CHEVAUX
PIANOS.
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DE GROND, te Watou, s. D, nrs 66,
67, 67bis, 68, 69, 73, 74, 75, 75bis,
76, 77 en 78, gebruikt door Vieren,
om 225 fr. 's jaars.
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kleed met welgebouwen Woonhuis,
schoone hoveniers-woonst, stallin-
gen, verdere gerieven en waterin
en volgens meting 93 a. 50 c. ER]
te Y^peren, op kleinen afstand der
stad, langs den steenweg opMeenen,
gebruikt door de familie de Posch.
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Dans le courant de la polémique engagée entre
M. Saincleli'tie, représentant de Mons. et la presse
cléricale, dont le tenant signe un Belge, dans les
colonnes du Journal de Bruxelles, le polémiste
libéral parlant de la Vie de Jésus, de Renan, a été
amené écrire Aux yeux du clergé belge,
nier la divinité du Christ est péché mignon,
tandis que lutter contre la théocratie est péché
mortel.
Le reproche de duplicité renfermé dans celle
phrase va droit son adresse aussi la presse clé
ricale proteste-t-elle tant qu'elle peut.
Toutes les protestations n'empêcheront pas que
le clergé ne se soit fait des alliés
De M. Brasseur, qui avait nié publiquement la
divinité du Christ
De M. Schollaert. qui avait chansonné le pape
De M. E ugène De Kerckhove. qui attaquait, en
184(3, dans sa brochure Situation et Avenir, le
cléricalisme et les prêtres
De M. d'Hane-Steenhuys. auteur d'une brochure
niant aussi la divinité de Jésus.
Enfin, la presse cléricale ne peut empêcher
qu'une des principales têtes de colonne de la droite
ne soit le même .M. d'Hane-Sleenhuyse qui. en
1864 (séance de la Chambre du 8 janvier), s'écriait
en s'adressant la gauche
Je ne reconnais personne dans cette Chambre
ni ailleurs, le droit de me faire un crime de
croire ou de ne pas croire, parce que je veux
que la liberté que vous invoquez si souvent sur
vos bancs et dont on pourrait se défier lorsqu'on
voit le parti doctrinaire l'œuvre, me serve
dénier hier la divinité du Christ, si je veux,
et croire aujourdhui la divinité du Christ,
si je le veux encore.
On voit combien M Saincteletle a raison.
Faire de la croyance la divinité du Christ un
article de fantaisie, c'est un péché mignon que les
révérends pères passent volontiers M. d'Haue et
Al. Brasseur, aussi bien qu'ils passent leurs vel
léités libérales MM. De Kerckhove et Schollaert.
L'essentiel est de bienvoter, et ce compte le clergé
pardonne ces accolytes les hérésies qui feraient
pendre ou brûler vif ceux que AI. d'Hane appelait
les D. elrinaires au temps où lui-même se donnait
les allures d'un Indépendant. de Gaud).
Les commissions du Sénat (intérieur et justice)
ont terminé l'examen de la loi électorale.
MM. les ministres des finances et de la justice
assistaient la séance.
Al. Alalou a déclaré que, dans un but de conci
liation, le gouvernement consentait au retrait pur
et simple de l'art. 46 de la loi.
Sur des observations de Al. H. Dolcz, AI. Alalou
s'est engagé motiver ce retrait par une note
explicative qui sera insérée dans le rapport des
commissions réunies.
La Chambre des représentants a voté mercredi
le projet de loi relatif aux annuités dues aux
Sociétés des chèmins de fer de Dendre et Waes et
de Pépinster Spa, et elle a commencé la discus
sion du projet de loi concernant la capitalisation
des annuités variables.
La discussion de ce projeta été interrompue pour
le vote d'un crédit de trois millions sollicité par le
département de la guerre pour la construction des
travaux des forts du Bas-Escaut. Le projet de loi a
été adopté par 65 voix contre 6 et 1 abstention.
Au début de la séance, M. le ministre des finan
ces a déposé un projet de crédit de 2a millions
pour travaux d'utilité publique.
.r-g,
On avait annoncé que Al. Simon Baatard serait
le candidat des cléricaux A la prochaine élection de
Soignies.
Il parait ce que disent les Sonésiens que
ce candidat qui a déjà figuré, en 1874. sur la liste
catholique, ne serait pas plus éligiblc que AI. de La
Roche.
Ai. Baatard ayant vendu une partie des pro
priétés qui lui permettaient d'atteindre au cens
requis.
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Prix fr* 100 les 1000.
CHEVAL'X, hongres efcju-
nients, de 4 S ans
NOTAIRE A WERVICQ.
LE JEUDI 28 JUIN 1877, 6 heu
res du soir, en l'estaminet Le Corbeau,
place du Steenacker, Wervicq,
WOENSDAG, 4 JULI 1877,
UN GRAND ET BEL
ENCRES A ÉCRIRE.
