EBDND6DEDEREM. HOFSTEBEN, HUIZE1V, AU PAUVRE DIABLE MEERSCHEN, EOSSCHEN, EEN SCHOON HUIS, Demandez Partout NECTAR DES GUEUX Nouvelles locales. Nouvelles diverses. LIQUEUR STOMACHIQUE. DENIER DES ÉCOLES. KANTOOR van den Nolaris VANSTEENHUYSE, Groote verkoojring Een groot WOONHUIS met 10 aren 02 centiaren Grond en Tuin, laatst bewoond door Mijnheer den Avoué Wolfcarius, thans ledig, ver- deeld bij plakbrieven in 4 koopen. Ingesteld 28,200 fr. Een HUIS Tweewoonst en Land, groot 66 aren. In gebruik bij Edouard Dewaege- naere, aan 300 franks 's jaars. Ingesteld 5,050 fr. In gebruik bij Leander Pille. Ingesteld 39,750 fr. Partij LAND en MEERSCH, groot 98 aren 50 centiaren, palende aan de Krommelbeke. In gebruik bij de weduwe en kin- deren Louis Holvoet. Ingesteld 6,000 fr. Eene goede partij LAND, groot 1 hectare 42 aren 10centiaren, palende ook aan den ijzeren weg. In gebruik bij sieur Lecluyse. Ingesteld 6,300 fr. In gebruik bij Richard Foulon. Ingesteld 16,550 fr. 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Montant des listes précédentes, 9,304-05 Société des Vrais Amis (du jeu de billard) sise au Parnassus-Hof, van het stom Mexi- kaens muziek, 1-05 De porcelein-winkel heeft willen Tutten be- keeren op 't kivooi, 0-50 9,396-20 6,042-20 Dépenses jusqu'à ce jour, En caisse, fr. 3,354-00 Witte Klakkon. M. J. de Laveleye offrait Di manche dernier aux diverses Sociétés libérales une brillante fête dansante nous avons pu apprécier une fois de plus le tact, l'affabilité qui lui ont acquis si rapi dement et si justement les sympathies de notre intelli gente population. L'honorable et populaire Président des Witte Klak- ken a été mû par une idée de fraternité qu'on ne sau rait trop hautement louer. Aveugles sont ceux qui se refusent admettre que le courant des idées démocra tiques devient irrésistible dans notre pays et c'est un honneur pour des hommes de la valeur de M. de Lave leye, de travailler sans relâche au rapprochement, l'union des différentes catégories de notre bourgeoisie. L'incendie de la rue des ŒilletsBruxelles. Un incendie s'est déclaré samedi soir, avec une extrême vio lence, rue des OEillets, n° 2, coin de la place des Martyrs. Le feu a éclaté vers onze heures au premier appel, le poste du théâtre de la Monnaie et celui de l'hôtel de Brabant se sont rendus sur les lieux. 7 lances ont éléétablies,mais (i seulement ont donné de l'eau. Il a fallu environ une heure pour maîtriser le feu. Dès l'arrivée du poste de la Monnaie, des voisins prévinrent les pompiers qu'il y avait des enfants dans les mansardes em brasées. Le caporal Vandekere et le sapeur Kahot y montèrent immédiatement mais, après de vains essais, ils durent renon cer sauver les malheureux les flammes sortaient par les portes et par le toit avec une extrême violence les deux hommes descendirent immédiatement et mirent trois lances en action. Quelques instants après, les postes de J'Hôtel-de-Ville et de la Caserne étant arrivés, quatre lances furent encore mises en action. Lors de l'arrivée des pompiers, quantité de personnes encombraient les escaliers, criant tue-tête et empêchant le service. On a été obligé de les mettre dehors. Aussitôt que l'incendie fut maîtrisé, un troisième caporal monta aux chambres, suivi d'un agent de la quatrième divi sion, ex-pompier ce dernier, pn pénétrant dans une man sarde, aperçut étendue sur le plancher une forme noire, dont il s'approcha, il reconnut bientôt que c'était un cadavre le commissaire de police averti, donna immédiatement oidre de faire des recherches, redoutant que d'autres personnes n'eus sent péri également. Il ne se trompait pas, car bientôt les autres cadavres furent découverts. Us furent conduits l'hôpital Saint-Jean par les agents de service. Le premier étage de cette maison était habité par Mme Fischer et sa plus jeune fille le second était inhabité et ne contenait pas de meubles. Le troisième étage, grenier man sardé, était habité par deux jeunes filles, âgées l'une de 18 et l'autre de 15 ans, la servante et un garçon, âgé de 16 ans, que l'on nous a dit être atteint d'aliénation mentale. Cet étage se compose de cinq pièces mansardées, l'une ha bitée par les deux jeune filles, la seconde habitée par la ser vante, une troisième habitée par le fils, les deux autres ne contenaient que des planches et des caisses remplies des déchets de cuir. L'incrndie éclata vers 1 f heures dans la pièce suivant le palier. L'ainée des jeunes filles s'en aperçut la première et cria sa sœur Je vois du feu sous la porte Sauvons-nous L'autre répondit Non, je vais appeler maman et elle se dirigea vers la porte de sa chambre mais arrivée deux pas de la deuxième porte, donnant sur le palier, elle fut asphyxiée par la chaleur et la fumée et tomba face contre terre et les bras le long du corps. C'est dans celte position qu'on l'a retrouvée pas la moindre contorsion. Le corps était en grande partie carbonisé, la tête et les pieds presque séparés du tronc. Tandis que la pauvre jeune fille périssait si tristement, la sœur aînée se sauvait en chemise par une fenêtre du toit et, se traînant dans la gouttière, elle allait frapper la fenêtre la plus proche ou refusa de lui ouvrir elle continua alors jusqu'à la seconde fenêtre là un jeune homme lui ouvrit, la prit dans ses bras et la transporta chez un voisin. Une servante habitait la pièce conligue celle occupée par les deux jeunes filles. Celle-là anssi fût asphyxiée c'est peine si la figure a été atteinte, la chemise était intacte quand le corps fut retrouvé près du lit, couché sur le flanc gauche, la tête du côté de la porte. C'est le cadavre qui a été retrouvé en second lieu. Ce n'est que plus tard que l'on apprit que le fils S... avait péri dans les flammes. Son cadavre fut trouvé en avant de la porte de sa mansarde celle-ci formait le coin de la place des Martyrs et de la rue des OEillets. L« mobilier de la mansarde occupée par les drmoiselles S... était peine entamé il se composait d'un lit de camp, d'un lit en bois, une commode et une chaise. Seul le lit en bois avait été attaqué par le feu, dans la pièce contiguè", celle de la servante, tout était détruit. La pièce occupée par le jeune homme n'a pas été gravement atteinte son mobilier se composait d'un lit, une chaise, une table et une malle. A quelques clous, côté de la porte, se trouvaient encore attachés un jupon blanc, un jupon rouge et un pardessus ses vêtements n'avaient que peu souffert du feu. D'après ce que l'on nous a dit dans la maison, tout danger avait disparu en un quart d'heure. TE KORTRIJK. Om'uit gemeenzaamheid te scheiden. VAN Stud Kortrijk, Steenpoort, N° 16. Koopen 1,2, 3 en 4. Kortrijk-buiten, dicht de Kapelle 1er Bede. Koop 5. Gemeente Ledeglieni, wijk Sint-Pieters. Koopen 6 tôt en met 16. 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Le Progrès (1841-1914) | 1877 | | pagina 3