AVIS. PARAPLUIES. «01 liez Eimery-Decort. MEUBELS mm mura PIANOS. HOFSTEDE SCHOOL KANTOORGERIEF, REGISTERS, Kerk- en Gebedenboeken, Encre Belge perfectionnée, Nouvelles diverses. GROS ET DÉTAIL. Zaterdag 23 Septeraber 1876, TE KOOPEN V pour (j de la Méditerranée, d Tanger Alexandrie. Dans l'immense incendie qui a détruit en tièrement la fabrique de Monsieur Siegerist- Van Billoen, Louvain, un coffre-fort était exposé au milieu du feu le plus intense et a conservé intactes toutes les valeurs qu'il con tenait. Ce coffre-fort incombustible provient des ateliers de construction de M. Bauche de Reims. On peut se procurer ce système de coffres- forts chez M. Creton-Feys, Quincaillier, Ypres. A dater du premier Octobre 1876, ma Bibliothèque de Livres en Lecture sera supprimée. Les personnes qui sont en possession de quelques de mes livres sont priées de les remettre chez-moi. Félix LAMBIN. foulez-vous acheter des Parapluies, brelles et Encas, élégants, soli- et meilleur marché que partout eurs. liez au S^Médard, coin de la rue eurre, près la Grand'Place, eu Beestialen In beslag genomen by proces-ver- bal van den Deurwaerder Ludovicus- Franciscus VERHAEGHE, te Ypre, op sieur Désiré VANDENBROELE, te Boesinghe, date 11 Augustus 1876. Par une simple location réguliè rement payée, on devient, popriétaire d'un excellent PIANO de Paris. S'adresser chez M. H.EW1M ERY, Coin de la rue au Beurre, Ypres. Les envois se font franco. Eene schoone behuisde en beplante HOFSTEDE,groot in lande 22 hectaren 17 aren 10 cen- tiaren, gelegen te Zonne beke, weinig zuid van het gehucht de Broodseinde, langs den steenweg van Passchendaele naar Meenen en de Forreststraat. Gebruikt door sr Charles-Louis De- gryse, met recht van pacht tôt ln Oc- tober 1878. DEN OVERSLAG zal geschiedenbinnen de Stad Ypre, ter afspanning Het KLEIN WOENSDAG 27" SEPTEM BER 1876, om 2 uren namiddag, ingevolge de voorwaarden berusten- de ten kantoren van de Notarissen VANDERM13ERSOH, te Ypre, en victoor teWaesten. Te bekomen ten bureele van dit blad: GROOTE SORTEERING V Doit! ma, s ..e serv machines fix terrestre de I tnins de fer construit t» aux Indes, XTa'tde des clu?- s ou cdnslrïiire sur le littoral Sscicle «le Gardes civiques d'ïpres. - 9e et dernier tir de la période d'été. 18 Septembre 187b. 1. Dtimon, A. 2. Tvberghein, J. 3. Po'ot, H. 4. Podevyn, A. Aux plombs. BOUIStlll 3* peme sj cet attentat qui, (luit un éuioi facile coin conversations Gilly, tant' 1Candaele, J. 2. Ligy, Alb. 5. Va'ndermarliere, L. 4. Wenes, L. Aux points. 7 4 5 0 0 0 0 4 5 7 5 16 5 3 3 0 3 4 5 0 4 3 2 21 17 16 16 Un vol rare. En quel temps vivons-nous, grand Dieu La nuit dernière, des voleurs se sont introduits chez M. Bougeard, ébéniste, rue Dauville, Paris, et ont pris dans sa boutique différents meubles, plus un escalier en chêne de trente-six marches. Un escalier de trente-six marches Voilà un objet difficile dissimuler et dont les malfaiteurs auront de la peine se défaire. Pourtant, puisqu'ils l'ont volé, c'est qu'ils en avaient probablement le placement... Et vous croyez après cela, que je m'étonnerais si l'on me racontait qu'on a volé les tours Notre-Dame Un assassinat Gilly. Encore un crime La nommée Françoise Etienne, veuve Barthélémy Masson, âgée de soixante ans, marchande de cordes et cabaretière Gilly (Corwérs), a élé trouvée lundi midi assassinée dans sa demeure. Le cadavre était étendu sur le parquet, baignant dans une mare de sang, la tète fracassée coups de marteau et de hache, le visage couvert de blessures béantes. Cette femme, qui vivait seule et fort retirée, était connue dans le quartier pour son avarice. Elle passait pour avoir une certaine fortune aussi le mobile du crime a-t-il été le vol. sgHjK&j !RfiiiTli.mi'nt par la es investigations. C'est autre localité, eût pro- fait l'objet de quelques Su, jinmes maintenant habitués ci s sortes de choses. Si cWia antinue on en arrivera bien tôt, dans notre arrondissemelB, ne plus se retourner pour un assassinat de plus ou de moins. Jde Cliurleroi). Les Paris stupides. je parie, en une heure, de boire un litre de genièvre. Je parie que vous ne le buvez pas. Tapez là. Donnez un litre de genièvre. Ce dialogue avait lieu samedi au soir dans un cabarètde la rue Sur-le-âlont, et le premier des iiiterlocteurs avait déjà bu près d'un dimi litre de spiritueux quand survint un de ses amis, qui s'opposa ce qu'il continuât de boire; il s'en suivit une bagarre laquelle la police vint mettre une terme en arrêtant ceux qui y prenaient part. Mais si les parieurs furent colloques dans une salle d'arrêt, l'honnête ouvrier qui avait empêché l'exécution de cet ignoble pari ne reçut de la police que de chaleureux éloges. Il les avait bien mérités. Journal de L.) Le train des voyageurs n° 10, qui entrait en gare lundi a Bansart, 10 h. 56 du matin, venant de Louvain, a ren contré un train de marchandises stationné. Le choc a causé d'assez graves avaries. L:s deux locomo tives oui eu plusieurs de leurs traverses cassées; le (oit de la 2e voilure du train de voyageurs a été enlevé, en même temps que les parois et les bancs étaient brisés le tender du train de marchandises a été également quelque peu disloqué, les deux wagons qui suivaient ont eu leurs pignous enfoncés. Mais il n'y a pas que des dégâts matériels. Cinq personnes ont reçu des contusions assez sérieuses. Ce sont Alphonse Celis, de S'-Trond; Jean Franco, de Wavre; Henri Giliiard, de Ham-Mille; Nys; Leopoldinr Alexandre, de Gilly. Les premiers ont pu néanmoins continuer le voyage. Seule la dame de Gilly a dit être reconduite chez elle en voiture. Plusieurs médicins sont arrivés immédiatement sur les lieux. Cette dame de Gilly, qui voyageait avec son mari et ses enfants, lesquels n'ont pas été atteints, se trouvait dans le cinquième waggoti. Chose remarquer, il n'y a eu de blessés que dans les dernières voitures; dans celles de tête, qui étaient remplient et où se tiouvaient entre autres les joueurs de balle de Fleurus, pas la moindre égratignure. Le train a subi une heure de retard. La rencontre a eu lieu par suite d'une fausse manœuvre d'excentrique. (Journal de Charleroi). Entendu dans un café du boulevard pf*J'ai élé giftlé l'autre jour aux courses. Et l'affaire a-t-elle eu des suites Oui, j'ai eu la joue enflée pendant huit jours. Le banquier N... devait passer en cour d'assises sous l'in culpation de faux en écritures. Mais il avait cru prudent, avant le jugement d'aller faire un voyage d'agrément en Belgique. Néanmoins, au jour dit, on appelle sa cause. L'accusé fait défaut, dit le président. 0 ironie de la langue française Une petite dame racontait ses infortunes conjugales une amie Figure-toi qu'avant mon mariage mon mari m'adorait et m'accablait de bouquets et de madrigaux. Et maintenant il ne te fait plus de vers? Hélas, non présent il ne me fait plus que des bleus. On causait dernièrement devant D... du docteur un des médecins les plus connus de Paris l'heure qu'il est. En effet, dit D... je ne conteste pas sa notoriété seule ment, il a contracté une habitude qui m'empêcherait de m'adresser lui. Laquelle ht un assistant... Celle de ne jamais se faire payer par ses malades... Comment que voulez-vous dire Que ses honoraires lui sovit toujours soldés par les successions DERNIERES NOUVELLES. YPRES, ten 10 uien voormiddag, OPENBARE VERKOOPING van TE BOESINIGHE, Met gereed geld zonder hosten. SCHOONE Gemeente Zonnebeke. Dinar ingCKiteltl lu partie», 67,GOO franco. Eu in masse, 70,000 fraues. îîoven «len Bwomui'ijs. aan zeer geringt*. prijzcn. d un très beau noir en écrivant, d'une limpidité inaltérable, ne dépose pas dans l'encrier, ne s'é paissit jamais et n'oxide pas les Plumes métal liques. Eu vente au Bureau de ce Journal, rue de Dixmude, 59.

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Le Progrès (1841-1914) | 1876 | | pagina 3