KANTOOR YPRE.
Demandez Partout
DEPOT
Guano et Nitrate de Soude
ADJUDICATION
MISE-A-PRIX
NECTAR DES GUEUX
AMIDON ROYAL DE RIZ.
Nouvelles locales.
Acta sanctoruin.
5 centiemen
AVIS. Le Comité de surveillance du laboratoire
provincial de chimie agricole, Roulers, croit devoir
rappeler aux intéressés que le règlement de cette insti
tution interdit de procéder toute analyse demandée
par des fabricants ou marchands, ainsi qu'à celle de
matières dont on aurait fait connaître la provenance.
Hector DE SMEDT.
Décès.
COMMERCE.
Étude de Me Arsène VAN EECKE,
Le LUNDI, 19 MARS 1877, 6 heu
res, en l'estaminet l'Indépendance,
tenu par M. Deruelle, Comines,
2 MAISONS contiguës dont une ser
vant de boutique, avec arrière-bâti
ments usage de 6 demeures, et 6
ares 42 centiares de Fonds et Jardin,
situés Comines, rue du Faubourg.
VILLE D'YPRES.
L'Administration locale prévient
les habitants que le rôle de l'exercice
1877, pour le recouvrement de la taxe
communale sur les Chiens, est pro
visoirement arrêté et déposé au
Secrétariat l'inspection des contri
buables.
Ceux qui se croiraient lésés sont
admis faire valoir leurs réclama-
Er zal voortsgevaren worden op
MAENDAG 12 MAERT 1877, om
10 ure s morgens, ten kantoore van
Domeinen te Ypre, door het ambt
van den Notaris Vandermeersch. tôt
de openbare Verpachting voor 3," 6
of9jaren, begonnen den ln Januari
1877, der Garzingen wassende op de
Esplanade en het Minneplein te
Ypré.
Occupés par Auguste Pieters et tions devant le Conseil Communal.
autres, ensemble au loyer annuel de
8700 fr.
Portés 10,000 francs.
Le MARDI, 20 MARS 1876, 6
heures, Au Corbeau, Place du Steen-
acker, Wervicq,
d'urïe très-belle MAISON A ÉTAGE
usage de boutique, située Wer
vicq, rue de la Cigogne.
Occupée par M. Breyne-Lecompte,
jusqu'au V Juillet 1877.
LIQUEUR STOMACHIQUE).
TERRIER, PROSPER,
A YPRES.
Condamnation de deux contrefacteurs
E. REMY Ct Cie.
Dépôt dans les principales villes
du royaume.
VENTE EXCLUSIVE EN GROS
Pour toutes conditions s'adresser
H. COPPIN-DEGRAVE,
CHARBONS ET COKES EN GROS.
ges en froc ou en soutane dont les hauts faits défrayent
fes cours d'assises et les chambres correctionnelles.
Oyezcomment on plaidelacause de l'école de respect
Nous ne cessons de dénier aux libéraux le droit
d'insulter aux apostats du catholicisme et de nous
reprocher les fruit gâtés de l'arbre catholique qui
«tombent dans leur camp. Nous trou ons absurde,
qu'après avoir fait tout au monde pour corrompre
les gens ou pour les déterminer a déserter, on fasse
un crime de cette corruption ou de cette désertion
l'Eglise qui en souffre.
Vous déniez„aux libéraux, lassés de vos déclamations
hypocrites sur la corruption moderne, le droit de vous
jeter par la figure les noms de Duchesne, de Van Liere,
de Spaes et de tant d'autres Germinisateurs vous ac
cusez les libéraux de corrompre ces natures dépravées
dès le berceau par l'enseignement et les pratiques du
cléricalisme rien ne vous est plus facile, mais qui donc
se laisse prendre vos Tartufferies Il est regrettable
que l'infaillibilité ne soit pas acquise tous les membres
du corps judiciaire, mais si l'on songe que le fait dont
le Courrier tire texte pour faire le procès des magis
trats libéraux est sans précédent et si l'on récapitule
au contraire les condamnations encourues par les oints
du Seigneur, il faut avouer que l'argumentation du
Courrier perd singulièrement de sa valeur. Rejeter
dans le camp libéral les fruits gâtés de Varbre ca
tholique, est d'une belle impertinence, alors que ces
fruits gâtes n'ont pas touché terre, neuf fois sur dix,
sans être ramassés par des mains pieuses qui leur
prodiguent tous les soins exigés par les meurtrissures,
suites de leur chute, et les dissimulent dans le cellier
de quelque couvent, en même temps que mille voix
catholiques proclament ces fruits gâtés, sains, ex
cellents et saufs de toute tare.
Les concussionnaires, les voleurs, les coquins géné
ralement quelconques qui se cantonnent dans le parti
libéral et réussissent y sauvegarder leur situation
quelque temps, force de pratiquer la très catholique
vertu d'hypocrisie, n'attendent de nous aucune miséri
corde, ils se suicident ou fuyent bien loin du milieu où
ils vivaient alors qu'on les tenait pour honnêtes.
En est-il de même dans le camp catholique Vos
brebis galeuses se brûlent-elles la cervelle se jettent-
elles sous les trains express Non pas, elles savent que
leur parti est celui où l'on peut impunément se livrer
toutes les infamies, une fois certaines conditions rem
plies. M. de Germiny est visité dans sa prison par des
ecclésiastiques de marque la presse catholique com
pare un ignoble suborneur d'enfants Jésus-Christ
nos évêques, prétendant que les jugements civils n'ont
aucune portée, confient des cures des forçats libérés.
Tout ce monde de criminféls et de souteneurs vit en
bonne intelligence, l'une main lave l'autre sans que
l'une ou l'autre en soit moins sale. Et c'est du milieu de
cette pourriture qu'une voix s'élève pour imputer au
libéralisme l'infamie d'un malfaiteur qui, dans le parti
libéral, n'a rencontré ni complices pendant sa vie ni
complaisants après sa mort.
Il plaît au Courrier d'attribuer M. Bara, qui
aurait, d'après lui. nommé Petithan, une part dans le
crime de cet aliéné, mais tout. Courr ier qu'il soit, notre
confrère avouera qu'il était difficile de deviner d'avan
ce le crime que ce magistrat allait commettre.
Nul n'est tenu de prévoir l'avenir, mais cette excuse ne
sert pas pour M. De Lantsheere. Ce ministre catholique
en effet, des journaux l'ont affirmé avec persistance, a
nommé un magistrat accusé de faits du ressort du tri
bunal correctionnel et que le procureur-général voulut
poursuivre, M. De Lantsheere arrêta les poursuites et
assura éventuellement l'impunité au coupable.
Petithan, juge libéral, se suicide après son crime,
X..., juge clérical, siège au nom du Roi, couvert par
la protection du chef du département de la justice.
Tels sont les deux systèmes en présence.
(Journal de GandJ.
Théâtre d'Ypres. Nous n'avons pas été trom
pés dans nos prévisions La Traviata a été un triom
phe pour Mlle Ida Milton, qui a su, dans le rôle de Vio-
letta, mettre en relief toute la souplesse de son sympa
thique talent. M. Delparte a très-bien secondé la char
mante chanteuse.
La troupe de Bruges nous fera ses adieux Mardi pro
chain dans Le Caïdd'Ambr. Thomas, le chef-d'œuvre
du genre Bouffe, et Les Enfants terriblesune pièce
en 2 actes des plus gaies. Plus que jamais, il y aura
salle comble.
Nous venons de recevoir l'avis suivant avec prière
d'insertion
Les résultats obtenus jusqu'ici obligent le comité
appliquer cette disposition réglementaire dans toute
sa rigueur.
Bruges, le 2 Mars 1877.
Le Président,
SURMONT.
Les Menbres B0n E. Péfers, Julien Van Caloen,
Cornet.
Le Secrétaire,
État-Civit. o'Ypiikn, du 2 au <J Murs 1877.
NAISSANCES: Sexe masculin, 5; id. féminin, 5. Total 10.
Mariages.
Nollée, Séraphin, charpentirr, et Eusschenlier, Julienne,
journalière.
GiyfTon, Alixe, 28 ans, sans profession, célibataire, Nou
veau chemin St. Jacques.Verinrersch, Guidon, 21 ans,
clerc de l'église St. Pierre, célibataire, rue des Plats.
Lambin, Albert, 74 ans, sans profession, veuf de Sophie Ver-
warde, ni'- au Beurre. Depuidt, Pierre, 56 ans, sans pro
fession, célibataire, rue de Lille. Vanhec, Jean, 07 ans,
vannier, époux de Clémence Didier, rue de Cassel. Decrae,
Amélie, 01 ans, sans profession, épouse de Jean Tourlouse,
rue Weninck. Rabau, Amélie, 70 ans, sans profession,
veuve de César Cardinael, tue courte du Marais. Plilypo,
10 ans, domestique, rue de Menin. Lempiere, Henri, 41
ans, cabaretier, époux d'IIortense varidarle, Grand'Place.
Vatihecke, Joseph, 70 ans, cordonnier, époux de Marie Os-
sieur, rue de Menin. Candecl, Joséphine, 74 ans, sans
profession, épouse d'Arsène Van Becelaere, rue de Menin.
Dans son audience de Jeudi dernier le Tribunal Correc
tionnel de cette ville a condamné le sieur X
ancien vicaire de Voormezrele, 30 fr. d'amende et aux frais
du chef de coups et blessures sur un enfant qui suivait ses
leçons de cathéchisme.
Cet enfant est resté pendant plus de 13 jours au lit.
L'abbé Lorlue vient d'être condamné par la Cour d'assises
de l'Indre, cinq années de réclusion pour outrages aux
mœurs.
marché tl'Yprc».
ETAT indiquant les quantités et le prix moyen des grains,
fourrages et autres produits agricoles, vendus le
10 Mars 1877.
NATURE
des
GRAINS ET DENRÉES.
quantites
vendues
kilogrammes
Prix moyen i poids m
Froment
Seigle.
Avoine
Pois
Féveroles.
Pommes de terre
Beurre
15,600
5,600
4,500
10,000
7,600
6,000
par
de
cent
l'hecto
kilogr.
litre.
fr. 28 50
80
22 37
73
25 50
44
25 00
80
26 00
80
Il 00
390 00
POPERINGHE, 9 Mars. Froment, 1 hrct., fr. 21-69,
Seigle, 16-25; Avoine, fr. 11 -50; Pommes de terre, les
100 k., 11-50; Beurre le k°, 3-90. Houblon, les 50 kilos,
fr. 100 105.
Notaire Wervicq.
DE
Fait l'Hôtel-de-Ville, le 5 Mars 1877.
Les Bourgmestre et Echevins,
L. VANHEULE.
par ordonnance
Le Secrétaire,
Ferd. VAN DAELE,
LE
seul dépositaire
POUR YPRES ET L'ARRONDISSEMENT
fan hetlen af lia»* »t*en de
Vabelle der vertrclittrat van den
Usera*- Ilég bekome»* te»* bureele
van oti.t blad a ait den prijs van
Un arrêt de la Cour d'appel de Paris du 8
juillet 1876 (voir pour la Belgique, l'Indé
pendance du 13 octobre etl'tëtoile Sïel-
ge du 14 dito) a condamné l'emprisonne
ment, l'amende et des dommages-intérêts
un fabricant d'amidon dans l'Oise et un im
primeur de Paris, déclarés coupables de
contrefaçon de l'Amidon E. REMI Y. et C°.
Exiger la marque de fabrique sur
l'extérieur du paquet.
de
DE TOUTE PREMIÈRE QUALITE
des prix exceplionnellemenl avantageux.
6. rue de Lille, 6, Y PRES».