Intérieur. AGRICOLE /-• IV 3,495. - Jeudi, f 34e AN?iÉE. S- *n 29 Octobre 1874. r fi; an es parIan. LE PROGRÈS f - 4:1 N I JOUR N Al* D'XPItES ET DR L'A H IlON DISSEMENT, s K - f PARAFSSAJIT LE JEUDI ET LE DIMANCHE. VIRES ACQDIRIT EUNDO ABONNEMENT l'Ait AN Pour l'urrond* »<iinistratif et judiciaire d'Ypres. fr. 6-OtA Idem Pour le restant du pays7-00 Tout ce qui concerne le journal doit être adressé l'éditeur, rue au éeurre, 83. INSEK flQNS aflnoacbs 1 la ligne ordinaire fr. 0-15 IUcl»ubs la ligue fr. 0-30 y+rle*aiiioupes de Bruxelles et de l'étranger sont reçues chez MM. Leciism et PiCiun^J 5^ Montagne des Aveugles, Bruxelles. 1 -A- \ouvp|l<^ <lc l'clrun^cr. Une dépêche adressée de Paris au Times fait crain dre cniroTAllemagne et la France des complications dont l'Espagne serait le prétexte. Tout en démentant le bruit 11iieIa charii. ilerie impériale ait l'intention de faire présenter une Ifbte Versailles pour jjppuyer le mémorandum du cabinet de Madrid ^correspon dant du journal anglais ajoute que cette rumeur pour rait devenir une vérité si l'Allemagne trouvait une autre puissaucc disposée faire avec elle la démonstra tion dont il s'agit. Nous devons naturellement laisser au Tijnes la responsabilité de ses lévélaliins. par un plus grand nom Lire d'étrangers que <fe Belges. Pourquoi La raison nous en paraît simple c'est qtt"il n existait pas-, dans noLre pays, un enseignement agricole primaire; pat suite, on ne. jtrouvài^Monc pas un nonybre dqj£ jeuuies gëns suffisamment préparés potir suivre avec fruit un enspignefnenl moyen osupérfoôr. C'est absolument comme si on voulait, pour les sciences ordinaires, organi ser un enseignement supérieur là ot| il n'y a La polémique qui alimente en ce moment les jour, Pa> d'enseignement moyen., ou un enseigne- naux français révèle dans tonte son étendue l'éiniette- nantit Jijoyenda ot£-u n v aurait pasd enseigne ment des partis monarchiques et la nécessité pour eux comme pour le gouvernement de sortjr de l'impasse où tous s'agitent sans rien produire. Marc era-t-on gauche revicndra-i-un droite Constituera-Ubn la y république, ou tout au moins un gouvernement Stable, défini ayant un programme arrêté dlfe' vucStAFen- semhle d'accord avec lui-même VoiflMcs qup$tionfc qui en ce moment dominent touteç les pi^occupdjtions. Le provisoire n'est plus possible tout le monde te sent. Mais comment en sortir Les journaux anglais s'étendent avec complaisance sur la capture de N*na-Sahib, qu'une dévêeheatfficiélle a confirmée et dont le procès va s'instruire très-active ment. Ils rappellent ses forfaits et deviennent féroces la pensée qu'il va en recevoir enfin le châtiment. Pis de pitié s'écrie le Daily-News. Si la peine de mort devait être abolie parmi nous, il faudrait en retarder l'abolition pour un être t^ussi pervers, dont' les crimes sont une bonté pour les Hindous une tache sur leur pays. Le châtiment du coupable monstre si longtemps épargné sera la seule et juste a fin de la révolte de 1857. a On mande de Berlin au Uaily-News que les députés ultiamontaiiissont résous io|ef pejler M. de Bismârck sur l'affaire d'Arnim «Jès* l'ouverture du -Parlement. L'action civile intentée par M. d'Arniin, sous forme de plainte en diffamation et tendante mettre le fisc impérial en demeure de justifier son droit de posses sion sur les documents réclamés M. d'Arnim ayant été repoussée par le tribunal de 1° instance comme étant inadmissible est .'portée maintenant devant le tribunal de seconde instance. La Çazette de-la Croix publie ce propos une communication qui lui a été adressée par un ami de M. d'Arnim portant que ce dernier ne conteste pas le caractère officiel des docu ments dont il revendique la possession mais qu'il se croit autorisé conserver ces documents, par ce motif qu'ils ont trait au conflit survenu entre lui et le chan celier de l'empire, qu'ils ont un caractère cssentielle- myuj. personnel et que jamais il ne les a fait entrer dans les archives de l'ambassade. le 28 Octobre. rUfept primaire. Celui-jci doit toujours être, d'après nous, la base et voilà pourquoi, il devrait être organisé le premier. C'est aussi l'opinion de la ConSmission de l'enseignement agricole instituée p;rr M. le ftlinistre de l'instruction publique eu "France, taquelle a émis le vœu suivant 1° Qu'à l'avenir les notions élémentaires d'agriculture et d horticulture soient décla- Sj, rées pbligatoir.es pdur l'obtentio®r-du brevet simple d'instituteur primaire q 2" Que pour assurer, dans un avenir prochain, l'enseignement agricole des écoles normales, on décide en principe la création de professeurs départementaux dont le traitement serait la charge collective des ministères de l'agriculture et de l'instruction publique 3° Que l'initiative et le concours pécu- niaire du Conseil général du département soient obligatoires toutes les fois que le professeur départemental devra faire des cours ou des conférences endehors de l'école normale. Ces idées nous paraissent parfaitement pra tiques le professeur irait chercher ses audi teurs sur place, et nous avons la conviction 'basée sur ce que nous avons vu lors des con férences de M. Deleu, quelous les instituteurs "ïtin peu capables s'empresseraient d'assister ces leçons et s'initieraient avec bon iiMr aux différentes branches de la sci .«qu'ils enseigneraient après dans leurs écoles. ad Çu'v eou-t j Depui^fclusieurs wha/tcoi/mo. Jmesenle une animation quiconqua jïe l'énorme quantité <lg f su» ouvrage. LÀ II amenées po^ prèut'r e fraîches cS" €roix,,ez_E> ajeskerke. Le tous les jours, .c, <jéfaul.ps g- lu»! que des Houiards, '^is M. et tout autre pveili, prJF Trais podr dîners, etc. tous L MERAlj*§; ^SSON, YPRES'. le dic t? S S -.S É- p" le fermier peut obtenir en retour, prix réduit, et qui forme une excellente nourriture pour Je bétail. Les gamineries pour ne pas employer vd'expression pliis sévère recommencent en notre ville. Dans la nuit du dimancheau Lundi on s'est pas borné açracher quantité de sonnettes, on a été jusqu'à briser les carreaux de vître» de plusieurs maisons et notamment de l'Hôpital la Belle, qui est un refuge destiné aux femnoes octogénaires. Nous ne quali fierons pas, pour le moment, les actes de sauvagerie mais nous engageons la police faire une enquête sévère et dénoncer les coupables la justice. Le Journal de Bruges nous apprend une excellente mesure laquelle nous donnons une complète adhésion. Dernièrement a eu lieu la distribution de prix aux élèves des écoles, communales gratuites et tous les effets d'habillëment qui y ont étédi&tcibués avaient été confectionnés par leurs sœurs de la classe aisée, qui fréquentent les écoles payantes. Une pareille mesure n'a pas seulement pour effet de développer les sentiments de charité, mais elle a l'avantage de procurer aux élèves des écoles payantes un travail manuel qui ne peut que contribuer en faire de bonnes femmes de ménage. La Revue communale se demande si l'autorité communale, le Bourgmestre peut s'arroger le droit d'interdire, d'une manière permanente de donner des .bals divertissements dans les lieux publics cabarets et autres de la commune La Revue n'hésite pas dire que le bourgmestre qui agirait ainsioutrepasserait son droitou du moins qu'il en userait d'une manière exagérée illégitime. C'est lui que devrait être appliqué l'axiôme summum jus, summa injuria. Chaque demande dit-elle doit être l'objet d'un examen sérieux honnête loyal paternel et tout spécial'. H serait absurde de promulguer une ordon nance de police qui décréterait que désormais on ne dansera plus en village. Donner danser est un com merce on pue industrie comme donner boire ou manger, ou loger. Tout commette toute industrie sont sujets réglementation. S'en suit-il que la réglementation puisse ou doive dégénérer en prohibition Ce seraj l'excès et,i'abus'du pouvoir réglementaire et la confis cation de la liberté dif commerce et de l'industrie ipestre flamand, allemand oi lique j -doctrinaire radical: iftain de supprimer au gi éi ita aberrations mentales Dépendra-i.t-il d'un I wallon libéral ou ci libre-penseur ou um». 4e.ses scrupules oy telie profession «*.is s maintenir l'orc-10 l'émeute. ES 86 htou Ce vîsior ilmêia** lijê moralq.i ^r r.£«ER*ns r Axei ■V* insanité? Jr* auntciB ko» nteu mime Sous cou tquerait la iréjbell «e'ij xei.lks -ià «Tue.

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Le Progrès (1841-1914) | 1874 | | pagina 1