LE CAPITALISTE SANTÉ A TOUS g sa. FÊTE DE TOURNU. Nouvelles diverses. fa E2 PHOTOGRAPHIE HOTEL S4 SÉBASTIEN, RLE DES BOUCHERS, .39, YPRES. 13 K JE ca-H-r®- etGigoux un mois de la même peine. Les autres prévenus ont été acquittés. Les condamnés n'auront pas se plaindre, ils en sont quittes bon marché. A ce prix on peut encore risquer de faire évader un ex-maréchal de France. Le procès de l'ex-maréchal Trianon vient d'avoir son épilogue. Le fameux Regnier qui, comme on se le rappelle sans doute, a joué un si grand rôle dans la capitulation de Metz, a été con damné jeudi, par un conseil de guerre, la peine de mort pour espionnage et intelligence avec l'ennemi. Lu ville de Tournoi nous a offert Dimanche dr le spectacle de toutes les générations qui se sont succé dées en Belgique depuis les Ncrviens jusqu'à nos jours. Elle a organisé l'occasion de sa fête qui a eu lieu ce jour et dans un but philanthropique une brillante cavalcade où l'on a vu défiler le char de la Constitution, les Ncrviens cheval et pied Charlcmaguc et son escorte, le Groupe de la commune, affranchie, le Char de la commune, le Char de l'agriculture et son entou rage. C'estcomme on voit l'histoire vivante de la Belgique que nos compatriotes sont allés admirer et dont l'exhibition s'est fait avec tout l'éclat que méritent les phases de celte histoire. L'administration communale, les particuliers, la garnison de Tournai ont rivalisé de zèle pour embellir cette fête et en réaliser dignement le programme. La fête a parfaitement réussi. Elle a été favorisée par un temps splendide. La foule était énorme, l'Animation indicible. Le cortège historique a dépassé tout ce que Tournai avait fait jusqu'à présent. Les vingt groupes historiques et chars allégoriques étaient également remarquables par l'éclat et la fraî cheur des costumes la richesse de l'ornementation et l'exactitude historique. Parmi les plus remarqués, il faut citer le char des Ncrviens les corporations tournaisiennes et le cortège de Louis XV se rendant Fontcnoy. Clovis Charlemagne Philippe-Auguste Charles- Quint l'archiduc Albert et Louis XV étaint repré sentés par les jeunes gens des meilleures familles tournaisiennes. La princesse d'Espinoy était naturellement de la fête sous les traits d'une écuyère du cirque celle-ci avait consenti remplacer au dernier moment une Tournaisiennc que de pieuses influences avaient paraît-il, empêché de remplir son rôle dans le cortège. La cavalcade a fait hnltc dans le Parc où une colla tion a été servie en plein air aux personnages du cortège. Cet épisode n'a pas été le moins intéressant le spectacle était curieux et rappelait assez bien un camp du Drap d'or. Aucun désordre ne s'est produit sur le parcours du cortège, mais il n'en a pas été de même aux abords de la gare l'heure des trains du soir alors la bouscu lade a été horrible et le désordre des plus grands. L» date du 20 septembre marquera dans les annales des (êtes tournaisiennes et tous ceux qui ont-contri bué ce résultat ont droit la reconnaissance de leurs concitoyens, car l'organisation en était admirable. Il n'est plus questiond'autre chose que de chasse. A ce sujet, une jolie légende circule dans le Berri. Ce conte, il est un peu gaulois mais nous en ntté- nuerons*le ton trop vif. Un jour, s'ennuyant de faire le rôtisseur en enfer, le diable monta sur la terre et vint aux environs d'Is- soudun. Satan était habillé en campagnard du pays blouse et sabots. Il faut que je m'amuse, dit-il. Etant entré alors chez un armurier il y fit l'em plette d'un fusil. C'était un fusil du bon vieux temps bassinet, pierre et poudre. Allons la* chassereprit-il la chasse aux âmes. Aux portes de la ville il mit en joue un mauvais riche, un mauvais notaire et un mauvais tailleur. Mais un bon curé, qui passait parla, ayant fait tout coup le signe de la croix un ange descendit du ciel et...... répandit de l'eau sur le bassinet. Aussitôt la poudre fut mouillé, l'arme ne partit pas. Depuis ce temps-là le diable est dégoûté du métier de chasseur. Il se contente de braconner. Un pédant fait une promenade en bateau. Savez* vous la philosophie, dcmanda-t-il au passeur Non, monsieur. Eh bien la moitié de votre existence est perdue. Siivc.z-vous l'histoire Pas davantage. Eh bien le quart de votre existence est perdue. La barque chavire tout coup. Savez-vous nager cria le batelier en tirant sa coupe. TIélas non. Eh bien I toute votre existence est perdue. On lit dans le Messager franco-américain du 29 août La huitième réunion annuelle de l'Association des Fat Mcn (hommes gras) a eu lieu avant-hier Grégo- ry's Point, près de la lade de Norwalk (Connccticut.) Comme le temps était on ne peut plus favorable, les curieux étaient accourus en foule pour assister la fête. Les hommes forte bedaine, apiès quelques formalités consacrées par l'usAge se sont pesés. Nous ne donne rons pas le nombre des livres que pèse chaque membre respectif'dc l'Association. Nous dirons seulement que le poids total des quarante-huit honorables est de I 1,844 livres, ce qui fait pour chacun d'eux une moyenne de 246 5/4 livres. ■>M. S. Pike, le membre le moins lourd de l'Asso ciation, pèse 210 livres tandis que M. W. A. Lewis, qui est le plus lourd, en pèse 552. a Aj très le pesage, les héros de la fête se sont mis table. Le repas, qui cousis'nit surtout en clams, en huîtres et eu poissons de toute sorte, était excessive ment copieux, et il va sans dire que les convives y ont fait honneur. Un bal, qui n'a pas été la partie la moins amusante pour les curieux, a terminé la l'été. A l'occasion de I.» fête de la moisson Varzin le prince de Bismark complètement remis a dansé dans la cour de 1a ferme d'abord avec la maîtresse servante, qu'il a dû abandonner parce qu'elle le luisait tourner trop vite puis avec une simple suivante qui s'est montrée plus douce et plus docile. La princesse s'est cou tentée d'une simple valse avec le principal do mestique. Tout cela certifié authentique par la Gazelle de Cologne. Al. CliO.MAlELINCK, Traitement des maladies cliro niques réputées incurables des Voies uiunaires Epuisementcatarrhe vésical rétrécissements viola tion du sang affections cutanées, etc.). Auteur du vu ai TnÉson de la santé ou Traité des maladies des voies urinaires, écrit par les gens du monde, 12° édit. Itib fig. Prix: 12 fr chez l'auteur, BRUXELLES 18 rue Notre-Dame-aux-Neigcs et chez M. Lambin, fii.s, rue au Beurre, Yprcs. Consultations tous les jours, de 9 1». t h. Il ne reçoit ni les dimanches ni les jours de fête, moins de con vention spéciale préalable. JV. D. Il est souverainement imprudent de confier sa santé un médecin que l'on ne connaît que par une annonce, alors surtout que tonte annonce de l'es pèce est d'avance taxée de charlalanesque. Le docteur Crommelinrk engage vivement quiconque se propose de le consulter lire d'abord son ouvrage. Il ose se flatter que nul ne regrettera de l'avoir lu. C'est un ouvrage unique en son genre. Pilules <T UollowayPeiû es d'Estomac et des ^Intestins. L'estomac est l'intendant du système physique. Il fournit l'en tretien. maléiiel de chaque organe. S'il est dérangé, tout le .corps languit,mais lors même qu'il se trouvesévèrement affecté, son ton et sa force peuvent toujours être rétablis par l'emploi de ces Pilules irrésistibles. Des milliers de persounes attestent la vérité de oette assertion et pas un des patients qui en ont essayé, ne voudrait nier leur suprême efficacité Parmi les cas de-maladies d'eslomao, depuis celui le plus bénin de dyspepsies jusqu'à l'horrible cancer, depuis les nausées du foie libre jus qu'au vomissement qui accompagne un estomac ulcéré, ces Pilules soulagent immédiatement et, en général, guérissent. 15 F.n vente: Vihtlmt et Onyuentolier. F«»son V*« rttitiifs, rue de Pixmude, 35, Ypres. JOURNAL FINANCIER HEBDOMADAIRE paraissant a bruxelles, publie l'avis suivant En vertu d'un acte notarié, la propriété du journal le CAPITALISTE a été reprise par les soussignés, qui s'efforceront de se rendre dignes, grâce un travail consciencieux, de la confiance de leurs lecteurs. Ils tiennent déclarer de la façon la plus formelle que jusqu'à la fin du mois d'août 1874 ils n'ont pris aucune part la rédaction du CAPITALISTE. Pas une ligne n'émane d'eux. La responsabilité de tout ce qui a paru antérieure ment au numéro du 6 septembre 1874 ne peut donc leur incomber en aucune façon. Leur responsabilité ne commence qu'à partir du numéro daté du 6 septembre 1874. EMILE LtlOEST, avocat, rédacteur en chef FRÉDÉRICCOPPENS, directeur-gérant. Le CAPITALISTE publie la liste de tous les tirages. Il donne la revue complète de la Bourse de Bruxelles et l'étude des principales affaires belges et étrangères, pics bulletins de la Bourse des métaux et charbons, et de la Bourse des grains. Il contiendra des renseignements industriels importants et de nouvelles correspondances financières. Bureaux du journal, rue de la Montagne, 77, Bru xelles. Prix de l'abonnement d'un an 5 francs. Les abonués reçoivent une PRIAIE GRATUITE. rendue sans médecine, sans purges et sans frais, par la délicieuse fariue de Sanlé de Du Barry de Londres, dite REULE1TA ARABICA Vingt-six ans d'invariable succès. 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Yoos, de Liège, aban donné par les médecins qui déclaraient qu'à son âge (55 ans, toute guérisou était impossible, a été totalement guéri des dar tres par l'usage de la Revaleuta, N° 49,842 M1110 Marie Jôîy, de cinquante ans de oonstifiation, indigestion, nervosité, insomnies, aslbcne, toux, flatus, spasmes et nausées. N° 46,270 M. Roberts, d'une consomption pul monaire, avec toux, vomissements, constipatiou et surdité de 25 années.—* N® 46,210: M. le docteur-médecin Martin, d'une gastralgie et irritatiou d'estomac qui le faisait vomir 15 18 fois par jour pendant huit ans. i N® 46,218 le colonel Watson, de la goutte, névralgie et constipation opiniâtre. N° 18,744 le docteur-médecin Shorland, d'une hydropisie et constipatiou. N° 49,522 M. Baldwin, de l'épuisement le plus complet, para lysie de la vessie et des membres, par suite d'excès de jeunesse. Cure N° 62,913 Valgorge (Ardèohe), 19 octobre 1863. La Revalenta est un remède que j'appellerai presque divin. 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WATRGMEZ opérera tons les Szbfiqùe. .imanebe et Lundi «le clianne ««naine. OK 5? 3 E—Q é-1 M H W os H gg r là fa «"2 S -5 i •Sa* "3 .H o <- L. a Q* 5» H _o M o

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Le Progrès (1841-1914) | 1874 | | pagina 3