Des instructions pour leur emploi sont fournies avec les Pilules et la moiudre attention, peu de restrictions près, entre dans la santé quelles que soient les circonstances et les épreuves. Les Pilules sont alléiatives, toniques et apéritives. La Médecine Holloway doit être sous la main, afin qu'elle soit adminislréo" aussitôt que le premier symptôme avertit de l'approche d'ui maladie. 11J «4 h g b) 3 o es O a q h Ut a g mme es .y wmm X o CD -4-3 as -4-3 eu o S a u s* <D =3 O PU ..ci 9 9 9 M Z H -W G 2 m P H es M h w M es O tS Pi PS CJ GO a u 2 B i ,SS 'Z "S H 5 a «5 - g B e ~L H O O es S S X O -J ta Cfl S W cs -j ta S X o -« O e P o s o" o s o I ta a 1 S I E- Z Oi oo r—1 K) W •w Q H U «l a cd U B *5 cT O S -- P». co «3 os sz 2 e» e H sa s c. fi as i <D CU D cfi U 'O S- 15 S 525 Q-. U a ■c en m rS D T3 xn S| S a Q 'J "O -4P» -CD zs PU zs o H tu c S <D en u Os PS m v SaS c o 2 s •a: P O ES - «5 Ù-J eT. 33 p s r iO ,yv i—fer» r"? p o t (M

HISTORISCHE KRANTEN

Le Progrès (1841-1914) | 1874 | | pagina 3