HOFSTEDE HOTEL S'-l'IERliE P. DE HE M, ON DEMANDE Ministère de la Guerre. G. Coussaert-Pauwels, Encre Belge perfectionnée, Gérard WATREMEZ, EXPOSÉ Nouvelles locales. Nouvelles diverses. OVERSLAG PHOTOGRAPHIE ASSOCIATION LIBÉRALE Traitement 1,300 francs outre le logement et la nourriture. S'adresser la Commission des Hospices Civils d'Ypres, avant le lr Octobre prochain. Le Ministre de la Guerre porte la connaissance du public qu'il sera procédé le 6 OCTOBRE 1877, par les soins de M. le Commandant de Place Ypres Y Adjudication de la four niture du Charbon de Terre nécessai re, pendant l'année 1878, au chauf fage des fours de la boulangerie militaire établie dans la dite Place. Le cahier des charges est déposé dans le bureau du Commandant de Place précité, où les amateurs peu vent en prendre connaissance tous les jours non fériés. RUE JANSÉNIUS, N°6, A YPRES. PARFUMERIES. Salon pour la coiffure et la coupe des cheveux Spécialité de Postiches en tous genres Chignons, haute nouveauté Tours, Tresses, Perruques, Toupets, et tout ce que la mode a créé de plus nou veau. On utilise et transforme les tresses, Tours et Chignons dont on ne veut plus se servir. Le tout des prix défiant toute con currence. KAN TO OR Notaris VAN EECK.E, Op Zaterdag 45 Seplember 1877, om 2 ure des namiddags, ter herberg het Kanon, te Yper, buiten de Mee- nenpoort, van 6 h. 71 a. te YPER, langs de kalsyde op Boe- singhe by den Rooden Hert, ge- bruikt tôt ln October 1879, door Emile Durnez, mits 1000 fr. 's jaars boven de lasten. Café-Resta urant P. VAN DEN BILKE, ANVERS- QUESTION DE E'AMÉLIORATION SUR DIVERS AUTRES PROJETS TRAVAUX PUBLICS t( Le discours de M. Grevy expose la carrière parle mentaire de M. Thiers. Il rappelle le sacrifice que l'il lustre défunt fit de ses convictions monarchiques la République, la considérant comme le seul gouverne ment possible. Ce sacrifice lui coûta beaucoup, mais- rien n'était au-dessus de son patriotisme. Les autres discours ont été prononcés par l'amiral Pothuau, qui a rappelé la compétence de M. Thiers dans les questions militaires, par MM. de Sacy et Vuitay, qui ont rendu spécialement hommage l'his torien national, l'orateur éloquent. Les discours ont été vivement applaudis. La cérémonie s'est terminée cinq heures. La foule s'est écoulée paisiblement dans un profond recueille ment. Il y a eu encore au retour des cris de Vive la Répu blique Un très-grand nombre d'hommes et de femmes por taient des bouquets d'immortelles. Paris est profondément triste, mais d'un calme par fait. Jamais empereur ou roi n'eut un triomphe pareil celui qui vient d'entourer le cercueil du premier pré sident de la république française. L'ouverture du testament de M. Thiers a eu lieu Lundi. L'Assemblée nationale rapporte que dans la journée d'hier Mme Thiers a donné connaissance de cet impor tant document MM. Barthélémy-Sainte-Hilaire, Cal- mon, Mignet et Jules Simon. M. Thiers déclarerait dans son testament qu'il est né catholique et qu'il entend mourir comme il a vécu, en catholique. Il rend hommage l'affection constante et dévouée dont Mrae Thiers et Mlle Dosne n'ont cessé de l'entourer pendant toute sa vie. Comme un témoignage d'affection, il institue Mme Thiers légataire universelle de tous les biens meubles et immeubles lui appartenant. Mais il lègue l'Etat sa bibliothèque et tous ses objets d'art. Il nomme ses fidèles amis, MM. Mignet et Barthé- lémy-Saint-Hilaire, ses exécuteurs testamentaires pour ce qui regarde ses manuscrits, déclarant qu'ils seront seuls maîtres d'en disposer pour leur compilation ou leur publication complète. Il lègue 2,400 francs de rente son valet de cham bre Louis, pour le récompenser de la fidélité et de son affection. Il lègue 10,000 francs de rente partager entre ses secrétaires et les autres personnes attachées son ser vice. L'Assemblée nationale ajoute qu'il n'y a dans le testament aucun legs, aucun souvenir laissés aux amis de M. Thiers. Après la lecture de ce testamentMmt Thiers s'est levée, mais avant de rentrer dans sa chambre, elle s'est dirigée vers M. Jules Simon et lui a dit: C'est vous que je charge de retracer sur sa tombe la vie de celui qui n'est plus. Ensuite Mrae Thiers a fait connaître M. Barthé lémy Saint-Hilaire que le deuil serait conduit par les plus pi oches parents, son neveu le général Charlemagne et le compte Roger (du Nord). On sait, d'ailleurs, que le général Charlemagne est l'héritier de Mme et de M'1" Dosne. et Société de Gardes civiques d'Ypres. - 8' dernier tir de la période d'été.10 Septembre 1877. Plusieurs membres de la Société Les Francs Tireurs de Poperinghe ont bien voulu participer ce concours. 1. Lesaffre, A. 2. Vandermarliere, L. 3. Deweerdt, Ch. 4. Dumon, A. S. Beheyt, L., Poperinghe. 6. Iweins, Alf. 7. Sansen, Ach., Poperinghe. Ligy, A. 9. Swekels, L. 10. Gaïmant, Art. DE L'ARRONDISSEMENT D'YPRES. Les listes électorales doivent rester affichées dans toutes les communes, depuis le 15 Août jus qu'au 30 du même mois et elles doivent contenir invitations aux citoyens qui croiraient avoir des observations faire, de s'adresser, cet effet, au Collège des Bourgmestre et Echevins, avant le 30 Août. Ces listes sont clôturées ensuite définitivement le 3 Septembre, par le Collège échevinal et tout individu indûment inscrit, omis ou rayés ou autre ment lésé, peut réclamer la Députation Perma nente jusqu'au 25 Septembre inclusivement. De même, tout individu jouissant des droits civils et politiques peut, quant aux listes d'arron dissement, du canton ou de la 'commune de son domicile, réclamer de la même manière et dans le même délai, contre les inscriptions, radiations ou omissions indues. Les personnes qui croiraient avoir des réclama tions faire en vertu de ces dispositions, peuvent, pour plus de facilité, s'adresser M. le Président de l'Association, soit par écrit, soit verbalement leurs communications seront considérées comme confidentielles et il sera donné suite toutes les réclamations qui seront reconnues fondées, sans qu'il puisse en résulter aucuns frais, ni aucun désagrément pour les réclamants. Les électeurs dont on réclamera la radiation, devant la Députation permanente, sont priés d'adresser, endéans les 48 heures, la notification qui leur en sera faite au Président, au Vice-Prési dent ou au Secrétaire de l'Association libérale. Leurs droits seront défendus gratuitement tant devant le collège que devant la cour d'appel de Gand. Y près, le 16 Août 1877. On sait que les classes de milice de 1874 et de 1873 ont été rappelées sous les armes respectivement, le 9 Août pour 38 jours et le 18 Août dernier pour un mois, pour la période des manoeuvres. Par disposition ministérielle, ces classes seront renvoyées dans leur foyers de 13 Septembre couraut. Elles seront préalablement dirigées sur leur dépôt respectif pour y verser leurs armes et équipements militaires. M. Lemaieur était devenu premier échevin par la mort de M. Funck. Aujourd'hui c'est M. Vanderstraeten qui, après M. le bourgmestre, occupe le premier rang dans le collège échevinal de Bruxelles. Un abonné nous écrit: Dans la nuit du 7 au 8 de ce mois, la malle de l'Etal belge Louise-Marie, commandant E. Wouters, faisait la traversée de Douvres Ostende par une forle brise du vent d'est. Arrivée a deux cent mètres environ de l'entrée du chenal, elle n'aperçut pas une barque sortant du port et n'ayant pas encore hissé ses feux. Le vapeur l'aborda par le travers n'ayant pu faire une manœuvre pour l'éviter. Aussitôt le commandant fil battre reculons et donna ordre de mettre un canot la mer. Deux hommes d'équipage s'y étaient placés. Dans la précipitation de cette manœuvre, l'un d'eux, contre-maître du bord, eut la main prise par le palan. Le doigt du milieu fut écrasé et deux autres meurtris. Le brave marin n'en saisit pas moins l'une des rames et travers l'obscurité, se mit avec son compagnon la recherche des malheureux naufiagés. IJ réussit les recueillir tous quatredans le canot du bord et quelques instants après l'embaraction abordée était engloutie. C'était une chaloupe de Nieuport qui était venue vendre sa marchée Ostende. Le patron tenait la barre au moment où les autres hissaient les Voiles. Dans crlte manœuvre, ils n'a vaient pas aperçu le vapeur temps et perdant la tête, au lieu de virer, ils avaient voulu passer outre. Je regrette de ne pouvoir vous donner le nom du brave contre-maître qui a opéré le sauvetage, malgré ses blessures. Il avait compris que tout délai pour se faire remplacer aurait été fatal aux naufragés. Veuillez au moins signaler le trait d'abnégation et de courage, en lui donnant la pub'icilé de votre estimable journal. Echo du Parlement). UN INSTITUTEUR-DIRECTEUR POUR L'ÉCOLE DES ORPHELINS D'YPRES. (S.) THIERAULD. COIFFURE DE DAMES. VAN DEN d'un très beau noir en écrivant, d'une limpidité inaltérable, ne dépose pas dans l'encrier, ne s'é paissit jamais et n'oxide pas les Plumes métal liques. En vente au Bureau de ce Journal, rue de Dixmude, 39. VAN EENE Jngesteld 40,000 fr. pue de Roesinglie, 11, Ypres. TENU PAR SUCCESSEUR DE eu face de la Station de l'Etat, Ne pas confondre avec la TAVERNE-HOTEL St-PIERRE En vente au Bureau de cette feuille SUR LA ET DE LA DISTRIBUTION DES EAUX ALIMENTAIRES, ET DE DE LA VILLE D'YPRES. Prix s fr. 1-50 c.

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Le Progrès (1841-1914) | 1877 | | pagina 3